Ăletot
Ăletot est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Seine-Maritime en rĂ©gion Normandie.
Ăletot | |||||
La mairie-poste. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | CA Fécamp Caux Littoral Agglomération | ||||
Maire Mandat |
SĂ©verine HĂ©bert 2020-2026 |
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Code postal | 76540 | ||||
Code commune | 76232 | ||||
DĂ©mographie | |||||
GentilĂ© | Ăletotais | ||||
Population municipale |
639 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 94 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 47âČ 21âł nord, 0° 27âČ 17âł est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 118 m |
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Superficie | 6,81 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | FĂ©camp (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de FĂ©camp | ||||
LĂ©gislatives | 9e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | http://www.eletot.fr | ||||
GĂ©ographie
Description
La commune est située sur la cÎte d'Albùtre, à 7 km de Fécamp.
Elle est située sur la falaise, à une altitude moyenne de 101 m. Les principales dépressions sont la valleuse et le bois de Saint-Pierre aussi appelé Bois Joli. L'altitude minimale est 0 m (la Manche) et l'altitude maximale est de 118 m (prÚs de Bondeville).
L'accĂšs Ă la commune se fait par la D 79 Ă partir de Saint-Pierre-en-Port et de Bondeville, ou par la C401 Ă partir de Sainte-HĂ©lĂšne.
Elle appartient Ă la couronne de l'aire urbaine de FĂ©camp qui compte 27 373 habitants (2008)[1].
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[8] et qui se trouve Ă 17 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 70 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Ăletot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (84,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (71,8 %), zones urbanisĂ©es (9,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,1 %), prairies (5,8 %), forĂȘts (5,5 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom du village est attesté sous les formes Sclestetoth vers 1023[25], Esletetot vers 1025[26], Eslettot en 1032 et 1035[25].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale, composée des éléments vieux norrois sletta « terrain plat », qu'on retrouve aussi dans Eslettes (Seine-Maritime, Esletis vers 1040) et dans les toponymes danois Sletten et anglais Sleights[27].
Le second élément -tot représente le vieux norrois topt, utilisé comme terminaison dans prÚs de 350 noms de lieux normands. Il signifie « ferme, propriété rurale »[27].
L'Ă©tymologie et la tradition justifient l'orthographe et la prononciation ĂlĂ©tot et non pas Ăletot[27].
Histoire
On y a retrouvé des traces d'une ville romaine, ainsi que des vases et des meules datant de l'Antiquité.
Des cercueils de pierre et une bague en argent ont également été découverts, ils datent de la période mérovingienne.
La paroisse d'Ăletot dĂ©pendait de lâabbaye de la TrinitĂ© de FĂ©camp avant la RĂ©volution française[Note 8] . AprĂšs la RĂ©volution française, sur la place du Marquais, un chĂȘne fut plantĂ©, appelĂ© arbre de la LibertĂ©, il fut abattu en 1946 parce qu'il devenait dangereux.
Deux autres arbres furent plantĂ©s : un autre chĂȘne, l'arbre de l'ĂgalitĂ©, Ă 100 m du premier, et un hĂȘtre, l'arbre de la FraternitĂ©, prĂšs du calvaire, Ă l'ouest du village.
En 1879, l'école des garçons et la mairie sont construits. Aujourd'hui, l'école des garçons accueille la classe des CP-CE1, les CE2-CM1-CM2 sont dans l'ancienne école des filles, et la mairie a été transformée en cantine. La mairie actuelle se situe à 100 m de là , accompagnée de La Poste.
Le , le village est traversé pour la premiÚre fois par le Tour de France, il s'agit de la 4e étape du Tour de France 1926, allant de Dunkerque au Havre et longue de 361 km et remportée par le belge Félix Sellier en 14 h 57 min 1 s.
Le village a Ă©tĂ© une seconde fois traversĂ© par le Tour de France le lors de la 4e Ă©tape du Tour de France 2012 entre Abbeville et Rouen, longue de 214,5 km, remportĂ©e par lâAllemand AndrĂ© Greipel.
Seconde Guerre mondiale
Le , Ă 13 h 25, l'armĂ©e allemande, venant de Saint-Pierre-en-Port, arrive Ă Ăletot. Elle en repartira le .
Deux jours plus tard, un avion anglais, en feu, veut se poser sur le terrain d'aviation. Il est immédiatement abattu par la DCA allemande. 4 des 5 passagers sautent en parachute, le 5e, resté aux commandes, est tué lors de l'explosion de l'appareil.
Le , les corps de 19 soldats sont découverts au pied de la falaise. Ils proviennent du cargo français le MekhnÚs, torpillé le .
Toutes les rangĂ©es d'arbres le long de la falaise sont abattues. Les troncs vont ĂȘtre utilisĂ©s pour empĂȘcher les avions de se poser sur l'aĂ©rodrome d'Ăletot. Celui-ci, inaugurĂ© le , est bĂ©tonnĂ© par les Allemands et est encore visible aujourd'hui sous le nom de La Piste, et est empruntĂ© par le GR 21. Il est utilisĂ© pour stationner une partie des 480 avions de chasses allemands prĂ©vu pour un Ă©ventuel dĂ©barquement en Angleterre, les autres Ă©tant Ă Sainte-HĂ©lĂšne-Bondeville, mais la plupart d'entre eux seront utilisĂ©s pour des opĂ©rations en URSS en mai et juin 1941.
Le , les Allemands font sauter à la dynamite l'escalier d'accÚs à la mer. Celui-ci sera reconstruit par le département en 1946.
Pendant l'Ă©tĂ© 1941, une batterie d'artillerie de Marine est installĂ©e dans la valleuse d'Ăletot, et une mitrailleuse sur la falaise. Les soldats sont alors environ 3 000. Deux batteries antiaĂ©riennes suivront, en .
Dans la nuit du 11 au , une maison hébergeant des Allemands est bombardée faisant 4 victimes civiles.
Du au , sont construits 3 blockhaus : un poste de direction de tir et un abri pour groupe de combat au-dessus de la valleuse et un poste d'observation sur la falaise. Ils sont construits par l'entreprise RAFF originaire de Saint-Brieuc, sous-traitante de l'armée allemande.
Le à 13 h 25, le village est à nouveau bombardé, par 36 avions alliés, mais, cette fois, ne faisant aucune victime.
Le , le corps du soldat anglais le Trooper Ivor Douglas James APLIN, du 43rd Recce Regiment (en), est découvert sur la plage. Il provenait du MV Derrycunihy (en), cargo de 10 200 tonnes, qui a explosé sur une mine acoustique allemande le au large de Ouistreham, faisant 214 morts, dont 25 membres d'équipage, et 150 blessés. Il est aujourd'hui inhumé dans le cimetiÚre de la commune.
AprĂšs-guerre
En 1952 est organisé le premier repas des aßnés.
En 1983, le club de football est créé. En 2000, l'école maternelle voit le jour, ainsi que de nouveaux vestiaires pour le terrain de football.
Le , la nouvelle véranda de l'école est inaugurée, ainsi que le toit de l'ancienne mairie, qui a été rénové et recouvert de panneaux photovoltaïques.
Politique et administration
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].
En 2020, la commune comptait 639 habitants[Note 9], en augmentation de 1,59 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 23,0 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 26,0 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 318 hommes pour 330 femmes, soit un taux de 50,93 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,90 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
.
Santé
La commune n'a pas de médecin sur son territoire. Le plus proche est situé à Saint-Pierre-en-Port à 4 km.
L'hÎpital le plus proche est le centre hospitalieri Intercommunal du Pays des Hautes Falaises, situé à Fécamp à 9 km.
Cultes
Le bourg fait partie de la paroisse catholique Saint-Benoßt-du-Grand-Caux, dépendant au diocÚse du Havre.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La valleuse d'Eletot est classée Espace naturel sensible (elle est un des 33 sites classés en Seine-Maritime) et contient des parcelles classées par Natura 2000. L'accÚs à la mer se faisait par un escalier qui est interdit d'accÚs, pour des raisons de sécurité, depuis 2006, à la suite de gros dégùts causés par la mer.
- L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption, reconstruite en 1849.
DĂ©diĂ©e originellement Ă saint Pierre, l'Ă©glise est mise sous le patronage de Notre-Dame-de-l'Assomption vers 1849, lors de la reconstruction de lâĂ©glise qui appartenait alors Ă la fabrique dont les biens furent remis au Bureau de Bienfaisance Ă la sĂ©paration de l'Ăglise et de lâĂtat en 1905.
Le bĂątiment est construit sur une base en pierre et alterne bandeaux de brique et de silex.
Une imposante tour carrée, épaulée aux angles de puissants contreforts de brique, dont le rez-de-chaussée forme le narthex, est accolée à la façade occidentale, coiffée d'une courte flÚche quadrangulaire.
Cette flĂšche Ă©tait Ă lâorigine la plus haute du pays et servait de point de repĂšre aux marins jusqu'en 1861, annĂ©e oĂč la foudre et une violente bourrasque eurent raison d'elle.
Personnalités liées à la commune
- Adrienne Legay, nĂ©e Ă Ăletot le [37], a inspirĂ© Guy de Maupassant pour l'Ă©criture de sa nouvelle Boule de Suif.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune d'Ăletot se blasonnent ainsi : TranchĂ© d'azur et de gueules, Ă la crosse d'abbĂ© d'or brochant sur la partition, accompagnĂ©e en chef d'une coquille et en pointe d'un vase romain, le tout d'argent. Elles ont Ă©tĂ© adoptĂ©es le , lors d'une rĂ©union du conseil français d'hĂ©raldique Ă Mont-Saint-Aignan.
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Logotype
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Le logo d'Ăletot a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en juin 2010.
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Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- un livre terrier le prouve
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- http://www.recensement.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=207&codeZone=207-AU2010&idTheme=3
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ăletot et Goderville », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ăletot et Boos », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Adigard des Gautries - Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) [article] page 136.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 70.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- Matthias ChaventrĂ©, « Municipales 2020. Ă Ăletot, Paul Le Guen, maire sortant, veut maintenir « lâĂ©lan » : Paul Le Guen, 80 ans, brigue un nouveau mandat. LâĂ©coquartier figure toujours au cĆur de son programme, parmi dâautres projets », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Ăletot. SĂ©verine HĂ©bert, tĂȘte de la liste est Ă©lue mais pas le maire sortant », Le Courrier cauchois,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Municipales 2020. SĂ©verine HĂ©bert, premiĂšre femme maire du village dâĂletot : La nouvelle maire sera secondĂ©e par trois adjoints », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Au premier tour de scrutin et avec douze voix pour et trois contre, SĂ©verine HĂ©bert, secrĂ©taire de mairie, 48 ans, a accĂ©dĂ© sous les applaudissements aux fonctions de maire de la commune ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ăletot (76232) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Seine-Maritime (76) », (consultĂ© le ).
- fille de Louis Thomas Legay, dĂ©bitant de tabac, 36 ans et de CĂ©sarine Eulalie Soudry, sans profession, 25 ans, mariĂ©s le 10 dĂ©cembre 1835 Ă Ăletot. Elle dĂ©cĂšdera Ă l'HĂŽtel-Dieu de Rouen le 20 aoĂ»t 1892.