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Limeil-Brévannes

Limeil-Brévannes est une commune française située dans le sud-est du département du Val-de-Marne en région d'Île-de-France.

Limeil-Brévannes
Limeil-Brévannes
L'hôtel de ville.
Blason de Limeil-Brévannes
Blason
Limeil-Brévannes
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Créteil
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris Sud Est Avenir
Maire
Mandat
Françoise Lecoufle
2020-2026
Code postal 94450
Code commune 94044
Démographie
Gentilé Brévannais
Population
municipale
28 290 hab. (2020 en augmentation de 13,49 % par rapport à 2014)
Densité 4 082 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 47″ nord, 2° 29′ 18″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 94 m
Superficie 6,93 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-Saint-Georges
Législatives 3e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
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Limeil-Brévannes
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Limeil-Brévannes
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Limeil-Brévannes
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Limeil-Brévannes
Liens
Site web http://www.limeil-brevannes.fr

    Ses habitants sont appelés les Brévannais.

    Géographie

    Situation

    Localisation de Limeil-Brévannes dans le Val-de-Marne
    Localisation de Limeil-Brévannes dans le Val-de-Marne

    La commune est située au sud-est de Paris à 16 km de Notre-Dame de Paris.

    Voies routières

    La commune est traversée par les routes nationales 19 et 406 ainsi que par les départementales 101, 136, 204, 205, 229.

    Bus et RER

    La ville est reliée par les lignes de bus de Transdev STRAV (J1, J2, K, O2) à la gare de Boissy-Saint-Léger du RER A, aux gares de Créteil-Pompadour et de Villeneuve-Saint-Georges du RER D et la station de métro Pointe du Lac de la ligne 8 du métro parisien.

    La ville est aussi reliée au sud du département et à la ville de Brie-Comte-Robert en Seine-et-Marne via les lignes 12 et 23 de Transdev SETRA au niveau de l'arrêt de bus repos de la Montagne. Enfin cet arrêt permet à la ville d'être reliée à la gare de Sucy-en-Brie du RER A via la ligne 5 du réseau de bus SITUS.

    Le Câble 1 (projet)

    Le Câble 1, est un projet de transport urbain par câble actuellement à l'étude.

    Le Câble 1 permettrait de relier le haut de la ville de Limeil-Brévannes au niveau du stade Paul-Vaillant-Couturier au terminus de la ligne 8 du métro de Paris Pointe du Lac via une station intermédiaire au niveau du futur quartier vert de la ville. Un prolongement vers le quartier du Bois Matar à Villeneuve-Saint-Georges a été proposé en [1].

    Urbanisme

    Typologie

    Limeil-Brévannes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8] - [9].

    La ville regroupe les quartiers du Centre-Ville, de Saint-Martin (La Seimaroise), de Brévannes, d'Île-de-France, des Orchidées, de la Hétraie et de la Ballastière. Elle est occupée sur une partie du haut de la ville par le Bois de la Grange.

    Plusieurs quartiers de la ville sont classés en zone urbaine sensible, désormais désignés comme quartier prioritaire de la politique de la ville à compter de 2015.

    Il s'agit des quartiers de la Hêtraie (jouxtant la cité de la Haie Griselle de Boissy-Saint-Léger), de l'île-de-France, et du parc Saint-Martin (la Seimaroise).

    Les Temps Durables, situé au quartier de la Balastière, est un quartier résidentiel de 1250 logements, est le premier écoquartier de France à 100 % énergie renouvelable.

    Toponymie

    Anciennement attestée: Limolium, Limuel, Brevane[10].

    Limeil du gaulois lemo (l'orme)[11] et du suffixe -ialo (village), et correspondrait au « village de l'orme ». C'est le bourg principal situé sur la hauteur.

    Brévannes s'écrit Beuvrannes en 1370[11] et serait formé du radical gaulois bebros (le castor) devenant brévo par métathèse et du suffixe celtique -onne (cours d'eau, ruisseau) et correspondrait au « ruisseau du castor »[12]. Cet ancien hameau est situé dans la plaine, anciennement marécageuse.

    Histoire

    Schéma restituant le grand parterre du château de Limeil.

    Une nécropole et une voie gallo-romaine, retrouvés lors de fouilles en 1860, sont les témoins de la période antique.

    Limeil-Brévannes est le résultat de la fusion du hameau de Brévannes (sur le bas de la ville) et de Limeil (sur le plateau) entre 1790-1794.

    En 1942 un camp de jeunesse « Maréchal Pétain » géré par Robert Hersant et Jean-Marie Balestre est installé a Limeil-Brévannes.

    Jusqu'à la création du département du Val-de-Marne en , Limeil-Brévannes était une commune du département de Seine-et-Oise.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Jusqu’à la loi du [13], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le .

    La commune faisait partie depuis 1984 du canton de Boissy-Saint-Léger. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Villeneuve-Saint-Georges.

    Intercommunalité

    La commune était, jusqu'en 2015, membre de la communauté d'agglomération Plaine centrale du Val-de-Marne.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[14].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

    La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté d'agglomération Plaine centrale du Val-de-Marne[15].

    Administration municipale

    Depuis mai 2007, tous les conseils municipaux sont diffusées en direct sur le site internet de la commune après une période d'essai depuis où les conseils ont été enregistrés avant d'être diffusés le lendemain du conseil.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 mai 1953 Marius Dantz[16]
    (1897-1963)
    PCF Artisan maroquinier
    Maire (1935 → 1939)
    Réélu en 1945 et 1947
    mai 1953 mars 1965 Maurice Pierre Mobillon PCF
    mars 1965 mars 1971 Marcel Roger Biron DVD
    mars 1971 février 1984[17] Guy Berjal[18]
    (1934-1986)
    PCF Médecin, chercheur à l'INSERM
    Réélu en 1977 et 1983[19]
    mars 1984 juin 1995 Gérard Bessière RPR Conseiller général de Boissy-Saint-Léger (1985 → 1994)
    Élu à la suite d'une élection municipale partielle
    Réélu en 1989 et 1992[20]
    juin 1995 mars 2014[21] Joseph Rossignol PS[22]
    puis PG
    puis DVG
    Cadre SNCF
    Député du Val-de-Marne (3e circ.) (2000 → 2002)
    Conseiller général de Boissy-Saint-Léger (2008 → 2015)
    Réélu en 2001 et 2008
    mars 2014[23] En cours
    (au 29 mai 2020)
    Françoise Lecoufle UMP → LR Chef d'entreprise
    Conseillère départementale de Villeneuve-St-Georges (2015 → )
    Vice-présidente de l'EPT GPSEA (2016 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[24]

    Parcs et jardin

    • Le Parc Léon Bernard : Situé en plein centre ville, ce parc de 2,5 hectares est ouvert au public depuis le printemps 2008. Véritable axe vert reliant le haut et le bas de la ville, le parc a depuis été largement adopté par les Brévannais qui viennent régulièrement s’y promener.
    • Le Parc urbain de Saint Martin : Au cÅ“ur du quartier Saint Martin, des allées accessibles à tous ont été réalisées, avec la mise en place d’un éclairage. Un belvédère destiné à valoriser les vues sur le parc et sur des points d’horizon remarquables (bois de Vincennes, Paris, la Plaine de Créteil, etc.) a été créé, tandis qu’ont été plantés 1 777 arbustes et 182 d’arbres dont une trentaine caractéristiques de la région ÃŽle-de-France pour renforcer la biodiversité locale.
    • Le parc de la Mairie : Jouxtant l’Hôtel de Ville, ce parc accueille des aires de repos, des tables de ping-pong et depuis des agrès de Work out.
    • Le Square du Belvédère : Situé à l’angle de la rue Gutenberg et de la rue du Vieux Louvre, le square du Belvédère est agrémenté de jeux pour enfants.
    • L'ancienne voie de chemin fer : La coulée verte communale, voie piétonnière et cyclable, construite par la ville en 2000, est longue de km et relie Limeil-Brévannes à Boissy-Saint-Léger sur l'ancienne voie ferrée de Paris-Bastille à Marles-en-Brie entre les voies de garage de la station terminus de Boissy-Saint-Léger du RER A et la partie de cette ancienne ligne utilisée par le TGV. Agréable pour la promenade, pratique pour les cyclistes, elle est également équipée d’un parcours sportif. Ce chemin de randonnée est relié à la coulée verte régionale « Tégéval » dont la partie aménagée se termine en 2022 à l'orée du bois de Granville (forêt domaniale de la Grange, partie du Massif forestier de l'Arc Boisé) à l'intérieur duquel il se prolonge par des chemins non revêtus.
    • Coulée verte de l’ancienne ligne
    • Chemin de l’ancienne ligne le long de la rue Denis-Papin
      Chemin de l’ancienne ligne le long de la rue Denis-Papin
    • Croisement avec la rue du Tertre
      Croisement avec la rue du Tertre
    • Sous le pont de l'avenue Descartes
      Sous le pont de l'avenue Descartes
    • Tegeval vers le bois de Granville
      Tegeval vers le bois de Granville
    • La coulée verte Tégéval : La Tégéval traverse huit communes à travers le sud-est de la région parisienne. D’une surface totale de 100 ha pour un linéaire de 20 km, c’est une liaison verte en cours d'aménagement en 2022 destinée aux piétons, aux personnes à mobilité réduite et aux cyclistes. En 2022, la Tégéval traverse le parc Saint-Martin sur un tronçon non fléché et se termine rue Pasteur en haut de ce parc. Au-delà, Tégéval est encore en projet jusqu'à l'avenue Descartes où l'on retrouve une voie verte de km jusqu'à l'orée du bois de Granville. Tégéval traverse ensuite la forêt domaniale de la Grange par un parcours sinueux jusqu'à la limite communale de Villecresnes (route de la Grange) sur des chemins non revêtus comprenant un passage étroit sous la route départementale 204.
    • Le Parc de l'Hôpital Emile Roux : L’ancien château de Brévannes, qui appartient à l’Assistance publique des hôpitaux de Paris, est doté d’un parc arboré d’une superficie de plusieurs hectares. Après discussion, la municipalité a réussi à obtenir en 2015, l’ouverture du parc au public pour des évènements, afin que les Brévannais puissent profiter de ce bel espace de verdure.

    Forêt domaniale de La Grange

    La forêt de la Grange.

    Couvrant 18 % du territoire communal (soit 110 hectares), la forêt de la Grange constitue un vaste espace naturel entièrement ouvert au public. Entretenue par les agents de l’Office National des Forêts, elle est classée en « forêt de protection » et fait partie du massif de l’Arc Boisé, protégé par une charte forestière. On y trouve différentes variétés d'arbre : châtaigniers (65 %), chênes sessiles ou pédonculés (11 %), bouleaux (11 %), autres feuillus - frênes, hêtres (11 %), résineux divers (2 %), ...

    Controverses autour du centre de tri (2002-2011)

    En 2002, la société LGD, installe, sans autorisation, un centre de tri de déchets à Limeil-Brévannes. Un arrêté provisoire d'exploitation valable jusqu'en 2004 est accordé en 2003. En 2008 devant les nuisances, la municipalité entame une procédure à l'encontre de LGD, mais la préfecture déboute la démarche de la municipalité[25]. En 2011, le tas de déchets accumulés atteint 25 mètres de haut et dépasse 250 000 tonnes et plusieurs incendies se déclarent dans le tas de déchets. La société LGD est placée en redressement judiciaire[26]. En , la ministre de l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet se rend sur place et lance les travaux d'évacuation des détritus[27].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[28] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 28 290 habitants[Note 4], en augmentation de 13,49 % par rapport à 2014 (Val-de-Marne : +3,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    295355339394367383374423321
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3573904804606006121 0661 4581 527
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6612 6213 5044 3914 9345 8215 8656 7177 547
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8 37711 45616 49616 56616 07017 52918 95720 66326 703
    2020 - - - - - - - -
    28 290--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Associations de parents d'élèves sur la ville : APEL, API, FCPE, GIPE (Groupement Indépendant des Parents d’Élèves), PEEP.

    Économie

    Entreprises et commerces

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin de Limeil-Brévannes. Sa construction remonte au XIIIe siècle. Au XIXe siècle, sa tour subit une importante restauration qui altère son allure. En 1965, de nouveaux travaux restaurent la tour-clocher sous sa forme originelle.

    Du château de Brévannes à l'hôpital Émile-Roux

    L'ancien château en 1705.
    Le nouveau château de Brévannes, à l'époque des Sarchi, peinture du XIXe siècle.

    La présence d'un château médiéval avec tours, douves, échauguettes est attestée depuis le début du XIVe siècle et appartient à la famille de Corbie. Sous Louis XIV, les jardins sont dessinés par Le Nôtre.

    Marc Henri Le Pileur de Brévannes, conseiller du roi, président en la Chambre des comptes de Paris, achète en 1786 le vieux château en mauvais état. Il ordonne sa démolition et fait construire cette « élégante bâtisse de style Louis XVI ». Il n'en profite guère, car au début de la Révolution, pour échapper à l'arrestation, il doit fuir à l'étranger. À son retour d'émigration, il vend le domaine.

    En 1803, le château est acheté par Pierre Marie Muguet de Varange, fils d'une famille bourgeoise lyonnaise issue d'un maître passementier. Pierre-Marie de Varange est né à Lyon vers 1759 et y épouse le Marie Caroline Andrieu de Turdine, fille d'un négociant. Sous l'Empire, il devient receveur général puis régent de la Banque de France, et baron en 1810. Il est maire de Limeil-Brévannes de 1806 à 1817. Il est mort le à Paris, 8 rue d'Orléans. Il est inhumé au cimetière de Limeil-Brévannes.

    Le château est occupé par les Autrichiens en 1814. En 1823, il est acquis par le banquier Jean-Charles Clarmont.

    En 1824, il devient la propriété du philologue hébraïque Philippe Sarchi (1765-1830), puis il passe à son fils l'agent de change Philippe Benoit Sarchi (1800-1864), et à sa veuve qui l'habite jusqu'en 1870. Après la guerre de 1870, il est occupé par les troupes prussiennes.

    Le Prince Achille Murat (1801-1847), neveu de Napoléon Ier, achète la propriété en 1874 et la fait remettre en état. Passionné de jeu de cartes, il l'aurait perdue au profit du baron Rodolphe Hottinguer (1835-1920), riche banquier parisien qui ne s'intéresse pas à la propriété.

    En 1883, le domaine est acheté par l'Assistance Publique pour y faire un hospice avec dispensaire pour les personnes âgées. Il est agrandi en 1886 pour y faire un quartier réservé aux ménages. Un quartier complémentaire est construit en 1891 pour les malades chroniques. En 1907, un ensemble de bâtiments réservés aux malades tuberculeux est édifié par l'architecte Paul-Louis Renaud. Un quartier réservé aux enfants malades est construit, c'est le pavillon Léon Bernard. Un sanatorium est construit vers 1915. L'ensemble s'appelle actuellement l'hôpital Émile-Roux.

    Il est classé monument historique depuis 1980[31].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Les armes de Limeil-Brévannes se blasonnent ainsi :

    Parti : au premier d'azur au lion d'or, au second bandé d'azur et d'or ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé d'une aigle romaine d'or, la tête contournée, empiétant un foudre du même[32].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Métrocâble pourrait rejoindre Villeneuve-Saint-Georges, « leparisien.fr », 14 décembre 2010.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    11. MULON (Marianne) Noms de lieux d'Ile-de-France (1997), a = p.46; b = p. 29 .
    12. NÈGRE (Ernest) Toponymie de la France (1990), t. 1, p. 106.
    13. Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
    14. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    15. Décret n° 2015-1664 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Créteil sur Légifrance.
    16. Notice DANTZ Marius par Nadia Michel-Ténine, Claude Pennetier, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 15 décembre 2019
    17. Dissolution du conseil municipal élu en mars 1983 par décret du Conseil des ministres en date du et paru dans le JORF du
    18. Notice BERJAL Guy, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 14 février 2014
    19. Francis Gouge, « La folle nuit de Limeil-Brévannes », Le Monde,‎ (lire en ligne)
      « La décision du Conseil d'État d'inverser les résultats des élections municipales à Limeil-Brévannes mais de maintenir le maire, M. Berjal (PC) à son poste, à la suite des fraudes constatées lors du scrutin de mars, a créé une situation sans précédent et inextricable. »
    20. « En 1992, le maire avait été réélu après avoir dissous le conseil pour contrer une dissidence majoritaire dans ses rangs. »
    21. Agnès Vives, « Municipales à Limeil-Brévannes : divisée, la gauche peut perdre », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
    22. Fabienne Huger, « Le maire, Joseph Rossignol, claque la porte du PS », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
    23. Agnès Vives, « Françoise Lecoufle (UMP) crée la surprise au 1er tour à Limeil », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
    24. Agnès Vives, « Limeil-Brévannes : Françoise Lecoufle (LR) garde son écharpe de maire : La maire réélue dès le premier tour a été installée ce jeudi soir. Mais le candidat Stéphane Kozjan (SE) a déposé un recours », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 15 mars, la conseillère départementale avait emporté le premier tour haut la main, avec 65,49 % des voix. Elle qui avait fait basculer la ville à droite en 2014 avait face à elle, quatre listes : Raymond Cathala (PS, 14,03 %), Delphine Borgna (DVG, 9,83 %), Stéphane Kozjan (SE, 8,8 %) et Gilles Périn (UPR, 1,83 %) ».
    25. « Limeil-Brévannes La préfecture calme la mairie », Le Parisien, .
    26. « Une montagne de déchets en feu aux portes de Paris », Le Parisien 05.06.2011..
    27. « NKM lance les travaux d'évacuation de la montagne de déchets », Le Parisien 05.09.2011..
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Notice no PA00079884, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Banque du Blason
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