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Oradour (Charente)

Oradour est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Oradour
Oradour (Charente)
La mairie et le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Didier Lavergne
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16248
Démographie
Population
municipale
150 hab. (2020 en diminution de 18,03 % par rapport à 2014)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 54′ 27″ nord, 0° 01′ 50″ ouest
Altitude Min. 65 m
Max. 120 m
Superficie 14,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Oradour
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Oradour
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Oradour
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Oradour

    Géographie

    Localisation et accès

    Oradour est une commune du Nord Charente située à 3,5 km au nord-ouest d'Aigre et 32 km au nord d'Angoulême, non loin de la Charente-Maritime et des Deux-Sèvres.

    Oradour est aussi à 15 km au nord de Rouillac, 22 km au sud-ouest de Ruffec, 23 km à l'est de Matha[1].

    À l'écart des routes importantes, la commune d'Oradour est longée au sud par la D 739 entre Aigre et Matha. La D 67 d'Aigre à Barbezières à l'ouest passe devant la mairie[2].

    La gare la plus proche est celle de Luxé à 11 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune comporte les hameaux de Chillé et Germeville, et des fermes et lieux-dits comme le Coudret, le Perret, le Châtelet, Chanteraine, ... La mairie d'Oradour et l'église entourée de son cimetière sont situées au centre de la commune et isolées de toute autre construction[2].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Oradour
    Lupsault Saint-Fraigne
    Barbezières Oradour Aigre
    Verdille Mons

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Le Kimméridgien occupe plus particulièrement la surface communale. Des alluvions du Quaternaire occupent les vallées[3] - [4] - [5].

    Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement relevée à l'ouest, d'une altitude moyenne de 80 m. Le point culminant de la commune est à une altitude de 120 m, situé sur la limite sud. Le point le plus bas est à 65 m, situé le long de l'Aume à Germeville[2].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Aume, le ruisseau de la couture, le ruisseau de la Citerne, le ruisseau de Saint-Sulpice et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    L'Aume, affluent de la Charente sur sa rive droite et qui passe à Aigre, arrose l'est de la commune, ainsi que son affluent, le Ruisseau de la Couture, qui descend de Couture-d'Argenson.

    Leur large vallée commune est occupée par des marais, le marais de Germeville à l'est et le marais à Rouches d'Oradour au centre.

    Le ruisseau de Saint-Sulpice qui naît sur la limite ouest de la commune passe à Chillé pour rejoindre ces deux marais.

    Le ruisseau de la Citerne, à sec l'été et qui se jette dans l'Aume, limite la commune au sud.

    On trouve quelques sources comme la Font Rougeaud près des marais de Germeville, le Creux Fumaud au sud de Chillé, et la fontaine de la Gaillotte au nord[2].

    • Les pelles sur le ruisseau de la Couture à Germeville.
      Les pelles sur le ruisseau de la Couture à Germeville.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier d'Oradour

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Oradour est une commune rurale[Note 1] - [10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), forêts (8,8 %), cultures permanentes (2,5 %), prairies (1,1 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Oradour est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aume et le ruisseau de la Couture. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[18] - [16].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Oradour.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 43,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 146 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 74 sont en en aléa moyen ou fort, soit 51 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Oratorium en 1131[21].

    L'origine du nom d'Oradour est l'ancien occitan orador « lieu où l'on prie, chapelle », issu lui-même du latin d'église oratorium qui signifie « oratoire »[21] - [Note 2].

    Histoire

    Un prieuré aurait existé dès le XIe siècle au lieu-dit Chillé. Il appartenait au prieuré Notre-Dame de Lanville de l'ordre des bénédictins[22].

    Près de Chillé dans les marais[Note 3] se trouve une grosse pierre calcaire plantée, appelée localement la Grosse Pierre. Il se peut que ce soit une borne seigneuriale délimitant au nord la principauté de Marcillac[23].

    Une maison forte du XVe siècle a existé à Germeville, remplacée par un château en 1870[24]. Il s'agissait de l'ancien logis de Germeville.

    Vers 1065, Raymond Guillaume, seigneur de Germeville, fait don de sa terre à l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély.

    Germeville était le siège d'un arrière-fief qui, au XVe siècle, appartenait à Antoine Valentin, écuyer, fils de Wastre Valentin, seigneur de Saint-Méxant. La branche cadette de la famille Valentin conservera Germeville jusqu'à la fin du XVIIe siècle.

    En 1472, Louis XI autorise sont panetier, Patrice Valentin, seigneur de Saint-Méxant et de Germeville à y construire des maisons fortes.

    En 1695, Valentin François, lieutenant dans le régiment de Durfort-Boissière, se marie avec Anne Faure. En 1738, c'est Bernard Faure, seigneur de Rencureau, qui se disait seigneur de Germeville.

    Chillé était aussi le siège d'une seigneurie qui dépendait de la principauté de Marcillac. Cette terre, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, semble avoir appartenu à François de Pindray, écuyer, seigneur de Montaigon, Ambelle et autres lieux, qui était aussi seigneur du Bouchet à Lupsault[23] - [25].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2014 Yves Clément SE Retraité
    2014 2020 Christian Rousseau Retraité
    2020 En cours Didier Lavergne Retraité

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 17,53 % sur le bâti, 34,02 % sur le non bâti, 6,53 % pour la taxe d'habitation et 12 % de taxe professionnelle(chiffres 2007).

    La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 150 habitants[Note 4], en diminution de 18,03 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    437675705773803861863853784
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    749780736718722641602624593
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    593557518483462425404392348
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    296259250225200203204185155
    2020 - - - - - - - -
    150--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 13,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 56,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 78 hommes pour 77 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3
    90 ou +
    5,2
    15,4
    75-89 ans
    20,8
    33,3
    60-74 ans
    37,7
    23,1
    45-59 ans
    20,8
    7,7
    30-44 ans
    7,8
    12,8
    15-29 ans
    3,9
    6,4
    0-14 ans
    3,9
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[32].

    Lieux et monuments

    Le prieuré Saint-Antoine, actuelle église paroissiale, dont il est fait mention au XIe siècle possède une façade qui semble dater du XIVe siècle et ses voûtes et sa couverture ont été refaites à la fin du XIXe siècle[33]. Sa cloche en bronze dite Marie-Elizabeth date de 1882[34].

    L'actuel château de Germeville a été construit après 1870, à l'emplacement du logis du XVIIIe siècle qui avait remplacé la maison forte détruite. La chapelle date de 1874[24].

    La Grosse Pierre est un menhir en pierre calcaire, situé à Chillé[35].

    • L'église Saint-Antoine et le cimetière
      L'église Saint-Antoine et le cimetière
    • La porte du cimetière
      La porte du cimetière
    • Pompe dans la cour de la mairie
      Pompe dans la cour de la mairie
    • La croix de Germeville
      La croix de Germeville
    • La chapelle de Germeville
      La chapelle de Germeville
    • Le château de Germeville
      Le château de Germeville
    • La Grosse Pierre
      La Grosse Pierre

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces. Voir aussi Oradour-Fanais en Charente limousine, Oradour-Saint-Genest, Oradour-sur-Vayres et Oradour-sur-Glane en Haute-Vienne.
    3. Marais du Dop sur la carte IGN.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique d'Oradour » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Carte du BRGM sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Aulnay », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale d'Oradour », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    8. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. « Les risques près de chez moi - commune d'Oradour », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Oradour », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 509.
    22. « Prieuré de Chillé », notice no IA00040838, base Mérimée, ministère français de la Culture
    23. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 263-264
    24. « Château de Germeville », notice no IA00040840, base Mérimée, ministère français de la Culture
    25. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 525
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Oradour (16248) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    32. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    33. « Église Saint-Antoine », notice no IA00040835, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Cloche de l'église », notice no IM16002109, base Palissy, ministère français de la Culture
    35. (en) Taupin, « Menhir de Chillé », sur www.megalithic.co.uk (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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