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Saint-Connan

Saint-Connan [sɛ̃kɔnɑ̃] est une commune du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, dans la rĂ©gion Bretagne, en France.

Saint-Connan
Saint-Connan
Le bourg de Saint Connan et son Ă©tang.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes du Kreiz-Breizh
Maire
Mandat
Jean-Yves Philippe
2020-2026
Code postal 22480
Code commune 22284
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Connanais, Saint-Connanaise
Population
municipale
293 hab. (2020 en diminution de 4,25 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 22 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 25â€Č 08″ nord, 3° 03â€Č 46″ ouest
Altitude 210 m
Min. 154 m
Max. 282 m
Superficie 13,54 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Rostrenen
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Connan
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Saint-Connan

    Le nom de la commune en breton est Sant-Konan.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Saint-Connan fait partie du canton de Saint-Nicolas-du-Pélem et dépend de l'arrondissement de Guingamp.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Connan
    Plésidy Senven-Léhart
    de Saint-Connan Saint-Gildas
    Saint-Gilles-Pligeaux

    GĂ©ologie et relief

    Deux Ă©tangs se trouvent sur le territoire communal : l'Ă©tang du Bourg (dit aussi l'Ă©tang de Saint-Connan) et l'Ă©tang Neuf.

    • L'Ă©tang du Bourg en dĂ©cembre 2009.
      L'étang du Bourg en décembre 2009.
    • MusĂ©e et Ă©tang en fĂ©vrier 2014.
      Musée et étang en février 2014.

    Hydrographie

    SituĂ© Ă  218 mĂštres d'altitude, Le Fleuve Le Trieux est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Saint-Connan. Deux Ă©tangs sont situĂ©s sur la commune, l'Etang Neuf et l'Etang du Bourg, d'une superficie de 9 hectares chacun environ, de deux Ă  trois mĂštres de profondeur.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 997 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 15,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Kerpert », sur la commune de Kerpert, mise en service en 1987[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 130,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  20 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Connan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (92,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (82,2 %), terres arables (10,8 %), forĂȘts (7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Conanus en 1156 et en 1166, treffve Sainct Chorentin en 1535 et en 1536.
    Sous l’Ancien RĂ©gime, on trouve les formes suivantes : Saint-Connen, Saint-Conan ou Saint-Connan[21].

    Saint-Connan vient du nom d’un moine d’origine armoricaine, disciple de saint Cadoc et/ou de saint Cadvan, Ă©tabli dans l'Ăźle d'Ely (Bardsey island)[21].

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Roc-Conan[22].

    Histoire

    Moyen-Âge

    Saint-Connan est un dĂ©membrement de l'ancienne paroisse primitive de Pligeaux. La seigneurie de Saint-Connan (Conani terram) est signalĂ©e en 1142, comme ayant Ă©tĂ© donnĂ©e Ă  l’abbaye cistercienne de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen) par Alain Le Noir, pĂšre du duc Conan IV qui confirme la donation en 1156 et en 1166[23].

    Saint-Connan est une ancienne paroisse succursale de Saint-Gilles-Pligeaux. L'ancienne paroisse primitive de Pligeaux (de « pleiaut » paroisse primitive) englobait jadis outre le territoire actuel de Saint-Gilles-Pligeaux ceux de Kerpert, Saint-Connan, Kerien, Lanrivain, Canihuel, Sainte-TrĂ©phine, Magoar, Le Vieux-Bourg, Saint-Gildas, Le Leslay, Bothoa et Saint-Nicolas-du-PĂ©lem. Pligeaux est rĂ©duit dĂšs le XIVe siĂšcle. Son chef-lieu est transfĂ©rĂ© de Kerpert Ă  Saint-Gilles avant 1371. L'Ă©glise Saint-Gilles est l'Ă©glise paroissiale de Pligeaux dĂšs 1393. En 1393, des indulgences lui sont accordĂ©es par le Saint-SiĂšge : « ... Item pro ecclesia beati Egidii, que parrochiali ecclesie de Pligeau, Corisopitensis diocesis, subdita 
 Datum ut supra »[24].

    Village et Ă©glise Saint-Corentin de Saint-Connan, carte postale, v. 1904-0908.

    Saint-Gilles-Pligeaux (Pleiaut) est mentionnĂ© dĂšs 1146 dans un acte de Conan IV (duc de Bretagne et fils d'Alain Le Noir), confirmant la fondation de l’abbaye de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen) en 1142. Saint-Gilles-Pligeaux (Ploegeau) est citĂ© en 1368 dans les bĂ©nĂ©fices du diocĂšse de Quimper, et comme paroisse lors du procĂšs de canonisation de Charles de Blois. À la fin de l'Ancien RĂ©gime, la paroisse de Saint-Gilles-Pligeaux possĂšde deux succursales : Kerpert et Saint-Connan. À la suite d'un Ă©change avec Saint-Connan, Saint-Gilles-Pligeaux cĂšde les villages de Creniel, Pradou, la Villeneuve, Lescanic et Cosquer en 1836 et reçoit en Ă©change, les villages de KerhouĂ©, Bossant et Jarnay.

    Durant la RĂ©volution, la paroisse de Saint-Connan dĂ©pendait du doyennĂ© de Saint-Nicolas-du-PĂ©lem. La premiĂšre municipalitĂ© est Ă©lue au dĂ©but de 1790. Pendant la Terreur, Saint-Connan porte le nom de Roc-Connan (arrĂȘtĂ© du district de Guingamp en date du ).

    Saint-Connan devient une paroisse Ă  part entiĂšre dĂšs 1804. Par l’ordonnance du , Saint-Connan s’est agrandi des villages de Creniel, Pradou, la Villeneuve, Lescanic et Cosquer, et cela, au dĂ©triment de Saint-Gilles-Pligeaux. En Ă©change, Saint-Connan a cĂ©dĂ© Ă  Saint-Gilles-Pligeaux, les villages de KerhouĂ©, de Bossant et du Jarnay.

    Le est fondé par le comte Alain Le Noir l'abbaye Notre-Dame de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen), de l'ordre de Cßteaux, sur le territoire de Saint-Connan (alors paroisse de Saint-Gilles-Pligeaux). En , le marquis de Pontcallec, chef de la conjuration qui porte son nom, trouve refuge dans l'abbaye de Coat-Mallouen.

    La PremiĂšre Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saint-Connan porte les noms de 65 soldats morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale; parmi eux Jean Philippe[Note 7] et Lucien Philippe[Note 8], tous deux décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[25].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saint-Connan porte les noms de 4 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale (Henri Lepvrier, soldat du 48e régiment d'infanterie, mort le à Flavigny-le-Grand-et-Beaurain (Aisne) ; Toussaint Le Naoutec, marsouin au 21e régiment d'infanterie coloniale, mort le à Sainte-Menehould (Marne) ; Jean Lavenan, tué par les Allemands le à Kerien (CÎtes-du-Nord) ; Yves Steunou, mort le à Boutigny-sur-Opton (Eure-et-Loir) ainsi que celui d'Auguste Steunou (frÚre du précédent, requis du STO, mort en Allemagne le )[25].

    Plaque commémorative du maquis de Coat-Mallouen.
    Saint-Connan : le monument commémoratif de la Résistance.

    Joseph Raoult[Note 9], résistant FTPF, fut fusillé par les Allemands le dans les jardins du presbytÚre de Saint-Connan[26].

    Un "Musée de la résistance en Argoat" a ouvert en 2012 à Saint-Connan afin de rappeler les actions du maquis de Coat-Mallouen[27].

    L'aprĂšs Seconde Guerre mondiale

    Jean Hamonic, marsouin au 22e régiment d'infanterie coloniale, est mort de ses blessures le à l'hÎpital de Cholon à Saïgon pendant la Guerre d'Indochine[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1953 1960 Yves Lavenan radical Agriculteur
    1960 1983 Charles Le Bizec Agriculteur
    1983 En cours Jean-Yves Philippe PS Architecte
    Président de la Communauté de communes du Kreiz-Breizh (2008-2020)
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 293 habitants[Note 10], en diminution de 4,25 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    822808977795872871937921919
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    902901958845894872904905944
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    944967970846806703619546544
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    530469400400331317301296311
    2014 2019 2020 - - - - - -
    306290293------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Allée couverte du Park-Kerdic à Saint-Connan

    Monuments et lieux à l'inventaire général du patrimoine culturel

    Allée couverte du Parc-Kerdic classée aux monuments historiques.

    Autres monuments et lieux

    • Étang Neuf de Saint-Connan
    • Étang du bourg de Saint-Connan
    • Fontaine Saint-Corentin
    • Église paroissiale Saint-Corentin
    • Chapelle Notre-Dame du Logou : cette chapelle fut Ă©difiĂ©e par les moines de l'abbaye de Coat-Mallaouen au XVe siĂšcle, mais de la chapelle initiale ne subsistent qu'une partie de la façade ouest et du cĂŽtĂ© sud. Cette chapelle a servi de cache pour les rĂ©sistants en . Son pardon a lieu le 3e dimanche de septembre.
    • Saint-Connan : l'Étang Neuf (vu du MusĂ©e de la RĂ©sistance en Argoat).
      Saint-Connan : l'Étang Neuf (vu du MusĂ©e de la RĂ©sistance en Argoat).
    • La chapelle Notre-Dame du Logou : vue extĂ©rieure d'ensemble.
      La chapelle Notre-Dame du Logou : vue extérieure d'ensemble.
    • Statue de Notre-Dame du Logou (mur extĂ©rieur de la chapelle).
      Statue de Notre-Dame du Logou (mur extérieur de la chapelle).
    • Calvaire prĂšs de la Chapelle Notre-Dame du Logou.
      Calvaire prĂšs de la Chapelle Notre-Dame du Logou.
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Corentin.
      L'Ă©glise paroissiale Saint-Corentin.
    • Le clocher de l'Ă©glise paroissiale Saint-Corentin.
      Le clocher de l'Ă©glise paroissiale Saint-Corentin.
    • La fontaine Saint-Corentin.
      La fontaine Saint-Corentin.

    Lieux culturels

    MusĂ©e de la RĂ©sistance en Argoat perchĂ© sur l'Étang-Neuf

    Le MusĂ©e de la RĂ©sistance en Argoat de l'Étang-Neuf s'inscrit dans un lieu porteur de mĂ©moire. C'est au cƓur de la forĂȘt de Coatmallouen que se met en place, en , le maquis de PlĂ©sidy Ă  Saint-Connan. Fort de plusieurs centaines d'hommes, il affronte les troupes d'occupation lors de l'attaque lancĂ©e contre lui le et participe Ă  la LibĂ©ration de Guingamp et de sa rĂ©gion. L'histoire de la Seconde Guerre mondiale et de la RĂ©sistance dans l'ouest des CĂŽtes d'Armor y est racontĂ©e Ă  travers cinq espaces d'expositions et une salle de projection.

    • Attestation des autoritĂ©s allemandes d'occupation permettant Ă  une personne de pĂ©nĂ©trer en zone interdite.
      Attestation des autorités allemandes d'occupation permettant à une personne de pénétrer en zone interdite.
    • "Radio biscuit" (poste de radio clandestin utilisĂ© par les rĂ©sistants, les SAS et le rĂ©seau Jedburgh).
      "Radio biscuit" (poste de radio clandestin utilisé par les résistants, les SAS et le réseau Jedburgh).
    • Container de parachutage.
      Container de parachutage.
    • Exemple de contenus de containers parachutĂ©s.
      Exemple de contenus de containers parachutés.
    • Citation Ă  l'ordre du rĂ©giment d'Yvonne Rivoalan (elle reçut Ă©galement la Croix de guerre avec Ă©toile de bronze).
      Citation à l'ordre du régiment d'Yvonne Rivoalan (elle reçut également la Croix de guerre avec étoile de bronze).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jean Dathanat, Histoire du maquis de Saint-Connan Coat Mallouen - Français ? Peut-ĂȘtre !

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Jean Philippe, caporal au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Audigny (Aisne).
    8. Lucien Philippe, soldat au 141e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Nieuport (Belgique).
    9. Joseph Raoult, né le à Saint-Gilles-Pligeaux.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Kerpert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Connan et Kerpert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Kerpert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Connan et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Saint-Connan ».
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Connan », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    23. Mor., Pr. I, 641
    24. Archives du Vatican
    25. « Saint-Connan Monument aux Morts », sur memorialgenweb.org.
    26. « Saint-Connan Plaque commémorative RAOULT Joseph », sur memorialgenweb.org.
    27. « Stage Peinture Ă  l'huile et clair-obscur animĂ© par », sur L'Étang Neuf - Art - MusĂ©e - PĂȘche (consultĂ© le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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