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Saint-Laurent-de-la-Prée

Saint-Laurent-de-la-Prée est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Laurent-de-la-Prée
Saint-Laurent-de-la-Prée
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté d'agglomération Rochefort Océan
Maire
Mandat
Olivier Coche-Dequeant
2020-2026
Code postal 17450
Code commune 17353
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
2 264 hab. (2020 en augmentation de 11,8 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 82 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 58′ 55″ nord, 1° 02′ 24″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 23 m
Superficie 27,51 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction La Rochelle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtelaillon-Plage
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Laurent-de-la-Prée
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Saint-Laurent-de-la-Prée
Liens
Site web www.saintlaurentdelapree.fr

    Ses habitants sont appelés les Saint-Laurentais et les Saint-Laurentaises[1].

    GĂ©ographie

    La commune de Saint-Laurent-de-la-Prée est située dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique »[2].

    C'est aussi une commune fluviale et estuarienne, elle est entièrement située sur la rive droite de l'estuaire de la Charente qui rejoint les eaux de l'océan Atlantique en une vaste embouchure face aux stations balnéaires de Fouras - rive droite - et de Port-des-Barques - rive gauche.

    En bordure du fleuve, de grands espaces marécageux et inondables, sillonnés de petits canaux, qui font partie du marais de Rochefort, sont voués aux prairies pour l'élevage bovin et ovin, et sont à l'origine en partie du nom de la commune avec le toponyme local de "prée".

    • Le canal de Charras Ă  gauche Ă  sa confluence avec la Charente.
      Le canal de Charras Ă  gauche Ă  sa confluence avec la Charente.
    • Canal assĂ©chĂ© durant l'Ă©tĂ© 2022, zone marĂ©cageuse du lieu-dit "Quarante Journaux"
      Canal asséché durant l'été 2022, zone marécageuse du lieu-dit "Quarante Journaux"
    • Terres agricoles des Quarante Journaux
      Terres agricoles des Quarante Journaux

    La commune est Ă©galement traversĂ©e du nord au sud par le canal de Charras qui se jette dans la Charente en aval des communes de Vergeroux et de Rochefort. Cet important collecteur des marais a Ă©tĂ© construit Ă  partir de 1710, puis de 1782 Ă  1789 et achevĂ© en 1812. D'importants travaux de gĂ©nie rural et d'hydraulique agricole ont eu lieu en 1978 avec l'assĂ©chement de 33 000 hectares de marais. Aujourd'hui, outre son rĂ´le d'Ă©coulement des eaux, ce canal est Ă©galement un lieu de promenade et de dĂ©tente.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Laurent-de-la-Prée[3]
    Yves
    Fouras Saint-Laurent-de-la-Prée Breuil-Magné
    Port-des-Barques Saint-Nazaire-sur-Charente Vergeroux

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Laurent-de-la-PrĂ©e est une commune rurale[Note 2] - [4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Laurent-de-la-PrĂ©e, une unitĂ© urbaine monocommunale[7] de 2 114 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Rochelle, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[10] - [11].

    La commune, bordĂ©e par l'estuaire de la Charente, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,6 %), terres arables (29,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), eaux maritimes (5,3 %), zones humides intérieures (5 %), zones urbanisées (4,6 %), forêts (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %), zones humides côtières (1,2 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Laurent-de-la-Prée est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulĂ© en 2020[18]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempĂŞte Xynthia a fortement endommagĂ© le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dĂ» ĂŞtre relogĂ©es, et, sur un linĂ©aire de l’ordre de 400 km de cĂ´te et de 225 km de dĂ©fenses contre la mer, environ la moitiĂ© de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 Ă  6 000 bâtiments qui ont Ă©tĂ© submergĂ©s et 40 000 ha de terres agricoles[19]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[20] - [16].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Laurent-de-la-Prée.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 93,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 097 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 082 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 99 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient de saint Laurent, à qui la paroisse avait été dédiée, ainsi que des prairies littorales identifiées sous le terme de prée.

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1953 Émilien Hillaireau (1902-1979) Cultivateur
    1953 mars 1971 Georges Martinaud MĂ©decin
    mars 1971 mars 1977 Marcel Berton Retraité
    mars 1977 mars 1983 Fernand Joulin Retraité de l'armée
    mars 1983 mars 1989 Raymond Ménard (1926-2016) Retraité de l'armée
    mars 1989 mars 2001 Joseph Garreau[26] (1938-2015) Assistant ingénieur INRA
    mars 2001 juillet 2020 Raymond Minier (1951- ) DVD puis UDI Officier de réserve de la Marine nationale
    juillet 2020 En cours Olivier Coche-Dequéant (1963- ) Ferronnier d'art, ancien adjoint

    RĂ©gion

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2020, la commune comptait 2 264 habitants[Note 4], en augmentation de 11,8 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    690551590813863849918904883
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    936812821825864910950891831
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    835814820757800740746712841
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    8368578481 0751 2561 3471 6211 6461 858
    2015 2020 - - - - - - -
    2 0712 264-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le quartier du centre-ville.
      Le quartier du centre-ville.
    • L'Ă©cole communale.
      L'Ă©cole communale.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • Halte ferroviaire.
      Halte ferroviaire.
    • Sur la ligne Nantes-État - Saintes, l'ancien bâtiment en pierres de taille de la gare d'autrefois, a Ă©tĂ© rĂ©habilitĂ© et transformĂ© en logements.
    • Une halte ferroviaire a Ă©tĂ© construite et inaugurĂ©e le 26/8/2007 Ă  proximitĂ© de cette ancienne gare, de part et d'autre du passage Ă  niveau, pour la desserte cadencĂ©e TER Rochefort-La Rochelle.
    • L'intersection du 46e parallèle nord et du 1er mĂ©ridien Ă  l'ouest de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project).

    Les Pierres-Closes-de-Charras

    Le dolmen le mieux conservé.

    Les Pierres-Closes-de-Charras sont deux dolmens situĂ©s Ă  proximitĂ© du canal Ă©ponyme au lieu-dit l'HoumĂ©e. Il s'agit de sĂ©pultures remontant Ă  l'Ă©poque nĂ©olithique (environ 5 000 ans) qui se trouvent dans un champ actuellement cultivĂ©. Le monument le mieux conservĂ©, situĂ© en bordure du champ est encore complet. Il est constituĂ© d'un bloc de calcaire creusĂ© en forme d'auge et recouvert d'une table. Du second dolmen, au milieu du champ, distant d'une centaine de mètres du premier, il ne reste que d'importants fragments. Il Ă©tait aussi en forme d'auge, mais sa table a Ă©tĂ© dĂ©truite en 1930 après avoir Ă©tĂ© transportĂ©e dans la ferme voisine de l'HoumĂ©e[31] - [32].

    Ces dolmens ont été classés aux monuments historiques en 1889 sous la référence Notice no PA00105196, base Mérimée, ministère français de la Culture, sous le nom Deux Dolmens dit les Pierres Closes de Charras.

    Ancienne laiterie coopérative

    Bâtiments de l'Ancienne laiterie coopérative.

    La SociĂ©tĂ© CoopĂ©rative de Saint-Laurent-de-la-PrĂ©e crĂ©e une laiterie industrielle en 1898 pour la fabrication de beurre. Vers 1909, un solide bâtiment est construit au bord de l'ancienne route RN 137 menant de Rochefort Ă  la Rochelle. Dès le dĂ©but, une porcherie et une casĂ©inerie sont associĂ©es Ă  cette nouvelle laiterie coopĂ©rative. Pour le fonctionnement Ă  l'Ă©nergie thermique de l'usine, une cheminĂ©e en brique d'environ 15 mètres de hauteur, toujours prĂ©sente aujourd'hui, est construite par une entreprise de Nantes.

    Le site Ă©tait desservi par un embranchement ferroviaire Ă  partir de la voie ferrĂ©e traversant le village. Au dĂ©but des annĂ©es 1950, on y traitait 1 500 000 litres de lait par an pour la fabrication exclusive de beurre et de casĂ©ine. Avec une douzaine d'employĂ©s vers 1920, cette coopĂ©rative Ă©tait une des plus petites des arrondissements de La Rochelle et Rochefort[33]. La laiterie cessa de fonctionner dans les annĂ©es 1960. Le bâtiment est inscrit Ă  l'inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Certains y voient une appartenance géographique au Midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi Saint-Laurent-de-la-Prée comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Sud-Ouest français et parfois le Grand Ouest français.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Saint-Laurent-de-la-Prée », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    13. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Laurent-de-la-Prée », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    18. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Laurent-de-la-Prée », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. [PDF] « Liste des maires de la commune de Saint-Laurent-de-la-Prée », sur saintlaurentdelapree.fr, , p. 16.
    26. Michel Dupas, « Disparition de l’ancien maire Joseph Garreau », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Gabriel de Mortillet, Les monuments mégalithiques classés de la Charente et de Charente-Inférieure, vol. 7, Bulletins de la société d'anthropologie de Paris, , 1re éd. (lire en ligne), p. 126-127.
    32. plaquette d'information à l'entrée du site
    33. Encyclopédie laitière française. Angoulême : Ed. R. Cheminade, 1954. P. 148
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