Le Theil-de-Bretagne
Le Theil-de-Bretagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 718 habitants[Note 1].
Le Theil-de-Bretagne | |||||
Mairie du Theil-de-Bretagne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | FougÚres-Vitré | ||||
Intercommunalité | Roche aux Fées Communauté | ||||
Maire Mandat |
Benoit Clément 2020-2026 |
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Code postal | 35240 | ||||
Code commune | 35333 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Theillais | ||||
Population municipale |
1 718 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 55âČ 10âł nord, 1° 25âČ 47âł ouest | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 106 m |
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Superficie | 24,20 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Retiers (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de La Guerche-de-Bretagne | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | letheildebretagne.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Le Theil de Bretagne est situé à 30 km environ au sud-est de Rennes. La commune fait partie de la Roche aux Fées Communauté qui compte dix-neuf communes.
Description
Au nord-ouest du territoire communal le Ruisseau du Ricordel est un affluent de rive gauche de la Seiche ; il alimente l'étang de la RigaudiÚre (un étang riche en poissons[1] ), forme un moment la limite communale avec Essé et reçoit un affluent qui traverse la partie nord de la commune, le Ruisseau du Pont Guesdon.
Zones naturelles
Il existe plusieurs sites naturels :
- La RigaudiĂšre, en face du chĂąteau, l'Ă©tang de la RigaudiĂšre offre aux promeneurs ses 13 ha de promenade ;
- la ForĂȘt du Theil de 400 ha recouvre la partie sud de la commune[2]. On y observe un curieux alignement de blocs de pierres qui pourrait dater du NĂ©olithique. Le menhir dit Pierre de Rumfort, Ă l'ouest de la forĂȘt, est un vestige de schiste rouge Ă propos duquel on dit qu'il a Ă©tĂ© laissĂ© lĂ par les fĂ©es quand ces derniĂšres Ă©difiĂšrent La Roche-aux-FĂ©es.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[9] et qui se trouve Ă 22 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă 27 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 12,4 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Le Theil-de-Bretagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Retiers, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[19] et 6 091 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (80,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24,9 %), forĂȘts (17,2 %), prairies (11,9 %), zones urbanisĂ©es (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,8 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[25].
Voies de communications et transports
La ligne ferroviaire de ChĂąteaubriant Ă Rennes traverse la commune.
La commune est traversée par une route départementale : la RD 173.
La RD 173 est une voie express Ă 2Ă2 voies faisant partie de la liaison entre Rennes et Angers, via Corps-Nuds, JanzĂ©, Retiers, MartignĂ©-Ferchaud, PouancĂ©, SegrĂ© et Le Lion-d'Angers.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Tillia en 1330[26], Le Tai en 1465, parochia de Tillia en 1516[27].
Le nom « Theil » vient du latin tillia, signifiant « lieu planté de tilleul »[27]. Tillia est attesté en 1330[26].
En 1920, le nom de la commune du Theil a été modifié en Le Theil-de-Bretagne.
Le nom de la commune traduit en breton est An Tilh[26]. En gallo, le nom sâĂ©crit Le Teilh[28].
Histoire
Préhistoire
L'occupation du territoire de la commune dÚs le Néolithique est attestée par l'existence de plusieurs sites mégalithiques : le menhir dit de la Pierre de Rumfort ou l'Homme Fort, avec les mégalithes couchés alentours, probables vestiges de l'alignement signalé par J. Ogée en 1779 dans son Dictionnaire historique et géographique de la Provence de Bretagne ; une enceinte mégalithique au lieu-dit Saint-Lyphard ; et deux menhirs à La Motte-Robert[29]. Ces sites sont aussi à mettre en relation avec la célÚbre allée couverte de La Roche-aux-Fées située sur la commune limitrophe d'Essé.
Moyen Ăge et Ancien RĂ©gime
La seigneurie du Teil, dans la paroisse de ce nom appartenait Ă la famille de RougĂ©. Lâun dâeux, Bonabes, seigneur de RougĂ©, donne en 1243 un terrain aux moines cisterciens de Melleray un emplacement convenable pour construire une grange dĂźmiĂšre dans son bourg du Teil. La chĂątellenie du Teil suivit le sort de celle de RougĂ© et appartint successivement aux seigneurs de RougĂ© de Derval, de Chateaugiron, de Rieux, de Laval-ChĂąteaubriand, aux ducs de Montmorency et aux princes de CondĂ©.
Quoique la chĂątellenie du Teil semble avoir toujours appartenu aux sires de RougĂ©, elle formait cependant une seigneurie distincte, Ă©tant sĂ©parĂ©e de RougĂ© par la baronnie de VitrĂ© et la chĂątellenie du DĂ©sert, et se trouvant dans le diocĂšse de Rennes, tandis que RougĂ© appartenait Ă l'Ă©vĂȘchĂ© de Nantes. Le Teil avait son chĂąteau particulier et sa juridiction distincte de celle de RougĂ©.
Chùtellenie d'ancienneté, la seigneurie du Teil se composait de six principaux bailliages : le grand bailliage du Teil et celui de la Bûcherie en Le Teil et Coësmes, le grand bailliage d'Essé en Essé, et les bailliages de Piré, de Janzé et d'Arbrissel.
Au XVIIIe siĂšcle, les revenus de ces fiefs Ă©taient d'environ 600 livres, plus 205 boisseaux d'avoine, 37 poules, une paire de gants et deux Ă©teufs ou balles de jeu de paume[30].
La haute justice attachée à ces fiefs s'exerçait encore au XVIIIe siÚcle « dans la ville du Teil, estant néanmoins du ressort de la juridiction de la ville de Chùteaubriant, à laquelle viennent les appellations des sentences du Teil » (Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 1819). Son gibet, composé de quatre piliers, se dressait sur la lande du Sauldre, au bord du chemin du Teil à Marcillé-Robert. Le sire du Teil était seigneur supérieur et fondateur de l'église du Teil et seulement supérieur des églises d'Essé et d'Arbrissel. Il avait droit de tenir des foires chaque année et un marché tous les lundis « dans sa ville du Teil ».
Enfin, de nombreux seigneurs relevaient du seigneur du Theil, savoir ceux de SucĂ©, le Loroux, le Boisrouvray, le BoistaillĂ©, Lasse-jambe, le Plessis-Baume, la TrousseliĂšre, etc. Le domaine proche de la chĂątellenie consistait surtout en la forĂȘt du Teil, contenant en 1680 environ 1 150 journaux de terre.
Ă l'entrĂ©e de cette forĂȘt et au bord d'un Ă©tang se trouvait le chĂąteau de la Motte-du-Teil, qui avait dĂ» servir de rĂ©sidence aux juveigneurs de RougĂ©, tels que ce Geffroy de RougĂ© du Teil signalĂ© en 1243. Mais depuis plusieurs siĂšcles cette forteresse n'existait plus, et un aveu de 1628 mentionne seulement lâemplacement de l'ancien chĂąteau de la Motte du Teil, Ă prĂ©sent ruinĂ©. La mĂ©tairie de la Motte et deux moulins (le moulin de la Motte et celui de Ramet) dĂ©pendaient aussi de ce chĂąteau. Au XVIIe siĂšcle le prince de CondĂ©, baron de ChĂąteaubriant, affĂ©aga les ruines du chĂąteau de la Motte, aussi bien que la mĂ©tairie et les moulins, et le tout appartenait en 1680 Ă RenĂ© de Lopriac, seigneur de la RigaudiĂšre en la paroisse de Teil (DĂ©claration de RougĂ©-au-Teil en 1680).
Révolution française
La terre de la Motte-du-Teil est confisquĂ©e aux Ă©migrĂ©s François Viard de Mouillemusse et Charles Viard de JussĂ©. Elle est vendue comme bien national de seconde origine le . DĂšs lors, le domaine de la chĂątellenie ne se composa plus que de la forĂȘt du Teil, des halles, de l'auditoire et de la geĂŽle, construits au bourg du Teil : cette geĂŽle ou prison seigneuriale est elle aussi vendue le [31].
La population de la commune Ă©tait, parait-il, favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant lâanniversaire de lâexĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e dâun serment de haine Ă la royautĂ© et Ă lâanarchie, fĂȘtĂ©e Ă partir de 1795[32].
Le curé assermenté du Theil fut assassiné pendant la Révolution[33].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 1 718 habitants[Note 8], en diminution de 1,77 % par rapport Ă 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
La commune compte un monument historique :
- la chapelle Notre-Dame de Beauvais, inscrite par arrĂȘtĂ© du [40] est situĂ©e Ă la sortie du bourg en direction de CoĂ«smes, elle fut Ă©difiĂ©e entre 1893 et 1894 par Henri Mellet Ă l'emplacement d'une ancienne chapelle du XVe siĂšcle. Un calvaire situĂ© sur les lieux est d'ailleurs devenu le siĂšge d'une tradition : ceux qui baisent le pied du calvaire se marient dans l'annĂ©e.
Il y a aussi neuf bùtiments inventoriés dont :
Personnalités liées à la commune
- Alexandre Louis du Crest de Villeneuve (1777-1852), amiral, né au Theil.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- « Le Theil-de-Bretagne. L'Ă©tang de la RigaudiĂšre, riche en poissons », Journal Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le Theil-de-Bretagne. Vingt hectares de forĂȘt pour courir et apprendre », Journal Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Theil-de-Bretagne et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Theil-de-Bretagne et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Retiers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Résultats concernant « Theil-de-Bretagne » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
- « Etymologie et Histoire de Le Theil-de-Bretagne », sur infobretagne (consulté le ).
- Fiche descriptive de la ville du Theil-de-Bretagne sur Geobreizh.
- Jacques Briard, Loïc Langouët et Yvan Onnée, Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Rennes, Institut culturel de Bretagne et Centre régional d'archéologie d'Alet, coll. « Patrimoine archéologique de Bretagne », , 122 p. (ISBN 9782868220929), p. 115-117.
- Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 2157.
- Archives d'Ille-et-Vilaine, 1Q. 329.
- Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 21, t. 4,â , p. 398-399.
- Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", Ă©ditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
- « Un troisiÚme mandat pour Jean-Claude Blouin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Marie-Annick Boué devient le nouveau maire du Theil », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- « Ăglise paroissiale Saint-Maimboeuf », notice no IA00007374, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
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