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Sainte-Colombe (Ille-et-Vilaine)

Sainte-Colombe est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 356 habitants[Note 1].

Sainte-Colombe
Sainte-Colombe (Ille-et-Vilaine)
L'église Sainte-Colombe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Roche aux Fées Communauté
Maire
Mandat
Julien Richard
2022-2026
Code postal 35134
Code commune 35262
Démographie
Population
municipale
356 hab. (2020 en augmentation de 10,22 % par rapport à 2014)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 16″ nord, 1° 27′ 22″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 106 m
Superficie 7,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Sainte-Colombe
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Sainte-Colombe
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Sainte-Colombe
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Sainte-Colombe

    Géographie

    Sainte-Colombe est bordée au sud et au sud-est par la commune de Coësmes, dont le bourg est très proche (1,4 kilomètres). Au nord, elle jouxte le territoire de Janzé et du Theil-de-Bretagne. À l'est, elle est limitrophe de La Couyère.

    La commune est traversée d'ouest en est par la route départementale 47, qui la relie à Coësmes et poursuit jusqu'à Retiers à l'est, et à l'ouest vers Tresbœuf et jusqu'à Poligné. La départementale 46 relie Sainte-Colombe à Janzé au nord, et la départementale relie la commune au Theil-de-Bretagne. Le bourg est concentré au point de jonction de ces trois axes routiers. Plusieurs hameaux sont situés dans les terres plus au nord. La départementale 99 traverse brièvement l'est du territoire de Sainte-Colombe, entre Coësmes et Le Theil de Bretagne.

    Carte de la commune de Sainte-Colombe.
    Communes limitrophes de Sainte-Colombe
    Janzé Le Theil-de-Bretagne
    La Couyère Sainte-Colombe
    Coësmes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 714 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 821,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Colombe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,5 %), zones agricoles hétérogènes (18 %), prairies (6,7 %), zones urbanisées (3,6 %), forêts (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes parochia de Sancta Columba en 1240, Sancta Columba en 1241[21], ecclesia Sanctœ Columbœ en 1516.

    Le nom de la commune est une référence à Colombe de Sens, martyre décapitée sur ordre de l'empereur Aurélien le à Sens dans l'actuel département de l'Yonne. Plusieurs villes de France ont glorifié la sainte en lui donnant son nom[22]. En Ille-et-Vilaine, un village de ce nom existe depuis le XIIIe siècle.

    Le nom de la commune est Saentt-Cólonbb-an-la-Méy en gallo et Santez-Koulm en breton[23].

    Histoire

    Moyen Âge

    Sainte-Colombe était déjà une paroisse en 1240 (et probablement bien avant) : en effet cette année-là, selon Dom Morice, Geoffroy de Pouancé, seigneur de La Guerche doona en dot à sa fille Thomasse, qu'il mariait à André III de Vitré, différents biens qu'il possédait dans le bourg et la paroisse de Sainte-Colombe. La paroisse dépendait de la châtellenie du Désert[24].

    Temps modernes

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Sainte-Colombe en 1778 :

    « Sainte-Colombe ; sur une petite élévation ; à 6 lieues et demie au Sud-Est de Rennes, son évêché et son ressort ; et à 5 lieues de Châteaubriand, sa subdélégation. On y compte 250 communiants[Note 8] ; la cure est à l'alternative. Le territoire est un pays plat, et produit du grain et du cidre[25]. »

    À la veille de la Révolution française, l'abbaye Saint-Georges de Rennes levait le quart des dîmes de la paroisse[24].

    Révolution française et XIXe siècle

    L'assemblée des paroissiens de sainte-Colombe se tint le sous la présidence d'Hippolithe Odye[Note 9], sénéchal de Sainte-Colombe et avocat au Parlement de Bretagne: elle rédigea un cahier de doléances dont le contenu est disponible sur le site Internet cité en référence ; 25 paroissiens étaient présents (dont Joseph-Jacques Gautier, avocat, procureur fiscal de la juridiction des Mottes) et deux députés furent désignés pour représenter la paroisse à l'assemblée du tiers état de la sénéchaussée : Hippolyte Odye et Siméon Demé[Note 10], sieur des Villes [26].

    La paroisse de Sainte-Colombe est supprimée en 1792 et rattachée à Coësmes, puis de nouveau rendue indépendante par ordonnance royale en 1826.

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Sainte-Colombe en 1853 :

    « Sainte-Colombe (sous l'invocation de sainte Colombe, fêté le 30 décembre) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : le Bois-Tertre, la Troche, la Parentière,Launay. Maison notable : les Mottes. Superficie totale : 757 hectares 89 ares, dont (...) terres labourables 462 ha, terres labourables 125 ha, prés et pâturages 125 ha, bois 14 ha, vergers et jardins 19 ha, landes et incultes 105 ha, étangs 3 ha (...). Le bourg de Sainte-Colombe est bâti sur une colline escarpée à l'orient, au sud et à l'occident, et présentant au nord une pente douce. L'église, qui a été réédifiée en grande partie dans l'année 1658 est régulière ; le maître-autel est d'une bonne exécution ; le jardin du presbytère, bien situé, a une vue magnifique, à à l'ouest et au sud-ouest. À l'époque du Concordat Sainte-Colombe fut réunie , pour le spirituel seulement, à la paroisse de Coësmes. En 1828 elle devint succursale de la paroisse de Retiers, son chef-lieu de canton. Au pied de la colline de Sainte-Colombe est une excellente ardoisière, dite de la Roche-Pierre ou de Sainte-Colombe, bien qu'elle soit située dans La Couyère. Le sol est ferile ; il produit des céréales, du chanvre, du lin, du cidre. Le logis des Mottes n'offre rien de remarquable ; mais une pièce d'eau qui lui est contigüe est d'une limpidité admirable.On dit qu'elle fut creusée pour élever les tertres qui existent autour du manoir des Mottes, probablement comme intersigne féodal. Géologie : schiste argileux ; quartzite au nord et au sud. On parle le français [en fait le gallo][27]. »

    Le XXe siècle

    Un lac artificiel, le "Lac des Mottes" a été créé au début du XXe siècle dans la commune avec un affouillement de trois hectares : c'est devenu un lieu de pêche et de loisirs.

    • Le lac des Mottes au début du XXe siècle (carte postale).
      Le lac des Mottes au début du XXe siècle (carte postale).

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Sainte-Colombe.

    Le monument aux morts de Sainte-Colombe porte les noms de 20 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, un au moins (Armand Pilard, soldat au 124e régiment d'infanterie) est mort en Belgique dès le ; Pierre Landais, caporal au 70e régiment d'infanterie, dernier mort de la guerre dans la commune, est mort de maladie en captivité en Allemagne le ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français ; trois soldats au moins (Julien Deguype, Hippolyte Noël et Armand Pilard) ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[28].

    La Seconde Guerre mondiale

    Sainte-Colombe n'a eu aucun mort pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1794 Siméon Demé
    mars 1977 mars 2008 René Castellier[29] Agriculteur.
    mars 2008 mars 2014 Daniel Launay Retraité de l'agroalimentaire.
    mars 2014 octobre 2016[30]
    (démission)
    Étienne Petibon[31] SE Retraité de l'industrie agroalimentaire.
    3 octobre 2016 25 mai 2020 Gilbert Pilard[32] SE Retraité de l'agriculture.
    25 mai 2020 11 décembre 2021
    Démission[33]

    Nelly Malnoë[34] SE Retraitée, ancienne 3e adjointe.
    6 janvier 2022 28 février 2022 Sylvie Thomeret SE Maire par intérim
    28 février 2022 En cours Julien Richard[33] Maître d'œuvre.
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2020, la commune comptait 356 habitants[Note 11], en augmentation de 10,22 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    450446397207512519528531597
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    550538532488504560506495478
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    427440424345358351343320303
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    307296277276262272300304311
    2017 2020 - - - - - - -
    351356-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune accueille depuis 1996 la brasserie Sainte-Colombe, qui produit des bières réputées[39]. En 2020, la brasserie déménage à Corps-Nuds dans des locaux plus grands[40].

    Lieux et monuments

    L'église Sainte-Colombe.
    • Église Sainte-Colombe : la porte d'entrée située à l'est.
      Église Sainte-Colombe : la porte d'entrée située à l'est.
    • Église Sainte-Colombe : la chambre des cloches.
      Église Sainte-Colombe : la chambre des cloches.
    • Église Sainte-Colombe : la chambre des cloches (détail).
      Église Sainte-Colombe : la chambre des cloches (détail).
    • Église Sainte-Colombe : le sommet de la flèche.
      Église Sainte-Colombe : le sommet de la flèche.
    • Le calvaire du cimetière.
    • Le calvaire du cimetière.
      Le calvaire du cimetière.
    • Croix de chemin.
    • Croix de chemin.
      Croix de chemin.
    • Plusieurs manoirs dont le manoir de la Grée qui date des XVIIe et XVIIIe siècles et possède une tour carrée.
    • Le manoir des Sortoires.
      Le manoir des Sortoires.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Personnes en âge de communier.
    9. Hippolyte Odye de la Sortoire, né le à Rennes (paroisse de Toussaint), décédé le à Rennes.
    10. Siméon Demé, né le à Coësmes, décédé le au bourg de Coësmes, maire de Sainte Colombe en 1794.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sainte-Colombe et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sainte-Colombe et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Éditions Jean-Paul Gisserot (ISBN 2877474828, lire en ligne), p. 112.
    22. Charles Barthélémy, Annales hagiologiques de la France: Deuxième et troisième siècles, Bureau des Annales hagiologiques de la France, (lire en ligne), p. 387-388.
    23. « Nom des villes bretonnes en gallo », sur Geobreizh (consulté le ).
    24. « Étymologie et histoire de Sainte-Colombe », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
    25. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), pages 220-221.
    26. « Cahier de doléances de Sainte-Colombe en 1789 », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
    27. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 745.
    28. « Sainte-Colombe. Monument aux Morts (Relevé n° 32914) », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
    29. Ouest-France du 21 mars 1977.
    30. Démissionnaire pour raisons de santé.
    31. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    32. « Pays de la Roche-aux-Fées. Sainte-Colombe a un nouveau maire », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
    33. « Municipales. Julien Richard élu maire de Sainte-Colombe », Ouest-France, (lire en ligne).
    34. Nicole CONQUER, « Municipales. Nelly Malnoë, première femme, maire de Sainte-Colombe », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. « La bière de Sainte-Colombe va déménager », Le Journal de Vitré, 16 juillet 2019.
    40. « Près de Rennes. La brasserie Sainte-Colombe s'agrandit aux Grands sillons », Ouest-France, 23 juillet 2019.
    41. Notice no IA00007365, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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