Saint-Connan
Saint-Connan [sÉÌkÉnÉÌ] est une commune du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, dans la rĂ©gion Bretagne, en France.
Saint-Connan | |||||
Le bourg de Saint Connan et son Ă©tang. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | CĂŽtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Kreiz-Breizh | ||||
Maire Mandat |
Jean-Yves Philippe 2020-2026 |
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Code postal | 22480 | ||||
Code commune | 22284 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Connanais, Saint-Connanaise | ||||
Population municipale |
293 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 25âČ 08âł nord, 3° 03âČ 46âł ouest | ||||
Altitude | 210 m Min. 154 m Max. 282 m |
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Superficie | 13,54 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Rostrenen | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : CĂŽtes-d'Armor
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Le nom de la commune en breton est Sant-Konan.
GĂ©ographie
Localisation
Saint-Connan fait partie du canton de Saint-Nicolas-du-Pélem et dépend de l'arrondissement de Guingamp.
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
Deux Ă©tangs se trouvent sur le territoire communal : l'Ă©tang du Bourg (dit aussi l'Ă©tang de Saint-Connan) et l'Ă©tang Neuf.
- L'étang du Bourg en décembre 2009.
- Musée et étang en février 2014.
Hydrographie
Situé à 218 mÚtres d'altitude, Le Fleuve Le Trieux est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Saint-Connan. Deux étangs sont situés sur la commune, l'Etang Neuf et l'Etang du Bourg, d'une superficie de 9 hectares chacun environ, de deux à trois mÚtres de profondeur.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Kerpert », sur la commune de Kerpert, mise en service en 1987[7] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 130,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă 20 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Connan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (92,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (82,2 %), terres arables (10,8 %), forĂȘts (7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Conanus en 1156 et en 1166, treffve Sainct Chorentin en 1535 et en 1536.
Sous lâAncien RĂ©gime, on trouve les formes suivantes : Saint-Connen, Saint-Conan ou Saint-Connan[21].
Saint-Connan vient du nom dâun moine dâorigine armoricaine, disciple de saint Cadoc et/ou de saint Cadvan, Ă©tabli dans l'Ăźle d'Ely (Bardsey island)[21].
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Roc-Conan[22].
Histoire
Moyen-Ăge
Saint-Connan est un dĂ©membrement de l'ancienne paroisse primitive de Pligeaux. La seigneurie de Saint-Connan (Conani terram) est signalĂ©e en 1142, comme ayant Ă©tĂ© donnĂ©e Ă lâabbaye cistercienne de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen) par Alain Le Noir, pĂšre du duc Conan IV qui confirme la donation en 1156 et en 1166[23].
Saint-Connan est une ancienne paroisse succursale de Saint-Gilles-Pligeaux. L'ancienne paroisse primitive de Pligeaux (de « pleiaut » paroisse primitive) englobait jadis outre le territoire actuel de Saint-Gilles-Pligeaux ceux de Kerpert, Saint-Connan, Kerien, Lanrivain, Canihuel, Sainte-Tréphine, Magoar, Le Vieux-Bourg, Saint-Gildas, Le Leslay, Bothoa et Saint-Nicolas-du-Pélem. Pligeaux est réduit dÚs le XIVe siÚcle. Son chef-lieu est transféré de Kerpert à Saint-Gilles avant 1371. L'église Saint-Gilles est l'église paroissiale de Pligeaux dÚs 1393. En 1393, des indulgences lui sont accordées par le Saint-SiÚge : « ... Item pro ecclesia beati Egidii, que parrochiali ecclesie de Pligeau, Corisopitensis diocesis, subdita ⊠Datum ut supra »[24].
Saint-Gilles-Pligeaux (Pleiaut) est mentionnĂ© dĂšs 1146 dans un acte de Conan IV (duc de Bretagne et fils d'Alain Le Noir), confirmant la fondation de lâabbaye de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen) en 1142. Saint-Gilles-Pligeaux (Ploegeau) est citĂ© en 1368 dans les bĂ©nĂ©fices du diocĂšse de Quimper, et comme paroisse lors du procĂšs de canonisation de Charles de Blois. Ă la fin de l'Ancien RĂ©gime, la paroisse de Saint-Gilles-Pligeaux possĂšde deux succursales : Kerpert et Saint-Connan. Ă la suite d'un Ă©change avec Saint-Connan, Saint-Gilles-Pligeaux cĂšde les villages de Creniel, Pradou, la Villeneuve, Lescanic et Cosquer en 1836 et reçoit en Ă©change, les villages de KerhouĂ©, Bossant et Jarnay.
Durant la RĂ©volution, la paroisse de Saint-Connan dĂ©pendait du doyennĂ© de Saint-Nicolas-du-PĂ©lem. La premiĂšre municipalitĂ© est Ă©lue au dĂ©but de 1790. Pendant la Terreur, Saint-Connan porte le nom de Roc-Connan (arrĂȘtĂ© du district de Guingamp en date du ).
Saint-Connan devient une paroisse Ă part entiĂšre dĂšs 1804. Par lâordonnance du , Saint-Connan sâest agrandi des villages de Creniel, Pradou, la Villeneuve, Lescanic et Cosquer, et cela, au dĂ©triment de Saint-Gilles-Pligeaux. En Ă©change, Saint-Connan a cĂ©dĂ© Ă Saint-Gilles-Pligeaux, les villages de KerhouĂ©, de Bossant et du Jarnay.
Le est fondé par le comte Alain Le Noir l'abbaye Notre-Dame de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen), de l'ordre de Cßteaux, sur le territoire de Saint-Connan (alors paroisse de Saint-Gilles-Pligeaux). En , le marquis de Pontcallec, chef de la conjuration qui porte son nom, trouve refuge dans l'abbaye de Coat-Mallouen.
La PremiĂšre Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Connan porte les noms de 65 soldats morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale; parmi eux Jean Philippe[Note 7] et Lucien Philippe[Note 8], tous deux décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[25].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Connan porte les noms de 4 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale (Henri Lepvrier, soldat du 48e régiment d'infanterie, mort le à Flavigny-le-Grand-et-Beaurain (Aisne) ; Toussaint Le Naoutec, marsouin au 21e régiment d'infanterie coloniale, mort le à Sainte-Menehould (Marne) ; Jean Lavenan, tué par les Allemands le à Kerien (CÎtes-du-Nord) ; Yves Steunou, mort le à Boutigny-sur-Opton (Eure-et-Loir) ainsi que celui d'Auguste Steunou (frÚre du précédent, requis du STO, mort en Allemagne le )[25].
Joseph Raoult[Note 9], résistant FTPF, fut fusillé par les Allemands le dans les jardins du presbytÚre de Saint-Connan[26].
Un "Musée de la résistance en Argoat" a ouvert en 2012 à Saint-Connan afin de rappeler les actions du maquis de Coat-Mallouen[27].
L'aprĂšs Seconde Guerre mondiale
Jean Hamonic, marsouin au 22e régiment d'infanterie coloniale, est mort de ses blessures le à l'hÎpital de Cholon à Saïgon pendant la Guerre d'Indochine[25].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[29].
En 2020, la commune comptait 293 habitants[Note 10], en diminution de 4,25 % par rapport Ă 2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Monuments et lieux à l'inventaire général du patrimoine culturel
Allée couverte du Parc-Kerdic classée aux monuments historiques.
Autres monuments et lieux
- Ătang Neuf de Saint-Connan
- Ătang du bourg de Saint-Connan
- Fontaine Saint-Corentin
- Ăglise paroissiale Saint-Corentin
- Chapelle Notre-Dame du Logou : cette chapelle fut édifiée par les moines de l'abbaye de Coat-Mallaouen au XVe siÚcle, mais de la chapelle initiale ne subsistent qu'une partie de la façade ouest et du cÎté sud. Cette chapelle a servi de cache pour les résistants en . Son pardon a lieu le 3e dimanche de septembre.
- Saint-Connan : l'Ătang Neuf (vu du MusĂ©e de la RĂ©sistance en Argoat).
- La chapelle Notre-Dame du Logou : vue extérieure d'ensemble.
- Statue de Notre-Dame du Logou (mur extérieur de la chapelle).
- Calvaire prĂšs de la Chapelle Notre-Dame du Logou.
- L'Ă©glise paroissiale Saint-Corentin.
- Le clocher de l'Ă©glise paroissiale Saint-Corentin.
- La fontaine Saint-Corentin.
Lieux culturels
Le MusĂ©e de la RĂ©sistance en Argoat de l'Ătang-Neuf s'inscrit dans un lieu porteur de mĂ©moire. C'est au cĆur de la forĂȘt de Coatmallouen que se met en place, en , le maquis de PlĂ©sidy Ă Saint-Connan. Fort de plusieurs centaines d'hommes, il affronte les troupes d'occupation lors de l'attaque lancĂ©e contre lui le et participe Ă la LibĂ©ration de Guingamp et de sa rĂ©gion. L'histoire de la Seconde Guerre mondiale et de la RĂ©sistance dans l'ouest des CĂŽtes d'Armor y est racontĂ©e Ă travers cinq espaces d'expositions et une salle de projection.
- Attestation des autorités allemandes d'occupation permettant à une personne de pénétrer en zone interdite.
- "Radio biscuit" (poste de radio clandestin utilisé par les résistants, les SAS et le réseau Jedburgh).
- Container de parachutage.
- Exemple de contenus de containers parachutés.
- Citation à l'ordre du régiment d'Yvonne Rivoalan (elle reçut également la Croix de guerre avec étoile de bronze).
Voir aussi
Articles connexes
Pour approfondir
Bibliographie
- Jean Dathanat, Histoire du maquis de Saint-Connan Coat Mallouen - Français ? Peut-ĂȘtre !
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Jean Philippe, caporal au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Audigny (Aisne).
- Lucien Philippe, soldat au 141e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Nieuport (Belgique).
- Joseph Raoult, né le à Saint-Gilles-Pligeaux.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Kerpert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Connan et Kerpert », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Kerpert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Connan et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- infobretagne.com, « Ătymologie et Histoire de Saint-Connan ».
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Connan », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
- Mor., Pr. I, 641
- Archives du Vatican
- « Saint-Connan Monument aux Morts », sur memorialgenweb.org.
- « Saint-Connan Plaque commémorative RAOULT Joseph », sur memorialgenweb.org.
- « Stage Peinture Ă l'huile et clair-obscur animĂ© par », sur L'Ătang Neuf - Art - MusĂ©e - PĂȘche (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.