Saint-Gilles-Vieux-Marché
Saint-Gilles-Vieux-Marché [sɛ̃ ʒil vjø maʁʃe] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Saint-Gilles-Vieux-Marché | |||||
Le bourg et l‘étang de Poulancre. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Saint-Brieuc | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loudéac Communauté - Bretagne Centre | ||||
Maire Mandat |
Laurent Bertho 2020-2026 |
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Code postal | 22530 | ||||
Code commune | 22295 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Gillois | ||||
Population municipale |
342 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 14′ 38″ nord, 2° 58′ 23″ ouest | ||||
Altitude | 200 m Min. 110 m Max. 311 m |
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Superficie | 21,95 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Mûr-de-Bretagne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | saint-gilles-vieux-marche.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Saint-Gillois et les Saint-Gilloises.
Géographie
Localisation
Le village est situé à 6 km au nord de Mûr-de-Bretagne.
Topographie
La commune possède un dense réseau de petits ruisseaux qui alimentent en eau plusieurs étangs : les étangs du Salle et du Baher, au nord, de Gourveaux au centre, de la Martyre à l'ouest et du Poulancre au sud. Le Poulancre , un cours d'eau long de 15 km, qui prend sa source au nord de la commune et se jette dans le Blavet au niveau de la section du Canal de Nantes à Brest, a creusé au sud de la commune, en aval de l'étang du Poulancre, de profondes gorges dans des schistes très durs. Le bois de Quelennec occupe les terrains en pente situés dans le sud de la commune.
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Cadre géologique
Saint-Gilles-Vieux-Marché est situé au cœur du domaine centre armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui correspond à une structure s'allongeant sensiblement en direction W-E, depuis la baie de Douarnenez jusqu'au bassin de Laval. S'opposant aux bas plateaux littoraux méridionaux et septentrionaux, ce bassin sédimentaire est principalement constitué de schistes briovériens (sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion du segment occidental de la chaîne cadomienne, accumulés sur plus de 15 000 m d'épaisseur et métamorphisés), formant un socle pénéplané sur lequel repose en discordance, dans sa partie orientale, des formations paléozoïques sédimentaires déformées lors de l'orogenèse varisque (plis d'orientation N 110° et plusieurs familles de failles d'orientations différentes)[1].
L'anticlinal Laniscat-Merléac, le synclinal de Saint-Gilles-Vieux-Marché, l'anticlinal briovérien de la forêt de Quénécan et le synclinal paléozoïque de Sainte-Brigitte font partie de ces plis hercyniens armant les crêtes appalachiennes de Bretagne[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caurel-Edf », sur la commune de Caurel, mise en service en 1999[9] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 112,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 33 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[15].
Habitat et paysages
La ommune présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé.
- L'étang de Poulancre et le pauysage de bocage de la commune ; à l'arrière-plan le bourg de Saint-Gilles-Vieux-Marché (carte postale, vers 1920).
- Le paysage de bocage de Saint-Gilles-Vieux-Marché à l'arrière-plan des gorges du Poulancre (carte postale, vers 1920).
Urbanisme
Typologie
Saint-Gilles-Vieux-Marché est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 1,1 % | 25 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 45,4 % | 1006 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 1,9 % | 43 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 18,7 % | 414 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 7,0 % | 155 |
Forêts de feuillus | 23,5 % | 521 |
Forêts mélangées | 2,4 % | 54 |
Source : Corine Land Cover[21] |
Toponymie, étymologie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Jairus en 1184, treffve du Vieulx Marché en 1535 et en 1536, Vieux marché au XVIIIe siècle, Saint-Gilles-du-Vieux-Marché dès 1790.
De 1793 à l'an VIII, le nom est redevenu Vieux-Marché.
Un arrêté daté du fixe officiellement la forme définitive Saint-Gilles-Vieux-Marché[22].
- L'hagiotoponyme Saint-Gilles fait référence à Gilles l'Ermite, un saint d'origine grecque venu dans le Sud de la Gaule[22].
- Vieux-Marché était son nom sous l'Ancien Régime[23].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
La présence de plusieurs monuments mégalithiques (dolmens, menhirs) dans la région laisse penser que celle-ci était habitée dès le Néolithique.
Le presbytère de Saint-Gilles-Vieux-Marché occupait l'emplacement d'un ancien camp gallo-romain[24].
Moyen-Âge et Temps modernes
Saint-Gilles-Vieux-Marché est un démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Plussulien, avant d'être ensuite une trève de Saint-Mayeux, dépendant du diocèse de Quimper, de la subdélégation de Quintin et du siège royal de Ploërmel[22].
Selon un aveu de 1471 la châtellenie de Corlay , un des trois membres de la vicomté de Rohan comprenait 12 paroisses ou trèves : « Corlé [Corlay] (résidence seigneuriale), Saint-Martin-des-Prés, Merléac, le Quilio, Saint-Mayeuc, Saint-Gilles-Vieux-Marché, Caurel, Laniscat, Saint-Guelven, Rosquelfen, Saint-Igeau, Plussulien »[25].
Des mottes féodales datant du XIe siècle ont existé à "Crémeur" ("grande côte" en breton ; des monnaies du duc Alain Fergent y ont été trouvées[22]), nom que portait alors la future localité, qui prit le nom de "Vieux-Marché", probablement en raison de l'essor des activités économiques : lin, chanvre et surtout métallurgie (une installation métallurgique comprenant un bas-fourneau, utilisant notamment le bois de la forêt de Poulancre, qui était alors plus étendue que de nos jours et le minerai de fer provenait d'un filon situé entre Gouarec et Uzel, a existé à la Martyre et à Poulancre à l’époque médiévale, avec notamment une fabrication de clous, qui était la plus importante de Bretagne) ; une fenderie[Note 7] fut installée à 150 mètres en aval du bas-fourneau[26].
Le château du Quélennec est possédé par la famille du Quélennec depuis au moins le XVe siècle. En 1431 Jean II du Quélennec est amiral de Bretagne et Jean IV du Quélennec lui succède dans cette charge en 1494. Charles II du Quelennec, dit "Soubise", fut baron du Pons et de Rostrenen ; il mourut assassiné dans la cour du Louvre lors de la nuit de la Saint-Barthélemy. Le château passe ensuite successivement aux mains des familles de Coëtquen, Le Métayer, et de Keranflec'h-Kernezne (à partir de 1825[Note 8]).
Les forges de Poulancre appartenaient au XVIIe siècle à la famille Doiseau (Doisseau ou Doysseau) qui construisit le manoir de Poulancre (Jacques Doiseau, maître des forges des forêts de Quénécan et de Poulancre acheta la forêt de Poulancre avec droit de prééminence dans la chapelle de Saint-Léon[27] ; la propriété des forges et du manoir passa par la suite (en raison du mariage d'héritières avec des hommes des familles citées) successivement aux familles Hay de Couelan (à partir de 1662), de Derval, de Saint-Pern (à partir de 1715), de La Lande de Calan (à partir de 1813), de Foucaud de Launay ( à partir de 1847 ; Ludovic Foucaud de Launay fut député des Côtes-du-Nord en 1871-1872) , de Kersaintgilly (à partir de 1907)[22].
Au XVIIe siècle le nom de famille "Burlot" (dérivé de "berlu", "digitale" en breton) fut attribué à de nombreux ouvriers travaillant dans la métallurgie locale en raison de leurs visages rougis en raison de leur travail. Ce nom de famille reste le plus fréquent dans la région[26].
Révolution française
La commune, née en 1793, s'appelle d'abord "Gilles-Vieux-Marché" jusqu'au , date à laquelle un arrêté lui attribué le nom de "Saint-Gilles-Vieux-Marché" (au nom de l'ancienne trève est ajouté celui du saint patron de la paroisse, saint Gilles, afin de différencier la npuvelle commune de celle du Vieux-Marché)[28].
Le XIXe siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, indiquent que Saint-Gilles-Vieux-Marché est une ancienne trève de Saint-Mayeux, devenue succursale depuis le Concordat[29].
Les hameaux de Callac, Guermorvan, le Port, Belorient, Poulart, Kerjacob, la Cour, Kernormand, le Cosquer, le Quellenec, Resaudy, Marcoule et Kerlan, qui appartenaient à la commune de Merléac, sont annexés par celle de Saint-Gilles-Vieux-Marché (loi du )[22].
Joachim Gaultier du Mottay décrit ainsi Saint-Gilles-Vieux-Marché en 1862 :
« Territoire très tourmenté, présentant un nombre infini de vallées plus ou moins profondes dirigées dans tous les sens et arrosées par les ruisseaux de Poulancre, de Gourvaux et de la Martyre, et forment aussi des étangs. Sol passablement productif, boisé et planté de pommiers dans ses meilleures parties. L'église est dédiée à saint Gilles, dont le pardon a lieu le 1er dimanche de septembre. À l'occasion de cette fête, on conduit les petits enfants à l'église et on offre au saint, pour les garçons, un coq, et pour les filles, une poule[30] »
Vers 1870 deux carrières d'ardoises étaient exploitées à Pont-Dom-Jean (des traces d'exploitation remontent même au XVIe siècle) [31]. Le même auteur indique que l'école des garçons compte alors 32 élèves, mais n'indique pas d'école des filles.
L'église paroissiale Saint-Gilles est reconstruite de 1894 à 1896, l'ancienne église étant détruite en 1893[32].
- L'ancienne église de Saint-Gilles-Vieux-Marché : façade latérale nord.
- L'ancienne église de Saint-Gilles-Vieux-Marché : transept sud et sacristie.
- La tour de l'ancienne église de Saint-Gilles-Vieux-Marché.
La Belle Époque
En 1902 une épidémie de fièvre typhoïde survnit dans les communes de Mûr-de-Bretagne, Caurel, Saint-Caradec, Saint-Gilles-Vieux-Marché et Saint-Guen[33].
- Le bourg et l'église paroissiale de Saint-Gilles-Vieux-Marché au début du XXe siècle (carte postale).
- L'entrée dans la vallée du Poulancre (carte postale, vers 1910) 1.
- L'entrée dans la vallée du Poulancre (carte postale, vers 1910) 2.
- La vallée du Poulancre vers 1910 (carte postale Émile Hamonic).
- La vallée du Poulancre vers 1910 (carte postale).
- La vallée du Poulancre vers 1910 (carte postale).
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Gilles-Vieux-Marché porte les noms de 45 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale[34].
L'Entre-deux-guerres
Selon le témoignage d'Henri Gallais, il y aurait eu 22 "bistrots" à Saint-Gilles-Vieux-Marché vers 1930. Cet auteur décrit aussi la vie quotidienne dans la commune à cette époque [26].
- Le moulin de Pont Domjean dans la vallée du Poulancre vers 1925.
Le un important incendie ravagea les Gorges du Poulancre, atteignant le Bois de Saint-Mayeux et menaçant plusieurs fermes[35].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Gilles-Vieux-Marché porte les noms de 10 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale[34].
L'après Seconde Guerre mondiale
Un soldat (Paul Burlot) originaire de Saint-Gilles-Vieux-Marché est mort pour la France durant la Guerre d'Indochine[34].
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Sarria (province de Lugo) (Espagne) depuis 1998[36]
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2020, la commune comptait 342 habitants[Note 18], en augmentation de 2,4 % par rapport à 2014 (Côtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Saint-Gilles-Vieux-Marché a perdu 75 % de sa population entre 1851 et 1999, passant de 1 172 à 301 habitants entre ces deux dates.
Événements
- La commune de Saint Gilles Vieux Marché est un « village fleuri, quatre fleurs ».
Économie
- Exploitations agricoles.
- Commerces.
- Le bar-restaurant de la Vallée 1.
- Le bar-restaurant de la Vallée 2.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Gilles, XIXe siècle.
- L'église Saint-Gilles et le bourg de Saint-Gilles-Vieux-Marché vers 1910.
- Le château du Quellenec, XVIIIe siècle.
- L'actuel château du Quélennec (datant du XVIIIe siècle mais ayant succédé à un château antérieur).
- L'actuel château du Quélennec (datant du XVIIIe siècle)
- Le manoir de Poulancre, XVIIe siècle.
- La chapelle Saint-Yves, datant initialement de 1565 ou 1585, elle a été reconstruite au XVIIIe siècle (située au hameau de Coët-Dreno) ; son retable date du XVIIIe siècle ; la chapelle possède plusieurs statues de saint Yves.
- Menhir de Callac classé au titre des monuments historiques en 1974[41].
- Le menhir de Callac (en Saint-Gilles-Vieux-Marché).
Patrimoine naturel
- La vallée du Poulancre[44], classée site Natura 2000[45], avec sa gorge creusée dans des schistes durs du Dévonien[46], ses étangs (étang de Gourveaux au nord, étang de la Martyre à l'ouest, étang de Poulancre au sud, lieu de pêche fréquenté[47]) et son manoir éponyme[48] sont situés au sud du finage communal.
- L'entrée des Gorges et l'étang du Poulancre (carte postale, vers 1925).
- Les Gorges du Poulancre.
- Chute d'eau dans la vallée du Poulancre.
- Un rocher dans les Gorges du Poulancre (carte postale, vers 1920).
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Atelier de travail constituant l’ancêtre des actuels laminoirs.
- En raison du mariage de Sidonie de Kernezne avec Charles Marie de Keranflec'h, né le à Saint-Brieuc.
- Alain Ollivier, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Joseph Le Clézio, né le à Saint-Guen, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Vincent Le Clézio, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Esprit Fraboulet, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Aimé Le Coidic, né vers 1821 à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Charles Joachim de Keranflech-Kernezne, né le à Guingamp, décédé le au château du Quélennec en Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Pierre Marie Le Dantec, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché, décédé en 1909.
- Mathurin Menguy, né le à Saint-Mayeux, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Hervé de Keranflech-Kernezne, né le à Nantes, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Yann Brekilien (dir.), La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 35-39.
- Hubert Lardeux, Bretagne, Masson, , p. 111-115.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Moulin à farine du Bois, actuellement maison (Saint-Gilles-Vieux-Marché) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ).
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- Forêt de Quenecan, vallée du Poulancre, landes de Liscuis et gorges du Daoulas
- http://pinpinonline.online.fr/dotclear/index.php/2007/07/31/84-les-gorges-de-poulancre
- http://www.federation-peche22.com/No54-Etang-de-Poulancre.html
- http://fr.topic-topos.com/manoir-de-poulancre-saint-gilles-vieux-marche