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Oradour-sur-Vayres

Oradour-sur-Vayres (Orador de Vairas en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Oradour-sur-Vayres
Oradour-sur-Vayres
Blason de Oradour-sur-Vayres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Richard Simonneau
2020-2026
Code postal 87150
Code commune 87111
Démographie
Gentilé Oratoriens
Population
municipale
1 527 hab. (2020 en diminution de 0,2 % par rapport à 2014)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 00″ nord, 0° 52′ 04″ est
Altitude Min. 246 m
Max. 370 m
Superficie 39,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Oradour-sur-Vayres
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Oradour-sur-Vayres
Liens
Site web http://www.oradour-sur-vayres.fr/

    Ses habitants sont appelés Oratoriens.

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Situation de la commune d'Oradour-sur-Vayres en Haute-Vienne.

    La commune se trouve dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart.

    La commune se situe sur le Plateau du Limousin, dans le Massif central.

    La commune d'Oradour-sur-Vayres a une superficie de 39,1 km2. La plus grande ville la plus proche est Limoges, qui est située à 33 km au nord-est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 105 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Champagnac la R », sur la commune de Champagnac-la-Rivière, mise en service en 1977[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 190,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Oradour-sur-Vayres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,5 %), prairies (36,8 %), forêts (20,1 %), terres arables (3,1 %), zones urbanisées (2,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Oradour-sur-Vayres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Oradour-sur-Vayres.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 19,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Oradour-sur-Vayres est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

    Toponymie

    L'origine du nom d'Oradour est le mot latin oratorium qui signifie oratoire, lieu consacré à la prière[26], qui a donné orador en occitan[Note 8]. Historiquement la commune fait partie de l'aire culturelle occitane.

    Histoire

    Léon Roche, maire de 1921 à 1940 (destitué par Vichy le 3 octobre 1940)[27], est le seul parlementaire de la Haute-Vienne (député SFIO de l'arrondissement de Rochechouart) à ne pas voter les pleins pouvoirs à Philippe Pétain le 10 juillet 1940. Il entrera dans la résistance en 1941[28].

    Le 2 mars 1943, des jeunes d'Oradour-sur-Vayres refusent de passer la visite médicale du Service du travail obligatoire et manifestent contre le Régime de Vichy. Ils partent dans la forêt de Gaboureau y former un maquis, en creusant des caches dans le tuf[29] - [30].

    Jean Fredon (1911-1944), résistant, y fut fusillé avec le capitaine Raymond Faro, chef départemental de l’Armée secrète et sont enterrés à Oradour-sur-Vayres. Une stèle en leur honneur a été érigée dans la cour de l’ancienne prison de Tulle. Aujourd’hui devant une école primaire rappelle le souvenir de cette tragique disparition. Le nom de Jean Fredon a depuis été donné à une rue de Limoges.

    L'après midi du , des résistants Francs-tireurs et partisans de St-Junien font dérailler un convoi ferroviaire allemand à Puymoreau, sur la ligne Rochechouart-Oradour-sur-Vayres[31]. Le 19 juillet, un train blindé réussit à s'approcher d'Oradour-sur-Vayres et les combats reprennent, avec l'appui des FTP de Pressac et Gaboureau et l'Armée Secrète de la forêt de Boubon. Finalement, les allemands se replient : 7 maquisards y perdront la vie[32]. Oradour-sur-Vayres est alors libérée.

    Passé ferroviaire du village

    Réparation de la ligne vers 1910.
    Carte postale de la gare d'Oradour-sur-Vayres vers 1910.
    Horaire de la ligne en 1956.

    De 1880 à 1996, la commune d'Oradour-sur-Vayres a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant, qui, venant de Saint-Laurent-sur-Gorre se dirigeait ensuite vers la gare de Champagnac.
    A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
    Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    2020 En cours Richard Simmoneau
    2008 2020 Guy Ratinaud[34] DVG
    1989 2008 Jean Caperan
    1971 1989 Robert Morange DVD Conseiller général
    1945 1971 Pierre Chambord PCF Conseiller général du canton d'Oradour-sur-Vayres (1951-1970)
    1945 1945 Georges Boyer

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2020, la commune comptait 1 527 habitants[Note 9], en diminution de 0,2 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5642 8392 8682 9763 0583 3483 1283 3653 446
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 3313 3103 2712 9623 1773 3353 4543 3313 293
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 2563 3213 3453 0062 9822 7152 5862 4042 234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 3022 0861 9471 8411 8111 6361 5301 5221 514
    2020 - - - - - - - -
    1 527--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La Voie verte des Hauts de Tardoire offre un itinéraire sécurisé d'Oradour à Châlus à pied, vélo, ou roller[39].

    Les fêtes de la Saint-Christophe se tiennent à Oradour pendant quatre jours et quatre nuits le dernier week-end de juillet: la plus grande fête foraine de la région, la course cycliste, la corrida des feuillardiers, le corso fleuri, les bandas, majorettes et le feu d'artifice attirent jusqu'à 80 000 visiteurs[40].

    Généralités historiques

    Vestiges préhistoriques et antiques

    Le dolmen de la Tamanie fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [41].

    • Deux tumulus près de la gare.
    • Station néolithique au plateau de Parade
    Dolmen de la Tamanie

    Architecture civile

    Maisons près de l'église.
    • Les Chalards : vestiges d'un camp retranché du haut Moyen Âge.
    • Château du Puychevalier, appelé aussi Château Desbrosses (XVIIe siècle) : tourelle. En 1574, il est fait mention d'un François Hugonneau, qui prit plus tard le titre d’écuyer et de seigneur des Brosses-d’Oradour, qui épousa Jeanne de Rousiers, fille de Gabriel, archer de la garde du roi sous François Ier, et de Françoise de Rousiers de Chéronnac.

    Pierre Longeaud-Desbrégères, bourgeois, l'acquis en 1786.

    • Souterrain-refuge médiéval de 55 m, sous la rue Torte.

    Architecture sacrée

    • Église Saint Christophe reconstruite à la fin du XIXe siècle : clocher de l'ancienne église XIe siècle (église délabrée démolie en 1877) ; bénitier monolithe en granit sous le porche, de l'ancienne église ; vitraux XIXe siècle.
    • Nombreuses fontaines guérisseuses : de l'Élysée contre l'épilepsie ; Saint-Christophe contre les maux de ventre ; de Javelaud contre les rhumatismes ; du "Bouna", des Raques, du Ras.

    Patrimoine environnemental

    La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

    • La ZNIEFF continentale de type 2 de la « vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) »[42], soit 2 130,31 hectares, concerne dix communes[Note 10] dont Oradour-sur-Vayres.
    • La ZNIEFF continentale de type 1 de l'« étang de la Monnerie (vallée de la Tardoire) »[43], soit 30,11 hectares, concerne Cussac et Oradour-sur-Vayres. Cette ZNIEFF comprend une chênaie mésophile et une aulnaie-saulaie marécageuse, une mégaphorbiaie de plaine à angéliques, des bras morts de la Tardoire et des mares. On y trouve le râle d'eau (Rallus aquaticus ), la loutre (Lutra lutra), l'hespérie à miroirs (Heteropterus morpheus, papillon menacé en Limousin), le galéruque à 4 taches (Phyllobrotica quadrimaculata) ou le Gnorimus variabilis octopunctatus. Cette ZNIEFF est complètement incluse dans la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) »[42].

    Personnalités liées à la commune

    Naissance

    Héraldique

    Blason de Oradour-sur-Vayres Blason
    D'or au lion couronné de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Enregistrement en parler Limousin à Orador s Vaire YT: una jornada a Bornaseu - IEO Lemosin

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Voir aussi Oradour au nord-ouest du département voisin de la Charente, Oradour-Saint-Genest et Oradour-sur-Glane en Haute-Vienne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Les dix communes de la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) » sont : Châlus, Champagnac-la-Rivière, Champsac, Chéronnac, Cussac, Maisonnais-sur-Tardoire, Oradour-sur-Vayres, Saint-Bazile, Saint-Mathieu et Les Salles-Lavauguyon.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sur Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Champagnac la R - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Oradour-sur-Vayres et Champagnac-la-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Champagnac la R - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Oradour-sur-Vayres et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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    21. « Les risques près de chez moi - commune d'Oradour-sur-Vayres », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 509..
    27. « liste des maires du département de la haute vienne », sur archives haute vienne (consulté le ).
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    29. pascal Plas, visages de la resistance, lucien souny, 249 p. (ISBN 2-84886-033-2), p. 97.
    30. roger Chastaingt, des ftp limousins au combat, lucien souny, 195 p. (ISBN 2-907261-27-4), p. 43.
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    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. La voie verte sur Véloroutes et voies vertes
    40. Le Petit Futé Limousin sur books Google; et images des fêtes, de 2008, et d'avant.
    41. Notice no PA00100410, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) » - 740000072. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
    43. « Étang de la Monnerie (vallée de la Tardoire) » - 740120048. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
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