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Saint-Auvent

Saint-Auvent (Sent Auvenç en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle se situe entre le Haut-Limousin et la Charente limousine. Cette commune rurale se trouve dans le parc naturel régional Périgord-Limousin. L'altitude du bourg est de 295 mÚtres.

Saint-Auvent
Saint-Auvent
La chapelle du sanctuaire Notre-Dame-de-la-Paix.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Bruno Grancoing
2020-2026
Code postal 87310
Code commune 87135
DĂ©mographie
Gentilé Auventais, Auventaises
Population
municipale
958 hab. (2020 en diminution de 1,44 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 48â€Č 23″ nord, 0° 55â€Č 57″ est
Altitude Min. 194 m
Max. 348 m
Superficie 33,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Rochechouart
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Auvent
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Saint-Auvent

    Ses habitants s'appellent les Auventais et les Auventaises[1].

    GĂ©ographie

    Situation de la commune de Saint-Auvent en Haute-Vienne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 034 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rochechouart », sur la commune de Rochechouart, mise en service en 1967[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 953,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă  25 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Auvent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (79,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (45,1 %), prairies (33,1 %), forĂȘts (17,8 %), terres arables (1,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,9 %), eaux continentales[Note 8] (0,9 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Auvent est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Auvent.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 36,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Auvent est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Saint-Auvent, ou « Sent-Auvenç » en langue limousine, est surnommĂ© l’épiscopal, en raison de sa dĂ©pendance envers l'Ă©vĂȘque. C'Ă©tait une cure de l’ancien archiprĂȘtrĂ© de Saint-Junien, anciennement sous le patronage de Saint Pierre-aux-Liens, puis de Saint Auvent par la suite.

    Saint Auvent Ă©tait Ă©vĂȘque et mourut en ce lieu en revenant d’un pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. En 1230, son corps fut dĂ©terrĂ© et placĂ© dans l'Ă©glise de ce qui devint le centre de la paroisse.

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Saint-Auvent faisait partie de la vicomtĂ© de Rochechouart, qui dĂ©pendait administrativement de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Poitiers. En 1603, le vicomte Louis de Rochechouart partagea ses biens entre ses trois fils, RenĂ© devint comte de Saint-Auvent et baron de Montmoreau. Le nouveau comtĂ© ainsi crĂ©Ă© regroupait Saint-Auvent, Marval, Milhaguet, Saint-Martin-de-Jussac, une petite partie de Saint-Junien (dont le Petit Saint-Auvent), l'Ă©tang de la Pouge et l'est de la forĂȘt de Rochechouart. RenĂ© fut comte jusqu'en 1632. Lui succĂ©da son fils Jean, puis, en 1695, Jean II qui meurt sans enfant en 1709. Il laissa ses biens Ă  sa sƓur Anne de Rochechouart, mariĂ©e Ă  Isaac Perry, marquis de la Chauffie (Ă  Pressignac)[27].

    Une autre église existait auparavant au lieu-dit Romevieille à Saint-Auvent. Cette derniÚre fut réunie en 1558 avec l'église paroissiale.

    Le chùteau de la commune date du XIIe siÚcle. Il était à l'origine possédé par la famille de Rochechouart, issue des vicomtes de Limoges. Il est aujourd'hui devenu propriété privée.

    Michel Vovelle rapporte la mort le d'Étienne Boudaud Ă  l'Ăąge de 8 ans. Il Ă©tait le fils unique du sieur de la BoissiĂšre, Pierre Boudaud. Étienne est mort noyĂ© dans un puits[28].

    Passé ferroviaire du village

    Carte postale de la gare de Rochechouart vers 1910.
    RĂ©paration de la ligne vers 1910.
    Horaire de la ligne en 1956.

    De 1880 à 1996, la commune de Saint-Auvent a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à BussiÚre-Galant, qui, venant de Rochechouart se dirigeait ensuite vers la gare de Saint-Laurent-sur-Gorre.
    A l' Ă©poque oĂč le chemin de fer Ă©tait le moyen de dĂ©placement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
    Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de BussiÚre-Galant à Chùlus.

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    Parti : au premier d'argent à deux lions à la queue léopardée de gueules l'un sur l'autre, au chef de sable ; au second fascé ondé d'argent et de gueules.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1959 juin 1995 Pierre-Louis Raymondaud PS
    mars 2001 2014 Christian Groleau[29] Ind. Conseiller général
    2014 En cours Bruno Grancoing DVG Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[30].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 958 habitants[Note 10], en diminution de 1,44 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8612 1191 8771 9541 9511 9411 8931 9132 002
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9061 8281 8041 7191 7271 8101 7941 8841 833
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8711 9051 8241 5321 4141 3521 2361 1641 041
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 013924777813817837907917956
    2017 2020 - - - - - - -
    962958-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau[35] : bĂąti sur un promontoire granitique au milieu d’un parc de trois hectares, il surplombe les vallĂ©es de la Gorre et du Gorret. Aujourd’hui propriĂ©tĂ© privĂ©e, il est un centre artistique ouvert Ă  l’art contemporain. Depuis 1996, ont lieu chaque annĂ©e, durant tout le mois d'aoĂ»t, les Rencontres du chĂąteau de Saint-Auvent.
    • La maison de pays.
    • L'Ă©tang de la Pouge (La Poja en oc lim.), alimentĂ© par le Gorret.
    • Le puits Ă  balancier du village de la Berthe.
    • Une voie gallo-romaine (via Vicinala qui permettait de rejoindre la voie d'Agrippa voisine dont le trajet s'est perdu[36]) et son pont antique.
    • Église Saint-François-de-Sales de Saint-Auvent.
    • Notre-Dame-de-la-Paix, souvent nommĂ©e la Grotte, lieu de pĂšlerinage catholique. Copie de la grotte de Lourdes, elle doit son existence Ă  l’abbĂ© Paul Elias. Ce clerc avait fait un vƓu avant la Seconde Guerre mondiale : si tous les hommes de Saint-Auvent revenaient vivants, avec eux il creuserait un rocher pour la remercier. Il existe aussi un pĂšlerinage des gens du voyage qui se tient tous les ans le lundi de PĂąques[37].
    • Dolmen de Chez Moutaud[38]
    • Menhir de Chez Moutaud[38]
    • Saint-Auvent.
      Saint-Auvent.
    • La grotte du sanctuaire Notre-Dame-de-la-Paix.
      La grotte du sanctuaire Notre-Dame-de-la-Paix.
    • Dolmen de Chez Moutaud.
      Dolmen de Chez Moutaud.
    • L'Ă©tang de la Pouge.
      L'Ă©tang de la Pouge.

    Sites naturels

    • La forĂȘt de Rochechouart est une Zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1. D'une superficie de 559,93 hectares, elle s'Ă©tend partiellement sur la commune de Saint-Auvent. L'intĂ©rĂȘt de cetteforĂȘt rĂ©side dans l'anciennetĂ© de ces boisements de feuillus d'une part et d'autre part la prĂ©sence de landes sĂšches et humides relativement bien prĂ©servĂ©es.[39]

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbĂ© Paul Elias, nĂ© Ă  Cussac (Haute-Vienne) en , fut curĂ© de Saint-Auvent de 1938 Ă  1955. Il dĂ©cĂšde d'ailleurs en 1955. Pendant l'occupation, il fut un rĂ©sistant actif et cacha chez lui trois juifs un pendant un an et demi un autre durant quatre mois, et enfin un instituteur, pendant quatre mois. Ce sont ces trois personnes qui ont demandĂ© que ce dernier soit inscrit au Yad Vaslem. L'abbĂ© Elias a donc Ă©tĂ© Ă©levĂ© au titre de Juste (Ă  titre posthume) et son nom en tant que curĂ© de Saint-Auvent est inscrit au jardin de Yad Vashem[40].

    Anecdotes

    • On trouve les inscriptions suivantes sur les deux cloches de l'Ă©glise :
    • Sit Nomen Domini Bendictum. Parrain : saint Auvent patron de la paroisse ; marraine Notre Dame Auxiliaire de Saint François de Salles. Martial–Joseph Cheyron, curĂ©. Gravelat Lagasne, maire. Martin frĂšres, fondeurs, 1801.
    • Sit Nomen Domini Bendictum. Parrain : saint Auvent patron de la paroisse ; Maxime de Fredy, parrain sous le patronage de Saint François de Salle. Marraine, Marie ClĂ©mence, comtesse de la GuĂ©ronniĂšre. Comte de Fredy, maire, curĂ© M. Deluret. Fondue par Triadou aĂźnĂ©, Ă  Villefranche, Aveyron, 1876.
    • Dans la bande dessinĂ©e Les Bidochons Tome 1 de Binet, les parents de Robert sont dits habiter Ă  Saint-Auvent dans le Limousin.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Dictionnaire Historique et GĂ©ographique de la Haute-Vienne (extraits), AndrĂ© Clerc, in Sauvent-Auvent, tables des mariages (1625-an X), CGHHML, prĂ©sentation de Saint-Auvent.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sur GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Rochechouart - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Auvent et Rochechouart », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Rochechouart - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Auvent et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Auvent », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    27. André Lecler, Dictionnaire historique et géographique de la Haute-Vienne, .
    28. Michel Vovelle, Mourir autrefois, attitudes collectives devant la mort aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles, Paris, Gallimard, , 251 p. (ISBN 2-07-032564-4), page 26.
    29. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    30. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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