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La Genevraye

La Genevraye est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

La Genevraye
La Genevraye
La mairie.
Blason de La Genevraye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Moret Seine et Loing
Maire
Mandat
Pascal Otlinghaus
2022-2026
Code postal 77690
Code commune 77202
DĂ©mographie
Gentilé Genevriens
Population
municipale
809 hab. (2020 en augmentation de 13,15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 61 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 19â€Č 15″ nord, 2° 44â€Č 59″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 79 m
Superficie 13,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nemours
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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La Genevraye
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La Genevraye
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La Genevraye

    En 2020, elle compte 809 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de Genevraye dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Genevraye se trouve dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1]. Son territoire s'Ă©tend le long de la rive droite de la riviĂšre le Loing et de son canal.

    Elle se situe Ă  31,38 km par la route[Note 1] de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  14,88 km de Fontainebleau[3], sous-prĂ©fecture et Ă  8,72 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dĂ©pend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Nemours[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de La Genevraye.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Montigny-sur-Loing (2,0 km), Épisy (3,3 km), Montcourt-Fromonville (3,6 km), Bourron-Marlotte (3,7 km), Grez-sur-Loing (4,3 km), Nonville (5,4 km), Darvault (5,6 km), Villemer (6,2 km).

    GĂ©ologie et relief

    Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gùtinais.

    L'altitude varie de 51 mĂštres Ă  79 mĂštres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 58 mĂštres d'altitude (mairie)[6].

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire), à l'exception d'une trÚs faible couche de craie blanche datant du Crétacé supérieur (Mésozoïque)[7] - [8].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de La Genevraye.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de La Genevraye.
    Géologie de la commune de La Genevraye selon l'échelle des temps géologiques[7] - [8].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    X :DĂ©pĂŽts anthropiques, remblais.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Fy :Alluvions anciennes (basse terrasse de 0–10 m) : sables et graviers, colluvions, alluvions et apports Ă©oliens.
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent.
    MiocÚne non présent.
    PaléogÚne OligocÚne non présent.
    Éocùne
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de ChĂąteau-Landon, marnes de Nemours.
    e4AP :Argile plastique sables et grĂšs.
    e4PP :Poudingue à chailles conglomérat à silex, formation de Pers-en-Gùtinais ((Loiret)).
    PaléocÚne non présent.
    Mésozoïque Crétacé Supérieur
    C5Cr-BE :Craie blanche Ă  silex Ă  Belemnitida.
    inférieur non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[9].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de La Genevraye.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de onze cours d'eau référencés :

    • la riviĂšre le Loing, longue de 142,73 km[10], affluent en rive gauche de la Seine, ainsi que :
      • un bras[Note 3] de 2,64 km[11] ;
      • le cours d'eau 01 de la Trentaine, 0,31 km[12], et ;
      • la Clairette, 4,44 km[13], qui confluent avec le Loing ;
        • le ru de DĂ©charge de l'Etang, 2,69 km[14], qui conflue avec la Clairette ;
      • la riviĂšre le Lunain, longue de 51,45 km[15], affluent du Loing, en bordure est de la commune, ainsi que :
        • un bras du Loing de 2,28 km[16], qui conflue avec le Lunain ;
        • un bras de 0,89 km[17] ;
        • un bras de 1,23 km[18] ;
      • le canal du Loing, long de 47,84 km[19] ;
        • un bras de la Clairette de 0,36 km[20], qui conflue avec le canal du Loing.

    Par ailleurs, son territoire est Ă©galement traversĂ© par un bras secondaire de l'aqueduc du Loing[21] de 1,73 km.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 14,58 km[22].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[23].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[24]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[25].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,3 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,7 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 680 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,4 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[26].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[27]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[26]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[28]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  31 km Ă  vol d'oiseau[29], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[30] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[31].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[32] - [33].

    La rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est Ă©galement un espace protĂ©gĂ© prĂ©sent sur la commune. Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[34] - [35] - [36] - [37].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[38].

    Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[39] - [Carte 1] : les « RiviĂšres du Loing et du Lunain », d'une superficie de 400 ha, deux vallĂ©es de qualitĂ© remarquable pour la rĂ©gion Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiĂ©es dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de RiviĂšre et la BouviĂšre[40] - [41].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Genevraye comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 5] - [42] - [Carte 2] :

    • le « Bois du Larris Vert » (1,26 ha)[43] ;
    • les « Champs Captants de Villeron » (32,56 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[44] ;
    • les « Étangs de Pleignes » (33,65 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[45] ;
    • les « prairies et bois de la Herse » (23,02 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[46] ;
    • la « vallĂ©e du Bois-Guyon » (41,49 ha)[47] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [42] :

    • la « vallĂ©e du Loing entre Moret et Saint-Pierre-LĂšs-Nemours » (1 749,77 ha), couvrant 13 communes du dĂ©partement[48] ;
    • la « vallĂ©e du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » (1 224,01 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[49].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    La Genevraye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [50] - [51] - [52].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[53] - [54].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (48,27 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (50,49 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terre arable (47,04 %), forĂȘts (40,99 %), eaux continentales[Note 9] (7,13 %), zones urbanisĂ©es (3,60 %), prairies (1,23 %)[55].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[55].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    28,29 ha 2,12 % 48,02 ha 3,60 % 19,74 ha en augmentation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    672,78 ha 50,49 % 643,30 ha 48,27 % −29,49 ha en diminution
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    536,56 ha 40,26 % 546,31 ha 41,00 % 9,75 ha en augmentation
    Surfaces en eau
    (eaux continentales, eaux maritimes)
    94,97 ha 7,13 % 94,97 ha 7,13 % 0 ha en stagnation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[56] - [57] - [Carte 3]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă  la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[58].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[59]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de La Genevraye.

    La commune compte 48 lieux-dits administratifs[Note 10] répertoriés consultables ici[60] (source : le fichier Fantoir).

    • Cugny, dont la population compte pour moitiĂ© de celle de La Genevraye, situĂ© Ă  km. Anciennement, site d'une usine d'explosifs, crĂ©Ă©e en 1887 et fermĂ©e en 1987, entourĂ©e d'une citĂ© ouvriĂšre construite vers 1926-1927.
    • Pleignes, les GenĂ©vriers (lotissement).

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 356 dont 91,1 % de maisons et 6,9 % d'appartements[Note 11].

    Parmi ces logements, 86,3 % étaient des résidences principales, 10 % des résidences secondaires et 3,7 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 76,2 % contre 19,9 % de locataires et 4 % logés gratuitement[61].

    Voies de communication

    Deux routes départementales relient La Genevraye aux communes voisines :

    • la D 40, Ă  Moret-Loing-et-Orvanne, au nord-est ; et Ă  Montcourt-Fromonville, au sud-est ;
    • la D 58, Ă  Nonville, au sud-ouest.

    Transports

    La Genevray est desservie par quatre lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[62] - [63] - [64] :

    • la ligne 7A, qui relie Saint-Pierre-lĂšs-Nemours Ă  Fontainebleau ;
    • la ligne 7B, qui relie Nemours Ă  Avon ;
    • la ligne 8B, qui relie Saint-Pierre-lĂšs-Nemours Ă  HĂ©ricy ;
    • la ligne 18A, qui relie qui relie Saint-Pierre-lĂšs-Nemours Ă  Montereau-Fault-Yonne.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes La Genevraia vers 1200[65] ; Genuperia en 1369[66] ; La Genevroye vers 1380[67] ; La Genevrois en 1485[68].

    « Lieu oĂč poussent, ou plantĂ© de genĂ©vriers »[69].

    Histoire

    Préhistoire

    La sépulture de Pleignes, sur la commune, fait partie d'un alignement de six mégalithes orienté N. 25° O, qui inclut le menhir de Chevannes (Loiret), la Pierre aux Aiguilles (Nanteau-sur-Lunain), l'une des Pierres de Saint Barthélémy (Treuzy), la Haute Borne et la Pierre Levée du Moque Baril (tous deux à Nonville)[70].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    février 1874 janvier 1881 Germain Trébuchet
    décembre 1899 juillet 1922 François Alexandre dit "Xavier" Bender Directeur de la dynamiterie de Genevraye
    chevalier de la LĂ©gion d'honneur[71]
    juillet 1922 mai 1925 Armand Vilain
    mai 1925 mai 1935 Emile Depresles
    mai 1935 mai 1945 François Hyronimus Directeur d'usine
    mai 1945 novembre 1946 Arthur Cloez
    novembre 1946 décembre 1956 Jean Astruc
    décembre 1956 mars 1977 Suzanne Burnod
    mars 1977 juillet 1980 GĂ©rard Xavier
    juillet 1980 juin 1986 Christiane Josien
    juin 1986 mars 1989 Albert Bude
    mars 1989 mars 2001 Jean-Pierre Aunier
    mars 2001 novembre 2006 Élisabeth Grosshans Agricultrice
    novembre 2006 mai 2022 Marie-Claire Périni Retraitée
    mai 2022 En cours Pascal Otlinghaus[72]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [73] - [74].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de La Genevraye est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [75] - [76] - [77].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[78]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  une entreprise privĂ©e , dont le contrat arrive Ă  Ă©chĂ©ance le 31 dĂ©cembre 2025[75] - [79].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEAU Moret Seine et Loing qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [75] - [80] - [81].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Bocage[82].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[83]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[84].

    En 2020, la commune comptait 809 habitants[Note 12], en augmentation de 13,15 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    168141151195175206225237242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    270262271216270244255331383
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    386401397403533540576592630
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    581541507507528579639632619
    2015 2020 - - - - - - -
    764809-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[85] puis Insee Ă  partir de 2006[86].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La Genevraye dispose d’une Ă©cole Ă©lĂ©mentaire “Maurice Martin”, situĂ©e 2 route de Montigny. Cet Ă©tablissement public, inscrit sous le code UAI (UnitĂ© administrative immatriculĂ©e) : 0770760H, comprend 60 Ă©lĂšves (chiffre du MinistĂšre de l'Éducation nationale)[87].

    Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.

    La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, La Genevraye est en zone C.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 307, reprĂ©sentant 795 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 24 340 euros[88].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 170, occupant 395 actifs rĂ©sidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à 76,4 % contre un taux de chÎmage de 6 %.

    Les 17,6 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 6,8 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 4,8 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 6 % pour les autres inactifs[89].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 63 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pĂȘche, 1 dans l’industrie, 12 dans la construction, 35 dans le commerce-transports-services divers et 8 Ă©taient relatifs au secteur administratif[90].

    Ces établissements ont pourvu 106 postes salariés.

    • Entreprise la plus importante : Adisco-Daugeron et Fils.
    • SabliĂšres (inexploitĂ©es), horticulture, pisciculture (Ă  Grattereau).

    Agriculture

    La Genevraye est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e le « Pays de BiĂšre et ForĂȘt de Fontainebleau », couvrant le Pays de BiĂšre et la forĂȘt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 13] de l'agriculture sur la commune est la culture de cĂ©rĂ©ales et d'olĂ©oprotĂ©agineux (COP)[91].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[92]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 5 en 1988 Ă  3 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 134 ha en 1988 Ă  98 ha en 2010[91]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Genevraye, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à La Genevraye entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[91] - [Note 14]
    Nombre d’exploitations (u) 5 6 3
    Travail (UTA) 10 16 4
    Surface agricole utilisée (ha) 670 606 293
    Cultures[93]
    Terres labourables (ha) 654 599 293
    Céréales (ha) 512 465 s
    dont blé tendre (ha) 259 243 s
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 166 s s
    Tournesol (ha) 59 19
    Colza et navette (ha) 43 77 s
    Élevage[91]
    Cheptel (UGBTA[Note 15]) 11 1 12

    Culture locale et patrimoine

    Architecture civile

    • ChĂąteau de la Tour
    • ChĂąteau de Berville
    • CitĂ© ouvriĂšre de Cugny construite entre 1926 et 1927 par l'architecte Georges-Henri Pingusson pour le compte de la SociĂ©tĂ© française des explosifs.
    • Canal du Loing (canal Ă  petit gabarit)

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise Saint-Martin est isolĂ©e sur une butte.
      L'église Saint-Martin est isolée sur une butte.
    • Église Saint-Martin de La Genevraye.
      Église Saint-Martin de La Genevraye.
    • La Genevraye, Ă©glise.
      La Genevraye, Ă©glise.
    • Église de La Genevraye.
      Église de La Genevraye.

    Patrimoine naturel

    Rives du Loing, rives du canal du Loing (Ă©cluses de Berville et de Bordes), bois des Bauges, Ă©tangs et les marais.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    parti : au 1) mi parti de gueules à l'aigle d'argent armée et lampassée d'or, au 2) d'argent à la croix pattée au pied fiché de gueules et à la champagne d'azur chargée de trois fasces ondée du champ.

    La signification du blason

    • L'aigle de Pologne commĂ©more le gĂ©nĂ©ral polonais Koƛciuszko qui vĂ©cut Ă  la fin du Premier Empire de 1807 Ă  1814 dans la ChĂąteau de Berville.
    • La croix attachĂ©e rappelle la communautĂ© templiĂšre du XIIIe siĂšcle.
    • Les lignes ondulĂ©es bleues rappellent les trois riviĂšres qui traversent la ville : le Loing, le Lunain et le canal Loing)[95].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « La Genevraye », p. 1141–1143.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Nature en attente de mise Ă  jour.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    11. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    15. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Genevraye » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Genevraye » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
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