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Moëze

Moëze est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Moëze
Moëze
Église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté d'agglomération Rochefort Océan
Maire
Mandat
Didier Portron
2020-2026
Code postal 17780
Code commune 17237
DĂ©mographie
Gentilé Moëziens
Population
municipale
596 hab. (2020 en augmentation de 7,97 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 28 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 54′ 20″ nord, 1° 02′ 05″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 15 m
Superficie 21,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rochefort
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Marennes
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Moëze
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Moëze

    Ses habitants sont appelés les Moëziens et les Moëziennes[1].

    GĂ©ographie

    Situation géographique

    La vaste commune de Moëze est à la fois une commune littorale et une commune de marais située sur la côte occidentale de la Charente-Maritime dans l'ancienne province de la Saintonge.

    Sur un plan plus général, la commune de Moëze est située dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « midi atlantique »[2].

    Localisation

    La commune est situĂ©e Ă  km au nord-ouest de Saint-Agnant, 13 km du centre de Rochefort en passant par le Viaduc de Martrou sur la Charente et Ă  43 km au sud-est de La Rochelle.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Moëze est traversée par le Chenal de Brouage[4] allant de Sainte-Gemme au Golfe de Gascogne.
    Le Canal de jazenne se situe entièrement sur la commune et rejoint le Chenal de Brouage.
    Le Canal de l'arceau part de la commune jusqu'au Golfe de Gascogne Ă  Port-des-Barques.

    Le marais de Moëze

    Le marais de Moëze est une des reliques du complexe ancien des marais charentais. Son bilan hydrique (rapport entre entrées d'eau et sorties (dont évaporation, évapotranspiration, drainage et irrigation) a été affecté à la fois par un drainage ancien, des prélèvements pour irrigation, et les effets de plusieurs sécheresses[5] (1976, 1985, 1986, 1989, 1990, 2003).

    Le marais constitue une unitĂ© hydraulique couvrant environ 2 250 ha. C'est un ancien marais salant (utilisĂ© pour la saliculture du XIe siècle au moins jusqu'au XVIIIe siècle et maintenu en totalitĂ© en eau douce depuis 1930). GĂ©omorphologiquement parlant, il rĂ©sulte du comblement d'anciens golfes lors des transgressions flandriennes qui expliquent son fond de plusieurs dizaines de mètres d'Ă©paisseur d'argiles fluvio-marines[6]. Sa limite nord est l'ancienne cĂ´te calcaire. Au sud, il est limitĂ© par le havre de Brouage. Ă€ l'ouest il s'Ă©tend presque jusqu'au trait de cĂ´te. De nombreux bassins (plus ou moins envasĂ©s et reconquis par la vĂ©gĂ©tation s'y devinent encore, souvent recouverts notamment de typha latifolia et de lentilles d'eau Lemna sp. et Ceratophyllum)[5]. Ces bassins sont reliĂ©s par des canaux et fossĂ©s (140 mètres de fossĂ© en moyenne par hectare)[5]. Le marais est excĂ©dentaire en eau d'octobre Ă  avril (+ 315 mm) mais dĂ©ficitaire de mai Ă  sept (-338 mm). Les gestionnaires le vident donc en hiver et le rĂ©alimentent en eau douce en Ă©tĂ© (en pompant dans le canal de Brouage et la rivière Arnoult)[5]. Les remembrements ont encouragĂ© le recul de l'Ă©levage au profit des cĂ©rĂ©ales. La cĂ©rĂ©aliculture a Ă©tĂ© multipliĂ©e par 10 (en surface) en 9 ans (de 1980 Ă  1989), passant de 10 Ă  700, avec dans le mĂŞme temps, uns forte augmentation de la maĂŻsiculture irriguĂ©e en pĂ©riphĂ©rie (passĂ©e de 37 ha Ă  298 ha de 1980 Ă  1989)[5].

    Un moyen de retenir l'eau dans le marais en Ă©tĂ© serait de rĂ©duire par faucardage les surfaces en roseau (lesquels Ă©vapotranspirent plus d'eau que l'eau libre n'en Ă©vaporeraient). Un calcul laisse penser que les roseaux en couvrant 28,6 % des canaux contribuent Ă  51,1 % de son Ă©vapotranspiration[5]. La totalitĂ© des roseaux Ă©vapotranspirent 39 % de l'eau du marais. En conservant la surface en eau mais en rĂ©duisant les hĂ©lophytes de 34 %, 200 000 m3 d'eau ne seraient plus Ă©vapotranspirĂ©s[5]. Il est nĂ©anmoins nĂ©cessaire de conserver des roselières et des Ă©tangs pour leur importance plus que paneuropĂ©enne pour les oiseaux migrateurs.

    Urbanisme

    Typologie

    Moëze est une commune rurale[Note 2] - [7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rochefort, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[10] - [11].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,1 %), prairies (38,7 %), zones humides côtières (9,3 %), zones urbanisées (1,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Moëze est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulĂ© en 2020[18]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempĂŞte Xynthia a fortement endommagĂ© le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dĂ» ĂŞtre relogĂ©es, et, sur un linĂ©aire de l’ordre de 400 km de cĂ´te et de 225 km de dĂ©fenses contre la mer, environ la moitiĂ© de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 Ă  6 000 bâtiments qui ont Ă©tĂ© submergĂ©s et 40 000 ha de terres agricoles[19]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[20] - [16].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Moëze.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 275 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 275 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Du gaulois moëz, ou mouez se traduisant un lieu humide[25].

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2008 GĂ©rard Maitre
    2008 2014 Norbert Ragot SE
    2014 En cours Didier Portron Artisan
    13e vice-président de la CA Rochefort Océan (2020 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    RĂ©gion

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2020, la commune comptait 596 habitants[Note 4], en augmentation de 7,97 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    557424639528581576503513540
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    565504504468462421437376383
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    378395430291304298279283304
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    309280310383467463518518551
    2014 2019 2020 - - - - - -
    552585596------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Élie Neau, nĂ©gociant huguenot, nĂ© Ă  MoĂ«ze vers 1662 et mort Ă  New York.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Certains y voient une appartenance géographique au midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi Moëze comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. Le Chenal de Brouage sur le site du SANDRE
    5. F Giraud & al., Bilan hydrologique d'un marais littoral à vocation agricole: Le marais de Moëze (Charente-Maritime, France) (PDF à partir du site Erudit.org) ; Revue des sciences de l'eau, 4(4), 1991
    6. Chevallier C. et al., 1984, Étude pédologique du polder de Moëze-Brouage. INRA, ENSAR, 109 p..
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    13. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. « Les risques près de chez moi - commune de Moëze », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    18. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Moëze », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. René Primevère Lesson, Fastes historiques ... etc., du département de la Charente-Infre ..., Thèze, (lire en ligne)
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Notice no PA00104809, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. Notice no PA00104810, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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