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Senneville-sur-FĂ©camp

Senneville-sur-Fécamp est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Senneville-sur-FĂ©camp
Senneville-sur-FĂ©camp
L'Ă©glise Sainte-Anne.
Blason de Senneville-sur-FĂ©camp
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CA Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Pascal Lecourt
2020-2026
Code postal 76400
Code commune 76670
DĂ©mographie
Gentilé Sennevillais, Sennevillaises
Population
municipale
888 hab. (2020 en augmentation de 6,6 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 188 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 46â€Č 24″ nord, 0° 25â€Č 02″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 124 m
Superficie 4,73 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction FĂ©camp
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de FĂ©camp
LĂ©gislatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Senneville-sur-FĂ©camp
Liens
Site web http://www.villages76.com/sennevillesurfecamp

    GĂ©ographie

    Description

    Village du pays de Caux situé sur la partie de la cÎte normande dite cÎte d'Albùtre prÚs de Fécamp.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Senneville-sur-FĂ©camp
    Manche Életot
    Senneville-sur-FĂ©camp
    FĂ©camp FĂ©camp Sainte-HĂ©lĂšne-Bondeville

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 899 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  71 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Senneville-sur-Fécamp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de FĂ©camp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (87,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), zones urbanisĂ©es (15,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12 %), zones humides cĂŽtiĂšres (2,6 %), forĂȘts (1,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le lieu est attesté sous les formes Sone villa[24] ou Sonevilla en 1025[25], Seigneville vers 1119[26], Seneville en 1154[27].

    Il s'agit d'une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en -ville au sens ancien de « domaine rural Â», prĂ©cĂ©dĂ© d'un anthroponyme ou d'un adjectif.

    Étant donnĂ© l'absence de formes anciennes suffisamment dĂ©terminantes, il est difficile de connaĂźtre la nature du premier Ă©lĂ©ment.

    Selon François de Beaurepaire[28], la forme de 1025 n'est pas assurée. En effet, il est difficile d'admettre une évolution phonétique Sone- > Se(i)ne-.

    En outre, il hĂ©site Ă  voir dans Senneville une « saine ville Â», comme Sainneville (Sanavilla 1145) et les diffĂ©rents Santerre (Picardie, Sana terra 881), Sanroy (Criel-sur-Mer, Sanrei fin XIIe siĂšcle < *Sana rito) qui contiennent manifestement l'adjectif gallo-roman SANA > sain, ce qui n'est pas le cas ici.

    Statistiquement, les noms de lieux en -ville composĂ©s avec un anthroponyme reprĂ©sentent plus des Ÿ de ce type de formation toponymique, il est donc prĂ©fĂ©rable de privilĂ©gier cette autre solution.

    Il existe par ailleurs un Senneville (Eure-et-Loir, Sesni villa 1080, Senni villa 1121, Senesvilla 1109), dont Ernest NĂšgre[29] analyse le premier Ă©lĂ©ment comme Ă©tant le nom de personne germanique Saxo (aussi Sahso). Cependant, dans la Beauce les noms en -ville conservent le -(o)n de l'ancien cas rĂ©gime, ce qui n'est gĂ©nĂ©ralement pas le cas en Normandie. À moins que Senneville-sur-FĂ©camp soit une formation basĂ©e effectivement sur le mot SAXONE > Saisne > Sesne, Cesne « saxon Â», bien attestĂ© dans l'onomastique normande (cf. le Val aux Cesnes ou le nom de famille Lecesne).

    À l'appui supplĂ©mentaire de cette hypothĂšse, il existe en pays de Caux une formation au cas rĂ©gime bien identifiĂ©e dans Vassonville (Vassunville 1088) qui contient l'anthroponyme germanique Wasso, qui normalement aurait dĂ» donner *Vasseville et qui se perpĂ©tue dans l'anthroponyme Vasse (cf. Wace), plus rarement Vasson ou Gasson.

    FĂ©camp est une des villes voisines.

    Histoire

    Le village de Senneville-sur-Fécamp a donné son nom à Senneville, ville du Québec. Jacques Le Ber ( marchand ), colon français en Nouvelle-France, achÚte un terrain qu'il baptise Senneville, en 1683, en honneur à sa Normandie natale, et donc à Senneville-sur-Fécamp.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1846 Louis Anquetil
    Jules Allard
    Louis de Robillard de Beaurepaire
    1940 Georges Gobbé
    avant 1988 Bernard Lebreton
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Pascal Lecourt Retraité de la Caisse d'épargne
    Vice-prĂ©sident de la CA FĂ©camp Caux Littoral AgglomĂ©ration (2020 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[31] - [32]

    Distinctions et labels

    La commune a obtenu en 2019 sa premiĂšre Fleur au Concours des villes et villages fleuris[31].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 888 habitants[Note 8], en augmentation de 6,6 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    492619554610678713705677685
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    592672669660697656741805790
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    786765776681655624566553590
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    538527533540565628752770813
    2017 2020 - - - - - - -
    882888-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Anne.

    Personnalités liées à la commune

    Jeanne Loviton, muse de Paul Valéry, y posséda une résidence dont elle confia la décoration intérieure à l'antiquaire et décoratrice parisienne Madeleine Castaing.

    Senneville-sur-FĂ©camp dans les arts

    Senneville a laissé sa trace dans l'histoire au travers d'un chant de marin, puisque l'un d'eux s'intitule Les Gars de Senneville[37].

    Paroles :

    Ce sont les gars de Senneville,
    Ah ! ce sont de bons enfants
    Ils ont fait faire un navire
    J'aime la belle endormie
    Pour aller sur le grand banc
    J'aime la belle en dormant

    la mĂąture Ă©tait d'ivoire
    Et la coque Ă©tait d'argent
    Il y avait sur ce navire
    J'aime la belle Pamyre
    Une jeune fille qui pleurait tant
    J'aime la belle en dormant

    le capitaine du navire
    Mit la main sur ses bas blancs
    Tout doux tout doux capitaine
    J'aime la belle Marjolaine
    Vous n'irez pas plus avant
    J'aime la belle en dormant

    Vous avez eu mon pucelage
    Mais je n'ai pas eu votre argent
    Galant fouille dans sa pouquette[38]
    J'aime la belle Mariette
    lui donne dix Ă©cus comptant
    J'aime la belle en dormant

    HĂ©raldique

    Armes de Senneville-sur-FĂ©camp

    Les armes de la commune de Senneville-sur-FĂ©camp se blasonnent ainsi :
    ÉcartelĂ© au 1) et au 4) Ă©chiquetĂ© d’azur et d’or, au 2) d’azur au crabe d’or, au 3) d’azur aux deux Ă©pis de blĂ© passĂ©s en sautoir ; Ă  la croix d’argent brochant sur la partition ; sur le tout de gueules Ă  la croix latine au pied perronnĂ© d’or.[39].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • MichĂšle Schortz, Le parler de Senneville-sur-FĂ©camp, Uppsala, Acta Universitatis Upsa- liensis, coll. « Studia Romanica 55 », , 278 p. (prĂ©sentation en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Senneville-sur-FĂ©camp », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Senneville-sur-Fécamp et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Senneville-sur-Fécamp et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Jean Adigard des Gautries. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 165.
    25. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 951.
    26. Archives de Seine-Maritime 6 H 6 — charte de Henri comte d'Eu.
    27. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1) (OCLC 6403150). p. 151.
    28. ibidem
    29. Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes ..., Volume 2, Librairie Droz 1991. p. 949.
    30. « Les maires de Senneville-sur-Fécamp », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    31. Matthias ChaventrĂ©, « Municipales 2020 : Pascal Lecourt candidat Ă  un nouveau mandat de maire Ă  Senneville-sur-FĂ©camp : L’actuel maire du village est candidat Ă  un nouveau mandat, entourĂ© d’une grande majoritĂ© d’autres Ă©lus sortants », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    32. « Municipales 2020. Pascal Lecourt rĂ©Ă©lu maire de Senneville-sur-FĂ©camp : Ses conseillers municipaux lui ont confiĂ© les rĂȘnes du village pour la cinquiĂšme fois », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Les Gars de Senneville », sur babord.amures.info (consulté le ).
    38. « Poche de vĂȘtement » en cauchois
    39. GASO - Banque du blason - 76664.
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