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Saint-Gilles-Pligeaux

Saint-Gilles-Pligeaux [sɛ̃ ʒil pliʒo] (Sant-Jili-Plijo en breton) est une commune du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, dans la rĂ©gion Bretagne, en France.

Saint-Gilles-Pligeaux
Saint-Gilles-Pligeaux
L'Ă©glise paroissiale Saint-Gilles et la chapelle Saint-Laurent.
Blason de Saint-Gilles-Pligeaux
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes du Kreiz-Breizh
Maire
Mandat
Gildas Guyader
2020-2026
Code postal 22480
Code commune 22294
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Gillois, Saint-Gilloise
Population
municipale
304 hab. (2020 en augmentation de 8,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 22â€Č 51″ nord, 3° 05â€Č 36″ ouest
Altitude 260 m
Min. 183 m
Max. 302 m
Superficie 19,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Rostrenen
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Gilles-Pligeaux
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Saint-Gilles-Pligeaux

    GĂ©ographie

    Localisation

    Saint-Gilles-Pligeaux se trouve Ă  vol d'oiseau Ă  21 km au sud de Guingamp et Ă  29 km au sud-ouest de Saint-Brieuc.

    Communes limitrophes de Saint-Gilles-Pligeaux
    Saint-Connan
    Kerpert Saint-Gilles-Pligeaux Le Vieux-Bourg
    Canihuel

    GĂ©ologie et relief

    De Duault à Corlay en passant par Saint-Nicolas-du-Pélem et Saint-Gilles-Pligeaux, sur plus de 30 km, un massif granitique correspondant à la partie ouest du batholite de Quintin, domine, atteignant 270 mÚtres, les collines schisteuses de la partie orientale du bassin de Chùteaulin situées à son sud.

    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      Carte topographique de la commune de Saint-Gilles-Pligeaux.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Sulon, qui borde la commune au sud. Le Sulon coule au pied du massif granitique de Quintin dont il marque la limite sud.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 037 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 15,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Kerpert », sur la commune de Kerpert, mise en service en 1987[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 130,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  24 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gilles-Pligeaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Extraction de matériaux 0,05 % 1
    Terres arables hors périmÚtres d'irrigation 14,0 % 279
    SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes 69,5 % 1383
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 11,3 % 225
    ForĂȘts de feuillus 5,0 % 100
    ForĂȘts mĂ©langĂ©es 0,1 % 2
    Source : Corine Land Cover[19]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Pleiaut et Sanctus Egidius en 1156 et en 1166, Pleiau en 1190, Pligeau en 1316, Ploegeau en 1368, Parochia Sancti Egidii an Pligeu en 1371, ecclesia Beati Egidii de Pligeau en 1393, Saint Gille en Pligeaux en 1473, Pligeau en 1516[20], Sainct Gilles en 1535 et en 1536, Saint Gilles in Pligeau en 1574[21].

    L'hagiotoponyme Saint-Gilles fait référence à Gilles l'Ermite.

    Pligeaux viendrait de pleiaut (paroisse primitive)[21], de ploe (paroisse) et de Igeau (Saint Ygeaux) ; plejao, le « plaid », une assemblée médiévale qui se réunissait quatre fois par an à Saint-Gilles-Pligeaux, n'explique pas le nom du toponyme qui est en «Plou», comme souvent en Bretagne.

    Histoire

    Le Moyen Âge

    La paroisse de Pligeaux Ă©tait l'une des anciennes paroisses de l'Armorique primitive. Saint-Gilles-Pligeaux fait partie de la Cornouaille, donc de l'Ă©vĂȘchĂ© de Quimper jusqu'en 1791, lorsqu'elle fut rattachĂ©e Ă  l'Ă©vĂȘchĂ© de Saint-Brieuc.

    Selon un aveu de 1471 la chùtellenie de Gouarec, un des trois membres de la vicomté de Rohan, « s'étendait sur treize paroisses ou trÚves : Plouray, Mellionec, Plouguernével, Saint-Gilles, Gouarec, Plélauf, Lescouët, Penret ou Perret, Sainte-Brigitte, Silfiac, Cléguérec (partie nord), Saint-Aignan, Saint-Caradec, Trégomel. La résidence seigneuriale, dans cette chùtellenie, était le chùteau de Penret, aussi appelé le chùteau des Salles[22], en Sainte-Brigitte »[23].

    La RĂ©volution

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Mont-Pligeaux[24].

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux Morts porte les noms des 73 soldats morts pour la Patrie[25] :

    • 69 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale.
    • 4 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

    Politique et administration

    Maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1861 1862 André Le Ny propriétaire
    1959 1971 Joseph Jacob DVG
    1971 1977 Noël Jéron DVG instituteur
    1977 1983 ArsÚne Le Bars DVD Retraité
    1983 1995 Gilbert Le Lepvrier DVG Agriculteur
    1995 2014 Francis Le Moigne DVD Retraité
    2014 En cours Gildas Guyader DVG Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[27].

    En 2020, la commune comptait 304 habitants[Note 7], en augmentation de 8,57 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8281 0599761 0731 1421 1351 1571 2111 136
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0881 1241 1641 1181 1221 2211 2211 2291 216
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2261 2301 1991 1101 040957910795693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    668593491398352299299301277
    2014 2019 2020 - - - - - -
    280305304------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le chevet de l'Ă©glise paroissiale Saint-Gilles.
      Le chevet de l'Ă©glise paroissiale Saint-Gilles.
    • Fontaine situĂ©e en contrebas de l'Ă©glise paroissiale.
      Fontaine située en contrebas de l'église paroissiale.
    • La chapelle Saint-Laurent.
      La chapelle Saint-Laurent.
    • La chapelle Notre-Dame-de-la-ClartĂ©.
      La chapelle Notre-Dame-de-la-Clarté.
    • Le menhir de Kergornec.
      Le menhir de Kergornec.
    • Le deuxiĂšme menhir de Kergornec.
      Le deuxiĂšme menhir de Kergornec.
    • Le menhir de Crec'h Ogel.
      Le menhir de Crec'h Ogel.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Kerpert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Gilles-Pligeaux et Kerpert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Kerpert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Gilles-Pligeaux et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Données statistiques sur les communes de Métropole communes; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    20. Cartulaire de Redon
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Saint-Gilles-Pligeaux ».
    22. « Chùteau des Salles à Sainte-Brigitte », sur Infobretagne.com (consulté le ).
    23. ThĂ©odore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congĂ©able », Revue critique de lĂ©gislation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    25. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Notice no PA00089622, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    30. Notice no PA00089621, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    31. « Menhir de Kergornec », notice no PA00089626, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    32. « Menhir de Kergornec », notice no PA00089625, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    33. « Menhir de Crec'h Ogel », notice no PA00089624, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.

    Voir aussi

    Personnalités liées à la commune

    . Hervé Mahé, né en 1909 à Saint-Gilles-Pligeaux, décathlonien français, quatre fois champion de France dans les années 1930.

    Articles connexes

    Liens externes

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