AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Guercheville

Guercheville est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

Guercheville
Guercheville
La rue Grande.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nemours
Maire
Mandat
Gilles Augé
2020-2026
Code postal 77760
Code commune 77220
DĂ©mographie
Gentilé Guerchevillois
Population
municipale
265 hab. (2020 en diminution de 5,36 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 15â€Č 37″ nord, 2° 33â€Č 31″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 122 m
Superficie 9,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Fontainebleau
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Guercheville
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Guercheville
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Guercheville
GĂ©olocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Guercheville
Liens
Site web guercheville77.fr

    En 2020, elle compte 265 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de Guercheville dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Guercheville se trouve dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1]. Elle fait partie du parc naturel rĂ©gional du GĂątinais français.

    Elle se situe Ă  36,36 km par la route[Note 1] de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement et Ă  21,47 km de Fontainebleau[3], sous-prĂ©fecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de La Chapelle-la-Reine[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de Guercheville.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Garentreville (2,6 km), Amponville (3,0 km), Burcy (3,5 km), Fromont (4,0 km), Larchant (4,0 km), Rumont (4,5 km), Chevrainvilliers (4,5 km), Obsonville (4,7 km).

    Communes limitrophes de Guercheville
    Amponville Larchant
    Fromont Guercheville
    Burcy Garentreville Chevrainvilliers

    GĂ©ologie et relief

    La commune est situĂ©e sur un plateau dont l'altitude varie entre 110 et 120 mĂštres. La topographie est donc relativement plane, avec de lĂ©gĂšres ondulations. En l'absence de tout bois ou bosquet, la vue s'Ă©tend jusqu'aux villages voisins ; Ă  l'ouest et au sud-ouest, l'horizon est marquĂ© par les buttes de Rumont, Fromont et Burcy.

    Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gùtinais.

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[5] - [6].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de Guercheville.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de Guercheville.

    Guercheville est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[7].

    Hydrographie

    La commune n’est traversĂ©e par aucun cours d'eau[8].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,5 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 664 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,4 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,6 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[11]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  39 km Ă  vol d'oiseau[12], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[15] - [16]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protĂ©gĂ©, le Parc naturel rĂ©gional du GĂątinais français, crĂ©Ă© en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuitĂ©s Ă©cologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[17] - [18].

    Un autre espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : la zone de transition de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[19] - [20].

    Urbanisme

    Typologie

    Guercheville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [21] - [22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24] - [25].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (97,18 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (97,27 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (97,18 %), zones urbanisĂ©es (2,82 %)[26].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[26].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    25,09 ha 2,73 % 25,94 ha 2,82 % 0,85 ha en augmentation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    894,71 ha 97,27 % 893,86 ha 97,18 % −0,85 ha en diminution
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    0,00 ha 0,00 % 0,00 ha 0,00 % 0 ha en stagnation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[27] - [28] - [Carte 1]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours GĂątinais, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-GĂątinais[29].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[30]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de Guercheville.

    La commune compte 44 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[31] (source : le fichier Fantoir).

    Guercheville est formé de deux parties distinctes qui tendent à se rapprocher avec les nouvelles constructions : le bourg, implanté au centre du territoire et le Buisson (hameau).

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 126 dont 99,2 % de maisons et 0,8 % d'appartements[Note 7].

    Parmi ces logements, 81,1 % étaient des résidences principales, 7,9 % des résidences secondaires et 11 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 87,6 % contre 10,5 % de locataires et 1,9 % logés gratuitement[32].

    Voies de communication

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Guercheville.

    Deux routes départementales relient Guercheville aux communes voisines :

    • la D 4, Ă  Larchant, au nord-est ; et Ă  Burcy, au sud-ouest ;
    • la D 103d, Ă  Fromont, Ă  l'ouest.

    Transports

    Les gares ferroviaires les plus proches sont :

    La commune est desservie par deux lignes d'autocars du réseau de bus Les Cars Bleus[33] - [34] :

    • la ligne no 184.006, reliant La Chapelle-la-Reine Ă  Garentreville[35] ;
    • la ligne no 184.008, reliant La Chapelle-la-Reine Ă  Ury[36].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Guicheriovilla vers 1080[37] ; Guichervilla en 1193[38] ; Guerchevilla en 1197[39] ; Guichiervilla en 1270[40] ; Guichieville en 1276[41] ; Guircheville en 1295[42] ; Guerzeville en 1300[43] ; Guichierville en 1346[44] ; Guecherville en 1369[45] ; Guercheville en Gastinois en 1384[46] ; Guarcheville en 1488[47] et en 1503[48] ; Garcheville en Gastinois, en 1546[49] ; Guercheville en Gàtinais en 1607[50].

    Histoire

    De l’AntiquitĂ© au Moyen Âge

    Le territoire de Guercheville est occupé par l'homme depuis la préhistoire[51].

    Il existait un menhir nommé la Pierre frite (synonyme de Pierre fichée), situé au chemin d'Aufferville, au sud-est du Buisson, en limite de la commune ; on y faisait à proximité, le feu de la Saint-Jean. Il a disparu au début du XXe siÚcle.

    Sous l'Ancien Régime, le village de Guercheville et le hameau du Buisson constituaient des seigneuries différentes.

    Les premiers seigneurs de Guercheville dont le nom soit connu appartiennent Ă  la famille de Nemours.

    En 1190, le roi Philippe-Auguste étant à Fontainebleau, confirme une donation faite par Philippe Ier de Nemours, en tant qu'exécuteur testamentaire de sa femme Aveline, à l'abbaye de Barbeau ; la donation consistait en une rente de 40 sous, froment et vin, à prendre chaque année à la Saint-Rémy en sa terre de Guercheville. Philippe était alors chambellan du roi.

    La seigneurie de Guercheville fut transmise de pÚre en fils, au ducs de Nemours successifs, Gauthier II, Philippe II et Gauthier III. Un fils de ce dernier, Jean, chanoine, devint seigneur de Guercheville ; à sa mort, son frÚre Philippe III lui succéda. On trouve encore, en 1366, un second Jean de Nemours.

    Du Moyen Âge à la Renaissance

    Par la suite, la terre de Guercheville changea maintes fois de propriétaires pour échoir à Antoinette de Pons, à la mort de sa mÚre Marie de Montchenu, le . Antoinette était l'une des femmes les plus célÚbres de son temps et par sa beauté et par sa vertu.

    En , le roi Henri IV érigea la terre et seigneurie de Guercheville en Marquisat. En , Antoinette, qui était veuve, consentit à épouser Charles Duplessis-Liancourt. La nouvelle marquise, pour éviter toute confusion pouvant lui paraitre offensante, avec la fameuse Gabrielle d'Estrées, Dame de Liancourt, prit le nom de marquise de Guercheville qu'elle conserva et rendit célÚbre.

    À la mort de Madame de Guercheville, le Ă  Paris, son second fils Roger Duplessis-Liancourt hĂ©rita du marquisat et le garda 25 ans ;

    De la Renaissance Ă  la RĂ©volution

    Carte de Cassini.

    Roger Duplessis-Liancourt vendit le marquisat le à Henri Duplessis-Guénégaud, marquis de Plancy qui le revendit le à Henri-Jules de Bourbon, prince de Condé. Le marquisat resta propriété de la maison de Condé jusqu'en 1732, date à laquelle il est acheté par Jeanne-Marie-JosÚphe Guyon ; il est ensuite transmis à son neveu, puis aux descendants de celui-ci.

    Le dernier marquis avant la Révolution est Armand-Jacques-François Guyon qui, adoptant les idées nouvelles, sacrifia son titre et devint maire de Guercheville et administrateur du district de Nemours.

    Le hameau du Buisson a appartenu à différents seigneurs, dont le commandeur de Beauvais en 1391, la famille de Rogres qui le vendit à Christophe de Harlay, seigneur de Beaumont en 1601, l'abbaye de Cercanceaux en 1676, Louis-Christian de Montmorency-Luxembourg en 1750 et enfin Charles-François-Christian de Montmorency en 1787.

    Politique et administration

    Le colombier, siĂšge actuel de la mairie.

    La commune faisait partie du canton de La Chapelle-la-Reine jusqu'en 2015.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1953 1959 Maxime Audebert Agriculteur
    1959 1983 Michel Augé Agriculteur
    1983 1995 Michel Herblot Agriculteur
    1995 2014 Claudine Chardon Agricultrice
    2014 En cours Gilles Augé[52] Agriculteur

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [53] - [54].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Guercheville gĂšre le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dĂ©pollution) en rĂ©gie directe, c’est-Ă -dire avec ses propres personnels[55].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[56]. La communautĂ© d'agglomĂ©ration Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[55] - [57].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gÚre le service en régie[55] - [58].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Beauce[59].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[61].

    En 2020, la commune comptait 265 habitants[Note 8], en diminution de 5,36 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320267304319360370403401386
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    394373384375361347362350353
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    326297280278280257227228200
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    202201175180189233276280285
    2015 2020 - - - - - - -
    277265-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee Ă  partir de 2006[63].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    ÉvĂ©nements

    Le marché du terroir et de produits artisanaux se déroule tous les ans, le dimanche de PentecÎte. Il s'accompagne d'expositions, animations, spectacles des ateliers théùtre


    Enseignement

    Guercheville dispose d'une Ă©cole maternelle situĂ©e 33 rue Grande. Cet Ă©tablissement public, inscrit sous le code UAI (UnitĂ© administrative immatriculĂ©e) : 0770122P, comprend 43 Ă©lĂšves (chiffre du MinistĂšre de l'Éducation nationale)[64]. Il dispose d’un restaurant scolaire.

    La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Guercheville est en zone C.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 106, reprĂ©sentant 281 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 25 280 euros[65].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 49, occupant 127 actifs rĂ©sidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,7 % contre un taux de chÎmage de 4,2 %.

    Les 28 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 10,1 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 9 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 9 % pour les autres inactifs[66].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 28 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pĂȘche, 2 dans l’industrie, 3 dans la construction, 13 dans le commerce-transports-services divers et 3 Ă©taient relatifs au secteur administratif[67].

    Ces établissements ont pourvu 32 postes salariés.

    Le Village-Pilote

    On a appelé ainsi l'importante opération de modernisation des équipements communaux, des exploitations agricoles et des habitations qui s'est déroulée dans les années 1960[68].

    Le village ne comptait plus que 200 habitants en 1962 alors qu'il y en avait eu 280 en 1926 et plus de 400 au milieu du XIXe siÚcle. Comme partout, la population rurale préférait déserter la campagne pour chercher en ville une vie meilleure et plus confortable.

    Les exploitations agricoles, principales sources de revenus de la commune, étaient de dimensions moyennes, de rentabilité insuffisante ; les habitations étaient, pour la plupart, vétustes et mal entretenues.

    À cette Ă©poque, EDF commençait Ă  dĂ©velopper sur une grande Ă©chelle l'opĂ©ration "ferme-pilote" consistant Ă  encourager la rĂ©novation de l'habitat rural.

    En 1959, un premier agriculteur fit appel au service agricole d'EDF et au Génie Rural pour moderniser son exploitation ; il fut rapidement suivi par trois autres agriculteurs. Cette opération de rajeunissement rural conduisait, toutefois, à un contraste avec la vétusté des structures communales.

    Le , le maire de Guercheville saisissait par courrier les diffĂ©rents services de l'État et du dĂ©partement pour « proposer d'entreprendre une action gĂ©nĂ©rale en faveur de la rĂ©novation du village et faire de celui-ci un vĂ©ritable "Village-Pilote" ». Le programme de l'opĂ©ration, dont le coĂ»t s'Ă©levait Ă  450 000 francs, Ă©tait le suivant :

    • amĂ©lioration du rĂ©seau d'eau potable et crĂ©ation d'une citerne Ă  incendie,
    • rĂ©fection totale de la voirie et des trottoirs,
    • renforcement du rĂ©seau de distribution publique d'Ă©lectricitĂ©,
    • crĂ©ation d'une installation d'Ă©clairage public moderne,
    • amĂ©nagements paysagers des trottoirs,
    • rĂ©novation des logements et des bĂątiments communaux,
    • achĂšvement de la modernisation des exploitations agricoles.

    Les habitants du village s'associÚrent avec enthousiasme à l'opération en assurant par leurs propres moyens certains travaux comme le creusement des tranchées.

    L'inauguration eut lieu en en présence de nombreuses personnalités.

    Agriculture

    Guercheville est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e le « GĂątinais », Ă  l'extrĂȘme sud-ouest du dĂ©partement, s'Ă©tendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les dĂ©partements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors cĂ©rĂ©ales et olĂ©oprotĂ©agineux, fleurs et fruits)[69].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[70]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 19 en 1988 Ă  9 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 60 ha en 1988 Ă  144 ha en 2010[69]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Guercheville, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Guercheville entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[69] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 19 9 9
    Travail (UTA) 32 13 13
    Surface agricole utilisĂ©e (ha) 1 147 991 1 292
    Cultures[71]
    Terres labourables (ha) 1 146 988 1 278
    Céréales (ha) 766 653 799
    dont blé tendre (ha) 442 378 s
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) s s
    Tournesol (ha) 70 s
    Colza et navette (ha) 0 31 77
    Élevage[69]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 59 91 83

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption.
    Le parc du chĂąteau (plan cadastral de 1839).

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption Logo monument historique ClassĂ© MH (1947)[72] est constituĂ©e de deux parties distinctes. Le clocher et la premiĂšre partie de la nef datent du XIIIe siĂšcle, ce sont les vestiges de la chapelle de l'ancien chĂąteau. Pendant la guerre de Cent Ans, l'Ă©glise est tombĂ©e en ruine et le village abandonnĂ© ; vers le dĂ©but du XVIe siĂšcle, elle a Ă©tĂ© reconstruite et agrandie.
    Une restauration des peintures murales effectuée entre 1982 et 1984 a permis de mettre au jour des fresques sur le mur nord de la nef. Quatre scÚnes sont figurées : saint Michel pesant les ùmes, saint Louis, Adam et Ève et saint Michel terrassant le dragon.
    Une sculpture reprĂ©sentant le PĂšre Éternel Ă©tait fixĂ©e Ă  la voĂ»te du chƓur ; aprĂšs en ĂȘtre tombĂ©e Ă  la fin du XIXe siĂšcle, elle est dĂ©sormais dĂ©posĂ©e au musĂ©e de Nemours.
    • Il ne reste du chĂąteau de Guercheville que le colombier. On trouve une description du chĂąteau (avec donjon, fossĂ©s, pont-levis
) et de ses dĂ©pendances dans l'aveu[73] que Marie de Montchenu rend au roi en 1549, aprĂšs l'acquisition de la seigneurie. L'ensemble Ă©tait situĂ© prĂšs de l'Ă©glise et clos de murailles. Sa fille, Madame de Guercheville, y fait Ă  plusieurs reprises des travaux de rĂ©paration, et reconstruit entiĂšrement le colombier en 1627.
    Le plan cadastral de 1839 fait apparaßtre un parc boisé au nord-est du chùteau.
    C'est Ă  partir de 1850 que le chĂąteau commença Ă  ĂȘtre dĂ©moli et le parc dĂ©boisĂ©, mais la partie du territoire qu'occupait ce dernier s'appelle encore le Parc aujourd'hui.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoinette de Pons[74], comtesse de La Roche-Guyon et marquise de Guercheville (vers 1560-) fut dame d'honneur de Marie de MĂ©dicis. Elle Ă©pousa Henri de Silly, comte de La Roche-Guyon, qui meurt en 1586. Henri IV en devint Ă©perdument amoureux, mais elle ne cĂ©da pas Ă  ses avances et Ă©pousa en secondes noces Charles du Plessis-Liancourt.
      Antoinette est restée dans les mémoires comme pieuse et vertueuse, et d'une grande beauté.
      Elle portait une grande attention aux jésuites des colonies françaises d'Amérique et contribua notamment au financement et à la fondation de la colonie de l'ßle des Monts Déserts, dans le Maine actuel. Cette colonie fut néanmoins détruite par les Anglais, prétextant un non-respect des limites territoriales françaises.
    • Raymond Pochon (1925-2000) qui fut conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de La Chapelle-la-Reine pendant 30 ans, de 1964 Ă  1994, et maire de Boissy-aux-Cailles de 1965 Ă  1992 y est nĂ© et y passa sa jeunesse.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Guercheville », p. 151–152

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    7. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Guercheville - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    3. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Guercheville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Distance entre Guercheville et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre Guercheville et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Guercheville », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
    6. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
    7. « Plan séisme consulté le 30 octobre 2020 ».
    8. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 11 juin 2018
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    10. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Orthodromie entre Guercheville et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Parc naturel régional du Gùtinais français », sur www.parc-gatinais-francais.fr (consulté le ).
    18. « le Parc naturel régional du Gùtinais français - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Réserve de biosphÚre de « Fontainebleau et Gùtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
    20. « la zone de transition de la réserve de biosphÚre « Fontainebleau et Gùtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    27. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    28. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    29. « Le SCOT Nemours Gùtinais - Historique de l'élaboration », sur smep-nemours-gatinais.fr (consulté le ).
    30. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    32. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 20 juillet 2020
    33. « Lignes réguliÚres », sur cars-bleus.fr (consulté le ).
    34. « 77 - Seine-et-Marne », sur iledefrance-mobilites.fr (consulté le ) (Plan 57 : secteur de Milly-la-Foret).
    35. « Les cars bleus, ligne 184-006 », sur cars-bleus.fr (consulté le ).
    36. « Les cars bleus, ligne 184-008 », sur cars-bleus.fr (consulté le ).
    37. Archives nationales, K 20, n° 5.
    38. Richemond, Nemours, I, p. XXVI.
    39. Richemond, Nemours, I, p. XXVII.
    40. Cartulaire de N.-D. de Paris, II, p. 300.
    41. Bibl. nat., ms. Latin 9895, fol. 168.
    42. Archives nationales, S 5169.
    43. Archives nationales, K 1170, n° 10.
    44. Archives nationales, S 2102a.
    45. Longnon, Pouillés de Sens, p. 90.
    46. Archives nationales, P 131, fol. 116 v°.
    47. Archives nationales, S 263.
    48. Archives nationales,, S 2356b.
    49. Archives nationales, Y 92, fol. 171.
    50. Archives nationales, Y 146, fol. 243.
    51. EugĂšne Thoison, Guercheville. Notice historique - 1896, impr. Meaux A. Le Blondel
    52. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
    53. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consultĂ© le ).
    54. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    55. « Commune de Guercheville - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    56. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministĂ©riel de l'assainissement non collectif (consultĂ© le ).
    57. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    58. « Guercheville - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    59. « SchĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours de Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.fr, (consultĂ© le ).
    60. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    61. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    62. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    63. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    64. Site écoles primaires consulté le 31 octobre 2020
    65. Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 30 octobre 2020
    66. Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chÎmage au sens du recensement en 2017 », consulté le 31 octobre 2020
    67. Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 31 octobre 2020
    68. Plaquette Guercheville, Édition Sodel
    69. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Guercheville », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    70. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    71. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siĂšge dans la commune de Guercheville », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministĂšre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la ForĂȘt. (consultĂ© le ).
    72. « L'église. », notice no PA00087024, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    73. Acte qu'un vassal doit donner à son seigneur et par lequel il reconnait tenir de lui un héritage ou une acquisition.
    74. EugĂšne Thoison, Madame de Guercheville. Esquisse historique - 1891, impr. Fontainebleau Ernest Bourges
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.