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Eslettes

Eslettes est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Eslettes
Eslettes
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Roland Guéville
2020-2026
Code postal 76710
Code commune 76245
DĂ©mographie
Gentilé Eslettois, Eslettoises
Population
municipale
1 638 hab. (2020 en augmentation de 7,27 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 320 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 32â€Č 49″ nord, 1° 03â€Č 12″ est
Altitude Min. 44 m
Max. 167 m
Superficie 5,12 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Notre-Dame-de-Bondeville
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Eslettes
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Eslettes

    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 866 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  21 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Eslettes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (75,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), prairies (21 %), zones urbanisĂ©es (18,3 %), forĂȘts (13,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Esletis vers 1040[21] - [22], Helledes vers 1075[23], Eslette en 1757 (Cassini), Eslettes en 1953[24].

    Albert Dauzat et Charles Rostaing ont renoncĂ© Ă  Ă©tudier ce toponyme qu'ils jugent obscur[25]. En revanche François de Beaurepaire, suivi par RenĂ© Lepelley, y voit l'ancien scandinave sletta « terrain plat »[22] - [26] (islandais slĂ©tta « prairie, plaine Â», norvĂ©gien nynorsk sletta). Cependant, cet appellatif toponymique est employĂ© ici au pluriel, comme tous les mots scandinaves employĂ©s en toponymie de façon absolue (ex. : Boos, Tostes, TĂŽtes, Escalles, Écalles ou Veules)[22]. Ils rappellent le pluriel des noms de lieux anglais de mĂȘme origine noroise, c'est ainsi qu’Eslettes a pour Ă©quivalent Sleights (en) (Yorkshire, GB). Le sens global de ce toponyme est donc « terrains plats, prairies ».

    Cette explication est confortĂ©e par le toponyme ÉlĂ©tot (Seine-Maritime, Esletetot vers 1025)[22], dont le second Ă©lĂ©ment -tot est indiscutablement issu de l'ancien scandinave topt « terrain constructible, ferme » (voir noms en -tot) et dont le premier Ă©lĂ©ment de la forme ancienne Eslet- est semblable.

    Alors qu’ÉlĂ©- est une forme contractĂ©e d’Eslete-, dont la graphie est moderne, Eslettes a conservĂ© graphiquement l'initiale Es- qui n'est normalement pas prononcĂ©e « Es », mais « É »[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    8 septembre 1816 30 mars 1819 Anne Claude de Vigny Marquis ; démissionnaire
    30 juin 1819 Mr Guillaume François Blondel
    11 octobre 1831 16 juin 1855 Pierre Rousée
    16 juin 1855 14 septembre 1865 Louis Anquetin Nommé par le préfet ; propriétaire
    14 septembre 1865 9 mars 1867 Pierre Aroux Propriétaire ; démissionnaire pour raison de santé
    1936 De la MoissonniĂšre
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 mars 2014[27] Michel Tieursin PCF[28] Enseignant
    mars 2014 mai 2020[29] Didier Cartier Union de
    la gauche
    mai 2020[30] - [31] En cours
    (au 10 août 2020)
    Roland Guéville PCF

    DĂ©mographie

    Mairie.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 1 638 habitants[Note 8], en augmentation de 7,27 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    356342343308386387495440436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    475475400399393379430438442
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    467467519531497465467477520
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    5015136659351 3831 3961 4931 5211 449
    2018 2020 - - - - - - -
    1 5781 638-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Sainte-Jeanne-d'Arc a Ă©tĂ© construite en 1920 sur les plans de l'architecte Pierre Chirol. Elle est situĂ©e sur un terrain donnĂ© Ă  la commune par LĂ©once Mollet. L'Ă©glise relĂšve du diocĂšse de Rouen. Mgr AndrĂ© du Bois de La Villerabel, archevĂȘque de Rouen l'a bĂ©nie le 14 juin 1925[36]. Le Bulletin religieux de l'archidiocĂšse de Rouen la dĂ©crit « originale en sa simplicitĂ© voulue, parfaitement adaptĂ©e au cadre champĂȘtre et aux besoins de la population ».

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Luc Dourville, Eslettes : Les soldats eslettois de la Grande Guerre, Wooz, , 110 p. (ISBN 979-10-96714-07-0).
    • Jean-Luc Dourville, Eslettes : Histoire de mon village natal, t. 1, Wooz, , 168 p..

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Eslettes et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Eslettes et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 270b.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    23. Ibid.
    24. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 346.
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    26. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 117.
    27. « Pas de sixiĂšme mandat : Le maire, Michel Tieursin, a prĂ©sentĂ© ses vƓux et a dressĂ© un bilan de ses trente annĂ©es Ă  la tĂȘte de la commune », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    28. https://www.yumpu.com/fr/document/read/36097434/parlementaires-conseillers-ragionaux-elunet
    29. « Municipales Ă  Eslettes : Roland GuĂ©ville candidat Ă  la succession de Didier Cartier : Conseiller municipal depuis plus de trente ans, le candidat sera Ă  la tĂȘte de la liste « Partageons demain », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    30. « Municipales 2020. L’adjoint au maire d’Eslettes Ă  la tĂȘte d’une liste de gauche : Roland GuĂ©ville emmĂšne la liste « Partageons demain » Ă  Eslettes. L’équipe a prĂ©sentĂ© son programme », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Roland GuĂ©ville, Ă©lu depuis 1989, ayant effectuĂ© quatre mandats en tant qu’adjoint, briguera donc le poste de maire, en remplacement de Didier Cartier, qui n’a pas souhaitĂ© se reprĂ©senter ».
    31. « Municipales 2020. Roland GuĂ©ville Ă©lu maire d’Eslettes par le conseil municipal : Le conseil municipal s’est rĂ©uni lundi 25 mai 2020. L’ex-adjoint sortant, Roland GuĂ©ville, a Ă©tĂ© Ă©lu maire », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Eslettes », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) .
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