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Valras-Plage

Valras-Plage [val.ʁas plaʒ] est une commune française situĂ©e dans le sud du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.

Valras-Plage
Valras-Plage
Valras-Plage
Blason de Valras-Plage
Blason
Valras-Plage
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement BĂ©ziers
Intercommunalité Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée
Maire
Mandat
Daniel Ballester
2020-2026
Code postal 34350
Code commune 34324
DĂ©mographie
Population
municipale
4 188 hab. (2020 en diminution de 0,92 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 782 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 14â€Č 52″ nord, 3° 17â€Č 30″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 10 m
Superficie 2,35 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Sérignan
(ville-centre)
Aire d'attraction BĂ©ziers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de BĂ©ziers-1
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Valras-Plage
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Valras-Plage
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Valras-Plage

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'Orb et par deux autres cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« les OrpelliĂšres » et « est et sud de BĂ©ziers »), un espace protĂ©gĂ© (« Les OrpelliĂšres ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Valras-Plage est une commune urbaine et littorale qui compte 4 188 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomĂ©ration de SĂ©rignan et fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©ziers. Ses habitants sont appelĂ©s les Valrassiens ou Valrassiennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Valras-Plage est une station balnéaire française située sur la mer Méditerranée dans le golfe du Lion. Elle fait partie de la CÎte d'Améthyste.

    Traditionnellement, Valras-Plage est la plage de BĂ©ziers. La commune est situĂ©e Ă  l’embouchure de l’Orb et se trouve Ă  11 km de BĂ©ziers, Ă  30 km de Narbonne.

    DĂ©tail de la carte des cĂŽtes de France.
    DĂ©tail de la carte des cĂŽtes de France.
    Situation de Valras-Plage

    Communes limitrophes et proches

    Communes limitrophes de Valras-Plage
    (Distances : Ă  vol d'oiseau / par la route)[1]
    Villeneuve-lĂšs-BĂ©ziers (7.48 / 8,56 km)
    SĂ©rignan (3.85 / 4,30 km)
    Vendres (5.92 / 7,91 km)
    Lespignan (10.26 / 12,66 km)
    Abeilhan (22.43 / 28,11 km)
    Servian (19.74 / 25,20 km)
    Cers (8.27 / 10,19 km)
    Portiragnes (6.93 / 12,36 km)
    Portiragnes-Plage (6.57 / 16,54 km)
    SallĂšles-d'Aude (27.83 / 48,06 km)
    Cuxac-d'Aude (23.72 / 43,21 km)
    Valras-Plage Plage SĂ©rignan (1.04 / 11,85 km)
    Mer Méditerranée
    Salles-d'Aude (14.34 / 19,20 km)
    Fleury (12.69 / 16,54 km)
    Saint-Pierre-la-Mer (11.44 / 24,53 km)
    Mer Méditerranée
    (0.78 / 1,07 km)
    Mer Méditerranée
    (Plage coté port)
    (0.61 / 0,67 km)

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie entre 0, au niveau de la mer, et 10 mĂštres[2].

    Hydrographie

    L'embouchure de l'Orb se situe à Valras-Plage, séparant le territoire de la commune en deux, entre la partie urbanisée au sud et la partie rurale ou naturelle au nord.

    Voies de communication et transports

    Voies routiĂšres
    • La D 19 traverse la partie septentrionale de la commune. Elle rejoint plus loin la D 64 en direction de Vendres Ă  l'ouest ou de SĂ©rignan au nord ;
    • La D 37E10 traverse la commune dans presque toute sa longueur et rejoint au sud-ouest la partie littorale de Vendres.
    Transports

    Le tramway de Béziers, reliant Béziers à Valras-Plage, a fonctionné de 1879 à 1948.

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[3] - [4].

    Un espace protégé est présent sur la commune : « Les OrpelliÚres », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 171,8 ha[5] - [6].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

    • « les OrpelliĂšres », d'une superficie de 143 ha, un ensemble reprĂ©sentatif des cĂŽtes languedociennes avec un long cordon dunaire ininterrompu constituĂ© de dunes blanches et de dunes grises, protĂ©geant des prĂ©s salĂ©s (jonchaies, pannes dunaires, sansouires et localement des formations de steppes salĂ©es Ă  Limonium ferulaceum[9]

    et un au titre de la directive oiseaux[8] :

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensĂ©es sur la commune[11] : le « domaine des OrpelliĂšres » (200 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[12] et « l'Orb entre BĂ©ziers et Valras » (82 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Valras-Plage est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 3] - [14] - [I 1] - [15]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de SĂ©rignan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[I 2] et 16 516 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©ziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 5] - [I 6].

    La commune, bordĂ©e par la mer MĂ©diterranĂ©e, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (57,3 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (45,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (57,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (14,3 %), zones humides cĂŽtiĂšres (13,7 %), eaux continentales[Note 5] (7,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5 %), eaux maritimes (2,4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Valras-Plage est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de BĂ©ziers-Agde, regroupant 15 communes duautour des basssins de vie de BĂ©ziers et d'Agde, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e[22], retenu au regard des submersions marines et des dĂ©bordements de cours d’eau, notamment d'ouest en est, de l'Orb, du Libron et de l'HĂ©rault. Les crues historiques antĂ©rieures Ă  2019 les plus significatives sont celles du , un Ă©pisode gĂ©nĂ©ralisĂ© sur la quasi-totalitĂ© du bassin, et du , un Ă©pisode cĂ©venol en partie supĂ©rieure du bassin. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[23]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1992, 1993, 1995, 1996, 1997, 2003, 2014 et 2019[24] - [20].

    Valras-Plage est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 6] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Valras-Plage.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 3,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 820 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 149 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 4 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 7] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mĂštres cubes. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[29].

    Toponymie

    En occitan, Valrans [ÎČal.'ras]

    Histoire

    Promeneurs dans une barque : carte postale (début XIXe siÚcle - fin XXe siÚcle)
    Protohistoire

    Vers la fin de l'Ăąge du bronze dans le sud de la France, c'est-Ă -dire vers 850 avant J.-C., des habitants vivent sur le plateau dominant l'Orb, oĂč des outils prĂ©historiques ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s[30] - . Ce peuplement ne se fixe pas sur le littoral, alors insalubre, mais sur le coteau qui domine la plaine littorale[31] - .

    Antiquité

    A l'Ă©poque romaine, s'Ă©tablissent plusieurs domaines et leurs villas[30] - . Cet habitat reste toujours Ă  l'Ă©cart du littoral insalubre[31] - .

    La villa romaine nommĂ©e Villa Juxta Mare (littĂ©ralement : « villa prĂšs de la mer ») Ă©tait une propriĂ©tĂ© de Valerius, un vĂ©tĂ©ran de la VIIe lĂ©gion romaine ; le nom du propriĂ©taire de cette villa pourrait ĂȘtre Ă  l'origine de celui de la ville[30] - .

    Moyen Âge

    En 878, un Ă©crit relate l'existence de Valras. C'est un document de l'Ă©vĂȘchĂ© de Saint-Nazaire de BĂ©ziers, mentionnant un « petit village nichĂ© autour de son Ă©glise dĂ©diĂ©e Ă  Saint Martin, ou sont venus s'installer quelques religieux ». Valras est Ă  cette Ă©poque sous la protection de l'Ă©vĂȘque de BĂ©ziers.

    De 878 Ă  1068 la ville dĂ©pend de cet Ă©vĂȘchĂ© de Saint-Nazaire de BĂ©ziers. Aux XIe et XIIe siĂšcles la ville passe sous l'influence du prieurĂ© Notre-Dame-de-GrĂące de SĂ©rignan. La commune est partagĂ©e entre ces deux autoritĂ©s ecclĂ©siastiques en 1266[31] - .

    En 1286, à l'issue de la « Croisade d'Aragon », la flotte d'Alphonse III commandée par l'amiral Roger de Lauria remonte l'Orb jusqu'à Sérignan. Les maisons de Valras, l'église Saint-Martin, l'abbaye de Saint-Geniés[Note 8] et Sérignan sont pillés et détruits. Les habitants de Valras se replient plus loin dans l'intérieur des terres. Un poste de garde est établi en 1331 pour surveiller la cÎte[31] - .

    Époque moderne

    En raison de diverses invasions maritimes et de la piraterie, le littoral reste peu peuplé jusqu'en 1630 lorsque cette cÎte est sécurisée par une redoute construite a Sérignan[30] - .

    XIXe siĂšcle

    Au XIXe siÚcle, les terres fertiles des coteaux permettent la culture de la vigne au profit de petits propriétaires. Il existe également des pùturages pour l'élevage des bovins et des chevaux, ainsi que quelques terres de labour[30] - .

    La création d'une ligne de chemin de fer en 1846 popularise l'attirance des baigneurs pour Valras. Les Biterrois et Sérignanais sont les premiers adeptes des bains de mer dÚs 1855.

    XXe siĂšcle

    C’est en 1901 qu’arrive le tramway Ă©lectrique, ainsi que la multiplication des Ă©quipements d’accueil (hĂŽtels, chalets et cafĂ©s). Valras devient alors une station balnĂ©aire.

    AprĂšs avoir appartenu Ă  la commune de SĂ©rignan jusqu’au [32], Valras devient une commune indĂ©pendante avec la crĂ©ation du premier conseil municipal. La commune de Valras s'Ă©tend sur 235 hectares ; SĂ©rignan a conservĂ© 2 751 hectares. Le , le premier maire Alfred Panis, instituteur retraitĂ©, est Ă©lu lors de la premiĂšre rĂ©union du conseil municipal[33]. Le , Valras-la-Plage devient Valras-Plage.

    Dans la dĂ©cennie qui suit la crĂ©ation de la commune, plan d’urbanisme et d’adduction d’eau sont les deux prioritĂ©s de l’action municipale. La station se dĂ©veloppe selon une structure en « T », la voie principale Ă©tant donnĂ©e par l’axe de communication qui relie le village Ă  l’arriĂšre-pays.

    Durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), les Allemands amĂ©nagent Valras en point de dĂ©fense cĂŽtiĂšre en y installant notamment des canons et un observatoire. Valras est bombardĂ©e le ; 90 % de la ville est dĂ©truit[30] - .

    Autrefois village de pĂȘcheurs, la ville en a gardĂ© les caractĂ©ristiques traditionnelles tout en se modernisant Ă  partir notamment des annĂ©es 1960-70, se voulant ainsi une ville attractive tout au long de l’annĂ©e.

    La construction du port de plaisance date des annĂ©es 1971-72. Cela correspond au dĂ©but du dĂ©clin de la pĂȘche et des mĂ©tiers associĂ©s. Le port de plaisance de Valras-Plage comptait en 2012 220 anneaux, complĂ©tĂ©s par 130 anneaux sur les berges de l’Orb.

    XXIe siĂšcle

    Le , un grave accident aérien est évité de peu, lorsqu'un avion publicitaire s'abßme en mer[34].

    HĂ©raldique

    Armes de Valras-Plage

    Les armes de Valras-Plage se blasonnent ainsi : « de gueules à un demi soleil d'or au naturel mouvant d'une champagne d'azur, à deux hippocampes affrontés d'argent brochant sur le tout »[35]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[36]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    [33] Alfred Panis Rad. Instituteur retraité
    1943 Jean Dauga
    (1888-1946)
    PRS Patron-pĂȘcheur
    1943 1944 Jean Rieux Nommé par Vichy
    1944 1945 Jules Faure Président du Comité local de libération
    1945 1947 Jean Rigaud Représentant
    1947 Émile Sablayrolles Papetier
    Lucien Lignon Rad.soc. Cadre EDF

    (décÚs)
    Émile Turco[37]
    (1908-1983)
    PCF Représentant en farines, ancien résistant
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de BĂ©ziers-IV (1973 → 1983)
    André Thiroine DVD Cadre commercial
    Élu Ă  la suite d'une Ă©lection municipale partielle
    Claude Villeneuve DVD
    (app. RPR)
    MĂ©decin
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de BĂ©ziers-IV (1996 → 2004)
    [38]
    (démission)
    Guy Combes[39] DVD Retraité
    1er vice-prĂ©sident de BĂ©ziers MĂ©diterranĂ©e (? → 2018)
    [40] En cours Daniel Ballester DVD Cadre, ancien premier adjoint
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[41]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1931. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[43].

    En 2020, la commune comptait 4 188 habitants[Note 9], en diminution de 0,92 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    9741 1611 1181 4851 6982 1902 5392 5883 043
    1999 2006 2008 2013 2018 2020 - - -
    3 6254 2984 4854 2314 2234 188---
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee Ă  partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 2 882 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 5 009 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 200 â‚Ź[I 7] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]). 42 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 11] (45,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]13,6 %15,2 %16,1 %
    DĂ©partement[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 893 personnes, parmi lesquelles on compte 64,1 % d'actifs (48,1 % ayant un emploi et 16,1 % de chĂŽmeurs) et 35,9 % d'inactifs[Note 12] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de BĂ©ziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 823 emplois en 2018, contre 920 en 2013 et 917 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 937, soit un indicateur de concentration d'emploi de 87,8 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 32,3 %[I 13].

    Sur ces 937 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 349 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 74,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2 % les transports en commun, 16,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    597 établissements[Note 13] sont implantés à Valras-Plage au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble597100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    213,5 %(6,7 %)
    Construction498,2 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    28748,1 %(28 %)
    Information et communication111,8 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance101,7 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres579,5 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    528,7 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    508,4 %(14,2 %)
    Autres activités de services6010,1 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 48,1 % du nombre total d'établissements de la commune (287 sur les 597 entreprises implantées à Valras-Plage), contre 28 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :

    • Valras Plage Loisirs, organisation de jeux de hasard et d'argent (5 775 k€) ;
    • Le Phare, restauration traditionnelle (886 k€) ;
    • Dix Immobilier, agences immobiliĂšres (616 k€) ;
    • Le Petit Four A Bois, boulangerie et boulangerie-pĂątisserie (494 k€) ;
    • La Galere, dĂ©bits de boissons (428 k€).

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations252063
    SAU[Note 15] (ha)30391761

    La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre du département de l'Hérault[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (25 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 61 ha[48] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Notre-Dame du Perpétuel Secours construite en 1913 et agrandie dans les années 1950.

    Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Valras-Plage s'ornait, au bord de l'Orb, d'un groupement de grandes cabanes en roseaux servant d'habitations Ă  des pĂȘcheurs. En forme de nefs bi-absidiales (terminĂ©es par une abside et une croupe aux deux extrĂ©mitĂ©s), avec pour charpente deux poteaux montant de fond et portant une panne faĂźtiĂšre, ces cabanes de pĂȘcheurs figurent sur une carte postale des annĂ©es 1900.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean BousgarbiĂšs (1889-1947) : homme politique mort Ă  Valras-Plage ;
    • Joan Casanovas (1890-1942) : homme politique catalan mort Ă  Valras-Plage ;
    • Jean Gau (1902-1979) : navigateur liĂ© au port de Valras auquel il a donnĂ© son nom ;
    • Michel Fabre (1956-) : joueur de rugby devenu propriĂ©taire d'un bar Ă  Valras-Plage.

    Valras-Plage dans la littérature

    • Jacques Loar : Sur les routes de France, Ă©ditions MarĂ©chal, LiĂšge, Belgique, 1943. Pages 105 Ă  187. RĂ©cit autobiographique d'un rĂ©fugiĂ© belge Ă  Valras-Plage au dĂ©but de la seconde guerre mondiale.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[7].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[28].
    8. Il s'agit peut ĂȘtre de la petite abbaye de Saint-GeniĂ©s-de-la-Mer (cf. Vicomtes et vicomtĂ©s dans l'occident mĂ©diĂ©val, pages 26 & 27).
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    Site de l'Insee

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    2. « Unité urbaine 2020 de Sérignan » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Valras-Plage » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Valras-Plage » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Valras-Plage » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Valras-Plage » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Distances vers : Abeilhan, Servian, Cers, Portiragnes, Portiragnes-Plage, Plage Sérignan, Mer Méditerranée (Plage coté port), Mer Méditerranée, Saint-Pierre-la-Mer, Fleury, Salles-d'Aude, Cuxac-d'Aude, SallÚles-d'Aude, Lespignan, Vendres, Sérignan et Villeneuve-lÚs-Béziers, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
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    3. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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    48. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Valras-Plage - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gilbert Abbal, Valras Ă  travers les siĂšcles, BĂ©ziers, Imprimerie du Sud, , 48 p.
    • Philippe MarassĂ©, « A l’origine du dĂ©veloppement de Valras-Plage : le tramway de BĂ©ziers Ă  la mer (1864-1948) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© ArchĂ©ologique, Scientifique et LittĂ©raire de BĂ©ziers,‎ 2009-2010, p. 66-80
    • Yvette Maurin, Valras-Plage : d'hier Ă  aujourd'hui, Montpellier, Yvette Maurin, , 270 p.
    • Mission Archives 34, Archives communales de Valras-Plage : rĂ©pertoire numĂ©rique dĂ©taillĂ©, Montpellier, Mission Archives 34, , 136 p.
    • Brigitte Simon, « Le littoral biterrois : Ă  l'embouchure de l'Orb, Valras-Plage, station du tourisme traditionnel », Bulletin de la SociĂ©tĂ© languedocienne de gĂ©ographie, t. 20, no 4,‎ , p. 559-571

    Articles connexes

    Liens externes

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