Saint-Alban-sur-Limagnole
Saint-Alban-sur-Limagnole est une commune française, située dans le nord du département de la Lozère en région Occitanie.
Saint-Alban-sur-Limagnole | |
L'Ă©glise Saint-Alban. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
Département | Lozère |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac |
Maire Mandat |
Samuel Soulier 2020-2026 |
Code postal | 48120 |
Code commune | 48132 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Saint-Albanais |
Population municipale |
1 378 hab. (2020 ) |
Densité | 27 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 44° 46′ 55″ nord, 3° 23′ 21″ est |
Altitude | Min. 872 m Max. 1 305 m |
Superficie | 51,23 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Chély-d'Apcher (commune de la couronne) |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton de Saint-Alban-sur-Limagnole (bureau centralisateur) |
Législatives | Circonscription de la Lozère |
Localisation | |
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Truyère, la Limagnole, le ruisseau de Guitard, le ruisseau de la Gardelle, le ruisseau de Fontanille et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Alban-sur-Limagnole est une commune rurale qui compte 1 378 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 3 109 habitants en 1911. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Saint-Albanais ou Saint-Albanaises.
En occitan, le village se nomme Sent Auban, prononcé Sent Aoubo.
GĂ©ographie
Localisation
Commune située dans le nord du département de la Lozère, proche de celui de la Haute-Loire.
Le village est au cœur d'un bassin d'effondrement de grès rouge et argiles bariolées, prolongé au nord vers le Malzieu. La Limagnole, affluent de la Truyère, le traverse. Le bourg s'est établi sur le versant sud au débouché des cols de la Margeride, autour du château féodal et de l'église dédiée à saint Alban, premier martyr d'Angleterre.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 1] sont recensées sur la commune[2] :
Urbanisme
Typologie
Saint-Alban-sur-Limagnole est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [5] - [I 1] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,2 %), prairies (27,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %), zones urbanisées (2,5 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Alban-sur-Limagnole est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[8]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[9].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Truyère, la Limagnole, le ruisseau de Guitard et le ruisseau de la Gardelle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003[10] - [8].
Saint-Alban-sur-Limagnole est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[11]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 4] - [11] - [12].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[13].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 17,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 829 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 407 sont en en aléa moyen ou fort, soit 49 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Alban-sur-Limagnole est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[16].
Histoire
Saint-Alban fut d'abord une forteresse féodale, construite en 1245 et que les Anglais occupèrent en 1364. Au Moyen Âge, c'était une des douze seigneuries du Gévaudan. Au XVIe siècle, les Calvisson construisirent près de la forteresse un vaste château en quadrilatère irrégulier, flanqué aux quatre angles de tours massives et inégales. Un fossé entourait l'enceinte, que franchissait un pont-levis.
En 1837, une partie de la commune est distraite pour constituer Lajo[17].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].
En 2020, la commune comptait 1 378 habitants[Note 5], en augmentation de 2,53 % par rapport à 2014 (Lozère : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,6 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (43,8 %) est supérieur au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 678 hommes pour 686 femmes, soit un taux de 50,29 % de femmes, supérieur au taux départemental (50,04 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Sports et loisirs
Le club phare de Saint-Alban est l'Entente Nord Lozère (football), entente entre plusieurs clubs des différentes communes du nord du département (notamment avec Saint-Chély-d'Apcher). Le club a évolué quelques années en 4e division au début des années 1990. Il a la particularité de jouer dans le district du Cantal (ligue Auvergne) et non avec le Languedoc-Roussillon, pour des raisons de proximité géographique.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 624 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 298 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 650 €[I 5] (20 420 € dans le département[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4,2 % | 3,9 % | 5,6 % |
DĂ©partement[I 8] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 722 personnes, parmi lesquelles on compte 66,8 % d'actifs (61,2 % ayant un emploi et 5,6 % de chômeurs) et 33,2 % d'inactifs[Note 7] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 10]. Elle compte 577 emplois en 2018, contre 685 en 2013 et 682 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 452, soit un indicateur de concentration d'emploi de 127,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,4 %[I 11].
Sur ces 452 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 245 travaillent dans la commune, soit 54 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 82,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Alban de Saint-Alban-sur-Limagnole
L’église Saint-Alban de Saint-Alban-sur-Limagnole a été inscrite au titre des monuments historiques en 1985[24]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[24].
Il s'agit d'une église romane, où l'on ressent l’influence auvergnate. Elle se situe en contrebas de la grand-route, d'où l'on voit bien sa riche abside aux arcades harmonieuses, sous le toit arrondi. Un imposant clocher-mur à trois baies, construit en 1891, surplombe cette abside ; il porte, accroché à sa croix, une bête du Gévaudan.
- Château de Saint-Alban
- Centre hospitalier François-Tosquelles.
- Chapelle de l'hĂ´pital psychiatrique de Saint-Alban-sur-Limagnole.
Le pèlerinage de Compostelle
Sur la via Podiensis des chemins de Compostelle.
On vient de Chanaleilles, la prochaine commune est Aumont-Aubrac et son église Saint-Étienne.
Personnalités liées à la commune
- Thomas Bluget de Valdenuit, préfet de la Lozère.
- Jean-Baptiste Hermet[25], employé de Gustave Eiffel, a participé à la construction du viaduc de Garabit. C'est lui qui a hissé le drapeau français au sommet de la tour lors de l'inauguration de la tour Eiffel le .
- Paul Éluard, écrivain, Denise Glaser, notamment, se sont réfugiés au château de Saint-Alban, actuel centre hospitalier François-Tosquelles, durant la Seconde Guerre mondiale.
- François Tosquelles, psychiatre, l'un des inventeurs de la psychothérapie institutionnelle, a longtemps dirigé l'hôpital psychiatrique de Saint-Alban.
- Frantz Fanon, psychiatre et essayiste, est interne de Tosquelles pendant 15 mois, en 1952.
HĂ©raldique
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Le blasonnement est : palé d'azur et de gueules, semé de roses d'or brochant sur les partitions ; sur le tout d'argent au noyer arraché de sinople. Ce blason est celui de Louet de Calvisson seigneur de Saint-Alban en 1440. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Alban-sur-Limagnole (48132) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Alban-sur-Limagnole » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Alban-sur-Limagnole » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Alban-sur-Limagnole » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Alban-sur-Limagnole », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de la Truyère et de la Rimeize aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Alban-sur-Limagnole », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le )
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Alban-sur-Limagnole », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Samuel Soulier succède à Jean-Paul Bonhomme à la mairie », Midi Libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).
- « Eglise paroissiale Saint-Alban », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- NĂ© le Ă Saint-Alban, selon cette [image] acte de naissance.