Montville
Montville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Montville | |||||
Vue depuis la gare. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes inter-Caux-Vexin | ||||
Maire Mandat |
Anne-Sophie Clabaut 2020-2026 |
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Code postal | 76710 | ||||
Code commune | 76452 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Montvillais | ||||
Population municipale |
4 593 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 423 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 32âČ 50âł nord, 1° 04âČ 35âł est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 178 m |
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Superficie | 10,85 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Bois-Guillaume | ||||
LĂ©gislatives | DixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | montville.fr | ||||
GĂ©ographie
Description
Montville est située en France dans la région de Haute-Normandie, dans le pays de Rouen ou Rouënnais.
Montville est accessible par la route départementale 155 depuis ClÚres ou Malaunay, par la route départementale 44 depuis Fontaine-le-Bourg ou Eslettes, et par la route départementale 47 depuis Bosc-Guérard-Saint-Adrien.
Elle est situĂ©e Ă 5 minutes de lâautoroute A 151 qui relie Rouen et Dieppe. Prendre la sortie n° 1 « Eslettes, Montville, Malaunay ».
Le territoire communal est traversé par la ligne de Malaunay - Le Houlme à Dieppe dont la gare de Montville est desservie par des trains TER Normandie reliant Rouen-Rive-Droite à Dieppe.
La ligne interurbaine 29 qui relie Rouen Ă Bosc-le-Hard sâarrĂȘte Ă Montville[1].
- Passage d'un train de bennes vides, Ă destination de Rouxmesnil-Bouteilles (via Dieppe).
- Passage d'un train de bennes, Ă destination de Rouxmesnil-Bouteilles (via Dieppe).
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune se trouve à la confluence de deux riviÚres : la Clérette et Cailly, respectivement sous-affluent et affluent de la Seine.
Occupation des sols
Données 2018[2] | Montville : superficie | Montville : pourcentage | Moyenne nationale |
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Occupation humaine | 212 ha | 19,6 % | 7,7 % |
Agriculture | 445 ha | 41,2 % | 63,8 % |
ForĂȘt | 423 ha | 39,1 % | 23,6 % |
Espace naturel | 0 ha | 0,0 % | 4,0 % |
Zone humide | 0 ha | 0,0 % | 0,2 % |
Eau | 0 ha | 0,0 % | 0,7 % |
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[9] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 20 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Montville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[19] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (41,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (44 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (39,1 %), prairies (22,1 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisĂ©es (15,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3,8 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Montville en 1030 et 1035; Mont villa vers 1040 et vers 1059, 1060[26] - [27]. Sous le rÚgne d'Henry I, une source atteste d'une évolution toponymique en écrivant Monville et mentionnant sa version latine Munnivilla[28].
Il s'agit d'une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (voir vilain, paysan du Moyen Ăge). Cet appellatif est sans doute prĂ©cĂ©dĂ© d'un anthroponyme conformĂ©ment au cas gĂ©nĂ©ral[27].
La lecture Mont-ville « domaine rural du mont » est douteuse pour deux raisons : les formations en -ville composĂ©es avec un autre appellatif toponymique sont rares et Montville n'est pas situĂ© sur un mont « colline, Ă©lĂ©vation » mais dans la vallĂ©e du Cailly[27]. François de Beaurepaire suggĂšre d'identifier le nom de personne scandinave Amundi[27] (Ămundi) que l'on reconnaĂźt dans Mondeville (Calvados, Caen, Amondevilla 989, Amundi villa 990), hypothĂšse Ă laquelle on peut objecter que l'Ă©volution phonĂ©tique aurait dĂ» se faire Ă©galement en *Mondeville et qu'aucune forme ancienne ne prouve l'existence d'un A- initial. Il convient sans doute de recourir au nom de personne scandinave *Mundr (Mundi) forme attestĂ©e dans des composĂ©s.
Histoire
Montville ou Monville apparaĂźt dĂšs le XIe siĂšcle. En 1030, lâĂ©glise est citĂ©e ainsi qu'un vivier.
En , le roi Louis XI autorise, par ses lettres patentes, une foire Ă Montville par an, afin que la ville s'accroisse[29].
La baronnie de Montville est mouvante et le roi Henri IV lui permet de devenir fixe.
Tout au long du XIXe siĂšcle, de nombreux immigrants de lâOuest de la Normandie sâinstallent Ă Montville et sont employĂ©s dans les industries textiles de la vallĂ©e, industries alors en plein essor.
Le , une trĂšs violente tornade s'abat sur la ville, dĂ©truisant des usines. On a dĂ©nombrĂ© 70 morts et 136 blessĂ©s, la plupart des victimes travaillait dans des filatures dont les murs se sont effondrĂ©s. Selon les descriptions de l'Ă©poque : « Des ouvriers furent lancĂ©s au-dehors par-dessus des haies et des clĂŽtures⊠Sur d'autres points, les bĂątiments furent comme pulvĂ©risĂ©s et la place absolument nettoyĂ©e. Des solives, des planches⊠furent soulevĂ©es et emportĂ©es jusqu'Ă 25 et 38 kilomĂštres de lĂ ! Jusque prĂšs de Dieppe », ce qui tendrait Ă la classer dans la catĂ©gorie F5, la plus intense. Ce n'est cependant qu'une estimation, aucune enquĂȘte utilisant les mĂ©thodes modernes d'investigation n'ayant Ă©tĂ© faite. Gustave Flaubert Ă©voque cette catastrophe dans sa lettre Ă Louise Colet du [30].
Sous la IIIe RĂ©publique, de nombreux Ă©difices sont construits : groupe scolaire Ăvode-Chevalier et mairie (1888).
L'orthographe du nom de la commune est modifiée en 1964 et le « t » réapparaßt définitivement.
De nombreuses infrastructures sont crĂ©Ă©es depuis les annĂ©es 1980 jusquâĂ aujourdâhui : plan dâeau, musĂ©e des Sapeurs-Pompiers de France, rĂ©sidence pour personnes ĂągĂ©es et maison de retraite, parc industriel de Cardonville, salle de spectacles « Espace Jean-Loup-ChrĂ©tien », etc.
Politique et administration
Liste des maires
Distinctions et labels
En 2016, la commune détient le label « Ville Internet @@@@ »[42].
La commune est classée en 2008 « quatre fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[43].
Population et société
Les habitants de la commune sont appelés les Montvillais[45].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[47].
En 2020, la commune comptait 4 593 habitants[Note 8], en diminution de 5,73 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Sports et loisirs
- 2 stades de football
- 2 courts de tennis
- 2 gymnases
- 1 piscine
- 1 golf (le golf de Rouen La ForĂȘt Verte situĂ© Ă©galement sur la commune de Bosc-GuĂ©rard-Saint-Adrien)
- 1 terrain de pétanque
- 1 plan d'eau de 3 ha (pédalos) avec 3 circuits pédestres autour de 800 et 1 000 m avec parcours de santé et de nombreuses activités sportives
- 1 parcours touristique
- 1 mini-golf
- 1 salle de spectacles de 360 places, l'espace Jean-Loup-Chrétien
- 1 Ă©cole municipale de danse
- 1 accueil de loisirs
- 50 associations
La commune a participĂ© Ă trois reprises au Challenge "L'Ăquipe" de la ville la plus sportive : en 2012, 2013 et 2014.
Cultes
Pour le culte catholique, la communautĂ© locale de Montville est le siĂšge de la paroisse Saint-Jean-Bosco de ClĂšres â Montville, comprenant 11 villages comprenant soit environ 13.000 habitants[50]. Celle-ci est soumise Ă l'autoritĂ© du diocĂšse de Rouen et est comprise dans le doyennĂ© de Rouen-Ouest[51].
Le journal de la paroisse Saint-Jean-Bosco de ClĂšres â Montville fait Ă©diter son journal par Bayard Service[52] Ă 5600 exemplaires[53].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La mairie :
ĂdifiĂ©e en 1888, la mairie[54] renferme le drapeau de la Garde nationale de la RĂ©volution fixĂ© sur le mur de la salle du Conseil municipal de la mairie. Trois thĂšmes majeurs y sont reprĂ©sentĂ©s : la RoyautĂ©, la RĂ©volution et la RĂ©publique. Son Ă©tat de conservation exceptionnel en fait une piĂšce historique et rarissime. Le vitrail de 1888 surplombe le hall du rez-de-chaussĂ©e de la mairie. Le motif central reprĂ©sente la Justice y figurent des bonnets phrygiens, des cocardes aux couleurs inversĂ©es et la devise rĂ©publicaine.
- L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption[55] possĂšde un clocher datant du XIe siĂšcle. Son chĆur plus rĂ©cent est des XVe et XVIe siĂšcles.
- Musée des sapeurs-pompiers de France :
Montville abrite le musée des sapeurs-pompiers de France. Inauguré en 1993, il détient le label « Musée de France », dont bénéficie aussi le musée des sapeurs-pompiers de Lyon. - Plan d'eau :
Montville possÚde un plan d'eau de trois hectares sur lequel il est possible de faire du pédalo. Autour de ce plan d'eau, on trouve un jardin aquatique et un arboretum, une réserve ornithologique, un complexe socioculturel et sportif, un parcours de santé, une aire de jeux ainsi qu'un minigolf dix-huit trous. - Le manoir du Bois-Isambert, qui date du .
- Le manoir et son arboretum :
Construite en 1914, cette belle demeure sâappelait Ă lâorigine « Au bon accueil ». SituĂ©e au milieu dâun arboretum plantĂ© dâespĂšces rares et anciennes (hĂȘtre pourpre tricentenaire notamment), elle est acquise par la Ville en 1984 et est utilisĂ©e aujourdâhui comme salles municipales Ă disposition des particuliers et des associations montvillaises.
Personnalités liées à la commune
- Michel Picquenot (1747-1814), né à Montville, devient un habile graveur de renommée nationale. Il se distingue surtout par la reproduction de chasses, de paysages et de campements militaires.
- Hector Berlioz (1803-1869) séjourna chez son ami, le baron Hippolyte Boissel de Monville (de), entre 1845 et 1847, dans le parc du chùteau prÚs de l'église. Il y mit au point La Damnation de Faust. La mairie comporte une statue du compositeur réalisée par Alfred Lenoir[57].
- Louis Amand Demarest (1817-1883), député, mort à Montville.
- L'abbé Joseph Kerebel (1912-1945), vicaire de Montville, mort pour la France en déportation[58].
- Amaury Vassili : né à Rouen en juin 1989, ce jeune ténor et chanteur lyrique a passé sa jeunesse à Montville entre neuf et seize ans.
HĂ©raldique
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LâĂ©cu hĂ©raldique de forme moderne est dĂ» Ă lâinitiative du Souvenir français et de la MunicipalitĂ©. Les Armoiries sont approuvĂ©es par le Conseil municipal lors de sa sĂ©ance du .
Les armes de la commune de Montville se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Bibliographie
- Alain Poulin, Montville, son histoire, Montville,
- Alain Alexandre et Alain Poulin, Montville, t. I et II, Saint-Cyr-sur-Loire, Ăditions Alan Sutton, coll. « MĂ©moire en images », 2006 et 2007
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Office de tourisme de ClĂšres
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Venir à Montville | Ville de Montville » (consulté le ).
- « Pollution Montville (76710) », sur www.linternaute.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montville et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) » in Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. p. 311.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 113.
- (en) The Publications of the Pipe Roll Society, Pipe Roll Society, (lire en ligne).
- Lettres patentes de Louis XI, Montilz-lĂšz-Tours, mars 1472 (1471 avant PĂąques) (lire en ligne).
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- DécÚs d'André Martin
- « La commune en deuil : Disparition de Jacques Motte, ancien premier adjoint d'AndrĂ© Martin et ancien maire. », Paris Normandie,â (lire en ligne).
- « Pascal Martin devrait devenir prĂ©sident du DĂ©partement de Seine-Maritime : Le nouvel exĂ©cutif dĂ©partemental de Seine-Maritime sera Ă©lu jeudi 2 avril 2015. Pascal Martin, chef de file d'Alternance 76, devrait remplacer le socialiste Nicolas Rouly. Portrait », Normandie-actu,â (lire en ligne).
- « Montville : Pascal Martin plĂ©biscitĂ© dĂšs le 1er tour », Paris Normandie,â (lire en ligne).
- Emmanuelle Partouche, « Pascal Martin, le leader de l'opposition, prĂ©sident du Conseil dĂ©partemental de Seine-Maritime dans quelques heures : Ălu conseiller dĂ©partemental dĂšs le premier tour ce dimanche 22 mars, celui qui est aussi le maire de Montville depuis 1995 est en passe d'ĂȘtre Ă©lu prĂ©sident du dĂ©partement, Ă la place du socialiste Nicolas Rouly. », France 3 Haute-Normandie,â (lire en ligne).
- « Myriam Travers est la premiĂšre femme maire de Montville », Paris-Normandie,â (lire en ligne).
- Sophie Bogatay, « Municipales 2020 Ă Montville : Anne-Sophie Clabaut, sera tĂȘte de liste », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Myriam Travers, maire, a officiellement annoncĂ© dans un communiquĂ© en date du 3 septembre quâelle ne briguerait pas un prochain mandat et a dĂ©voilĂ© officiellement le nom de la tĂȘte de liste « Servir Montville » pour les Ă©lections municipales de mars 2020. Il sâagira dâAnne-Sophie Clabaut, actuelle adjointe chargĂ©e des affaires sociales et de lâemploi ».
- « Municipales 2020 : la liste Servir Montville dâAnne-Sophie Clabaut : Adjointe aux affaires sociales et Ă lâemploi, Anne-Sophie Clabaut a prĂ©sentĂ© ses colistiers avec le soutien de Pascal Martin », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Municipales 2020. Anne-Sophie Clabaut enfin installĂ©e au poste de maire de Montville : Ălue maire, lâancienne adjointe succĂšde Ă Myriam Travers et sâinscrit dans la continuitĂ© des mandats effectuĂ©s par Pascal Martin », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- [PDF]PalmarÚs 2016 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 27 mars 2017.
- PalmarĂšs 2008 des Villes et Villages Fleuris
- « StÀdtepartnerschaften » Site web de la ville de Haiger, consulté le 27 mars 2017.
- Le gentilé de Montville
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Présentation de la paroisse », sur paroisse-montville.net (consulté le ).
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- StĂ©phane Cauchois, Joseph Kerebel, prĂȘtre rĂ©sistant mort en dĂ©portation (Le vicaire de Montville), Ăditions Ysec, 2012