Accueil🇫🇷Chercher

Grépiac

Grépiac est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».

Grépiac
Grépiac
L'église paroissiale Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes du Bassin Auterivain Haut-Garonnais
Maire
Mandat
Céline Gabriel
2020-2026
Code postal 31190
Code commune 31233
Démographie
Gentilé Grépiacois, Grépiacoises
Population
municipale
1 003 hab. (2020 en augmentation de 0,6 % par rapport à 2014)
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 24′ 21″ nord, 1° 26′ 57″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 243 m
Superficie 8,18 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Venerque
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auterive
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Grépiac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Grépiac
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Garonne
Grépiac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Grépiac
Liens
Site web Site de la commune

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ariège, la Hyse, le Lantine, la Mouillonne, le Rieutort, le ruisseau du Massacre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Grépiac est une commune rurale qui compte 1 003 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Venerque et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Grépiacois ou Grépiacoises.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
    Play Pause Stop Précédent Suivant Select
    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Grépiac se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 12 km de Muret[2], sous-préfecture, et à km d'Auterive[3], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Venerque[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Labruyère-Dorsa (1,7 km), Venerque (3,2 km), Vernet (3,4 km), Miremont (4,6 km), Lagardelle-sur-Lèze (4,9 km), Issus (5,1 km), Auragne (5,1 km), Noueilles (6,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Grépiac fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[5].

    Grépiac est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Venerque, Auterive, Issus, Labruyère-Dorsa, Miremont et Vernet.

    Communes limitrophes de Grépiac[6]
    Vernet Venerque Issus
    Grépiac Labruyère-Dorsa
    Miremont Auterive

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 818 hectares ; son altitude varie de 163 à 243 mètres[7].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Grépiac.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par l'Ariège, la Hyse, la Lantine, le Tédèlou, le Rieutort, le ruisseau du Massacre, la Courande, le ruisseau de fourio, le ruisseau de Loutsaut, le ruisseau des Loubens, le ruisseau du Rival et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    L'Ariège, d'une longueur totale de 162,91 km, prend sa source dans la commune de Porta et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Portet-sur-Garonne, après avoir traversé 56 communes[10].

    La Hyse, d'une longueur totale de 29,3 km, prend sa source dans la commune de Gibel et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Venerque, après avoir traversé 10 communes[11].

    La Lantine, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune d'Auribail et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il se jette dans l'Ariège sur le territoire communal, après avoir traversé 4 communes[12].

    Le Tédèlou, d'une longueur totale de 18,8 km, prend sa source dans la commune de Calmont et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Hyse à Venerque, après avoir traversé 8 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 741 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[19] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[20] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[21], à 14,1 °C pour 1981-2010[22], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[23].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24] - [25].

    Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[26].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[28], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[29].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[30] : le « cours de l'Ariège » (1 341 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[31] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [30] : « l'Ariège et ripisylves » (1 975 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Grépiac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [I 2] - [34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Venerque, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 3] et 10 119 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,4 %), zones urbanisées (8,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), forêts (2,9 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits ou hameaux

    • Mazerat

    Voies de communication et transports

    Par la route : accès par le nord-ouest de la commune (1,5 km) par la voie rapide Toulouse-Foix par un chemin qui passe par la commune du Vernet.

    Par le train : SNCF, gare de Venerque - Le Vernet.

    La ligne 318 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Mazères.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Grépiac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Hyse, la Mouillonne et le Lantine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1998, 1999, 2000, 2009, 2018 et 2022[38] - [36].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Grépiac.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[39]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 419 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 419 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[36].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Naguilhes sur le Gnoles (affluent de l'Ariège, département de l'Ariège). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[42].

    Histoire

    Époque préhistorique

    Présence d'un « atelier paléolithique Â» sur les bords de la Hyse (-5000 à - 1800 av. J.-C.). Rapprochement de l'Homo sapiens vers les bords de l'Ariège, peut-être à l'origine du village primitif de Grépiac. Des fouilles menées dans le « terrier Â» de la tuilerie de M. Capelle en 1957 mettent en évidence des restes archéologiques datant de l'Âge du Fer. Sont ainsi mis au jour plusieurs urnes de différentes tailles.

    Antiquité

    Découverte d'un castellum gallo-romain à Grépiac sur le plateau dominant l'Ariège. Précédée par la venue des Tectosages (Allemagne), des vestiges témoignent de la présence romaine (Rapoti).

    Moyen Âge

    La découverte de ceinturons suggère, le maintien de traditions militaires romaines puis au VIIe siècle, l'influence mérovingienne. Mise à jour de plaques boucles damasquées (VIIe siècle).

    Renaissance

    Au XVe siècle, la commune vit le siècle d'or de l'agriculture Lauragaise en se spécialisant dans la culture du pastel.

    XVIIe et XVIIIe siècles

    Le commerce du blé donne un nouvel essor à Grépiac, qui bénéficie d'une infrastructure destinée à transporter les céréales via l'Ariège à destination de Toulouse. Un moulin seigneurial est construit en 1647, qui conservera une plein activité jusqu'en 1875.

    XIXe siècle

    En 1814, les troupes anglaises commandées par le duc de Wellington sont dans la région.

    Érection de la nouvelle église Saint-Martin en 1872. Les travaux seront interrompus en 1875, l'église restant inachevée à ce jour.

    XXe siècle

    Le 9 avril 1944, Grépiac voit arriver le 3e bataillon du régiment Deutschland dont des stigmates subsistent encore par la présence de signes inscrits sur le balcon du clocher.

    Destruction de l'ancienne église, anciennement située sur la place de la vieille église.

    Destruction de l'ancien presbytère, destinée à la construction de l'ancien bureau de poste, actuelle épicerie de Grépiac.

    Et durant tous ces siècles, l'Ariège fut longtemps utilisée comme voie de navigation, servant au transport de marchandises...

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[43] - [44].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes du Bassin Auterivain et du canton d'Auterive.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1977 Joseph Gorgues
    1977 1983 Jean-Robert Rouanne
    1983 1995 Roger Vidal PS
    1995 2008 Charles-Noël Tournié
    2008 2017 Alain Rivella
    2017 En cours Céline Gabriel

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46]. En 2020, la commune comptait 1 003 habitants[Note 10], en augmentation de 0,6 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    467414473524499582584603598
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    605616565576541468449459413
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    409385336317321281285298285
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    350432588647681791968967990
    2015 2020 - - - - - - -
    9901 003-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[49] 1975[49] 1982[49] 1990[49] 1999[49] 2006[50] 2009[51] 2013[52]
    Rang de la commune dans le département 197 147 152 163 154 158 163 163
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Industrie

    Briqueterie,

    Enseignement

    Grépiac fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par un groupe scolaire : école maternelle et école élémentaire[53].

    Grépiac dispose d'un centre de loisirs géré par la CCLA

    Culture

    • Fête locale le premier week-end d'août.
    • Briqueterie Capelle : visite du musée située dans l'enceinte de l'entreprise familiale qui a su pérenniser jusqu'à nos jours les produits et le savoir-faire déjà connus sous l'Ancien Régime.
    • Bibliothèque municipale

    Activités sportives

    Pétanque, tennis, yoga, chasse,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Smivom de la Mouillonne[54].

    Une déchèterie est présente sur la commune[55].

    La protection et la mise en valeur de l'environnement relèvent de la compétence de la Communauté de Communes (CCLA). Une journée "Nettoyage de Printemps" est organisée chaque année à la mi-mars.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 401 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 026 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 970 â‚¬[I 8] (23 140 â‚¬ dans le département[I 9]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 10]7,1 %5,5 %7,4 %
    Département[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 630 personnes, parmi lesquelles on compte 79,3 % d'actifs (71,9 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 20,7 % d'inactifs[Note 12] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 96 emplois en 2018, contre 97 en 2013 et 89 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 457, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,7 %[I 14].

    Sur ces 457 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,9 % les transports en commun, 3,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    79 établissements[Note 13] sont implantés à Grépiac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble79
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    78,9 %(5,7 %)
    Construction1924,1 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1215,2 %(25,9 %)
    Information et communication11,3 %(4,1 %)
    Activités immobilières45,1 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1924,1 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1012,7 %(16,6 %)
    Autres activités de services78,9 %(7,9 %)

    Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,1 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 79 entreprises implantées à Grépiac), contre 19,8 % au niveau départemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[56] :

    • MTS, travaux de revêtement des sols et des murs (410 k€)
    • Lavigne Art S, autres commerces de détail spécialisés divers (k€)

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé...) ont encore une place importante mais tendent à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations13877
    SAU[Note 15] (ha)8931 039711521

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 521 ha[59] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le blason de Jean de Mansencal posé sur l'entrée de l'église de Grépiac. Les ailes sont abaissées sur cette version.
    • Zone verte naturelle protégée : « L'ilôt » ou « Le Ramier » - Site aménagé autour de deux lacs propice à la promenade, la pêche, le tennis et la pétanque.
    • Église fin XIXe siècle (1872), placée sous le vocable de saint Martin, qui a par ailleurs donné son nom à l'artère principale de la commune. Dotée de vitraux remarquables et d'une horloge mécanique monumentale (1893). Son clocher est un des plus originaux de la région toulousaine. Sur le tympan du porche, sont scellés quatre culs-de-lampe provenant de l'ancienne chapelle seigneuriale, ainsi que les armoiries de la famille de Mansencal (1561). Pietà fin XVIe siècle.
    • En 1727, le seigneur Étienne de Polastron de Lailhière fit construire un moulin "terrier" sur un canal de dérivation alimenté par l'Ariège (ne se visite pas).
    • Fontaine ancestrale sur le flanc droit du ruisseau du Rival, édifiée en briques issues de l'artisanat local.
    • Lavoir alimenté par le Rival
    • Vestiges entretenus de 3 piles d'un ancien pont de briques à péage érigé en 1870 (sous Louis-Philippe Ier), emporté par l'inondation du 23 juin 1875.
    • Halle construite en 1906, servant à un marché local et transformé en salle des fêtes dans les années 1950.
    • Chapelle(1512) dédiée à la bibliothèque municipale en 2017. L'originalité de cet ancien bâtiment cutuel réside dans le fait qu'il fait aujourd'hui partie de l'école laïque...
    • Personnalités liées à la commune
    Blason de Jean de Mansencal.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Monographies de 1885 (M. Doumeng) et 1985 (M. Pérès, historien local, qui a également signé d'autres ouvrages sur la commune, notamment sur la période révolutionnaire).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Grépiac » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Grépiac » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Venerque » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Grépiac » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Grépiac » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Grépiac » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Grépiac » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Grépiac et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Grépiac et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Grépiac et Auterive », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Grépiac », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    9. « Fiche communale de Grépiac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    10. Sandre, « l'Ariège »
    11. Sandre, « la Hyse »
    12. Sandre, « la Lantine »
    13. Sandre, « le ruisseau de Tédèlou »
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    19. « Station météofrance Toulouse-Francazal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    20. « Orthodromie entre Grépiac et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    25. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    26. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    28. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Grépiac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    30. « Liste des ZNIEFF de la commune de Grépiac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF le « cours de l'Ariège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF « l'Ariège et ripisylves » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    36. « Les risques près de chez moi - commune de Grépiac », sur Géorisques (consulté le )
    37. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    38. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    39. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    40. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    41. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Grépiac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    42. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    43. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    44. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    49. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    50. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    51. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    52. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    53. « Ecole primaire publique », sur Ministère de l'Education Nationale et de la Jeunesse (consulté le ).
    54. « Votre bac n'est pas pucé.. Un document a été accroché à votre bac ? », sur smivom-mouillonne.fr, (consulté le ).
    55. « mairiedegrepiac.unblog.fr/prat… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
    56. « Entreprises à Grépiac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    57. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    58. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    59. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Grépiac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.