Élections municipales partielles françaises de 1983
Bilan
Résultats en nombre de maires
Partis | Maires sortants |
Maires élus |
Évolution | |
---|---|---|---|---|
Parti communiste français | 4 | 0 | 4 | |
Parti socialiste | 1 | 0 | 1 | |
Total gauche | 5 | 0 | 5 | |
Rassemblement pour la République | 0 | 4 | 4 | |
Union pour la démocratie française | 0 | 1 | 1 | |
Total droite | 0 | 5 | 5 |
Élections
Antony (Hauts-de-Seine)
- Maire sortant : André Aubry (PCF)
- Maire élu ou réélu : Patrick Devedjian (RPR)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 en raison de fraudes[1]
Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
- Maire sortant : Pierre Thomas (PCF)
- Maire élu ou réélu : Jean-Claude Abrioux (RPR)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 en raison de fraudes[2]
Betschdorf (Bas-Rhin)
- Contexte : inconnu
Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne)
- Contexte : inconnu
Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales)
- Contexte : défusion de Canet-en-Roussillon et Saint-Nazaire à la suite d'un vote des habitants
Carrières-sous-Poissy (Yvelines)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 par le tribunal administratif de Versailles en raison de la distribution par le candidat RPR d'un tract accusatoire contre le maire communiste sortant Michel Thouzeau
Le Cateau-Cambrésis (Nord)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 par le tribunal administratif de Lille
Chauray (Deux-Sèvres)
- Maire sortant : Jacques Brossard (UDF)
- Maire élu ou réélu : Jacques Brossard (UDF)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 par le tribunal administratif de Poitiers
Dreux (Eure-et-Loir)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 pour irrégularités dans le comptage des voix
Loperhet (Finistère)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 par le tribunal administratif de Rennes en raisons d'irrégularités lors du dépouillement
Pont-du-Casse (Lot-et-Garonne)
- Contexte : séparation de Pont-du-Casse et Bajamont, jusqu'alors associées, par arrêté préfectoral et dissolution du conseil municipal associé
Saint-Martin-Boulogne (Pas-de-Calais)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 par le tribunal administratif de Lille
Saint-Nazaire (Pyrénées-Orientales)
- Maire sortant : —
- Maire élu ou réélu : Henri Tanyères (PS)
- Contexte : défusion de Canet-en-Roussillon et Saint-Nazaire à la suite d'un vote des habitants
Sarcelles (Val-d'Oise)
- Maire sortant : Henry Canacos (PCF)
- Maire élu ou réélu : Raymond Lamontagne (RPR)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983[1]
Trappes (Yvelines)
- Maire sortant : Bernard Hugo (PCF)
- Maire élu ou réélu : Bernard Hugo (PCF)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 par le tribunal administratif de Versailles en raison d'irrégularités[3]
Valras-Plage (Hérault)
- Contexte : décès du maire sortant
Vauhallan (Essonne)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 en raison d'une fraude intervenue au second tour et invalidation du maire sortant
Villaines-la-Juhel (Mayenne)
- Contexte : décès du maire sortant
Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne)
- Maire sortant : Roger Gaudon (PCF)
- Maire élu ou réélu : Marius Faïsse (UDF-PSD)
- Contexte : annulation du scrutin des 6 et 13 mars 1983 en raison de fraudes[2]
Notes et références
- « 2-16 octobre 1983 : France. Nouveaux échecs de la gauche lors de municipales partielles », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
- « 6-13 novembre 1983 : France. Perte de deux mairies par le Parti communiste », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
- Nadine Avelange, « Le "troisième tour" des municipales commence à Trappes », Le Monde, (lire en ligne)
Voir aussi
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