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Montville

Montville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Montville
Montville
Vue depuis la gare.
Blason de Montville
Blason
Montville
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Anne-Sophie Clabaut
2020-2026
Code postal 76710
Code commune 76452
DĂ©mographie
Gentilé Montvillais
Population
municipale
4 593 hab. (2020 en diminution de 5,73 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 423 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 32â€Č 50″ nord, 1° 04â€Č 35″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 178 m
Superficie 10,85 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bois-Guillaume
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Montville
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Montville
Liens
Site web montville.fr

    GĂ©ographie

    Description

    Montville est située en France dans la région de Haute-Normandie, dans le pays de Rouen ou Rouënnais.

    Montville est accessible par la route départementale 155 depuis ClÚres ou Malaunay, par la route départementale 44 depuis Fontaine-le-Bourg ou Eslettes, et par la route départementale 47 depuis Bosc-Guérard-Saint-Adrien.

    Elle est situĂ©e Ă  5 minutes de l’autoroute A 151 qui relie Rouen et Dieppe. Prendre la sortie n° 1 « Eslettes, Montville, Malaunay ».

    Le territoire communal est traversé par la ligne de Malaunay - Le Houlme à Dieppe dont la gare de Montville est desservie par des trains TER Normandie reliant Rouen-Rive-Droite à Dieppe.

    La ligne interurbaine 29 qui relie Rouen Ă  Bosc-le-Hard s’arrĂȘte Ă  Montville[1].

    • La gare
    • Passage d'un train de bennes vides, Ă  destination de Rouxmesnil-Bouteilles (via Dieppe).
      Passage d'un train de bennes vides, Ă  destination de Rouxmesnil-Bouteilles (via Dieppe).
    • Passage d'un train de bennes, Ă  destination de Rouxmesnil-Bouteilles (via Dieppe).
      Passage d'un train de bennes, Ă  destination de Rouxmesnil-Bouteilles (via Dieppe).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune se trouve à la confluence de deux riviÚres : la Clérette et Cailly, respectivement sous-affluent et affluent de la Seine.

    Occupation des sols

    Données 2018[2] Montville : superficie Montville : pourcentage Moyenne nationale
    Occupation humaine 212 ha 19,6 % 7,7 %
    Agriculture 445 ha 41,2 % 63,8 %
    ForĂȘt 423 ha 39,1 % 23,6 %
    Espace naturel 0 ha 0,0 % 4,0 %
    Zone humide 0 ha 0,0 % 0,2 %
    Eau 0 ha 0,0 % 0,7 %

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 847 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[9] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  20 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Montville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Rouen, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[19] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (41,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (44 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (39,1 %), prairies (22,1 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisĂ©es (15,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Montville en 1030 et 1035; Mont villa vers 1040 et vers 1059, 1060[26] - [27]. Sous le rÚgne d'Henry I, une source atteste d'une évolution toponymique en écrivant Monville et mentionnant sa version latine Munnivilla[28].

    Il s'agit d'une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (voir vilain, paysan du Moyen Âge). Cet appellatif est sans doute prĂ©cĂ©dĂ© d'un anthroponyme conformĂ©ment au cas gĂ©nĂ©ral[27].

    La lecture Mont-ville « domaine rural du mont » est douteuse pour deux raisons : les formations en -ville composées avec un autre appellatif toponymique sont rares et Montville n'est pas situé sur un mont « colline, élévation » mais dans la vallée du Cailly[27]. François de Beaurepaire suggÚre d'identifier le nom de personne scandinave Amundi[27] (Ámundi) que l'on reconnaßt dans Mondeville (Calvados, Caen, Amondevilla 989, Amundi villa 990), hypothÚse à laquelle on peut objecter que l'évolution phonétique aurait dû se faire également en *Mondeville et qu'aucune forme ancienne ne prouve l'existence d'un A- initial. Il convient sans doute de recourir au nom de personne scandinave *Mundr (Mundi) forme attestée dans des composés.

    Histoire

    Montville ou Monville apparaĂźt dĂšs le XIe siĂšcle. En 1030, l’église est citĂ©e ainsi qu'un vivier.

    En , le roi Louis XI autorise, par ses lettres patentes, une foire Ă  Montville par an, afin que la ville s'accroisse[29].

    La baronnie de Montville est mouvante et le roi Henri IV lui permet de devenir fixe.

    Tout au long du XIXe siĂšcle, de nombreux immigrants de l’Ouest de la Normandie s’installent Ă  Montville et sont employĂ©s dans les industries textiles de la vallĂ©e, industries alors en plein essor.

    Le , une trĂšs violente tornade s'abat sur la ville, dĂ©truisant des usines. On a dĂ©nombrĂ© 70 morts et 136 blessĂ©s, la plupart des victimes travaillait dans des filatures dont les murs se sont effondrĂ©s. Selon les descriptions de l'Ă©poque : « Des ouvriers furent lancĂ©s au-dehors par-dessus des haies et des clĂŽtures
 Sur d'autres points, les bĂątiments furent comme pulvĂ©risĂ©s et la place absolument nettoyĂ©e. Des solives, des planches
 furent soulevĂ©es et emportĂ©es jusqu'Ă  25 et 38 kilomĂštres de lĂ  ! Jusque prĂšs de Dieppe », ce qui tendrait Ă  la classer dans la catĂ©gorie F5, la plus intense. Ce n'est cependant qu'une estimation, aucune enquĂȘte utilisant les mĂ©thodes modernes d'investigation n'ayant Ă©tĂ© faite. Gustave Flaubert Ă©voque cette catastrophe dans sa lettre Ă  Louise Colet du [30].

    Sous la IIIe RĂ©publique, de nombreux Ă©difices sont construits : groupe scolaire Évode-Chevalier et mairie (1888).

    L'orthographe du nom de la commune est modifiée en 1964 et le « t » réapparaßt définitivement.

    De nombreuses infrastructures sont crĂ©Ă©es depuis les annĂ©es 1980 jusqu’à aujourd’hui : plan d’eau, musĂ©e des Sapeurs-Pompiers de France, rĂ©sidence pour personnes ĂągĂ©es et maison de retraite, parc industriel de Cardonville, salle de spectacles « Espace Jean-Loup-ChrĂ©tien », etc.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1831 1846 Hippolyte Boissel de Monville Baron
    1862 1870 Hippolyte Hommais
    1870 1875 Pierre Gaillard-LemaĂźtre
    1875 1880 Albert Avonde
    1880 1883 Louis Berrenger
    1883 1884 Hippolyte Hommais
    1884 1896 Evode Chevalier RĂ©publicain Conseiller gĂ©nĂ©ral de ClĂšres (1883 → 1889)
    Louis Guittet Conseiller gĂ©nĂ©ral de ClĂšres (1934 → 1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1952 Jules Deconihout
    1952 Ernest Delaporte
    mars 1959 7 novembre 1993[32] André Martin UDF-PSD[33] Instituteur
    DĂ©putĂ© de la Seine-Maritime (4e circ. (1973 → 1978)
    SĂ©nateur de la Seine-Maritime (1993 → 1993)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de ClĂšres (1964 → 1993)
    PrĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral de la Seine-Maritime (1993 → 1993)
    Décédé en fonction
    novembre 1993 juin 1995 Jacques Motte[34] DVD
    juin 1995 2 avril 2015[35] Pascal Martin[36] - [37] UMP puis UDI (PR) Colonel de sapeurs-pompiers professionnel
    Fils d'André Martin
    PrĂ©sident de la CCPNOR (2003 → 2016)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de ClĂšres (1993 → 2015)
    Conseiller dĂ©partemental de Bois-Guillaume (2015 → )
    PrĂ©sident du conseil dĂ©partemental de la Seine-Maritime (2015 → )
    Démissionnaire aprÚs son élection comme président du conseil départemental
    avril 2015[38] mai 2020[39] Myriam Travers
    mai 2020[40] - [41] En cours
    (au 10 août 2020)
    Anne-Sophie Clabaut DVD Enseignante en physique-chimie et microbiologie en lycée agricole

    Distinctions et labels

    En 2016, la commune détient le label « Ville Internet @@@@ »[42].

    Les fleurs et la botanique sont une tradition bien ancrée à Montville. Vers 1850 y était installée une des plus grandes collections de cactées et plantes succulentes appartenant au baron Hippolyte Boissel de Monville (maire de 1831 à 1846). Cette collection donna son nom à de nombreuses plantes portant toujours le nom latin Monvillea.

    Cette tradition se poursuit aujourd’hui.

    [réf. nécessaire]

    La commune est classée en 2008 « quatre fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[43].

    Jumelage

    Population et société

    Les habitants de la commune sont appelés les Montvillais[45].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[47].

    En 2020, la commune comptait 4 593 habitants[Note 8], en diminution de 5,73 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7605625807511 6502 2042 5812 5062 543
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6252 6732 5312 3712 4172 3762 3452 5202 786
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7902 8982 9892 7832 8062 7442 7042 7723 516
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4 0574 1394 1114 3654 2524 6444 5584 5024 687
    2014 2019 2020 - - - - - -
    4 8724 5634 593------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports et loisirs

    • 2 stades de football
    • 2 courts de tennis
    • 2 gymnases
    • 1 piscine
    • 1 golf (le golf de Rouen La ForĂȘt Verte situĂ© Ă©galement sur la commune de Bosc-GuĂ©rard-Saint-Adrien)
    • 1 terrain de pĂ©tanque
    • 1 plan d'eau de 3 ha (pĂ©dalos) avec 3 circuits pĂ©destres autour de 800 et 1 000 m avec parcours de santĂ© et de nombreuses activitĂ©s sportives
    • 1 parcours touristique
    • 1 mini-golf
    • 1 salle de spectacles de 360 places, l'espace Jean-Loup-ChrĂ©tien
    • 1 Ă©cole municipale de danse
    • 1 accueil de loisirs
    • 50 associations

    La commune a participĂ© Ă  trois reprises au Challenge "L'Équipe" de la ville la plus sportive : en 2012, 2013 et 2014.

    Cultes

    Pour le culte catholique, la communautĂ© locale de Montville est le siĂšge de la paroisse Saint-Jean-Bosco de ClĂšres – Montville, comprenant 11 villages comprenant soit environ 13.000 habitants[50]. Celle-ci est soumise Ă  l'autoritĂ© du diocĂšse de Rouen et est comprise dans le doyennĂ© de Rouen-Ouest[51].

    Le journal de la paroisse Saint-Jean-Bosco de ClĂšres – Montville fait Ă©diter son journal par Bayard Service[52] Ă  5600 exemplaires[53].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La mairie :
      ÉdifiĂ©e en 1888, la mairie[54] renferme le drapeau de la Garde nationale de la RĂ©volution fixĂ© sur le mur de la salle du Conseil municipal de la mairie. Trois thĂšmes majeurs y sont reprĂ©sentĂ©s : la RoyautĂ©, la RĂ©volution et la RĂ©publique. Son Ă©tat de conservation exceptionnel en fait une piĂšce historique et rarissime. Le vitrail de 1888 surplombe le hall du rez-de-chaussĂ©e de la mairie. Le motif central reprĂ©sente la Justice y figurent des bonnets phrygiens, des cocardes aux couleurs inversĂ©es et la devise rĂ©publicaine.
    L'Ă©glise.
    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption[55] possĂšde un clocher datant du XIe siĂšcle. Son chƓur plus rĂ©cent est des XVe et XVIe siĂšcles.
    ** Mgr d'AubignĂ©, archevĂȘque de Rouen, effectue une visite pastorale le mercredi . Il ordonne plusieurs travaux Ă  effectuer : remettre quelques planches aux lambris de la sacristie, ajouter une petite grille qui manque au confessionnal, recharger la couverture du chƓur et rĂ©parer celle de la sacristie. Les titres et autres papiers de la Fabrique seront dĂ©posĂ©s dans un coffre fermant Ă  clef. Monseigneur rĂ©primande . le curĂ© qui n’effectue pas son sacerdoce correctement : il recevrait ses ouailles vers dix heures du soir, minuit et autres

      • Un dessin datant de 1800 environ nous montre l’église avant sa transformation.
      • En 1802, la toiture et les vitraux subissent d’importantes rĂ©parations.
      • En 1840, la ville propose la construction d’un berceau et d’un jubĂ©.
      • À partir de 1853, de nombreux projets sont Ă©laborĂ©s pour agrandir l’église, mettre la nef Ă  la mĂȘme hauteur que le chƓur. Les travaux de cet agrandissement s’effectuent pendant les annĂ©es 1859 et 1860 par l'architecte Charles Fleury. La fabrique alloue une somme de 4 000 francs pour l’extension du lieu de culte. La ville procĂšde Ă  un emprunt, six souscripteurs prĂȘtent 18 500 francs Ă  la commune (trois Montvillais figurent parmi ces souscripteurs). Cette somme plus les intĂ©rĂȘts Ă  5 % sont remboursables en dix ans.
      • La sculpture au linteau du portail s’intitule le Bouquet de la porte.
      • Le clocher est consolidĂ© en 1864 et 83 marches de 18 cm de hauteur permettent d’accĂ©der aux cloches de l'Ă©glise. Le clocher, d’une hauteur de 20 m environ, semble inachevĂ©.
      • Le , un incendie Ă©clate dans l’église.
      • L’inventaire de 1905 mentionne six statues :
      • En 1907, une partie de la toiture est rĂ©parĂ©e.
      • En 1913, M. Charpentier peint les 14 tableaux du chemin de croix.
      • En 1928, la municipalitĂ© dĂ©cide d’effectuer des travaux de nettoyage Ă  l’intĂ©rieur de l’édifice.
      • L’éclairage est installĂ© au clocher en 1935. Les façades de l’église bĂ©nĂ©ficient d’une remise en Ă©tat en 1955.
      • La dĂ©libĂ©ration du conseil municipal du autorise M. l’AbbĂ© Ă  dĂ©poser la chaire et les lustres.
      • La ville procĂšde Ă  l’acquisition d’un harmonium en 1980.
      • En 1981, la rĂ©fection totale de l’église est nĂ©cessaire : 35 000 ardoises, 300 kg de crochets inox, 6 506 m de liteaux (tringle de bois clouĂ©e contre la charpente pour servir d’appui Ă  l’ardoise) etc. Ce travail important et dĂ©licat est confiĂ© Ă  une entreprise de couverture montvillaise. Un nouveau coq est bĂ©ni et installĂ© au sommet du clocher.
      • En 1986, l’intĂ©rieur de l’église est entiĂšrement restaurĂ©, de mĂȘme que celui de la sacristie. Ce projet conçu et rĂ©alisĂ© par un jeune architecte rouennais, Bertrand Vaslet. L’édifice cultuel a retrouvĂ© tout son Ă©clat aprĂšs des travaux minutieux et dĂ©licats rĂ©alisĂ©s par les entreprises Lanfry et Delafontaine.
    • L’horloge
      • Un document datant de 1743 relate le devis d’une horloge pour l’église de Montville et une personne est rĂ©munĂ©rĂ©e pour le remontage et l’entretien de celle-ci.
      • Une illustration de 1800 environ mentionne le cadran de l’horloge vers les Sondres (quartier de Montville).
      • En 1852, un monument sonne les quarts doubles Ă  l’aide de deux petites cloches.
      • À partir du , l’horloge au lieu d’ĂȘtre Ă  l'heure solaire (en avance de 8 Ă  10 minutes sur l'heure lĂ©gale), devra marquer celle-ci, en concordance avec celle de la gare de Montville.
      • En 1912, le cadran est pourvu d’un Ă©clairage.
    • Les vitraux[56]
      • Les sept fenĂȘtres qui Ă©clairent le chƓur possĂšdent une vitrine coloriĂ©e portant les dates de 1527 et 1529. Nous y remarquons la vie de Notre Seigneur et de saint Jean, les Saints, les Saintes honorĂ©s dans notre contrĂ©e.
      • Les vitraux reprĂ©sentent, entre autres, saint Romain, une sainte avec une palme et un glaive, un martyr tenant plusieurs flĂšches avec un carquois Ă  ses pieds. Le nimbe de chaque personnage est placĂ© dans une coquille agrĂ©mentĂ©e d’arabesques ou fleurs Ă  tiges d’or.
      • Le , le ministre de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts visite l'Ă©glise. Les vitraux du XVIe siĂšcle sont classĂ©s en 1898 Ă  titre objet monuments historiques.
      • Pendant la Seconde Guerre mondiale, les vitraux de l’église sont dĂ©posĂ©s dans l’une des caves du chĂąteau adossant l’église puis sont remontĂ©s et restaurĂ©s Ă  la fin du conflit.
      • Les vitraux de l’église de Montville sont protĂ©gĂ©s par des grillages et entretenus en permanence et mis en valeur depuis peu par un bel Ă©clairage.
    • Les cloches
      • La bĂ©nĂ©diction des cloches figure parfois sur les registres paroissiaux. La premiĂšre a lieu en 1622. La grosse cloche est bĂ©nie le . Elle est remplacĂ©e le et prend le nom de Marie-AngĂ©lique.
      • Le , une cloche est bĂ©nite et nommĂ©e Madeleine par Alexandre Bigot, baron de Montville.
      • En 1791, les cloches sont Ă©changĂ©es avec d’autres paroisses. Trois nouvelles cloches sont fondues Ă  Gueutteville-les-GrĂšs. Elles sont solennellement bĂ©nites le . La premiĂšre pĂšse 453 kg et se nomme Antoinette en l’honneur du prĂ©nom de l’épouse de M. le maire d’Anceaumeville. La seconde pĂšse 840 kg et se nomme Louise en l’honneur du prĂ©nom de l’épouse de M. le maire d’Eslettes. La derniĂšre pĂšse 840 kg et se nomme Victoire en l’honneur du troisiĂšme prĂ©nom d’Antoinette Hommais, l’épouse du maire de Montville. Chaque cloche mesure 90 cm de hauteur environ et 110 cm de diamĂštre environ. Elles sont restaurĂ©es en 1951. L’annĂ©e suivante, leur mouvement est Ă©lectrifiĂ©.
    • Devise rĂ©publicaine inscrite sur l’église :
      Le , le conseil municipal dĂ©cide que la devise « LibertĂ©, ÉgalitĂ©, FraternitĂ© » doit ĂȘtre inscrite sur les monuments publics communaux. La ville ayant financĂ© une grande partie de l’agrandissement de l’église, inscrit la devise sur le collatĂ©ral et « RĂ©publique française » sur le clocher qui appartient toujours Ă  la fabrique jusqu’à la sĂ©paration de l’Église et de l’État en 1905. Les inscriptions sont apposĂ©es sur la façade de l'Ă©glise le par un peintre d’une commune voisine.
    [réf. nécessaire]
    • MusĂ©e des sapeurs-pompiers de France :
      Montville abrite le musée des sapeurs-pompiers de France. Inauguré en 1993, il détient le label « Musée de France », dont bénéficie aussi le musée des sapeurs-pompiers de Lyon.
    • Plan d'eau :
      Montville possÚde un plan d'eau de trois hectares sur lequel il est possible de faire du pédalo. Autour de ce plan d'eau, on trouve un jardin aquatique et un arboretum, une réserve ornithologique, un complexe socioculturel et sportif, un parcours de santé, une aire de jeux ainsi qu'un minigolf dix-huit trous.
    • Le manoir du Bois-Isambert, qui date du
      .
    • Le manoir et son arboretum :
      Construite en 1914, cette belle demeure s’appelait Ă  l’origine « Au bon accueil ». SituĂ©e au milieu d’un arboretum plantĂ© d’espĂšces rares et anciennes (hĂȘtre pourpre tricentenaire notamment), elle est acquise par la Ville en 1984 et est utilisĂ©e aujourd’hui comme salles municipales Ă  disposition des particuliers et des associations montvillaises.

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Picquenot (1747-1814), nĂ© Ă  Montville, devient un habile graveur de renommĂ©e nationale. Il se distingue surtout par la reproduction de chasses, de paysages et de campements militaires.
    • Hector Berlioz (1803-1869) sĂ©journa chez son ami, le baron Hippolyte Boissel de Monville (de), entre 1845 et 1847, dans le parc du chĂąteau prĂšs de l'Ă©glise. Il y mit au point La Damnation de Faust. La mairie comporte une statue du compositeur rĂ©alisĂ©e par Alfred Lenoir[57].
    • Louis Amand Demarest (1817-1883), dĂ©putĂ©, mort Ă  Montville.
    • L'abbĂ© Joseph Kerebel (1912-1945), vicaire de Montville, mort pour la France en dĂ©portation[58].
    • Amaury Vassili : nĂ© Ă  Rouen en juin 1989, ce jeune tĂ©nor et chanteur lyrique a passĂ© sa jeunesse Ă  Montville entre neuf et seize ans.

    HĂ©raldique

    Armes de Montville

    L’écu hĂ©raldique de forme moderne est dĂ» Ă  l’initiative du Souvenir français et de la MunicipalitĂ©. Les Armoiries sont approuvĂ©es par le Conseil municipal lors de sa sĂ©ance du . Les armes de la commune de Montville se blasonnent ainsi :
    coupĂ© : au 1) d’azur Ă  la roue dentĂ©e d’argent accostĂ©e de deux navettes de tisserand du mĂȘme posĂ©es en pal, au 2) de gueules Ă  la charrue d’argent ; Ă  la divise ondĂ©e d’argent brochant sur la partition. Les deux Ă©pĂ©es d'argent croisĂ©es reflĂštent notre Garde Nationale. La devise « Vive Labeur » est inscrite sur une banderole supportĂ©e par les lames des Ă©pĂ©es. Ces deux mots signifient « Vive le travail ».

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alain Poulin, Montville, son histoire, Montville,
    • Alain Alexandre et Alain Poulin, Montville, t. I et II, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, coll. « MĂ©moire en images », 2006 et 2007

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Venir à Montville | Ville de Montville » (consulté le ).
    2. « Pollution Montville (76710) », sur www.linternaute.com (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Montville et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Montville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) » in Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. p. 311.
    27. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 113.
    28. (en) The Publications of the Pipe Roll Society, Pipe Roll Society, (lire en ligne).
    29. Lettres patentes de Louis XI, Montilz-lĂšz-Tours, mars 1472 (1471 avant PĂąques) (lire en ligne).
    30. Jean Dessens et John T. Snow, Les Trombes en France, , Lycos.fr. Consulté le 2008-01-31
    31. « Les maires de Montville », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
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    36. « Montville : Pascal Martin plĂ©biscitĂ© dĂšs le 1er tour », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
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    39. Sophie Bogatay, « Municipales 2020 Ă  Montville : Anne-Sophie Clabaut, sera tĂȘte de liste », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Myriam Travers, maire, a officiellement annoncĂ© dans un communiquĂ© en date du 3 septembre qu’elle ne briguerait pas un prochain mandat et a dĂ©voilĂ© officiellement le nom de la tĂȘte de liste « Servir Montville » pour les Ă©lections municipales de mars 2020. Il s’agira d’Anne-Sophie Clabaut, actuelle adjointe chargĂ©e des affaires sociales et de l’emploi ».
    40. « Municipales 2020 : la liste Servir Montville d’Anne-Sophie Clabaut : Adjointe aux affaires sociales et Ă  l’emploi, Anne-Sophie Clabaut a prĂ©sentĂ© ses colistiers avec le soutien de Pascal Martin », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    41. « Municipales 2020. Anne-Sophie Clabaut enfin installĂ©e au poste de maire de Montville : Élue maire, l’ancienne adjointe succĂšde Ă  Myriam Travers et s’inscrit dans la continuitĂ© des mandats effectuĂ©s par Pascal Martin », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    42. [PDF]PalmarÚs 2016 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 27 mars 2017.
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    44. « StÀdtepartnerschaften » Site web de la ville de Haiger, consulté le 27 mars 2017.
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    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    50. « Présentation de la paroisse », sur paroisse-montville.net (consulté le ).
    51. « Paroisses du doyenné de Rouen-Ouest », sur DiocÚse de Rouen (consulté le ).
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    54. Notice no IA00020305.
    55. Notice no IA00020302.
    56. Notice no IM76003536 - Notice no IM76003535 - Notice no IM76003534 - Notice no IM76003533 - Notice no IM76003532.
    57. Jean-Dominique Lavazais (dir. publication), « Pourquoi la statue de Berlioz fait l’objet de toutes les attentions Ă  Montville? », sur www.paris-normandie.fr, Paris-Normandie, Rouen, SociĂ©tĂ© normande d'information et mĂ©dias, (e-ISSN 2743-1517, consultĂ© le ). AccĂšs payant.
    58. StĂ©phane Cauchois, Joseph Kerebel, prĂȘtre rĂ©sistant mort en dĂ©portation (Le vicaire de Montville), Éditions Ysec, 2012
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