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Vendres

Vendres [vɛn.Ă°ÌžÊes][1] (en occitan VĂšndres ['ÎČɛn.Ă°Ìžres]) est une commune française situĂ©e dans le sud du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.

Vendres
Vendres
Blason de Vendres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement BĂ©ziers
Intercommunalité Communauté de communes la Domitienne
Maire
Mandat
Jean-Pierre Perez
2020-2026
Code postal 34350
Code commune 34329
DĂ©mographie
Gentilé Vendrois
Population
municipale
2 728 hab. (2020 en augmentation de 1,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 72 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 16â€Č 14″ nord, 3° 13â€Č 30″ est
Altitude 25 m
Min. 0 m
Max. 64 m
Superficie 37,8 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction BĂ©ziers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de BĂ©ziers-1
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Vendres
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Vendres
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Vendres
Liens
Site web Mairie de Vendres
    plage de Vendres

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'Aude et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : quatre sites Natura 2000 (le « mare du plateau de Vendres », la « basse plaine de l'Aude », le « cours infĂ©rieur de l'Aude » et les « collines du Narbonnais »), deux espaces protĂ©gĂ©s (le « Plateau de Vendres » et la « Basse plaine de l'Aude ») et huit zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Vendres est une commune rurale et littorale qui compte 2 728 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©ziers. Ses habitants sont appelĂ©s les Vendrois ou Vendroises.

    GĂ©ographie

    Carte

    Vendres est une commune située dans l'ouest du département de l'Hérault, à l'embouchure de l'Aude. dans la plaine viticole du Biterrois, à 11 kilomÚtres au sud de Béziers. C'est une commune limitrophe avec le département de l'Aude.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    • Le territoire communal comprend trois espaces nettement diffĂ©renciĂ©s :
      • Le nord est couvert de vignes. La majoritĂ© des vignes sont exploitĂ©es par des vignerons coopĂ©rateurs. Il existe de grands domaines viticoles : La Vidalle, La Grange Basse, La Savoie Neuve, Le Puech Blanc ou encore ClapiĂšs et Sainte-Germaine. Cet espace est dominĂ© par des collines, les puechs en occitan, comme le puech Saint-Massal (33 mĂštres d'altitude) et le puech Paradis. Plusieurs de ces collines, datant du MiocĂšne (Barre du Puech Blanc, Puech des Bains, Castelnau, Puech Massal, Puech Paris...) sont recouvertes par une vĂ©gĂ©tation de garrigue typique dont l'inventaire est en cours, comme Ă  Lespignan (voir lien externe).
      • A l'est, s'Ă©tend le plateau de laz Vistoule......
      • Le village de Vendres, construit sur une Ă©minence, domine un vaste Ă©tang.
      • Au sud du village, l'Ă©tang de Vendres limitĂ© au sud par l'Aude, et plus loin le massif de la Clape. L'Ă©tang mesure environ six kilomĂštres du nord au sud, moins de quatre kilomĂštres d'ouest en est. L'altitude ne dĂ©passe pas deux mĂštres et le centre de l'Ă©tang est au mĂȘme niveau que la mer. C'est une vaste zone humide peuplĂ©e d'une faune particuliĂšre (nombreux canards sauvages) et colonisĂ©e par une flore qui rĂ©siste Ă  une certaine salinitĂ© des eaux. L'Ă©tang est une zone de chasse pour les amateurs de gibier d'eau. Au nord de l'Ă©tang, des ruines antiques appelĂ©es Temple de VĂ©nus mĂ©riteraient d'ĂȘtre mieux mises en valeur. L'Ă©tang communique avec la mer MĂ©diterranĂ©e par le Grau de Vendres.
      • La zone littorale. Le sud-est de la commune est bordĂ© par la mer MĂ©diterranĂ©e. Un large cordon dunaire, dĂ©passant parfois quatre mĂštres de haut, protĂšge les terres sablonneuses situĂ©es Ă  l'intĂ©rieur. Sur ces terres, des domaines viticoles (Le Nouveau Monde, Monplaisir, La Yole, Les Sablons
) crĂ©ent des vins intĂ©ressants (surtout les rosĂ©s et les blancs). Vers l'ouest, on trouve des campings. Sur le territoire de la commune, il n'y a pas eu d'amĂ©nagement de station balnĂ©aire. Cependant, le port du Chichoulet, situĂ© au Grau de Vendres, Ă  l'embouchure de l'Aude, a Ă©tĂ© dynamisĂ© grĂące Ă  la conchyliculture.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 14 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 570 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 5,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Verargues », sur la commune de Vendres, mise en service en 1980[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 743,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă  41 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  15,4 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  15,8 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4].

    Un site Natura 2000 est dĂ©fini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats[20] : la « basse plaine de l'Aude ». Occupant une superficie de 4 500 ha, ce site comprend un ensemble de zones humides du littoral mĂ©diterranĂ©en avec des milieux dunaires de faible Ă©tendue et des sansouires en arriĂšre plage[21]. Il s'agit d'un site majeur pour la Pie-griĂšche Ă  poitrine rose qui a des effectifs voisin de la moitiĂ© des effectifs nationaux et pour des espĂšces nicheuses dĂ©passant le seuil des 1 % de leur population nationale : Butor Ă©toilĂ©, Blongios nain, HĂ©ron pourprĂ©, Busard des roseaux, Échasse blanche, Aigrette garzette, Sterne pierregarin, Sterne naine, Lusciniole Ă  moustaches et Rollier d'Europe[22].

    Trois autres sites relĂšvent de la directive habitats[20] :

    • le « cours infĂ©rieur de l'Aude », d'une superficie de 5 358 ha, permet la reproduction d'espĂšces migratrices vulnĂ©rables (Alose feinte, Lamproie marine), en forte rĂ©gression depuis la prolifĂ©ration des ouvrages sur les cours d'eau[23] ;
    • les « collines du Narbonnais », d'une superficie de 2 149 ha, formĂ© par une succession de reliefs qui surplombent et dĂ©limitent la plaine de la basse vallĂ©e de l'Aude, oĂč une vĂ©gĂ©tation typique mĂ©diterranĂ©enne de garrigue et de pelouses sĂšches ainsi qu'un boisement de pins d'Alep se sont dĂ©veloppĂ©s[24] ;
    • le « mare du plateau de Vendres », d'une superficie de 17,56 ha, cuvette inondable sur un plateau siliceux, installĂ©e au milieu des vignes, abritant l'une des six seules populations de Marsilea strigosa en France[25].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Six ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[26] :

    • les « collines nord de Lespignan » (81 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[27] ;
    • les « collines sud de Lespignan » (116 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[28] ;
    • le « Cordon dunaire des Montilles » (161 ha)[29] ;
    • l'« Ă©tang de Vendres » (1 647 ha), couvrant 3 communes dont une dans l'Aude et deux dans l'HĂ©rault[30] ;
    • le « plateau de Vendres » (849 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[31] ;
    • les « TrouĂ©es de Castelnau » (50 ha)[32] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [26] :

    • la « Basse plaine de l'Aude et Ă©tang de Capestang » (7 120 ha), couvrant 10 communes dont quatre dans l'Aude et six dans l'HĂ©rault[33] ;
    • les « collines de NIssan et Lespignan » (2 645 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[34].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Vendres.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Vendres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [35] - [I 1] - [36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©ziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    La commune, bordĂ©e par la mer MĂ©diterranĂ©e, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[37]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[38] - [39].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (49,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (52 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (25,9 %), zones humides intĂ©rieures (25,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16,8 %), eaux continentales[Note 9] (8,7 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (4,9 %), prairies (4,7 %), zones humides cĂŽtiĂšres (2,7 %), zones urbanisĂ©es (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,5 %), terres arables (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1,4 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1,3 %), forĂȘts (0,5 %), eaux maritimes (0,1 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vendres est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[41]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[42].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Aude. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1993, 1996, 1999, 2003, 2005 et 2019[43] - [41].

    Vendres est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 10] - [44].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vendres.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 52,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 136 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 002 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 47 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[45] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[46].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[47].

    Toponymie

    La commune de Vendres tire son nom du gĂ©nitif de Venus en latin, soit Veneris, c’est-Ă -dire littĂ©ralement « de VĂ©nus », rĂ©fĂ©rence au culte Ă  cette dĂ©esse qui y Ă©tait particuliĂšrement pratiquĂ©.

    La commune a Ă©tĂ© connue sous les variantes : portum quĂŠ Narbo ad Veneris nutrit (Ausone, Épitre V), villa Veneris, 991, via de Veneris (avant 1100), castello.. in terminio de Veneris (vers 1140) , parrochia St Stephani de Venres (1210), in loco regio de Venere (1378), Vendres (1571). Lieu de culte gallo-romain qui tire son nom d'un temple dĂ©diĂ© Ă  VĂ©nuʂ[48].

    Histoire

    Extrait de la matrice du compoix de Vendres (1438).

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2014 est de vingt trois[49] - [50].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes la Domitienne et du canton de Béziers-1.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 1791 Etienne Bernard Sahuc
    1791 1791 Raymond Garrigues
    1791 1792 Jean-Jacques Dejean
    1792 1793 Jacques Blanquier
    1793 1794 Ain Augustin
    1794 1796 Jean Antoine Pastre
    1796 1797 Jean-Jacques Dejean
    1797 1798 Bernard François Marie Sahuc
    1798 1799 Raymond Garrigues
    1799 1815 Bernard François Marie Sahuc
    1815 1819 Jean Antoine Pastre
    1819 1830 Antoine Arnal
    1830 1832 Simon Gouzet
    1832 1870 Jean Bernard Fages
    1870 1871 Henri Cabarié
    1871 1876 Joseph Constantin Cabanes
    1876 1888 Jean Beaux
    1888 1892 Joseph Ithier
    1892 1893 Alphonse Labadié
    1893 1903 Jean Cabanes
    1903 1920 René Rossignol Conseiller Municipal faisant fonction de Maire. Elu Maire en 1904.
    1920 1928 Paul Seguier
    mai 1929 aoĂ»t 1941[51] AimĂ© Mathieu[52] (1886-1963) SFIO Épicier
    Conseiller d’arrondissement (1937 → 1940)
    1941 1944 Louis Callé Président de la Délégation Spéciale
    1944 1944 Honoré Julian Président de la Délégation Spéciale
    aoĂ»t 1944 octobre 1947 AimĂ© Mathieu[52] (1886-1963) SFIO Épicier
    Président du Comité local de Libération d'août 1944 à mai 1945
    1947 1959 Jean Bellet
    1959 1972 Georges Victor Antonin Palazy
    1972 mars 1977 Aimé Molinier[52]
    mars 1977 juin 1995 Georges Rosi[52]
    juin 1995 mars 2001 Guy Diaz PCF Maire honoraire
    mars 2001 août 2006 Maurice Arnal PS
    août 2006 En cours Jean-Pierre Pérez PCF Cadre
    7e vice-président de la CC La Domitienne[53]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[55].

    En 2020, la commune comptait 2 728 habitants[Note 11], en augmentation de 1,72 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    725579747617668628606520551
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5795635886056337598041 0221 012
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1101 0181 0281 0381 0541 1101 037768821
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9538797818851 2301 5491 9842 1102 701
    2018 2020 - - - - - - -
    2 7122 728-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee Ă  partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[58] 1975[58] 1982[58] 1990[58] 1999[58] 2006[59] 2009[60] 2013[61]
    Rang de la commune dans le département 94 119 125 108 100 97 93 82
    Nombre de communes du département 343 340 343 343 343 343 343 343

    Enseignement

    Vendres fait partie de l'académie de Montpellier.

    Culture et festivité

    Fin 1967, plusieurs scĂšnes du film Le Petit Baigneur de Robert DhĂ©ry (avec comme vedette Louis de FunĂšs) sont tournĂ©es en face des Cabanes de Fleury (commune de Fleury dans l'Aude) dans la maison de la famille Rossignol situĂ©e au lieu-dit Chichoulet (commune de Vendres dans l'HĂ©rault), avec de nombreux figurants de la rĂ©gion comme Roger Vidal et Louis ViĂ©, vĂ©ritable pĂȘcheurs interprĂ©tant deux pĂȘcheurs Ă  la ligne dans une barque au bord de l'Aude ; dans la scĂšne du kayak dans l'Aude, Louis de FunĂšs est supplĂ©Ă© par un Valrassien[62] - [63].

    Sports

    Club de rugby à XV, l'Entente Vendres-Lespignan Hérault, finaliste en 2007 du championnat de France de rugby à XV de 2e division fédérale.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 191 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 2 766 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 320 â‚Ź[I 4] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]). 45 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 13] (45,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]8,2 %10,7 %11,7 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 573 personnes, parmi lesquelles on compte 74,7 % d'actifs (63 % ayant un emploi et 11,7 % de chĂŽmeurs) et 25,3 % d'inactifs[Note 14] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de BĂ©ziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 1 348 emplois en 2018, contre 1 073 en 2013 et 648 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 019, soit un indicateur de concentration d'emploi de 132,3 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 54,9 %[I 10].

    Sur ces 1 019 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 337 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,7 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 7,8 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    446 établissements[Note 15] sont implantés à Vendres au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble446100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    6113,7 %(6,7 %)
    Construction7416,6 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    17639,5 %(28 %)
    Information et communication81,8 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance92 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres163,6 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    5512,3 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    153,4 %(14,2 %)
    Autres activités de services327,2 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 39,5 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (176 sur les 446 entreprises implantĂ©es Ă  Vendres), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[64] :

    • Avidoc, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits surgelĂ©s (20 362 k€)
    • EURL Distribution Du Midi, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits Ă  base de viande (11 709 k€)
    • Belectric France, ingĂ©nierie, Ă©tudes techniques (11 255 k€)
    • Boul'pat Littoral, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits surgelĂ©s (9 194 k€)
    • Audie Boissons Distributions, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (5 450 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre du département de l'Hérault[65]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations114724752
    SAU[Note 18] (ha)1 2701 7242 7123 239

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 114 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] Ă  72 en 2000 puis Ă  47 en 2010[67] et enfin Ă  52 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[68] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune est restĂ©e relativement stable, passant de 1270 ha en 1988 Ă  3239 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 11 Ă  62 ha[67].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église de l'Invention-de-Saint-Étienne de Vendres (XIVe siĂšcle)
    • Le vieux village.
    • Le Temple de VĂ©nus, en rĂ©alitĂ© les vestiges du complexe thermal d'une grande villa maritime romaine, situĂ© au nord de l'Ă©tang[69].
    • Les ruines d'une villa romaine (entre La Vidalle et la Savoie Neuve).
    • Le moulin de Cassan.
    • L'Ă©tang de Vendres.
    • La source chaude sulfureuse du Puech Blanc.
    • La fontaine gazeuse du Puech Blanc.
    • Le port conchylicole du Chichoulet, au Grau de Vendres.

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Vendres se blasonnent ainsi :

    De gueules, au sautoir losangé d'argent et de sable.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[19].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[66].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vendres » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vendres » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vendres » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Vendres » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. La prononciation actuelle est restée proche de la prononciation occitane.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Monique Bourin et Vincent Challet, « Temps, lieux et supplices : les mĂ©moires paysannes Ă  l'Ă©preuve de l'enquĂȘte (Vendres, fin du XIIIe siĂšcle) », Annales du Midi, t. 125, no 282,‎ , p. 239-262
    • Simone Garraud, Histoires d'eaux Montady, Capestang, Vendres : Ă©tangs et canaux, coll. « MĂ©moire d'Oc » (no 73), , 75 p.
    • Histoire et histoires : Vendres en Languedoc, S.l., s.n., , 44 p.
    • Mission Archives 34, RĂ©pertoire numĂ©rique dĂ©taillĂ© des archives communales de Vendres, Montpellier, Mission Archives 34, , 117 p.
    • P. Salmon, Vendres, village du biterrois au XVe siĂšcle d'aprĂšs un terrier de 1446, S.l., s.n., , 81 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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