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Saint-Nazaire-sur-Charente

Saint-Nazaire-sur-Charente est une commune du sud-ouest de la France, située sur la rive sud de l'estuaire de la Charente, dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Saint-Nazairiens et les Saint-Nazairiennes[1].

Saint-Nazaire-sur-Charente
Saint-Nazaire-sur-Charente
Le fort Lupin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté d'agglomération Rochefort Océan
Maire
Mandat
Sylvain Gaurier
2020-2026
Code postal 17780
Code commune 17375
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Nazairiens
Population
municipale
1 205 hab. (2020 en augmentation de 1,77 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 59 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 56′ 12″ nord, 1° 03′ 06″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 21 m
Superficie 20,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rochefort
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Tonnay-Charente
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Nazaire-sur-Charente
Liens
Site web http://www.saintnazairesurcharente.fr

    GĂ©ographie

    La commune de Saint-Nazaire-sur-Charente est située dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est distante de quelques kilomètres à vol d'oiseau, faisant partie du « Midi atlantique »[2].

    Commune fluviale et estuarienne, elle est longée uniquement sur sa rive gauche par la Charente.

    Elle appartient à la couronne périurbaine de l'aire urbaine de Rochefort et s'étend entièrement sur la rive sud de l'estuaire de la Charente en aval de Rochefort.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Nazaire-sur-Charente est une commune rurale[Note 2] - [4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rochefort, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[7] - [8].

    La commune, bordĂ©e par l'estuaire de la Charente, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[9]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,2 %), prairies (16,4 %), zones agricoles hétérogènes (15 %), eaux maritimes (6 %), eaux continentales[Note 4] (3 %), zones urbanisées (2,5 %), zones humides côtières (1,9 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Nazaire-sur-Charente est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulĂ© en 2020[15]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempĂŞte Xynthia a fortement endommagĂ© le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dĂ» ĂŞtre relogĂ©es, et, sur un linĂ©aire de l’ordre de 400 km de cĂ´te et de 225 km de dĂ©fenses contre la mer, environ la moitiĂ© de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 Ă  6 000 bâtiments qui ont Ă©tĂ© submergĂ©s et 40 000 ha de terres agricoles[16]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[17] - [13].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Nazaire-sur-Charente.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 85,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 629 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 547 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 87 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

    Toponymie

    La commune de Saint-Nazaire-sur-Charente aurait tiré son nom du martyr chrétien Nazarius, pieux anachorète converti au christianisme et mort, décapité, en 68 de notre ère, qui au Ier siècle de notre ère, voyagea beaucoup dans les gaules et dont le culte est célébré en France et en Italie. Si l’on en croit la tradition populaire, la légende voudrait qu’il ait vécu dans le village, dans une grotte au lieu-dit l’Ermitage”.

    Histoire

    Les prospections archĂ©ologiques concernant les pĂ©riodes nĂ©olithiques et gallo-romaines ont rĂ©vĂ©lĂ© une occupation humaine très ancienne. Avant la rĂ©volution Saint-Nazaire faisait partie de la seigneurie de Soubise dont les plus importants seigneurs ont Ă©tĂ© les Parthenay-LarchevĂŞque au Moyen Ă‚ge puis les Rohan-Soubise Ă  partir de 1575. La paroisse de Saint-Nazaire occupait dans sa totalitĂ© la pointe au sud de l’estuaire de la Charente, ĂŽle Madame comprise. SituĂ© face Ă  la presqu’île de Fouras et ouvrant sur le golfe de Saintonge, vers la vallĂ©e de la Seudre, le territoire constituait un site stratĂ©gique. Ă€ l’époque moderne, lorsque furent lancĂ©es par Colbert les Constructions de L’arsenal de Rochefort et la mise en place du système de fortifications cĂ´tières, le territoire de Saint-Nazaire fut Ă©quipĂ© pour contribuer Ă  la dĂ©fense et l’équipement du grand port militaire. Saint-Nazaire a toujours Ă©tĂ© la paroisse la plus Ă©tendue et la plus peuplĂ©e de la seigneurie de Soubise ; les protestants y Ă©taient nombreux, comme sur les communes environnantes. La commune s'appelait Saint-Nazaire-en-Saintonge jusqu'Ă  la RĂ©volution française puis, par souci d'effacer toute rĂ©fĂ©rence religieuse, elle prit le nom de « Marat Â». Redevenue ensuite Saint-Nazaire, elle prend son nom actuel de Saint-Nazaire-sur-Charente le . Par ordonnance du , changement des limites entre Soubise et Saint-Nazaire-sur-Charente.

    • : La commune se sĂ©pare de sa partie ouest. Cette sĂ©paration crĂ©e la commune de Port-des-Barques.

    Administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 ? Jean-Claude Martin
    2001 2014 Christiane Le Roux
    2014 2020 Valérie Barthélemy DVD Fonctionnaire
    2020 En cours Sylvain Gaurier Sans Etiquette Opérateur-Régleur dans l'aéronautique

    RĂ©gion

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2020, la commune comptait 1 205 habitants[Note 5], en augmentation de 1,77 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5631 4771 5461 5951 5811 5341 5841 4921 466
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4061 4761 3541 3061 2961 2661 4751 3251 371
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3461 4401 5391 4261 3051 3611 5071 635706
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7977706648558348501 0231 1681 181
    2020 - - - - - - - -
    1 205--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La fontaine Royale alias fontaine de Lupin.
    • La fontaine Royale, dite fontaine de Lupin : La Fontaine de Lupin est implantĂ©e dans le lit de la Charente, construite en 1676 et reconstruite en 1763, en aval de fort Lupin. Historiquement, c’est la première source captĂ©e puisque son origine remonte Ă  la fondation de l’arsenal de Rochefort pour permettre aux navires de se ravitailler en eau potable. Son architecture renforce l’intĂ©rĂŞt avec son style du milieu du XVIIIe siècle. Elle Ă©tait encore activĂ©e au dĂ©but du XXe siècle. La Fontaine est un chaĂ®non important car il s’agit de l’une des trois seules “aiguades” - lieu oĂą les navires s’approvisionnent en eau douce - conservĂ©e de nos jours (les deux autres sont Ă  Brest et Ă  Belle-ĂŽle). Aujourd’hui, le site revit grâce aux pontons installĂ©s depuis 1985. Ce petit port de plaisance peut accueillir jusqu’à 90 bateaux et permet aux plaisanciers de s’amarrer du 1er avril au .
    • Saint-Nazaire possède aussi trois autres fontaines : la fontaine de Fontpourri ou Fontpoury, la fontaine d'Orange, de l'autre cĂ´tĂ© du vallon - 100 m environ - Ces deux fontaines forment un ruisseau oĂą le cresson se dĂ©veloppe de mĂŞme que les arums. La troisième dite des Morts, qui vient d'ĂŞtre restaurĂ©e avec goĂ»t, jouxte le cimetière, près de l'Ă©glise. Ces trois sources sont recouvertes d’un Ă©dicule en pierre de taille servant de rĂ©serve pour alimenter la fontaine Lupin. Des lambeaux de conduite demeurent. La fontaine d'Orange, ensevelie sous le lierre, mĂ©riterait d'ĂŞtre mise en valeur.
    • Le fort Lupin : construit en 1683 pour dĂ©fendre l’arsenal de Rochefort, sur le plan type de la dĂ©fense cĂ´tière de Vauban, il est aujourd’hui classĂ© ” Monument Historique”. SituĂ© sur la rive gauche de l’estuaire de la Charente, en aval de Rochefort, le fort lupin se rattache par ses origines Ă  l’intĂ©rĂŞt direct que prit Vauban Ă  sa construction. Celle-ci fut confiĂ©e Ă  l’entrepreneur Delisle et dura environ 3 ans de 1683 Ă  1686. Ce fort de la Charente, devait ĂŞtre l’un des Ă©lĂ©ments de dĂ©fense de Rochefort avec deux postes avancĂ©s, le corps de garde de l’Île Madame et celui de Piedemont : il assurait aussi la protection de la fontaine de Saint-Nazaire.
    Ponton de pĂŞche au carrelet Ă  Saint-Nazaire-sur-Charente.
    • Les pontons de pĂŞche au carrelet, installations traditionnelles de la pĂŞche charentaise, bordent les rives de la Charente de son embouchure jusqu'Ă  proximitĂ© du viaduc de Martrou Ă  Rochefort. Ces cabanes en bois posĂ©es sur une plateforme au bout d’une passerelle au-dessus de l’eau permettent aux pĂŞcheurs, certes de ne prĂ©lever qu’une petite quantitĂ© de poissons, mais de refaire les manĹ“uvres de toujours en relevant le filet Ă  l’aide d'un treuil. Il existe de nombreuses associations de dĂ©fense de ce patrimoine maritime.
    L'Ă©glise Saint-Nazaire.
    • l’église Saint-Nazaire : dĂ©truite plusieurs fois Ă  l’issue des guerres de Cent ans et des guerres de religion, l’église a Ă©tĂ© reconstruite en partie, Ă  diffĂ©rentes reprises. Ă€ la fin du Moyen Ă‚ge une sacristie a Ă©tĂ© adjointe Ă  l’édifice, fait rare pour les Ă©glises rurales de cette Ă©poque. L’église date pour partie du XVIIe siècle. L’intĂ©rieur est particulièrement sobre. ConservĂ© Ă  sa place d’origine, le cimetière jouxte toujours l’église.
    • L’autel : chacune des nefs de l’église renferme un autel. Le maĂ®tre-autel du XVIIe siècle situĂ© au sud dans le chĹ“ur de l’église est ornĂ© d’un tableau de la Vierge Ă  l’Enfant datĂ© de 1860 signĂ© Hansmann. L’œuvre, qui figure une Vierge Ă  l’Enfant, est un don de l’empereur NapolĂ©on III. L’ensemble est encadrĂ© de deux statues, celle de saint Eutrope et sainte Estelle, qui reposent sur des corniches. Une des curiositĂ©s, c’est son ex-voto, le ZĂ©lĂ©, une maquette de bateau de haut rang de 74 canons.
    Monument Ă  la Vierge Marie rue de Lupin.
    • Une statue de la Vierge Marie, situĂ©e sur la route reliant Fort Lupin au bourg, au bord d'un petit carrefour giratoire.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Certains y voient une appartenance géographique au Midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi Saint-Nazaire-sur-Charente comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Sud-Ouest français et parfois le Grand Ouest français.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p.21
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    10. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Nazaire-sur-Charente », sur Géorisques (consulté le )
    14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    15. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    16. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Nazaire-sur-Charente », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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