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Cognac-la-ForĂȘt

Cognac-la-ForĂȘt (Conhac la Forest en occitan) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine. Les habitants sont les Cognaçais.

Cognac-la-ForĂȘt
Cognac-la-ForĂȘt
La lanterne des morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Christian Vignerie
2020-2026
Code postal 87310
Code commune 87046
DĂ©mographie
Gentilé Cognaçais
Population
municipale
1 191 hab. (2020 en augmentation de 3,3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 38 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 50â€Č 05″ nord, 1° 00â€Č 40″ est
Altitude Min. 171 m
Max. 418 m
Superficie 31,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Rochechouart
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Cognac-la-ForĂȘt
Liens
Site web https://www.cognac-la-foret.fr/

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin.

    GĂ©ographie

    Situation de la commune de Cognac-la-ForĂȘt en Haute-Vienne.

    Situation et description

    Cognac-la-ForĂȘt est une des six communes du canton de Saint-Laurent-sur-Gorre, elle est une des communes adhĂ©rentes au parc naturel rĂ©gional PĂ©rigord Limousin. Elle s'Ă©tend sur une superficie de 3 155 ha dans un paysage vallonnĂ© et forestier (700 ha de bois d'un seul tenant).

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 093 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Junien », sur la commune de Saint-Junien, mise en service en 1996[8] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 977,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă  19 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Hydrographie

    Le territoire de Cognac-la-ForĂȘt hĂ©berge de nombreux Ă©tangs. Il est, en outre, traversĂ© par de nombreux ruisseaux, dont celui des RĂąches (13 km)[15], et le Ruisseau de l'Ă©tang (4 km)[16]

    Urbanisme

    Typologie

    Cognac-la-ForĂȘt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (56,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (56,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41,8 %), prairies (30,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26,5 %), zones urbanisĂ©es (1,6 %), eaux continentales[Note 8] (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques naturels

    L'ensemble du territoire de la commune de Cognac-la-ForĂȘt est situĂ© en zone de sismicitĂ© n°2, comme la plupart des communes situĂ©es dans cette partie du dĂ©partement[23].

    Terminologie des zones sismiques[24]
    Type de zoneNiveauDĂ©finitions (bĂątiment Ă  risque normal)
    Zone 2Sismicité faibleaccélération = 0,7 m/s2

    Toponymie

    Le plus ancien nom connu de la principale agglomĂ©ration est : COMPENACH, qui devint COUNHAC, puis COIGNAC et enfin COGNAC. Afin d'Ă©viter les erreurs d'aiguillage des trains en partance pour Cognac en Charente, l'administration changea le nom en 1919 qui devint Cognac-le-Froid. Les rĂ©sidents, trouvant cette appellation peu flatteuse, menĂšrent un long combat administratif, jusqu'Ă  ce que le Conseil d'État finisse par autoriser le nom actuel de Cognac-la-ForĂȘt, par le dĂ©cret du [25] - [26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    2005 - Christian VIGNERIE [27] DVG
    2001 2005 ArsĂšne EVEN
    1989 2001 René MOREAU
    1971 1989 Adrien RATHIER
    1953 1971 Daniel DUSSOULIER
    1945 1953 Alexandre GERALD
    1944 1945 Robert MORANGE
    1941 1944 Auguste COULLOUX Délégation spéciale
    1935 1941 Alexandre GERALD
    1930 1935 Antoine MOREAU
    1914 1930 Jean BRUN
    1912 1914 Pierre GERALD
    1908 1912 Jean VACHEYROUT
    1902 1908 Pierre GERALD
    1900 1902 Jean MASDOUMIER
    1896 1900 Henri MARTIN DU PUYTISON
    1888 1896 Frédéric LABOULINIERE
    1888 1888 Alpinien BOURDEAU
    1881 1888 LĂ©onard GIZARDIN
    1876 1881 Alpinien BOURDEAU (fils)
    1856 1876 EugĂšne FLEURAT
    1851 1856 Alpinien BOURDEAU
    1848 1851 LĂ©onard GIZARDIN
    1846 1848 Paul BARBARIN DURIVAUD
    1832 1846 Jean Baptiste FLEURAT
    1826 1832 Maurice DESCUBES DE LASCAUX
    1823 1826 Paul BARBARIN DURIVAUD
    1820 1823 Jean Baptiste LABOULINIERE
    1816 1820 Jean Jacques DE GAY DE NEXON
    1799 1816 Paul BARBARIN DURIVAUD
    1793 1799 Jean PETIT
    1790 1793 Paul BARBARIN DURIVAUD
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 1 191 habitants[Note 9], en augmentation de 3,3 % par rapport Ă  2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5951 8111 4081 7691 8081 7581 8742 0231 959
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9831 8611 8241 7511 8311 8351 9351 9031 897
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7031 7261 6621 4671 3011 2591 2301 1431 103
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 0439518018648938901 0251 0481 035
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 1531 1881 191------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le bourg s'Ă©tend autour du chĂąteau (XVe siĂšcle). Au milieu de la cour d'honneur, une fontaine (XVIe siĂšcle) est alimentĂ©e par des sources situĂ©es en forĂȘt. Il s'agissait originellement d'un chĂąteau fort, comme l'attestent les deux tours qui subsistent, les douves comblĂ©es en 1820 et les vestiges du pont-levis. Trois familles se succĂ©dĂšrent dans cette demeure : les seigneurs De Coignac, les Joubert de la Bastide et les Gay de Nexon. Par la suite, Pierre-Alpinien Bourdeau, dĂ©putĂ© de la Haute-Vienne, garde des Sceaux, pair de France, acquit le chĂąteau en 1819, lors d'une vente par adjudication. Sa descendance l'occupe jusqu'en 2014.

    Sur la place de l'Église, la pompe Ă  balancier permettait aux habitants du bourg de s'approvisionner en eau, jusqu'Ă  l'installation du rĂ©seau d'eau courante.

    L'Ă©glise Saint-Priest de Cognac-la-ForĂȘt (XIIe, XIIIe et XVe siĂšcles), antĂ©rieurement chapelle du chĂąteau, rĂ©vĂšle les armoiries des anciens seigneurs sur ses clĂ©s de voĂ»te. Le bas-relief polychrome reprĂ©sentant saint Roch est classĂ© monument historique depuis 1965.

    Dans le cimetiÚre, la lanterne des morts du XIIIe siÚcle (romane, carrée et haute de 6,50 mÚtres) est l'une des plus belles du Centre-Ouest. Elle est classée monument historique depuis 1946. Autrefois, une lumiÚre brillait la nuit dans son lanternon. Elle affirmait l'immortalité de l'ùme et invitait les vivants à prier pour les morts.

    Dans une dizaine de villages aux alentours se dresse une croix monumentale. Celle du village de Roussis, sculptée en 1780, est la plus imposante. Dans plusieurs autres villages, on trouve des "bonnes fontaines" supposées posséder un pouvoir de guérison.

    Le dolmen de Chez Moutaud se situé à proximité du bourg. La commune héberge également le musée du chanvre et de la ganterie sur son territoire.

    • Le chĂąteau prĂšs de l'Ă©glise
      Le chĂąteau prĂšs de l'Ă©glise
    • La lanterne des morts dans le cimetiĂšre
      La lanterne des morts dans le cimetiĂšre

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Cognac-la-ForĂȘt se blasonnent ainsi :

    D'argent au lion de gueules armé et couronné d'azur.

    Armoiries des anciens seigneurs de "Coignac"

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.

    Références

    1. Carte IGN sur GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Junien - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Cognac-la-ForĂȘt et Saint-Junien », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Junien - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Cognac-la-ForĂȘt et Limoges », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. Sandre, « Fiche cours d'eau (L0715300) ».
    16. Sandre, « Fiche cours d'eau (L0715400) ».
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Site planseisme.fr, page Didacticiel de la rĂšglementation parasismique.
    24. ArrĂȘtĂ© du 22 octobre 2010 relatif Ă  la classification et aux rĂšgles de construction parasismique applicables aux bĂątiments de la classe dite « Ă  risque normal » - LĂ©gifrance
    25. Site cognac-la-foret.fr, page Histoire de la commune, consulté le 28 février 2021.
    26. Site lepopulaire.fr, article de Jean-Adrien Truchassou, "Le saviez-vous ? PrÚs d'une cinquantaine de communes ont changé de nom depuis 1900 en Haute-Vienne", consulté le 28 février 2021.
    27. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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