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Essé

Essé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne, peuplée de 1 050 habitants[Note 1].

Essé
Essé
Le village d'Essé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Roche aux Fées Communauté
Maire
Mandat
Joseph Geslin
2020-2026
Code postal 35150
Code commune 35108
Démographie
Gentilé Esséen
Population
municipale
1 050 hab. (2020 en diminution de 5,75 % par rapport à 2014)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 27″ nord, 1° 25′ 28″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 92 m
Superficie 23,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Essé
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Essé
Liens
Site web www.esse-larocheauxfees.fr

    Géographie

    Localisation

    Carte de la commune d'Essé.

    Description

    Le finage d'Essé est limité au nord par la Seiche, un affluent de rive gauche de la Vilaine ; plusieurs petits affluents de rive gauche de la Seiche drainent son territoire comme le ruisseau de Ricordel qui alimente dans sa partie amont l'étang de la Rigaudière (en Le Theil-de-Bretagne), le ruisseau du Loroux qui forme la limite communale avec Janzé et possède ses propres affluents, notamment le ruisseau de la Morinière qui traverse la partie sud-ouest de la commune ; la commune est limitée à l'est par la branche sud-ouest de l'étang de Marcillé-Robert, alimenté par l'Ardenne, autre affluent de rive gauche de la Seiche.

    Essé est situé au sud-est du Bassin de Rennes. Le territoire communal forme un plan incliné vers le nord, en direction de la vallée de la Seiche, à peine échancré par les vallées de ses affluents précités. Les altitudes vont de 91 mètres pour le point le plus haut (entre les hameaux de Mérillé et la Nachardière, vers le sud-ouest de la commune) et 32 mètres dans la vallée de la Seiche à l'endroit où celle-ci quitte le territoire communal.

    Essé présente traditionnellement un paysage rural de bocage ave un habitat dispersé en de nombreux hameaux et fermes isolées. Le bourg, traditionnellement de faible importance et étiré en longueur dans le sens ouest-est le long de la D 48, a grossi depuis les dernières décennies du XXe siècle avec la création de lotissements au nord et au sud du bourg ; le reste du territoire communal a été préservé de la rurbanisation.

    Le bourg d'Essé et ses façades en grès rouge
    • Le centre du bourg d'Essé.
      Le centre du bourg d'Essé.
    • Maisons dans le bourg d'Essé.
      Maisons dans le bourg d'Essé.
    • Un commerce dans le bourg d'Essé.
      Un commerce dans le bourg d'Essé.

    Le bourd d'Essé n'est desservi que par des routes départementales de modeste imortance (D 48 dans le sens ouest-est, en direction de Janzé vers l'ouest et de Marcillé-Robert vers l'est) et la D 341 dans le sens nord-sud, en direction de Piré-sur-Seiche vers le nord, de Retiers vers le sud. L'axe routier le plus important, la D 173 (de Janzé à Retiers, à quatre voies), ne fait qu'écorner la partie sud-ouest du territoire communal.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 751 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Essé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [12] - [13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), prairies (11,9 %), zones urbanisées (1,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Esceio au XIVe siècle puis Esseyum en 1516[19]. Le nom proviendrait du dieu gaulois Esus[20].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Essé est traversé d'ouest en est par un très ancien chemin existant dès le Néolithique ; ce chemin protohistorique, fut dénommé par la suite chemin des Saulniers[21], le long duquel on recense de nombreux mégalithes, dont le plus célèbre est un dolmen en allée couverte, traditionnellement appelé « la Roche-aux-Fées ». La communauté de communes à laquelle appartient Essé porte ce nom.

    • La Roche aux Fées, allée couverte près du Theil (dessin de Félix Benoist).
      La Roche aux Fées, allée couverte près du Theil (dessin de Félix Benoist).
    • La Roche-aux-Fées au début du XXe siècle (carte postale).
      La Roche-aux-Fées au début du XXe siècle (carte postale).

    Le ruisseau des Trousselières [désormais dénommé ruisseau de Ricordel], dénommé aussi par le passé localement Ruisseau du Sang, dans le lit et au voisinage duquel on trouve des mégalithes, dont la Roche-aux-Fées, aurait été, selon ce qui est rapporté par A. Marteville et P. Varin dans la première moitié du XIXe siècle, un lieu où « les sacrifices des funérailles se célébraient chez les Gaulois sur une pierre carrée, souvent placée dans le lit des rivières, et sous laquelle on déposait les cendres des chefs, à l'abri de toute profanation »[20].

    Moyen-Âge

    Au Moyen-Âge, les seigneurs du Loroux y avaient droit de justice.

    Les dîmes étaient partagées entre les chanoines de la cathédrale de Rennes et les moines du prieuré de Béré[22].

    Temps modernes

    Les plus anciennes familles nobles ayant leurs armoiries dans l’église d'Essé, remaniée en 1639 par l'adjonction d'un nouveau clocher, sont les familles de Lépinay de Mauperrier[Note 8] et de la Boitellière-Hardi[Note 9] ; c'est aussi en 1639 que deux chapelles sont construites aux extrémités du transept, celle du nord par la famille du Rouiray et celle du sud par la famille du Loroux ; lorsque le seigneur du Loroux se rendait à l'église, les cloches devaient sonner jusqu'à ce qu'il soit installé sur son banc seigneurial ; les seigneurs du Loroux avaient leurs enfeux devant le chœur[23].

    Le prince de Condé, baron de Châteaubriant, le seigneur de la Rigaudière (en Le Theil), depuis la réunion des seigneuries du Loroux et de la Rigaudière au XVIIe siècle ; les princes de Condé possédaient cette seigneurie au XVIIIe siècle[24] et le seigneur du Rouvray[Note 10] se partageaient les droits seigneuriaux sur les terres de la paroisse[22].

    Plusieurs chapelles existaient dans la paroisse : la chapelle de l'Arturais (des vestiges subsistent), celle de Sainte-Anne du Rouvray (détruite lors des Guerres de religion), du Bois Clérissay (détruite en 1763), de Sainte-Anne-de-la-Coudre et celle de Sainte-Anne-de-la-Tremblay (toutes disparues)[23].

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Essé en 1778 :

    « Essé ; à six lieues au Sud-Est de Rennes, son évêché et son ressort ; et à deux lieues trois quarts de La Guerche, sa subdélégation. On y compte 2 000 communiants[Note 11] : la cure est à l'alternative. M. le Prince de Condé en est le seigneur. Les maisons nobles de cette paroisse sont : en 1480, la Housselière [en fait Trousselières], à René Jaret[Note 12] ; la Rouverais [Rouvray], en 1600 à Gilles le Duc[Note 13] ; cette terre et celle de Sucé forment une haute justice et appartiennent à M. de Kerouan[Note 14], qui possède aussi la terre de la Rigaudière, avec haute justice ; en 1650 le Bois Clérissais, à Jean de Montalembert[Note 15]. (...). Ce territoire est coupé par la rivière de Seiche et de plusieurs ruisseaux qui vont s'y perdre ; c'est un pays couvert d'arbres et de buissons, où l'on voit de bonnes terres, d'excellents pâturages, des arbres à fruits et des landes.[25]. »

    Révolution française

    L'assemblée des paroissiens d'Essé, préalable à la réunion des États généraux, se tint le sous la présidence de René-François Ducrest de Villeneuve[Note 16], sénéchal et juge de la châtellenie du Theil, en présence de 16 paroissiens ; un cahier de doléances fut rédigé (il reprend en bonne partie celui de la paroisse voisine du Theil[26]) ; deux députés (Jean-Baptiste Rubillon[Note 17], du Lattay et Jacques Debroize[Note 18], de la Touche Philippe) furent élus pour représenter la paroisse à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée[27].

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Essé en 1843 :

    « Essé (Ecclesia de Eseio, sous l'invocation de la Vierge, le 15 août) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : les Boitelières, la Bussonnais, le Lattay, Courgeon, le grand et le petit Calaché, Montalembert, la Cour-Morel, la Huberdière, Merillé, la Morinière, la Poulinière, Lande-Ronde. Maisons remarquables :le Rouvray, l'Arturais, le Rozay, la Coudre. Superficie totale 2 318 ha 91 ares dont (...) terreslabourables 1 592 ha, prés et pâturages 554 ha, bois 56 ha, vergers et jardins 90 ha, landes et incultes 145 ha (...). Moulins : 5 (du Loroux, de la Lande, à eau ; de la Rigaudière, de la Lande du Saule, à vent. (...). La commune est limitée au nord par la rivière de Seiche ; elle contient au sud le petit bois de la Rigaudière. Géologie : schiste argileux ; quartzite à l'ouest. On parle le français [en fait le gallo][20]. »

    La Belle Époque

    La croix de mission de 1907.

    Une mission paroissiale fut organisée en 1907. Une croix de mission en perpétue le souvenir.

    • Le bourg d'Essé au début du XXe siècle.
      Le bourg d'Essé au début du XXe siècle.

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts d' Essé porte les noms de 41 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; 5 d'entre eux sont morts en Belgique, tous les autres sur le sol français ; trois (Théophile Barbotin, Ernest Deboize et Prosper Louis) ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, un (Louis Morel) de la Médaille militaire et deux (Jean Bonnenfant et Victor Louis) de la Médaille militaire[28].

    • Le monument aux morts d'Essé.
      Le monument aux morts d'Essé.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts d'Essé porte les noms de 2 hommes (A. Trouvé et G. Valais) morts pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[28]. .

    Politique et administration

    La mairie d'Essé.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1830 1830 Morel
    1830 1835 Lange
    1835 François Lamy[Note 19] Propriétaire cultivateur.
    avant 1860 1865 Constant Lamy[Note 20] Cultivateur. Fils probable du maire précédent.
    1865 1876 Honoré Demé[Note 21]
    1876 1890 Joseph Prodhomme Cultivateur
    1890 1895 Arsène Laurent[Note 22] Marchand drapier.
    1895 1905 Laurent Brebion[Note 23] Propriétaire cultivateur.
    1905 après 1920 Pierre Demé[Note 24] Cultivateur.
    1983[29] mars 2008 Laurent Beuchée Agriculteur, président de la communauté de communes
    mars 2008[30] En cours Joseph Geslin[31] DVD Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 1 050 habitants[Note 25], en diminution de 5,75 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5511 6121 5761 6231 7031 6441 6741 7561 604
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5501 4891 4951 4861 4021 3561 3241 2911 270
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2161 1611 1561 0431 0521 0181 0481 003949
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    8818317297478168489529951 107
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 1141 0611 050------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le nouveau et premier logo de la commune représente au premier plan le mégalithe de la Roche-aux-Fées, situé sur le territoire de la commune, par-dessus une représentation du drapeau de la Bretagne (Gwenn ha Du). Emblème du territoire, une petite fée vient terminer la composition, en bas à droite du visuel. Le logo a été réalisé par la commission communication de l'équipe municipale, dont le maire est Joseph Geslin, et l'adjoint au maire à la communication est Frédéric Gilhodes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Notre-Dame, située au centre du village, partiellement romane[37]. Elle est édifiée au XIIe siècle, de style roman et se compose alors d'une simple nef séparée d'un chÅ“ur à chevet plat par un arc diaphragme . Au XVIIe siècle, l'édifice est remanié : on ajoute les deux chapelles seigneuriales formant transept. Estimant que l'arc triomphal qui supporte le clocher bouche la vue sur le chÅ“ur, on le supprime et on édifie un nouveau clocher à l'ouest de la nef. La porte sud du milieu de la nef, précédée d’un porche, que l'on nommait chapiteau, sous lequel les trésoriers rendaient les comptes de la fabrique[38]. L'aménagement intérieur du chÅ“ur date de 1872-1875[37]. Un tableau du Rosaire, don de la famille de la Rigaudière en 1660, figurant la marquise de Sévigné, décore la nef[39].
    • Essé : l'église paroissiale Notre-Dame au début du XXe siècle.
      Essé : l'église paroissiale Notre-Dame au début du XXe siècle.
    • L'église paroissiale Notre-Dame : vue extérieure d'ensemble.
      L'église paroissiale Notre-Dame : vue extérieure d'ensemble.
    • L'église paroissiale Notre-Dame : vue extérieure d'ensemble.
      L'église paroissiale Notre-Dame : vue extérieure d'ensemble.
    • Croix monolithique près de l'église paroissiale Notre-Dame.
      Croix monolithique près de l'église paroissiale Notre-Dame.

    On trouve aussi le manoir de la Trousselière.

    Musée

    Le "Musée des arts et traditions populaires" d'Essé.

    Le musée des arts et traditions populaires se trouve à 50 m du café-alimentation, rue des Artisans. Crée en 1975 par l'abbé Léon Méhaignerie, il est ouvert d'avril à octobre, les dimanches après-midi et en juillet-août, tous les jours après-midi sauf les lundis[46]. Il présente une collection d'outils, de costumes, d'objets du quotidien et d'ustensiles d’époque[47].

    Activité et manifestations

    • Panneau annonçant le jumelage d'Essé avec MieÅ›cisko.
      Panneau annonçant le jumelage d'Essé avec Mieścisko.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Pierre de Lépinay s'est marié le avec Renée Jarret de la Trousselière. Un autre Pierre de Lépinay, sieur de Mauperrier est dénombré comme écuyer à Essé en 1682.
    9. Siméon Hardy, sieur de la Boitelière, né le est cité comme écuyer lors de son mariage le en l'église de Brie avec Perrine Perry's, dame de la Rougerays
    10. La seigneurie du Rouvray appartint successivement aux familles Frade (en 1434), Morel (en 1513), du Rouvray (entre 1539 et 1675), de Kerouan (à la fin du XVIIIe siècle.
    11. Personnes en âge de communier.
    12. Un autre René Jarret, né le à Essé, fut seigneur de La Trousseliere et du Menant.
    13. Probablement Gilles Leduc en fait.
    14. Probablement Ignace Hyacinthe Mahé de Kerouan, ancien capitaine du régiment de Piémont.
    15. Jean de Montalembet, sieur du Bois, écuyer, né le à Brie, décédé le à Essé.
    16. René François Ducret, sieur de Villeneuve, né le au Theil, décédé le au Theil.
    17. Jean Baptiste Rubillon, né le à Janzé, décédé le à Essé, cultivateur.
    18. Jacques Debroize, né le à Essé, décédé le à la Touche Philippe en Essé.
    19. Probablement François Lamy, né le à Essé, décédé le à Essé.
    20. Constant Lamy, né le à Essé, décédé le à Essé.
    21. Honoré Demé, marié le à Boistrudan avec Adélaïde Belloir.
    22. Arsène Laurent, né le à Essé, décédé le à Essé.
    23. Laurent Brebion, né le à la Rousselière en Essé, décédé le à Essé.
    24. Pierre Demé, né le à la Bussonnière en Essé, décédé le à Essé.
    25. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Essé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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