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Montagrier

Montagrier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Montagrier
Montagrier
Dominant les alentours, l'Ă©glise de Montagrier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Francis Lafaye
2020-2026
Code postal 24350
Code commune 24286
DĂ©mographie
Gentilé Agrésiens
Population
municipale
503 hab. (2020 en diminution de 3,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 16â€Č 17″ nord, 0° 28â€Č 39″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 207 m
Superficie 14,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de BrantĂŽme en PĂ©rigord
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Montagrier
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Montagrier
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Montagrier
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Montagrier
Liens
Site web montagrier.fr

    De 1790 Ă  2015, la commune Ă©tait le chef-lieu du canton de Montagrier.

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Montagrier, entiÚrement située en rive droite de la Dronne qui la sépare de Tocane-Saint-Apre, comprend également plusieurs ßles situées au milieu de la Dronne, notamment au niveau du Moulin du Pont.

    Le bourg de Montagrier, en bordure sud de la départementale 104E, traversé par la route départementale 103, se situe, en distances orthodromiques, 11 kilomÚtres à l'est-nord-est de Ribérac et 17 kilomÚtres au sud-ouest de BrantÎme.

    Communes limitrophes

    Carte de Montagrier et des communes avoisinantes.

    Seules trois communes entourent Montagrier : Grand-Brassac au nord-ouest, au nord et Ă  l'est, Tocane-Saint-Apre au sud et Saint-Victor Ă  l'ouest. Au sud-ouest, le territoire communal de Montagrier est distant de moins de 150 mĂštres de celui de Douchapt.

    Communes limitrophes de Montagrier
    Grand-Brassac
    Saint-Victor Montagrier
    Tocane-Saint-Apre

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Montagrier est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c4a-c, date du Santonien infĂ©rieur Ă  supĂ©rieur, composĂ©e de calcaires crayeux gris glauconieux en plaquettes Ă©voluant dans le secteur sud avec apparition de silex noirs ou bruns et de rudistes (formation de Saint-Laurent-sur-Manoire). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 758 - PĂ©rigueux (ouest) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Montagrier.

    Relief et paysages

    Paysage Ă  l'ouest du bourg.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 68 mĂštres[5] au sud-ouest, lĂ  oĂč la Dronne quitte le territoire communal pour entrer sur celui de Saint-Victor et 207 mĂštres[5] Ă  l'extrĂȘme nord, au nord-est du lieu-dit Montauffy, en limite de la commune de Grand-Brassac[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune est dans le RibĂ©racois, une rĂ©gion naturelle possĂ©dant un relief vallonnĂ© avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculptĂ© par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulĂ©s de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnĂ©s de la Dordogne[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 14,04 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 14,23 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par la Dronne, le ruisseau des Vergnes et par plusieurs petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 16 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de BussiĂšre-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — Ă  Coutras en Gironde, au lieu-dit la FourchĂ©e, face Ă  la commune de Sablons[16] - [17]. Elle marque la limite communale au sud sur six kilomĂštres et demi, face Ă  Tocane-Saint-Apre.

    Affluent de rive gauche du Jallet et sous-affluent de la Dronne, le ruisseau des Vergnes borde la commune au nord et au nord-ouest sur quatre kilomĂštres, face Ă  Grand-Brassac.

    • La Dronne prĂšs de Salles.
      La Dronne prĂšs de Salles.
    • La Dronne au pont de Montagrier.
      La Dronne au pont de Montagrier.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Montagrier.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 928 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-RibĂ©rac, mise en service en 1993[26] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  47 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Montagrier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (91,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,7 %), prairies (19,1 %), forĂȘts (8,2 %)[38].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Montagrier est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dronne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2003 et 2006[41] - [39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dronne[42] - [43].

    Montagrier est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[44]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[45] - [46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montagrier.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. 87,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1996, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Mont Agrier[50].

    Histoire

    Déjà fortifiée à l'époque gallo-romaine[51], Montagrier fut un bastion anglais lors de la guerre de Cent Ans[52].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DĂšs 1790, la commune de Montagrier est le chef-lieu du canton de Montagrier qui dĂ©pend du district de RibĂ©rac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattachĂ© Ă  l'arrondissement de RibĂ©rac jusqu'en 1926, date de la suppression de cet arrondissement. À cette derniĂšre date, il a Ă©tĂ© rattachĂ© Ă  l'arrondissement de PĂ©rigueux[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[53]. La commune est alors rattachée au canton de BrantÎme renommé canton de BrantÎme en Périgord en 2020.

    Intercommunalité

    Fin 2002, Montagrier intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Val de Dronne. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[54] - [55].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    (1881 ou avant) mai 1888 François Pinasseau
    mai 1888 mai 1896 Jean Puypeyroux
    mai 1896 février 1919 Pierre Nadal[Note 9]
    fĂ©vrier 1919 octobre 1919 Élien Audemard Adjoint faisant fonctions de maire
    octobre 1919 1930 Élien Audemard[Note 9]
    1930 mars 1931 Denis MaziĂšre Adjoint faisant fonctions de maire
    mars 1931 juillet 1938 Denis MaziĂšre[Note 9]
    août 1938 décembre 1941 Ambroise Pingot[Note 9]
    janvier 1942 octobre 1944 LĂ©on Fraud
    octobre 1944 octobre 1947 Albert Lafaye
    octobre 1947 mars 1965 Alain Moreau
    mars 1965 mars 1971 Gilbert Mathieu
    mars 1971 juin 1993 Jean-Pierre Daniel[Note 10]
    juillet 1993[56]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Francis Lafaye DVD[57] Chef d'entreprise

    Jumelages

    Panneau de jumelage avec Lanoraie.

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Montagrier relĂšve[58] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[60].

    En 2020, la commune comptait 503 habitants[Note 11], en diminution de 3,64 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    838850758720842858830891913
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    934825803761794810768738773
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    702729683654600607608540477
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    441411389385397443506510504
    2014 2019 2020 - - - - - -
    522496503------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Floralies en mai de chaque annĂ©e (25e Ă©dition en 2019)[62].

    Économie

    Emploi

    En 2015[63], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 217 personnes, soit 41,5 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (31) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (24) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  14,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-deux Ă©tablissements[64], dont vingt-six au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, treize dans la construction, sept relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et deux dans l'industrie[65].

    Entreprises

    Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siĂšge social est en Dordogne, la sociĂ©tĂ© « Lafaye bĂątiment » (travaux de menuiserie bois et PVC) implantĂ©e Ă  Montagrier se classe en 31e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 644 k€[66].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil ou militaire

    • La porte Wiridel, unique vestige du XIVe siĂšcle des fortifications du bourg[67]
    • Le Moulin du Pont sur la Dronne, XVIIIe et XXe siĂšcles
    • Le chĂąteau de Gouyas
    • La porte Wiridel.
      La porte Wiridel.
    • Le Moulin du Pont.
      Le Moulin du Pont.
    • Le chĂąteau de Gouyas.
      Le chĂąteau de Gouyas.
    • Les toits du bourg.
      Les toits du bourg.

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise Sainte Madeleine, romane[68], est un ancien prieurĂ© des XIe et XIIe siĂšcles dĂ©pendant de l'abbaye de BrantĂŽme, profondĂ©ment remaniĂ©e Ă  la fin du XIXe siĂšcle, classĂ©e monument historique depuis 1912[69] - [70]. Les bĂątiments conventuels qui se trouvaient au nord de l'Ă©glise ont disparu. Le prieurĂ© devint l'Ă©glise paroissiale quand cette derniĂšre qui se trouvait dans le bourg fut dĂ©truite. La nef, jugĂ©e trop petite, fut dĂ©molie pour ĂȘtre agrandie et remplacĂ©e par une copie de l'ancienne. De l'ouvrage primitif il ne subsiste que le carrĂ© du transept, surmontĂ© d'une coupole sur pendentifs, et les absides rayonnantes d'un plan subtrilobĂ© trĂšs rare.
    • La chapelle Saint Sicaire, XIXe siĂšcle ; les deux sculptures en façade qui proviennent de l'ancienne chapelle Saint-Georges[71] dateraient du XIIIe siĂšcle[72]
    • La chapelle Saint Georges, transformĂ©e en salle d'expositions. Cette chapelle Saint-Georges succĂšde Ă  deux autres chapelles connues sous ce nom. Une premiĂšre chapelle situĂ©e au milieu du bourg fortifiĂ© a Ă©tĂ© ruinĂ©e pendant la guerre de Cent Ans. Marie de Foix-Candale, fille de Gaston III de Foix-Candale et de Marthe d'Astarac, entreprend de la reconstruire aprĂšs son mariage avec Guy d'Aydie, vicomte de RibĂ©rac et de Montagrier, en 1551. Elle y a fondĂ© la chapellenie de Notre-Dame. Cette chapelle Ă©tait en ruines Ă  la RĂ©volution. Elle a disparu au moment de la construction de la route qui traverse Montagrier. Une croix de jubilĂ© a Ă©tĂ© Ă©levĂ©e Ă  son emplacement en 1856[73].
    • La croix hosanniĂšre de Montagrier.
    • L'Ă©glise Sainte Madeleine.
      L'Ă©glise Sainte Madeleine.
    • La chapelle Saint-Sicaire.
      La chapelle Saint-Sicaire.
    • L'ancienne chapelle Saint-Georges.
      L'ancienne chapelle Saint-Georges.

    Patrimoine naturel

    La Dronne au Moulin du Pont.

    BordĂ©e par la Dronne, la commune reprĂ©sente un grand intĂ©rĂȘt pour la faune et la flore locales. Des zones de protection y sont donc dĂ©limitĂ©es. Par ailleurs, l'intĂ©rĂȘt architectural du bourg de Montagrier en fait un site protĂ©gĂ©.

    Natura 2000

    Deux sites Natura 2000 sont délimités sur le territoire communal.

    Au sud, la Dronne et sa vallée sont considérées comme site important par le réseau Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de BrantÎme à sa confluence avec l'Isle ». La riviÚre s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espÚces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[74].

    Les coteaux de la Dronne à dominante de pelouses sÚches et de steppes calcicoles présentent de nombreuses espÚces d'orchidées terrestres[75].

    ZNIEFF

    Toujours en relation avec la Dronne, la commune prĂ©sente une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2, bocagĂšre[76] - [77], protĂ©gĂ©e pour sa faune et sa flore spĂ©cifiques.

    Site remarquable

    L'ensemble formé par le bourg de Montagrier et ses abords immédiats est, sur plus de 23 hectares, un site inscrit depuis 1974[78] - [79].

    HĂ©raldique

    Blason de Montagrier Blason
    Parti, au 1er, de gueules Ă  la muraille crĂšnelĂ©e et donjonnĂ©e d'argent maçonnĂ©e de sable, ouverte et ajourĂ©e du champ, la herse baissĂ©e, sur une terrasse de sinople au chemin aussi d'argent menant de la porte au canton dextre de la pointe, le tout surmontĂ© d'une colombe de mĂȘme portant dans son bec une branche d'olivier de sinople, au 2nd, de sable au bouquet de trois Ă©pis de blĂ© feuillĂ© d'or sur une terrasse de sinople et surmontĂ© d'une Ă©toile d'or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. DĂ©missionnaire.
    10. Décédé en fonctions.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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