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Champsac

Champsac (Chamçac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Champsac
Champsac
L'église de Champsac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Maryse Parverie
2020-2026
Code postal 87230
Code commune 87036
Démographie
Gentilé Champsacois, Champsacoises
Population
municipale
674 hab. (2020 en augmentation de 0,15 % par rapport à 2014)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 13″ nord, 0° 57′ 27″ est
Altitude Min. 267 m
Max. 399 m
Superficie 23,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Champsac

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord Limousin.

    Les habitants de la commune s'appellent les Champsacois et les Champsacoises [1].

    Géographie

    Situation de la commune de Champsac en Haute-Vienne.

    Commune du canton d'Oradour-sur-Vayres, dans l’arrondissement de Rochechouart. Le territoire communal s'étend de la vallée de la Gorre, qui lui sert de limite au nord-est, et celle de la Tardoire, qui marque sa limite sud-ouest. Il est traversé par deux petits affluents de la Gorre, les ruisseaux du Gabaret et de la Monnerie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 048 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Champagnac la R », sur la commune de Champagnac-la-Rivière, mise en service en 1977[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 190,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 28 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Champsac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,5 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), forêts (25,5 %), terres arables (0,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Champsac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champsac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 19,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Champsac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Le tumulus de la Motte de Jouveaux, interprété comme un monument funéraire, constitue une trace de l'occupation du territoire lors du premier âge du fer, avec son mobilier inventorié en 1895, dont l'urne au décor graphité est conservée au musée de Rochechouart[27].

    Un domaine gallo-romain serait à l'origine de Champsac, dont le toponyme proviendrait du nom d'homme "Camiccius" et du suffixe -acum (domaine de Camiccius)[28].

    Avant la Révolution, Champsac était une paroisse du Haut-Limousin, dans l'archiprêtré de Nontron, diocèse de Limoges. Généralité, élection et sénéchaussée de Limoges. Relevant essentiellement de la juridiction de Châlus, Champsac avait plusieurs seigneurs fonciers : le comte de Châlus, celui des Cars, le commandeur de Puybonnieux, les marquis du Masnadaud et de Sauveboeuf.

    La paroisse avait pour fête patronale la Décollation de Saint-Jean-Baptiste.

    Passé ferroviaire du village

    L'ancienne gare de Champagnac de nos jours de venue une habitation.
    Carte postale de Champsac vers.
    Horaire de la ligne en 1956.

    De 1880 à 1996, la commune de Champsac a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant, qui, venant de Champagnac-la-Rivière se dirigeait ensuite vers la gare de Châlus.
    A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
    Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    D'azur à la paysanne vêtue d'or, semant dans le vent une plaine labourée de gueules.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Jean Piere Chalard PS
    mars 2008 juin 2020 Guy Baudrier[30] ADS Conseiller général du canton d'Oradour-sur-Vayres (2008-2015)
    juin 2020 En cours Maryse Parverie
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 674 habitants[Note 9], en augmentation de 0,15 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1501 1201 2681 4171 3211 4351 3801 5081 520
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4951 3781 3951 2781 2811 4501 5291 5131 587
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5731 5581 5171 3211 2191 2061 1931 057864
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    766687639618567550587597670
    2018 2020 - - - - - - -
    668674-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le tumulus de la Motte de Jouveaux est un monument funérairedaté du premier âge du fer. Son mobilier a été inventorié en 1895 et l'urne au décor graphité est conservée au musée de Rochechouart.

    Entreprises

    La principale entreprise située sur le territoire de la commune est un vinaigrier spécialisé dans les produits haut-de-gamme, l'entreprise Delouis

    Église

    L'église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste de Champsac est un édifice de construction romane plusieurs fois remanié, notamment dans la 1re moitié du XVIIe siècle. Elle a une nef unique de 6,50 m de largeur et un chœur en abside. Son clocher primitif, en pierre, a été démoli vers 1850 et remplacé par le clocher actuel, en bois, à l'extrémité occidentale de la nef.

    En 1587, Marguerite de La Rochefoucauld, comtesse de Châlus, fit peindre par François Limosin, peintre de Limoges, une ceinture à ses armes à l'église de Champsac comme à plusieurs autres de sa juridiction (La Chapelle-Montbrandeix, Dournazac, Lageyrat, Pageas).

    • La chapelle Saint-Roch
      La chapelle Saint-Roch
    • Agence postale et boulangerie
      Agence postale et boulangerie

    Patrimoine naturel

    La commune présente trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

    • La ZNIEFF de type 2 Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat)[35].
    • La ZNIEFF de type 1 de la Lande de la Judie[36].
    • La ZNIEFF de type 1 de la « lande de la Martinie (vallée de la Tardoire) »[37], soit 32,17 hectares, concerne Châlus, Champagnac-la-Rivière et Champsac et vise un affleurement de serpentine, roche très basique, entre Châlus et Cussac. Cet affleurement, contrairement aux affleurements de serpentine habituels de Haute-Vienne, n'est accompagné ni de pelouse sèche ni d'affleurement rocheux. Il abrite la gentiane pneumonanthe (Gentiana pneumonanthe, protégée en Limousin) et la bruyère à balais ou Brande du Poitou. On y trouve régulièrement le busard Saint-Martin (Circus cyaneus) qui y a établi des dortoirs ; les mares et ornières de la lande humide hébergent le sonneur à ventre jaune (Bombina variegata), petit crapaud protégé en France. Cette ZNIEFF est entièrement incluse dans la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) ».

    Personnalités liées à la commune

    • Eugène Nicolas, né le 8 décembre 1879 à Champsac et mort le 26 février 1965 à Champsac, est un homme politique français. Médecin de profession, il succède en 1902 à son père à la mairie de Champsac. Il est à 22 ans, le plus jeune maire de France.
    • Émile-Roger Lombertie, né à Champsac le 20 février 1951, homme politique français, psychiatre chef de pôle hospitalier à Limoges, et actuel maire de Limoges.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sur Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Champagnac la R - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Champsac et Champagnac-la-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Champagnac la R - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Champsac et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Champsac », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. « Prospections anciennes dans les tumulus du Premier Age du Fer de la partie sud du Limousin, J.P. Mohen, G.N. Lambert, J. Gomez, J.P. Daugas, Bulletin de la Société préhistorique française, Année 1976, Volume 73, Numéro E&T, pp. 437-456 », sur Persée, revues scientifiques, (consulté le )
    28. Marcel Villoutreix, Les noms de lieu du Limousin, in Travaux d'archéologie limousine, supp. n°6, Association des Antiquités Historiques du Limousin, 2002.
    29. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    30. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. ZNIEFF 740000072 Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat), INPN.
    36. / Date d'édition : 20/01/2020https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/740030029-1/ 12 -LANDE DE LA JUDIE(Identifiant national : 740030029), pdf
    37. « Lande de la Martinie (vallée de la Tardoire) » - 740120049. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
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