Plouray
Plouray [pluÊÉ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan, en rĂ©gion Bretagne. Elle fait partie du Pays du Roi Morvan et culturellement du « Bro Pourlet » (pays de GuĂ©mĂ©nĂ©). On y portait auparavant le costume aux mille boutons, nom donnĂ© surtout Ă la tenue des femmes.
Plouray | |
L'Ă©glise Saint-Yves. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Bretagne |
DĂ©partement | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Communauté de communes Roi Morvan Communauté |
Maire Mandat |
Michel Morvant 2020-2026 |
Code postal | 56770 |
Code commune | 56170 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Plouraysiens |
Population municipale |
1 046 hab. (2020 ) |
Densité | 27 hab./km2 |
Population agglomération |
25 412 hab. |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 08âČ 47âł nord, 3° 23âČ 12âł ouest |
Altitude | 197 m Min. 170 m Max. 296 m |
Superficie | 39,09 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Gourin |
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
Situation
Plouray est une commune rurale du nord-ouest du département du Morbihan appartenant à la communauté de communes du Pays du Roi Morvan. Par ses traditions, elle appartient au Pays Pourlet et à la Basse-Bretagne. Le bourg de Plouray est excentré au nord-ouest de la commune. Il est situé à l'intersection des axes routiers Rostrenen-Le Faouët (départementale 790) et Gourin-Guémené-sur-Scorff (départementale 1) et à 12 kilomÚtres au sud-ouest de Rostrenen et à 40 kilomÚtres au nord-ouest de Pontivy.
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Relief et hydrographie
La commune est bordĂ©e au nord et Ă l'ouest par la riviĂšre EllĂ©. Des cours d'eau de taille plus modeste arrosent le territoire communal dont le ruisseau de Stanven, long de 7,7 km, un affluent de la rive gauche de l'EllĂ©. La commune est vallonnĂ©e et l'altitude varie entre 170 mĂštres et 296 mĂštres. Une ligne de crĂȘte sĂ©parant les bassins versants de l'EllĂ© et de l'AĂ«r traverse la commune suivant un axe sud-ouest/nord-est. Elle culmine Ă 296 mĂštres d'altitude au voisinage du village de Kerroc'h. La commune a une superficie de 3 909 hectares dont 492 hectares de bois (taux de boisement de 12,5% contre 16,4 % pour le dĂ©partement du Morbihan) [1].
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rostrenen », sur la commune de Rostrenen, mise en service en 1954[8] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 145,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de QuĂ©ven, mise en service en 1952 et Ă 40 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 12 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Plouray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous prĂ©sente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type dâoccupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 1,8 % | 69 |
Terres arables hors périmÚtres d'irrigation | 19,5 % | 766 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 13,3 % | 521 |
SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes | 42,3 % | 1660 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 4,4 % | 173 |
ForĂȘts de feuillus | 13,6 % | 532 |
ForĂȘts de conifĂšres | 4,3 % | 166 |
ForĂȘt et vĂ©gĂ©tation arbustive en mutation | 1,0 % | 38 |
Source : Corine Land Cover[20] |
L'occupation des sols met en Ă©vidence la prĂ©dominance des territoires agricoles sur la forĂȘt et les milieux semi-naturels ainsi qu'une faible urbanisation du territoire. Les territoires agricoles, qui occupent 79,5 % de la surface communale, ont conservĂ© en grande partie leur structure bocagĂšre. La forĂȘt, qui occupe 17,9 % de la surface communale, est constituĂ©e majoritairement de feuillus.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Plouray en 1427, en 1481 et en 1514 ; Plouzayen 1536[21] .
Lâorigine du nom de la commune est controversĂ©e. Si on se rĂ©fĂšre Ă la forme la plus ancienne de son nom, PlourĂ©, on associe plou dĂ©signant une paroisse Ă RĂ©, c'est-Ă -dire RenĂ©, du nom de son ancien patron. Il fait dâailleurs encore lâobjet dâun culte dans lâĂ©glise Saint-Yves. Cependant, si on retient la forme « Plou-Wroc », comme on la trouve parfois, on pense dâabord Ă Saint Guroc.
Histoire
Moyen Ăge et Temps Modernes
Plouray ressortissait juridiquement de la sénéchaussée d' Hennebont et sur le plan religieux du doyenné de Guéméné avant la Révolution française.
Le fief de Plouray
Selon un aveu de 1471 la chùtellenie de Gouarec, un des trois membres de la vicomté de Rohan, « s'étendait sur treize paroisses ou trÚves : Plouray, Mellionec, Plouguernével, Saint-Gilles, Gouarec, Plélauf, Lescouët, Penret ou Perret, Sainte-Brigitte, Silfiac, Cléguérec (partie nord), Saint-Aignan, Saint-Caradec, Trégomel. La résidence seigneuriale, dans cette chùtellenie, était le chùteau de Penret, aussi appelé le chùteau des Salles[22], en Sainte-Brigitte »[23].
Le fief de Plouray, Mellionnec, et ses annexes de PlougernĂ©vel et Saint Caradec-TrĂ©gomel formaient au XIIIe siĂšcle une enclave de la vicomtĂ© de Rohan entre la vicomtĂ© de Gourin Ă l'ouest et la seigneurie de GuĂ©mĂ©nĂ© Ă l'est. Au dĂ©but du XVIe siĂšcle, la seigneurie de Plouray appartenait Ă Jean IV de Rieux dâoĂč le nom qui lui Ă©tait donnĂ© de terre du MarĂ©chal de Rieux. En 1527, Louis IV sire de GuĂ©mĂ©nĂ© en hĂ©rite Ă la suite de son mariage avec Louise de Rieux, fille du marĂ©chal et dĂ©sormais la seigneurie de Plouray fait partie intĂ©grante de la seigneurie de GuĂ©mĂ©nĂ© qui sera Ă©rigĂ©e en principautĂ© en 1570[24].
Maisons nobles et seigneuries
Une douzaine de manoirs existaient autrefois sur le territoire de Plouray : Restromar, Cornouët, Saint-Noay, Limerho, Kersoulou, Goulo, Guidfoss, Kerroc'h, Kergadelau, Kervéno, Cohinec et Stanguen. Les propriétaires de ces manoirs étaient des vassaux des seigneurs de Guémené. Les terres de Plouray étaient en effet des arriÚre-fiefs de cette seigneurie.
Les propriĂ©taires du manoir de Restromar Ă©taient les Le Trancher aux XVIe et XVIIe siĂšcles. En 1540, il appartenait Ă Eustache Le Trancher. Jacques Le Trancher en rendit aveu en 1632 comme sire de Bodeno et Restromar. Il appartenait encore en 1766 Ă Françoise Le Trancher Ă©pouse de Charles de Robien. Les armes des Le Trancher Ă©taient : d'or au croissant de gueules, accompagnĂ© de 3 Ă©toiles de mĂȘme.
Le manoir de Penguilly était une juveigneurie de celui du Dréorz en Priziac. Il appartenait en 1449 à Alain le Scanff qui rendait aveu à Charles Le Scanff, sieur du Dréorz. Les armes des Le Scanff étaient : d'azur à trois glands d'or, les coques d'argent.
Le manoir de Saint-Noay appartenait en 1526 Ă Jean de Saint-Noay et Catherine de Loes. Plus tard, en 1634, un autre Jean de Saint-Noay, dans un aveu au prince de GuĂ©menĂ©, dĂ©clare qu'il existe dans la maĂźtresse vitre de l'Ă©glise de Plouray, deux Ă©cussons qui sont d'argent Ă deux sangliers de sable, et deux grandes tombes Ă fleur de terre armoyĂ©es du dit sanglier en bosse, dans le chĆur, du cĂŽtĂ© de l'Ă©vangile.
Les propriétaires du manoir de Guidfoss étaient, aux XVIe et XVIIe siÚcles, les Toulbodou, une famille originaire du manoir éponyme en la paroisse de Locmalo. C'est aprÚs avoir quitté son manoir de Guidfoss en Plouray pour une partie de chasse que l'un des membres de cette famille, Jehan de Toulbodou, fut surpris par un violent orage dans la vallée de l'Ellé prÚs du Faouët. Craignant pour sa vie, il invoquera le secours de sainte Barbe. Ayant eu la vie sauve, il fera édifier avec le concours de Jean de Bouteville, baron du Faouët, une chapelle en l'honneur de sa protectrice à cet endroit. Les armes des Tolbodou étaient : d'or semé de feuilles de houx de sinople[25].
Le XIXe siĂšcle
Une épidémie de variole fit 87 malades (dont 42 moururent) à Plouray entre 1865 et 1870[26].
La Belle Ăpoque
Lors des Ă©lections lĂ©gislatives de 1906, le clergĂ© local fit pression sur les Ă©lecteurs, refusant l'absolution aux hommes et mĂȘme aux femmes dont les maris ne voteraient pas bien, c'est-Ă -dire en faveur de Guy de Salvaing de Boissieu, lequel fut d'ailleurs rĂ©Ă©lu dĂ©putĂ©[27].
La PremiĂšre Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouray porte les noms de 88 soldats morts pour la France pendant la PremiĂšre Guerre mondiale ; ; parmi eux 10 sont morts en Belgique, dont 4 (Joseph Marie Courtai, François Marie Henri, Louis Marie Le Roux, Louis Pierre Marie Royant) Ă Maissin le . Il s'agit des quatre premiers Ă ĂȘtre tombĂ© sur le champ d'honneur[28].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[31].
En 2020, la commune comptait 1 046 habitants[Note 6], en diminution de 7,92 % par rapport Ă 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La principale industrie présente sur la commune est une usine de découpe de volaille (Doux).
Voir aussi Ăconomie Ă Roi Morvan CommunautĂ©
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments préhistoriques
- Le dolmen de Guidfosse se trouve sur un endroit Ă©levĂ© d'une forĂȘt limitrophe.
- Le menhir christianisé du village de Rosterch.
Ădifices religieux
- Ăglise Saint-Yves de Plouray
- Chapelle de Saint Guénin, située en un lieu isolée au sud du bourg de Plouray et à proximité de la route départementale 790.
- Chapelle Sainte-HélÚne et Sainte-Ursule, située dans le village de la Villeneuve Runello.
Manoirs
- Le manoir de Penguilly, situĂ© Ă 1,5 km au nord-ouest du bourg de Plouray, est une construction homogĂšne du milieu du XVIe siĂšcle. Il est la propriĂ©tĂ© successive des familles Le Scanff, Le Grant, Bahuno, Boutiez. Le logis est constituĂ© de deux corps accolĂ©s Ă un Ă©tage carrĂ©. Chaque corps est desservi par un escalier. Il possĂšde des fenĂȘtres Ă meneaux, une porte en anse de panier et un pigeonnier Ă une rangĂ©e de boulins sous la corniche du corps est[24].
- Le manoir de Restromar ou de Restermarch, situĂ© Ă 1 km Ă l'est du bourg, est une construction de la fin du XVIe siĂšcle ou du dĂ©but du XVIIe siĂšcle. Il possĂšde une porte Ă arc brisĂ© ainsi qu'un appui de fenĂȘtre Ă godrons permettant de le dater de cette Ă©poque. PropriĂ©tĂ© de la famille Le Trancher du dĂ©but du XVIe siĂšcle au XVIIIe siĂšcle, leurs armes figurent sur le linteau de la cheminĂ©e de l'Ă©tage[24].
- Le manoir de Guidfosse. Le manoir a été incendié en 1944. La chapelle a disparu et le mur d'enceinte et le portail sont écroulés. Seuls les communs subsistent[24].
- Le manoir de Kervéno. Il appartenait en 1514 à Geoffroy de Kerancourhin[24].
- Le manoir de Stanven. Il appartenait en 1528 et en 1541 Ă Jean de Saint Noay[24].
Divers
- Un peu en retrait de l'agglomération se trouve à l'emplacement d'une ancienne ferme, une communauté religieuse du bouddhisme tibétain ouverte à tous [34]. Lors de sa visite en France en , le Dalai Lama a visité la congrégation Pel Drukpay Tcheutsok à Plouray le , siÚge du Gyalwang Drukpa en Europe[35] - [36].
- Le chĂȘne creux du village de Rosterch est considĂ©rĂ© comme un arbre remarquable. Son Ăąge est estimĂ© entre 300 et 500 ans.
Patrimoine naturel
Lâouest de la commune, en direction de Tregornan et de la TrinitĂ© fait partie du Site Natura 2000 RiviĂšre EllĂ©, FR5300006[37].
HĂ©raldique
Blason | D'argent au croissant de sable accompagné de trois étoiles de gueules; au chef de sable émanché de deux piÚces et deux demies chargée de deux et deux demies mouchetures d'hermine d'argent, les demies mouvantes des flancs. |
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Détails | Armes de la famille Le Trancher. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
- Roque Carrion, Commandant Icare dans la RĂ©sistance.
- Dominique Carlac'h, athlÚte spécialiste du 400 mÚtres, et dirigeante d'entreprise.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Gourin sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rostrenen - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Plouray et Rostrenen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rostrenen - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Plouray et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- « Ătymologie et Histoire de Plouray », sur infobretagne.com (consultĂ© le ).
- « Chùteau des Salles à Sainte-Brigitte », sur Infobretagne.com (consulté le ).
- ThĂ©odore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congĂ©able », Revue critique de lĂ©gislation et de jurisprudence,â , p. 257-258 (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Secrétariat d'état à la culture, Le Faouët et Gourin, inventaire topographique, Imprimerie Nationale, .
- "Les arriÚres-fiefs de la seigneurie de Guémené par M.L.Galles", bulletin de la société polymathique du Morbihan,2e semestre 1867
- Dr Alfred Fouquet, Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiÚne du Morbihan, Vannes, Impr. de J.-M. Galles, (lire en ligne), page 6.
- « Journal officiel de la République française. Débats parlementaires. Chambre des députés », .
- ACAM-MEMORIAL, « Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
- « Municipales à Plouray : un 7e mandat pour Michel Morvant », sur Le Télégramme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- voir Site de Drukpa Plouray
- Drukpa Plouray
- Programme de la visite de Sa Sainteté le Dalaï Lama en France
- « SITE NATURA 2000 - RiviÚre Ellé », DIREN -Bretagne.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie de Plouray
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Plouray sur le site de l'Institut géographique national
- Le site du centre Bouddhiste de Plouray