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Mont-Cauvaire

Mont-Cauvaire est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Mont-Cauvaire
Mont-Cauvaire
Domaine du Fossé : le Colombier.
Blason de Mont-Cauvaire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Stéphanie Lambard
2020-2026
Code postal 76690
Code commune 76443
DĂ©mographie
Gentilé Calvimontais, Calvimontaises
Population
municipale
851 hab. (2020 en augmentation de 33,59 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 94 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 34â€Č 18″ nord, 1° 06â€Č 38″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 176 m
Superficie 9,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bois-Guillaume
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Mont-Cauvaire
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Mont-Cauvaire
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Mont-Cauvaire

    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 873 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  21 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Mont-Cauvaire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (59,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (59 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (39,5 %), forĂȘts (37,7 %), prairies (19,6 %), zones urbanisĂ©es (3,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Monte Calvarii en 1251[21].

    Le « mont du calvaire Â»[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1893 Jean Daliphard
    1913 1916 Robert Homais RĂ©publicain Avocat
    1925 Desmarets
    1933 1940 P. Alexandre
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020[23] Emmanuel de Bailliencourt MPF
    mai 2020[24] En cours
    (au 10 août 2020)
    Stéphanie Lambard Horizons Professeure de français
    Suppléante du député LREM Xavier Batut

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[26].

    En 2020, la commune comptait 851 habitants[Note 8], en augmentation de 33,59 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    420435410367398405427415433
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    412416423407375372380397410
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    386451482546527489419354507
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    411451471557603566600607620
    2014 2019 2020 - - - - - -
    637840851------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin[29] : elle se substitue Ă  celle du XVIe siĂšcle, jugĂ©e trop vĂ©tuste. Sous l'impulsion du maire J. Daliphard, du curĂ© Chalot et du prĂ©sident du conseil de fabrique Homais, la premiĂšre pierre est posĂ©e le par l'abbĂ© Margueritte, vicaire gĂ©nĂ©ral. Elle est achevĂ©e l'annĂ©e suivante, elle est l'Ɠuvre de l'architecte EugĂšne BarthĂ©lemy[30].
    • ChĂąteau de Rombosc[31], du XVIIe siĂšcle. Inscrit aux Monuments historiques depuis 1932.
    • Colombier de l'ancien chĂąteau du FossĂ©[32] (ancien CollĂšge de Normandie). Inscrit aux Monuments historiques depuis 1977.
    • Chapelle de l'ancien collĂšge de Normandie[33] (1930), Logo monument historique Inscrit MH (1975), lieu-dit le FossĂ©. Inscrite aux Monuments historiques depuis 1975. Chapelle construite en 1930 sur des plans de l'architecte rouennais Pierre Chirol. Cette chapelle ƓcumĂ©nique comporte cinq grandes rosaces en bĂ©ton armĂ©. Elle fut inaugurĂ©e en 1931 par AndrĂ© de La Villerabel, archevĂȘque de Rouen. Le collĂšge de Normandie a Ă©tĂ© fondĂ© en 1901 pour l'Ă©ducation des garçons, dans le cadre du mouvement Éducation nouvelle. Il s'agissait d'un collĂšge privĂ© comportant un internat dont le fonctionnement Ă©tait inspirĂ© par celui des collĂšges anglais. L'enseignement en Ă©tait tournĂ© vers les sports et l'apprentissage des langues. Cet Ă©tablissement a fonctionnĂ© jusqu'en 1940. OccupĂ©s par les Allemands pendant la guerre, les bĂątiments furent ensuite repris par l'École des Roches, avant de devenir un institut mĂ©dico-Ă©ducatif. La propriĂ©tĂ© comportait, Ă  proximitĂ© du colombier, un petit chĂąteau de style Directoire, le chĂąteau du FossĂ©, aujourd'hui disparu.

    Site inscrit

    Personnalités liées à la commune

    • ZdzisƂaw Milner (1887-1965), poĂšte et traducteur, a vĂ©cu Ă  Mont-Cauvaire.
    • Max Milner (1923-2008), critique littĂ©raire, fils du prĂ©cĂ©dent, est nĂ© Ă  Mont-Cauvaire.

    HĂ©raldique

    Armes de Mont-Cauvaire

    Les armes de la commune de Mont-Cauvaire se blasonnent ainsi :
    de gueules aux deux fasces ondĂ©es abaissĂ©es d’argent, au mont de trois coupeaux du mĂȘme ombrĂ©s de sable, mouvant de la pointe brochant sur les fasces, surmontĂ© d’un lĂ©opard d’or armĂ© aussi d’argent, lampassĂ© de gueules, tenant une croisette latine aussi de sable en bande.


    Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Mont-Cauvaire et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Mont-Cauvaire et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Ernest NÚgre - 1998 - Toponymie générale de la France: Tome 3, (ISBN 2600028846), page 1730.
    22. Christian Guerrin - Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime [article] Nouvelle revue d'onomastique Année 2000 - page 319.
    23. « Municipales 2020. Le maire sortant laisse sa place Ă  StĂ©phanie Lambard candidate Ă  Mont-Cauvaire : Emmanuel de Bailliencourt laisse sa place de maire mais est tout de mĂȘme sur la liste Ensemble, agir pour demain », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le maire de Mont-Cauvaire, Emmanuel de Bailliencourt, qui a entretenu le suspense jusqu’au bout a dĂ©cidĂ© de se prĂ©senter aux Ă©lections municipales, mais pour un poste d’adjoint (
) Ainsi donc, la conseillĂšre municipale StĂ©phanie Lambard a Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e par l’emblĂ©matique maire. À 45 ans, cette professeure de français est arrivĂ©e dans le village en 2012 ».
    24. « En Seine-Maritime, un maire sortant, Ă©vincĂ© d’un poste d’adjoint, se dit victime d’un complot : AprĂšs 19 annĂ©es de mandats de maire Ă  Mont-Cauvaire (Seine-Maritime), Emmanuel de Bailliencourt a donnĂ© sa dĂ©mission du conseil municipal, non sans amertume. Explications », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « l’élection du maire s’est effectivement dĂ©roulĂ©e comme prĂ©vu, confiant l’écharpe de premier magistrat Ă  StĂ©phanie Lambard. Les deux premiers adjoints proposĂ©s par StĂ©phanie Lambard ont Ă©galement Ă©tĂ© Ă©lus. Mais c’est au moment d’élire le troisiĂšme adjoint, qu’elle aurait demandĂ©, « ce qu’elle n’avait pas fait prĂ©cĂ©demment », affirme le maire sortant, si d’autres candidats souhaitaient postuler. Jean Morin s’est alors prĂ©sentĂ© et un vote a eu lieu
 Ă©vinçant Emmanuel de Bailliencourt ».
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. « Église Saint-Martin », notice no IA00020299.
    30. « Mont-Cauvaire », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) .
    31. « Chùteau de Rombosc », notice no PA00100756.
    32. « Colombier de l'ancien chùteau du Fossé », notice no PA00100755.
    33. « Ancienne chapelle du collÚge de Normandie », notice no PA00100757.
    34. Notice no IA76002228.
    35. « Le parc de l'ancien collÚge de Normandie », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
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