Peyre en Aubrac
Peyre en Aubrac est une commune française, située dans le département de la LozÚre en région Occitanie.
Peyre en Aubrac | |
La maison de la Terre de Peyre, située à Aumont-Aubrac. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | LozĂšre |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac (siÚge) |
Maire Mandat |
Alain Astruc 2020-2026 |
Code postal | 48130 |
Code commune | 48009 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Peyrens |
Population municipale |
2 295 hab. (2020) |
Densité | 15 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 42âČ 28âł nord, 3° 16âČ 58âł est |
Altitude | Min. 852 m Max. 1 258 m |
Superficie | 153,3 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Chély-d'Apcher (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Peyre en Aubrac (bureau centralisateur) |
LĂ©gislatives | Circonscription de la LozĂšre |
Localisation | |
Liens | |
Site web | peyreenaubrac.fr |
De statut administratif commune nouvelle, elle est née le de la fusion des communes d'Aumont-Aubrac, La Chaze-de-Peyre, Fau-de-Peyre, Javols, Sainte-Colombe-de-Peyre et Saint-Sauveur-de-Peyre.
GĂ©ographie
Hydrographie
Les eaux fluviales s'Ă©coulent vers la TruyĂšre au nord-est, par la Rimeize et le Triboulin et, au sud, vers la Colagne par la Crueize.
Voies de communication et transports
Elle est traversée du sud au nord par l'autoroute A75, qui franchit le col des Issartets, plus haut col autoroutier de France[2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[3].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Deux-Verg », sur la commune de Deux-Verges, mise en service en 1980[8] et qui se trouve Ă 23 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 7,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 036,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rodez-Aveyron », sur la commune de Salles-la-Source, dans le dĂ©partement de l'Aveyron, mise en service en 1972 et Ă 68 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Peyre en Aubrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Peyre en Aubrac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Peyre en Aubrac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[22]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 6] - [22] - [23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 10,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 631 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 50 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 3 %, Ă comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 1].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003.
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[26].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Peyre en Aubrac est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[27].
Toponymie
Elle tire son nom de la Baronnie de Peyre, l'une des plus puissantes du GĂ©vaudan au Moyen Ăge et du plateau de l'Aubrac.
Histoire
La commune nouvelle est créée le par la fusion des communes d'Aumont-Aubrac, La Chaze-de-Peyre, Fau-de-Peyre, Javols, Sainte-Colombe-de-Peyre et Saint-Sauveur-de-Peyre qui deviennent des communes déléguées[28]. Son chef-lieu est situé à Aumont-Aubrac.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Peyre en Aubrac est membre de la communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac[29], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Peyre en Aubrac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[30].
Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă l'arrondissement de Mende, Ă la circonscription administrative de l'Ătat de la LozĂšre et Ă la rĂ©gion Occitanie[29].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Peyre en Aubrac pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[29], et de la circonscription de la LozÚre pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[31].
Liste des maires
Communes déléguées
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (derniÚre pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Aumont-Aubrac (siĂšge) |
48009 | CC de la Terre de Peyre | 26,53 | 1 081 (2014) | 41 |
La Chaze-de-Peyre | 48047 | CC de la Terre de Peyre | 19,33 | 314 (2014) | 16 |
Fau-de-Peyre | 48060 | CC de la Terre de Peyre | 26,72 | 189 (2014) | 7,1 |
Javols | 48076 | CC de la Terre de Peyre | 31,21 | 328 (2014) | 11 |
Sainte-Colombe-de-Peyre | 48142 | CC de la Terre de Peyre | 21,9 | 190 (2014) | 8,7 |
Saint-Sauveur-de-Peyre | 48183 | CC de la Terre de Peyre | 27,61 | 284 (2014) | 10 |
Circonscriptions Ă©lectorales
à la suite du décret du , la commune est entiÚrement rattachée au canton de Peyre en Aubrac, dont elle est le bureau centralisateur[33].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 2 295 habitants[Note 7].
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est un peu plus ùgée que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un ùge inférieur à 30 ans s'élÚve à 28,7 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7 %). à l'inverse, le taux de personnes d'un ùge supérieur à 60 ans (33,6 %) est supérieur au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 1 177 hommes pour 1 110 femmes, soit un taux de 51,46 % d'hommes, supérieur au taux départemental (49,96 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Culture locale et patrimoine
Aumont-Aubrac
- Mairie d'Aumont-Aubrac.
- Maison de la Terre de Peyre Ă Aumont-Aubrac.
- Ăcole primaire publique d'Aumont-Aubrac.
- Ăcole primaire privĂ©e La PrĂ©sentation d'Aumont-Aubrac.
Ăglise Saint-Ătienne d'Aumont-Aubrac
c'est un ancien prieurĂ© bĂ©nĂ©dictin, remontant Ă 1061, attestĂ© en 1123, au cĆur de la baronnie de Peyre. TrĂšs remaniĂ©e, des XIIe et XIIIe siĂšcles, elle a conservĂ© son chĆur roman et plusieurs chapelles latĂ©rales gothiques. Le chevet est en cul-de-four avec des nervures en arc brisĂ© et, Ă l'intĂ©rieur, les chapiteaux sculptĂ©s des troncs de colonnes reposant sur des culs-de-lampe. Autres culs-de-lampe Ă figures humaines au bas des ogives des chapelles et des nervures de la nef. Le clocher, achevĂ© au XIXe siĂšcle, est excentrĂ©, au sud-est du chĆur. Mobilier et vitraux modernes.
Le pĂšlerinage de Compostelle
SituĂ©e sur la via Podiensis, des chemins de Compostelle, Aumont-Aubrac est une incontournable Ă©tape de la traversĂ©e des monts dâAubrac. On y vient de Saint-Alban-sur-Limagnole, la prochaine commune Ă©tant Malbouzon. La commune est Ă©galement le point de dĂ©part du chemin pĂšlerin de Saint-Guilhem-le-DĂ©sert.
La Chaze-de-Peyre
- Ăglise de la Purification de La Chaze-de-Peyre. Ăglise en granit datant du XIIe siĂšcle.
- Chapelle de Bastide (ou de La PignÚde) située sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Javols
- Ăglise Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Javols, dĂ©diĂ©e aux saints Gervais et Protais.
- chĂąteau du Bois du Mont
Sainte-Colombe-de-Peyre
- Ăglise Sainte-Colombe de Sainte-Colombe-de-Peyre.
- Ăcole primaire publique de Sainte-Colombe-de-Peyre.
Saint-Sauveur-de-Peyre
- Le Roc de Peyre, Ă Saint-Sauveur-de-Peyre.
- Ăglise Saint-Joseph de Saint-Sauveur-de-Peyre.
- Gare de Saint-Sauveur-de-Peyre.
- Ăcole primaire publique de Saint-Sauveur-de-Peyre.
- Chapelle la Bastide sur la via Podiensis prĂšs de Lasbros, Condom-d'Aubrac.
- Ăglise de la Purification de La Chaze-de-Peyre.
- Ăglise Saint-Ătienne d'Aumont-Aubrac.
- Ăglise Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Javols.
- Ăglise Saint-Joseph de Saint-Sauveur-de-Peyre.
- Ăglise Saint-Martin de Fau-de-Peyre.
Voir aussi
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
Autres sites
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Structurae
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Deux-Verg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Peyre en Aubrac et Deux-Verges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Deux-Verg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
- « Orthodromie entre Peyre en Aubrac et Salles-la-Source », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Peyre en Aubrac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « DĂ©fense des forĂȘts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Les risques majeurs dans la LozĂšre », sur www.lozere.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyre en Aubrac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Les risques majeurs dans la LozÚre », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- « Recueil des actes administratifs des services de l'Ătat en LozĂšre », sur http://www.lozere.gouv.fr/, 15 septembre 2016, p 144-148 (consultĂ© le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Peyre en Aubrac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la LozÚre (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- « LâĂ©lection du nouveau conseil municipal avec un public restreint », sur Midi Libre, (consultĂ© le ).
- Décret n° 2020-206 du 5 mars 2020, modifiant le décret n° 2014-245 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la LozÚre.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la LozĂšre (48) », (consultĂ© le ).