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Yves (Charente-Maritime)

Yves est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine), en bordure de l’océan Atlantique.

Yves
Yves (Charente-Maritime)
L'église Saint-Étienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement La Rochelle
Intercommunalité Communauté d'agglomération de La Rochelle
Maire
Mandat
Didier Roblin
2020-2026
Code postal 17340
Code commune 17483
DĂ©mographie
Gentilé Yvéen(ne)s
Population
municipale
1 497 hab. (2020 en augmentation de 1,7 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 58 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 01′ 05″ nord, 1° 02′ 52″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 18 m
Superficie 25,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction La Rochelle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtelaillon-Plage
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Yves
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Yves
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Yves

    GĂ©ographie

    Cette commune située dans le centre-ouest de la Charente-Maritime a toujours fait partie de l'ancienne province de l'Aunis.

    Sur un plan plus général, la commune d'Yves est située dans le Sud-Ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique »[1].

    La commune d'Yves est en majorité couverte de prés et de marais. L'altitude dépasse rarement les 5 mètres, sauf aux alentours du village de Voutron (sis sur le plateau des Cent Journaux) et près des falaises de la Pointe du Rocher.

    Une grande voie de communication routière traverse Yves du nord au sud : il s'agit de la voie express D 137 reliant La Rochelle à Rochefort.

    • La pointe du Rocher.
      La pointe du Rocher.
    • La ex-RN 137 près des Trois-Canons.
      La ex-RN 137 près des Trois-Canons.

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat s'organise principalement en quatre agglomérations distinctes :

    • le bourg, oĂą est implantĂ©e l'Ă©glise ;
    • Le Marouillet, oĂą sont implantĂ©es la mairie et l'Ă©cole ;
    • Voutron, ancienne commune autonome rattachĂ©e Ă  celle d'Yves en 1823 ;
    • Les BouchĂ´leurs, village Ă  vocation mytilicole et ostrĂ©icole partagĂ© avec la commune de Châtelaillon-Plage.

    La commune comprend Ă©galement quelques hameaux ou lieux-dits tels La Cabane des Sables ou Les Trois Canons.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Yves est une commune rurale[Note 2] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Rochelle, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[6] - [7].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[8]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,7 %), terres arables (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), zones urbanisées (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones humides intérieures (2,8 %), zones humides côtières (2,3 %), eaux maritimes (1,4 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Yves est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de La Rochelle-ĂŽle de RĂ©, regroupant 21 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation[14]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . Cette tempĂŞte a eu pour consĂ©quence l’instauration de zones de solidaritĂ©, oĂą les parcelles considĂ©rĂ©es comme trop dangereuses pour y maintenir des maisons pouvaient Ă  terme ĂŞtre expropriĂ©es (Loix, La Flotte, Nieul-sur-Mer, La Rochelle,…). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂŞme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout système de protection)[15] - [16]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[17] - [12].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Yves.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 89,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 773 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 271 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 35 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[12].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

    Histoire

    • L'Ă©glise Saint-Etienne dĂ©pendait de l'abbaye de Saint-Jean d'AngĂ©ly.

    Elle fut reconstruite en 1828 sur les plans de l'architecte Félix garde. L'église Saint-Eutrope de Voutron disparue au début du XIXe[22]. Cette ancienne commune de Voutron fut réunie à La commune d'Yves en 1823.

    • La commune a beaucoup souffert lors des combats pour la libĂ©ration de la poche de La Rochelle, de Ă  ; le , quatre membres, 3 brancardiers et un mĂ©decin (Messieurs BOUVARD, GALTIER, CHARRIAUD et HEBRARD) du 6e RĂ©giment d'Infanterie furent tuĂ©s lors de bombardements par les forces militaires d'occupation allemandes près de Voutron.
    • La tempĂŞte Xynthia () a Ă©tĂ© particulièrement dĂ©vastatrice dans la commune, notamment au village des BouchĂ´leurs, oĂą l'État français a distinguĂ© des zones « dangereuses pour la vie humaine », au sein desquelles toute habitation devrait ĂŞtre dĂ©truite. Ne l'entendant pas de cette oreille, les habitants se sont constituĂ©s en association de sauvegarde du village des BouchĂ´leurs (cf. liens externes).

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie (située au Marouillet).
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 ? René Fillodeau DVG
    2000 En cours Didier Roblin DVD[23] Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Tendances politiques et résultats

    Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[24] :

    Candidat Premier tour Second tour
    Voix % Voix %
    Nicolas Sarkozy (UMP)22727,25 40151,41
    François Hollande (PS)22326,77 37948,59
    Marine Le Pen (FN)19423,29
    Jean-Luc MĂ©lenchon (FG)667,92
    François Bayrou (MoDem)657,80
    Nicolas Dupont-Aignan (DLR)192,28
    Philippe Poutou (NPA)182,16
    Eva Joly (EÉLV)141,68
    Nathalie Arthaud (LO)40,48
    Jacques Cheminade (SP)30,36
    Inscrits 998 100,00 999 100,00
    Abstentions 146 14,63 164 16,42
    Votants 852 85,37 835 83,58
    Blancs et nuls 19 2,23 55 6,59
    Exprimés 833 97,77 780 93,41

    RĂ©gion

    À la suite de la mise en application de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2020, la commune comptait 1 497 habitants[Note 4], en augmentation de 1,7 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    13112211089294259282258262
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    285269267266292289312335336
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    330303317342403424417357440
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5145045318078931 0571 3271 3591 438
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4801 497-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Château du Passage (dĂ©but du XVIIe siècle), situĂ© au Marouillet ;
    • RĂ©serve naturelle du Marais d'Yves, une halte est amĂ©nagĂ©e en bordure de la route pour stationner et permet d'accĂ©der Ă  des installations dans lesquelles de nombreux oiseaux peuvent ĂŞtre observĂ©s grâce Ă  des affĂ»ts ;
    • Stèle en hommage aux quatre hommes tuĂ©s sur la colline des Cent Journaux ;
    • Quelques vestiges du Mur de l'Atlantique, Ă  savoir de petits blockhaus en ruines.
    • Maison d'accueil de la rĂ©serve du Marais d'Yves.
      Maison d'accueil de la réserve du Marais d'Yves.
    • Un paysage de la rĂ©serve du Marais d'Yves.
      Un paysage de la réserve du Marais d'Yves.
    • La stèle des Cent Journaux.
      La stèle des Cent Journaux.
    • Un des blockhaus en ruines.
      Un des blockhaus en ruines.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Certains y voient une appartenance géographique au Midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi la commune d'Yves comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Sud-Ouest français et parfois le Grand Ouest français.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21.
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    9. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. « Les risques près de chez moi - commune d'Yves », sur Géorisques (consulté le )
    13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    14. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Loire-Bretagne, actualisée par arrêté du préfet coordonnateur en date du 22 octobre 2018. », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    15. « cartographie des risques d'inondations du TRI de La Rochelle-Île de Ré », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    16. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Yves », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    22. Modèle:Roger-Louis Sohas : Front de la Rochelle, Yves et son histoire.
    23. http://politique-ville.com/resultat.php?codeinsee=17483
    24. Ministère de l'Intérieur - Charente-Maritime (Poitou-Charentes), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Yves » (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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