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Pageas

Pageas (Pajas en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pageas
Pageas
La mairie de Pageas
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nexon-Monts de Châlus
Maire
Mandat
Bernadette Lacote
2020-2026
Code postal 87230
Code commune 87112
Démographie
Gentilé Pageaciens, Pageaciennes
ou Pageacais, Pageacaises
Population
municipale
597 hab. (2020 en augmentation de 0,34 % par rapport à 2014)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 43″ nord, 1° 00′ 02″ est
Altitude Min. 288 m
Max. 520 m
Superficie 27,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Yrieix-la-Perche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Pageas

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Ses habitants s'appellent les Pageaciens et les Pageaciennes ou Pageacais et Pageacaises[1].

    Géographie

    Situation de la commune de Pageas en Haute-Vienne.

    La commune de Pageas a une superficie de 27,8 km2. La plus grande ville la plus proche est Limoges, qui est située à 27 km au sud-ouest.

    • Source de la Tadoire
      Source de la Tadoire
    • La Gorre à Pageas
      La Gorre à Pageas

    Le territoire communal est traversé par les rivières la Tardoire et la Gorre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 160 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châlus_sapc », sur la commune de Châlus, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 178,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Pageas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,6 %), prairies (32,4 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), terres arables (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pageas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pageas.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 16,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Pageas est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Les sites préhistoriques du Mazaubert, du néolithique ou du chalcolithique[27] et du Bois Pargas du IIIe millénaire avant notre ère[28], les vestiges gallo-romains de la Jourdanie du Ier siècle av. J.-C., la motte castrale de la Petite Veyssière des IXe-Xe siècles, la borne médiévale de la Gacherie, l'église Saint-Jean-Baptiste de Chenevières du XIIIe siècle, la commanderie hospitalière de Puybonnieux, l'église romane reconstruite au XVe siècle, le château du Mas-Nadaud des XVe et XVIIIe siècles, le relais de poste de la Ribière, témoignent de l'ancienneté et de la permanence de l'occupation du territoire pageacien.

    En janvier 1778, le moulin de la Rechignerie est loué aux religieux de l'abbaye de Saint-Augustin-lez-Limoges par Martial Desmaisons de la Coste et Marguerite Deliron, moyennant une redevance incluant quatre setiers de seigle[29].

    Communauté rurale représentative de la civilisation paysanne[30] jusqu'au XXe siècle[31], saignée par les pertes humaines de la Première Guerre mondiale et l'exode rural, le rebond démographique marque l'influence exercée sur Pageas par l'aire urbaine de Limoges depuis 1980.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Chenevières et Puybonnieux, au nord-est de la commune, sont deux anciennes commanderies, la première de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem est attestée depuis 1233[32], la seconde de l'ordre du Temple l'est depuis 1239[33] et au cours du procès. Les deux entités furent réunies après la dévolution des biens de l'ordre du Temple pour constituer un membre de la commanderie de Limoges (Le Palais) au sein du grand prieuré d'Auvergne[34]. En 1565, le comte des Cars aliéna la seigneurie de Puybonnieux qui ne fut restituée aux hospitaliers qu'en 1609 après un procès[35].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 juin 2020 Philippe Dubeau[37] PS
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2020, la commune comptait 597 habitants[Note 9], en augmentation de 0,34 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0641 1781 3401 4801 3731 5061 5191 5461 503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5161 5221 5641 3481 3241 3711 4381 5191 463
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3811 4091 4431 2721 2101 048901961873
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    663638568552602594609598580
    2020 - - - - - - - -
    597--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sites et monuments

    • Le Mas-Nadaud, destiné à devenir le « Centre des visiteurs » du parc naturel régional Périgord-Limousin auquel il appartient depuis 2004, fut l’un des quelque vingt repaires périphériques de la milicia castri de Châlus, assis sur une dizaine de métairies ou de villages. Mentionné dès le début du XIVe siècle, l’édifice, dont le plan actuel est achevé au XVIIIe siècle, comporte des vestiges de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe[42].
    • L'église Saint-Jean-Baptiste de Chênevières.
    • Église Saint-Pierre-aux-Liens de Pageas, de style roman inclut une rare rosace monolithe et un portail limousin. Son clocher est couvert de bardeaux de châtaignier[43].
    • Le circuit de karting des Renardières est situé au Puy de Pageas[44].
    • Le sentier musical de Pageas. Un arboretum d'arbres utilisés dans la construction d'instruments de musique[45].
    • La pierre des morts
      La pierre des morts
    • La maison forte de Mas Nadaud
      La maison forte de Mas Nadaud
    • L'église de Pageas
      L'église de Pageas
    • Colonne dans l'église
      Colonne dans l'église
    • L'arboretum "Sentier musical"
      L'arboretum "Sentier musical"

    Personnalités liées à la commune

    • Maurice Robert (1930-2022), ethnologue universitaire français, né à Châlus a passé son enfance à Pageas dans une famille d'artisan-paysans. L'ensemble de son Å“uvre tend à la formulation de la structure, du fonctionnement et de l'évolution de la société rurale limousine.
    • Philippe Dubeau, organiste français, maire de Pageas depuis 2001.
    • Édouard Valéry (1924-2010), chef résistant à des origines de Pageas par son père né à Pageas.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sur Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Châlus_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Pageas et Châlus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Châlus_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Pageas et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Pageas », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. « Informations Archéologiques. Circonscriptions des antiquités préhistoriques, Limousin, Gallia préhistoire. Tome 18 fascicule 2, p.601 », sur Persée, revues scientifiques, (consulté le )
    28. « Le Bois Pargas à Pageas (Haute-Vienne) : un nouveau témoin du Néolithique final en Limousin », sur Persée, revues scientifiques, (consulté le )
    29. Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin 1905 (T55), p.445
    30. Selon l'expression de Georges Duby et Armand Wallon, Histoire de la France rurale, tome 3, Apogée et crise de la civilisation paysanne (1789-1914), Éditions du Seuil, 1975.
    31. Ainsi que l'illustre, avec la photo d'un Mariage à Pageas en 1927, l'exposition en ligne Portrait de groupe, sur le site des archives départementales de la Haute-Vienne, consulté le 4 avril 2009.
    32. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 189 (doc. 9), lire en ligne sur Gallica
      « Domus dicti Hospitalis de Las Chanabeiras » (1233)
      .
    33. Vayssière 1884, p. 188 (doc. 8), lire en ligne sur Gallica
      « Domus Templi de Podio-Bonio » (1239)
      .
    34. Vayssière 1884, p. 112-115, lire en ligne sur Gallica.
    35. Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 26 (39H66).
    36. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    37. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. Bilan scientifique 2005 des travaux et recherches archéologiques de terrain en Haute-Vienne, DRAC Limousin, p.50, consulté le 1er avril 2009 sur www.limousin.culture.gouv.fr.
    43. Illustration sur flickr.com.
    44. Illustration sur flickr.com.
    45. Le sentier musical de Pageas au cœur du Parc naturel régional Périgord Limousin
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