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Lupsault

Lupsault est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Lupsault
Lupsault
Mairie de Lupsault.
Blason de Lupsault
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Jean-Louis Durand
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16194
Démographie
Gentilé Supisultins ou Lupsaultiens
Population
municipale
110 hab. (2020 en augmentation de 14,58 % par rapport à 2014)
Densité 9,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 34″ nord, 0° 04′ 26″ ouest
Altitude Min. 75 m
Max. 139 m
Superficie 11,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Lupsault
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Lupsault
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Lupsault
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Lupsault
Liens
Site web lupsault.byethost3.com

    Ses habitants sont les Supisultins ou les Lupsaultiens[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Lupsault est une commune du nord-ouest du département de la Charente limitrophe de la Charente-Maritime et non loin des Deux-Sèvres, située à km au nord-ouest d'Aigre, le chef-lieu de son canton, et 37 km au nord-ouest d'Angoulême.

    Lupsault est aussi à 14 km de Villefagnan, 18 km de Rouillac, 23 km de Ruffec, et 34 km de Cognac et de Saint-Jean-d'Angély[2].

    À l'écart des routes principales, la commune est desservie par la D 88 qui passe au bourg et se dirige vers Aigre, et la D 75 qui va du nord-est au sud-ouest[3].

    La gare la plus proche est celle de Luxé à 15 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    Lupsault ne comporte que deux hameaux : le Bouchet au sud-est, de taille légèrement plus grande que le bourg, et Sallerit au nord-ouest[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Le Kimméridgien occupe plus particulièrement la surface communale. Des alluvions récentes du Quaternaire occupent toute la bordure nord-est[4] - [5] - [6].

    Le relief de la commune est celui d'une plaine au nord et à l'est, se relevant en une colline au sud-ouest. Le point culminant est à une altitude de 139 m, situé sur la limite sud-ouest dans le Bois de Lupsault. Le point le plus bas est à 75 m, situé à l'extrémité orientale le long du Ruisseau de la Couture. Le bourg est à 95 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Lupsault.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de la Couture, le ruisseau du Gouffre des Loges, le fossé de la Levée et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le ruisseau du Gouffre des Loges, alimenté par la source du même nom, borde la limite au nord. Il est canalisé et coule d'ouest en est, depuis la commune de Chives (Charente-Maritime), et devient plus en aval le Ruisseau de la Couture, affluent de l'Aume et sous-affluent de la Charente.

    La partie orientale de la commune est occupée par d'anciens marais qui ont été assainis. Le Fossé de la Levée et un ruisseau descendant du Bouchet et de deux fontaines rejoignent le Ruisseau de la Couture.

    Une bassine servant à l'irrigation a été construite sur une légère hauteur à l'est du Bouchet[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Lupsault est une commune rurale[Note 1] - [11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12] - [13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14] - [15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,9 %), forêts (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lupsault est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lupsault.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 32,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 85 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 sont en en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Lupisaltu en 1190[21], Lupi Salto[22], Lopsaut en 1213[23].

    L'origine du nom de Lupsault remonterait au latin lupi saltus, qui signifie le « saut du loup »[24]. Lupus était aussi un nom propre d'homme romain[25].

    Histoire

    La commune possède quelques sites archéologiques. Un site antique a été trouvé au XIXe siècle à Bellevue. D'autre part, on a dégagé en 1908 en face de la porte de l'église trois niveaux de sarcophages, dont le plus ancien doit être de l'époque mérovingienne. Cette nécropole se prolongeait à l'ouest[26].

    Un souterrain-refuge a aussi été trouvé sous l'église en 1896.

    Au Bouchet, un ancien logis datant de la Renaissance était le siège d'un fief qui appartenait au XVIIe siècle à la famille de Pindray d'Ambelle.

    Le hameau de Gaillard, au nord du Bouchet, abritait un autre logis, appartenant en 1650 à Jean de Livenne[27].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2014 Jacquy Payant SE Retraité
    2014 En cours Jean-Louis Durand

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 20,37 % sur le bâti, 55 % sur le non bâti, 7,39 % pour la taxe d'habitation et 11 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).

    La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 110 habitants[Note 2], en augmentation de 14,58 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    281352332382383404401397381
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    389386364349299263238250237
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    238278257241250232172223250
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    22819215116013212612498102
    2020 - - - - - - - -
    110--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 51 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 45 hommes pour 57 femmes, soit un taux de 55,88 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    3,5
    13,3
    75-89 ans
    21,1
    37,8
    60-74 ans
    26,3
    17,8
    45-59 ans
    15,8
    11,1
    30-44 ans
    8,8
    11,1
    15-29 ans
    14,0
    8,9
    0-14 ans
    10,5
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[34].

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Cybard.

    Le prieuré Saint-Cybard constitué d'un enclos et de l'église paroissiale date du XIe siècle mais a été très remanié après 1831. Alors que le chevet est du XIe siècle, le portail est du XIVe siècle, la façade occidentale a été remaniée au XVIIIe siècle et la voûte date de 1900[35]. Sa cloche en bronze, datant de 1635, est classée monument historique au titre objet depuis 1944[36].

    Le château du Bouchet est antérieur à 1484. Il a été fortifié jusqu’au XVIIe siècle et très remanié au XVIIIe siècle ; une fenêtre est datée 1773[37].

    La gentilhommière de Gaillard daterait aussi du XVe siècle. Sa tour ouest et son pigeonnier ont été détruits au XIXe siècle[38].

    Les moulins de Loraud à Sallerit et de Petit Moulin sont du XIXe siècle même si l'habitation de Petit Moulin semble antérieure[39].

    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Ancien four à pain.
      Ancien four à pain.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Lupsault » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Aulnay », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Lupsault », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. « Les risques près de chez moi - commune de Lupsault », sur Géorisques (consulté le )
    18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lupsault », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
    22. Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
    23. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 228
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 418.
    25. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    26. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 40
    27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 222
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lupsault (16194) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    34. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    35. « Prieuré Saint-Cybard », notice no IA00040827, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Cloche de l'église », notice no IM16002067, base Palissy, ministère français de la Culture
    37. « Château du Bouchet », notice no IA00040829, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. « Manoir de Gaillard », notice no IA00040828, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Lupsault », base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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