Saint-Igeaux
Saint-Igeaux [sɛ̃tiʒo] ou Saint-Ygeaux est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.
Saint-Igeaux | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Kreiz-Breizh | ||||
Maire Mandat |
Claude Bernard 2020-2026 |
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Code postal | 22570 | ||||
Code commune | 22334 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
123 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 9,5 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 16′ 22″ nord, 3° 06′ 15″ ouest | ||||
Altitude | 231 m Min. 137 m Max. 221 m |
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Superficie | 12,91 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Rostrenen | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Géographie
Situation
- Carte de Saint-Igeaux et des communes avoisinantes.
Relief et hydrographie
Le finage de Saint-Igeaux est formé principalement d'un plateau bosselé situé le plus souvent entre 220 et 180 mètres d'altitude, culminant à 121 mètres un peu au sud du bourg, lequel est vers 200 mètres d'altitude.
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Seules les vallées, situées principalement en périphérie du finage, sont à une altitude moindre : le Sulon, affluent de rive gauche du Blavet, sert à l'ouest de limite avec Saint-Nicolas-du-Pélem et Sainte-Tréphine : il est à seulement 137 mètres d'altitude lorsqu'il quitte la commune, à la limite de Laniscat ; son affluent, la Rivière de Corlay, est à 157 mètres à son entrée dans la commune, à sa limite nord, et à 140 mètres lors de sa confluence avec le Sulon ; elle sert de limite avec Canihuel et Saint-Nicolas-du-Pélem.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caurel-Edf », sur la commune de Caurel, mise en service en 1999[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 112,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Transports
Saint-Igeaux est à l'écart des grands axes de transport : la RD 44, entre Laniscat et Plussulien, traverse la partie sud-est de son finage, mais sans passer par le bourg, desservi seulemt par une bretelle routière, la RD 44a, à partir de cet axe. Les autres routes de la commune sont uniquement d'intérêt local.
Paysages et habitat
Saint-Igeaux présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en écarts formés de hameaux ("villages") et fermes isolées. Les principaux hameaux sont Kergrohen, Rullien, Fontaineleur, Languellec, Penanguer, Nonéno, Goaslouarn, Hellez, Kersalliou, etc[14].
Le bourg, de modeste importance, est légèrement excentré au centre-est du territoire communal. La commune a totalement conservé son caractère rural.
Urbanisme
Typologie
Saint-Igeaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85 %), prairies (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Treffve Sainct Tujeau en 1535, Saint-Ygeau au XVIIIe siècle[22]. Bernard Tanguy a écrit : « Son nom rappelle le souvenir d'un obscur saint breton qui serait également l'éponyme de la paroisse bretonne primitive de Pligeau (cf. Saint-Gilles-Pligeau). Alors que dans ce toponyme il apparaît sous la forme simple Itiau, c'est, semble-t'il, la forme hypocoristique To-Itiau, constituée avec le préfixe to 'ton", qui explique Saint-Ygeaux. Bien que cet hypochoristique soit représenté dans d'anciennes litanies bretonnes du Xe siècle par l'hagionyme féminin Ticiawa (pour Titiawa), il n'est pas douteux qu'il s'agisse ici d'un hagionyme masculin »[23]. En breton, la commune se nomme Sant-Ijo.
Saint-Igeaux vient de Itiaw[24], peut-être le nom d'un ermite ayant vécu au Haut Moyen Âge. Son nom rappelle le souvenir d'un obscur saint breton qui serait également l'éponyme de la paroisse bretonne primitive de Pligeau (Saint-Gilles-Pligeaux)[25]. Le nom de saint Ignace a été attribué bien plus tard à l'église alors tréviale par volonté de l'Église catholique de substituer des saints officiellement reconnus par elle à des saints bretons plus ou moins inconnus[26]. La fontaine de dévotion située près de l'église reste dédiée à saint Igeaux.
Histoire
Préhistoire
Un dépôt de 84 fragments d'épées en bronze, correspondant à sept épées complètes et à d'autres partiellement reconstituées, disposées autour d'un chaudron en tôle de bronze, ont été trouvées entre 2002 et 2005 à Kerboar[27]. Des haches à talons et un marteau en bronze ont été trouvés dans un dépôt voisin, et un fragment de torsadé en or dans un autre. Ces dépôts, selon une datation au radiocarbone, datent de l'âge du bronze entre et ans avant notre ère. Les fouilles ont été effectuées par Yves Ménez, Muriel Fily et Maréva Gabillot[28].
Un tumulus datant de l'âge du cuivre a été découvert en 2013 au Hellès : il contenait des vestiges de poteries contenant des débris métalliques cassés volontairement[29].
Antiquité
Le site de Nonéno a livré depuis 1998 des deniers et quinaires de l'époque de la République romaine et des deniers julio-claudiens ; en tout 18 deniers et 2 quinaires[30].
Moyen Âge
Saint-Ygeaux provient d'un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Plussulien.
Selon un aveu de 1471 la châtellenie de Corlay , un des trois membres de la vicomté de Rohan comprenait 12 paroisses ou trèves : « Corlé [Corlay] (résidence seigneuriale), Saint-Martin-des-Prés, Merléac, le Quilio, Saint-Mayeuc, Saint-Gilles-Vieux-Marché, Caurel, Laniscat, Saint-Guelven, Rosquelfen, Saint-Igeau, Plussulien »[31].
Temps modernes
Saint-Ygeaux (alors écrit Saint-Ygeau, par exemple par Jean-Baptiste Ogée) était une trève de Laniscat.
La Révolution française
En 1790, Saint-Ygeaux est inclus dans la commune de Laniscat.
Pendant la Révolution, Saint-Ygeaux devient Mont-Ygeaux avant de retrouver de nouveau son nom.
Le XIXe siècle
Sous le nom écrit "Saint-Ygeaux", Saint-Igeaux est érigé en succursale par l'ordonnance royale du [32], puis en commune séparée de Laniscat par la loi du . Le nom de la commune devient officiellement Saint-Igeaux par un décret en date du [14]. Mais la population locale continue à utiliser la graphie "Saint-Ygeau" et le gentilé est "Ygeaulois".
En 1845 « les sections de Saint-Gelven et Saint-Igeaux, en Laniscat, demandent à en être séparées et érigées en communes (...) Ces sections, qui ont chacune une population d'environ 900 habitants (...) allèguent les mêmes motifs pour cette séparation. Ce sont les difficultés de communication avec le chef-lieu, l'abandon dans lequel on laisse leurs ponts, leurs chemins et l'emploi exclusif de la prestation[Note 7] sur ceux qui sont utiles au bourg de Laniscat ou à ses environs (...). Laniscat, qui a actuellement 3 200 habitants, et qui par ces demandes serait menacée d'être réduite à 1 300, résiste de toutes ses forces et repousse le reproche de partialité (...) »[33]. Le conseil général des Côtes-du-Nord émit un avis défavorable, mais Saint-Gelven et Saint-Igeaux obtinrent satisfaction en 1850, devenant alors des communes indépendantes[34].
Joachim Gaultier du Mottay décrit ainsi Saint-Igeaux en 1862 :
« Saint-Ygeaux, 700 habitants (...). Sans école. Ancienne trève de Laniscat. On parle le breton. Territoire peu accidenté, bien boisé au sud, mais nu et découvert au nord. Terres argilo-schisteuses assez bonnes et pouvant devenir meilleures. Les prés sont de qualité passable et forment le neuvième de la superficie. Par exception au reste du canton, les landes n'en occupent pas le treizième. Cette commune élève avec succès beaucoup de bétail. Elle fut distraite en 1830 de Laniscat (...) Géologie : schiste argileux ; quartz[35]. »
Joachim Gaultier du Mottay précise aussi qu'une croix en granite, due au sculpteur Hernot, vient d'être érigée dans le cimetière.
En 1890 Jean-Marie Rigaud écrit :
« (...) Les terres, à base schisto-argileuses, sont assez bonnes. Une culture bien entendue les rend productives. Les landes ont à peu près complètement disparu. Les cultivateurs se livrent avec succès à l'élevage du bétail. (...) Saint-Igeaux possède depuis peu une école pour chaque sexe. Le bourg n'est traversé que par des chemin vicinaux ordinaires[36]. »
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Igeaux porte les noms de 41 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux deux (Théodore Le Floch en 1915 et Louis Mahé en 1918) sont morts en Belgique ; les autres sont décédés sur le sol français, par exemple Guillaume Huidoux[Note 8], décoré (tout comme Théodore Le Floch, cité précédemment) à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[38].
L'Entre-deux-guerres
- Saint-Igeaux : l'église paroissiale Saint-Ignace vers 1920 (carte postale).
Un crime qui fut commis le à Saint-Igeaux, celui d'une septuagénaire, dont fut accusé et pour lequel fut condamné un immigré tchécoslovaque, défraya la chronique et fut évoqué à plusieurs reprises dans de nombreux journaux de la presse nationale, par exemple dans le journal L'Œuvre[39].
Le hameau de Goasnat est décrit en 1932 par un journaliste, à l'occasion de ce crime commis l'année précédente à cet endroit :
« Le voyageur qui se rend de Mûr-de-Bretagne à Saint-Nicolas-du-Pélem et qui (...) emprunte la vieille route de Plussulien, rencontre, à peu de distance de ce dernier bourg, une agglomération qui fut, jadis, de quelque importance, et deux ou trois modestes maisons habitées par de paisibles cultivateurs. Le reste n'est plus que ruines, masures écroulées ou incendiées, parmi lesquelles on retrouve les vestiges d'un vieux moulin, tout cela envahi par le lierre et les plantes grimpantes, et donnant à ce hameau, enciassé dans un fond, un aspect sinistre qui saisissait au premier abord. C'est Goasnat-en-Saint-Igeaux. Et, à quelques pas de ce décor lugubre, le paysage change subitement, et l'on se trouve dans les beaux pâturages qu'arrosent le Sulon et la rivière de Corlay, prairies où paissent en liberté les magnifiques chevaux que produit cette riche et renommée contrée d'élevage[40]. »
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Igeaux porte les noms de 4 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale : Vincent Le Gall, Léon Menguy et Bertrand Philippe, tous les trois soldats, ont été tués lors de la Bataille de France au printemps 1940 et Joseph Sérandour, marin, est mort de maladie contractée en service en septembre 1940[38].
Mathurin Le Roux, soldat des Troupes françaises d'occupation en Allemagne, fut tué accidentellement le à Löffingen (Allemagne)[38].
Une rafle fut organisée à Saint-Igeaux par les Allemands le , visant un lieu de rendez-vous pour les résistants, le café-tabac de Raymonde et Anselme Le Gall ; ceux-ci étaient absents, mais leur maison fut incendiée et sept jeunes gens arrêtés et emprisonnés quelque temps à Saint-Brieuc[41]. Parmi les résistants originaires de Saint-Igeaux : Joseph Monjaret[42], son frère Constant Monjaret (qui fut par la suite député) et Hélène Mahé[43]
Le journal La Champagne décrit dans son édition du l'action des résistants Francs-tireurs et partisans à partir de la ferme de Ouatnès en Saint-Nicolas-du-Pélem, route de Saint-Igeaux (lieu non trouvé) le [44].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].
En 2020, la commune comptait 123 habitants[Note 19], en diminution de 10,87 % par rapport à 2014 (Côtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Saint-Igeaux est, après Loc-Envel, la commune de Bretagne dont la population a diminué le plus en pourcentage (- 82 %) entre 1851 et 1999, passant de 800 à 151 habitants entre ces deux dates[49].
Lieux et monuments
- Église paroissiale Saint-Ignace : dédiée à saint Ignace, elle date du début du XVIe siècle et est en forme de croix latine ; elle possède plusieurs statues anciennes, dont une de saint Ignace, et d'autres de saint Pierre, saint Yves, ainsi qu'une Vierge couronnée par les Anges. Le clocher, construit par Nicolas Hurel, date de 1667, mais sa partie haute a été reconstruite au XIXe siècle. Le pignon du transept porte les armes des seigneurs de Correc[32]. Une fontaine de dévotion, dite de Saint-Igeaux, se trouve à proximité.
- L'ancienne chapelle Notre-Dame-des-Vertus, de Fichan, a été détruite après la Seconde Guerre mondiale. Elle a été décrite en 1940[32]. Il subsiste de cette chapelle une croix datant de 1889.
- Les manoirs de Restellan (XVIIe siècle) et Kersaliou (XVIIIe siècle).
- Des maisons anciennes dans le bourg et les hameaux de Noméno, Prat-ar-Verch et Kerigochen.
Personnalités liées à la commune
- Noémie Le Meur née Guyomard, poétesse et résistante, née à Kergrohen près du bourg de Saint-Ygeaux le , décédée en à Dinan. Elle est élevée par son oncle Henri Mahé, et ses cousines Marie, Jeanne, et Hélène[50]. Avec son mari Louis Le Meur elle enseigne à l'école de Paule, Calanhel, puis Callac, Bulat-Pestivien, et le Hinglé en fin de carrière. Durant l'Occupation, elle organise la résistance dans les secteurs de Callac, Rostrenen, Bourbriac, et Saint-Nicolas-du Pelem de à Aout 1944. De à , elle répartit les armes en provenance des parachutages de Duault et Maël-Pestivien, dont son mari Louis Le Meur[51], commandant FTP puis FFI Roland, était le dépositaire.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La prestation était une obligation de travail d'entretien qui pesait alors sur les habitants des communes.
- Guillaume Huidoux, mort des suites de ses blessures le à Sainte-Menehould (Marne).
- Pierre Denis, né le à Laniscat, décédé le à Saint-Igeaux.
- Probablement Louis Galerne né le à Plélauff, décédé le à Saint-Gilles-Pligeaux (marié à Laniscat en 1847).
- Joseph Le Floch, né le à Saint-Igeaux en Laniscat, décédé le à Saint-Igeaux.
- Théodore Rault, né en 1838 à Laniscat, décédé le à Saint-Igeaux.
- Sans doute Pierre Julien Denis, né le à Laniscat.
- Vincent Jégou, né le à Laniscat, décédé le à Laniscat.
- Denis Ruchon, né le à Plounévez-Quintin.
- François Marie Denis, né le à Laniscat, décédé le à Saint-Igeaux.
- Alain Berhelot, né le à Saint-Igeaux.
- Jean-Louis Lhermite, né le à Laniscat.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Station Météo-France Caurel-Edf - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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