Martigné-Ferchaud
Martigné-Ferchaud est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne et membre de Roche aux Fées Communauté. Elle est peuplée de 2 604 habitants[Note 1] (les Martignolais).
Martigné-Ferchaud | |||||
LâĂ©glise Saint-Pierre. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | FougÚres-Vitré | ||||
Intercommunalité | Roche aux Fées Communauté | ||||
Maire Mandat |
Patrick Henry 2020-2026 |
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Code postal | 35640 | ||||
Code commune | 35167 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Martignolais | ||||
Population municipale |
2 604 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 49âČ 40âł nord, 1° 19âČ 06âł ouest | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 121 m |
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Superficie | 74,10 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de La Guerche-de-Bretagne | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.ville-martigneferchaud.fr | ||||
GĂ©ographie
Présentation
Martigné-Ferchaud est une commune de 7 410 hectares, ce qui en fait la seconde commune du département d'Ille-et-Vilaine juste aprÚs Paimpont.
Ăcologie
Du point de vue de la richesse de la flore, MartignĂ© est Ă la huitiĂšme place des communes du dĂ©partement possĂ©dant dans leurs diffĂ©rents biotopes le plus de taxons, soit 606 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total dĂ©partemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 56 taxons Ă forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 28 taxons protĂ©gĂ©s et 39 appartenant Ă la liste rouge du Massif armoricain (total dĂ©partemental de 237)[1]. La commune comprend ainsi la ForĂȘt d'Araize.
Un point de suivi de la qualité des eaux du Semnon est présent sur la commune[2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[9] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă 40 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 12,4 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Martigné-Ferchaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (82,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (36,7 %), terres arables (27 %), prairies (17,5 %), forĂȘts (14,4 %), zones urbanisĂ©es (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,1 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1 %), eaux continentales[Note 7] (0,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
Voies de communications et transports
La ligne ferroviaire de ChĂąteaubriant Ă Rennes traverse la commune.
Deux principales routes départementales traversent la commune : RD 173 et RD 178.
La RD 173 est une voie express Ă 2Ă2 voies faisant partie de la liaison entre Rennes et Angers, via Corps-Nuds, JanzĂ©, Retiers, MartignĂ©-Ferchaud, PouancĂ©, SegrĂ© et Le Lion-d'Angers.
La RD 178 relie FougÚres à Chùteaubriant, via Vitré, La Guerche-de-Bretagne et Martigné-Ferchaud. Il s'agit de l'ancienne RN 178 qui reliait FougÚres à La Mothe-Achard, via Vitré, Chùteaubriant et Nantes lors de sa création en 1824, et succédant à la route impériale 198[23] - [24]. Dans les années 1970, la RN 178 a été déclassée et transférée au département d'Ille-et-Vilaine.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Martiniacum au XIe siÚcle [25], Martigneium en 1218[26], Martigneium Ferri Calidi en 1516[27].
MartignĂ© est un nom de domaine gallo-romain, basĂ© sur l'anthroponyme Martinus[28], c'est-Ă -dire Martin, ou Martinius[27], lui-mĂȘme dĂ©rivĂ© de « Mars dieu de la guerre » et du suffixe -(i)acum « lieu de, propriĂ©tĂ© de » dont l'aboutissement rĂ©gulier est la terminaison -Ă© dans l'ouest.
Le déterminant complémentaire Ferchaud est un nom de personne d'origine germanique (latinisé en Farcaldus dans les textes), réinterprété en « fer chaud ».
Histoire
Révolution française
La population de la commune Ă©tait, parait-il, favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant lâanniversaire de lâexĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e dâun serment de haine Ă la royautĂ© et Ă lâanarchie, fĂȘtĂ©e Ă partir de 1795[29].
La PremiĂšre Guerre mondiale
Le monument aux morts de Martigné-Ferchaud porte les noms de 159 soldats morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale[30].
La Seconde Guerre mondiale
Un groupe de rĂ©sistants se forma en 1942, sur les communes de MartignĂ©-Ferchaud, Retiers, ĂancĂ© et Forges-la-ForĂȘt, leurs premiĂšres actions Ă©tant de cacher des rĂ©fractaires au Service du travail obligatoire (plus de 2 000 jeunes rĂ©fractaires furent camouflĂ©s), cacher des aviateurs alliĂ©s (plus de 150 aviateurs amĂ©ricains ou anglais furent cachĂ©s et rapatriĂ©s) et des Ă©vadĂ©s. En juin-juillet 1943 le capitaine François VallĂ©e, puis ses deux adjoints, membres du rĂ©seau Buckmaster, renforcĂšrent ce rĂ©seau de rĂ©sistance qui reçut des parachutages d'armes et fut actif dans tout le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine et mĂȘme au-delĂ ; mais de nombreuses arrestations de membres de ce rĂ©seau eurent lieu vers la fin de l'annĂ©e 1943 ; 50 membres de ce rĂ©seau sont morts ou disparus en dĂ©portation, dont 12 de MartignĂ©-Ferchaud (Jean Richard[31], responsable du secteur de MartignĂ©-Ferchaud, parvint Ă Ă©chapper Ă l'arrestation)[32]. Une plaque commĂ©morative situĂ©e sur une place de la ville porte 48 noms de membres du rĂ©seau Buckmaster morts pour la France[33].
Le , la Task Force Peter (une des quatre colonnes fantÎmes du 23rd Headquarters Special Troops, équipée de chats, jeeps, avions, etc.. gonflabes, destinés à faire croire aux reconnaissances aériennes allemandes qu'il s'agissait d'une véritable force militaire), aprÚs étre passé par Vitré, installa ses faux éléments gonflabes au sud de Martigné-Ferchaud[34].
Le monument aux morts de Martigné-Ferchaud porte les noms de 8 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[30].
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'argent Ă la quintefeuille de gueules. |
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[41].
En 2020, la commune comptait 2 604 habitants[Note 8], en diminution de 0,31 % par rapport Ă 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Forge de MartignĂ©-Ferchaud. Un haut-fourneau, crĂ©Ă© en 1672 par RenĂ© Saget, remplaça l'industrie des forges Ă bras, jusque-lĂ trĂšs florissante. Le minerai de fer venait de Loire-Atlantique (Sion-les-mines et alentours) et le charbon de bois des forĂȘts alentour. Les fers Ă©taient exportĂ©s jusqu'aux Antilles.
- Ătang de la Forge ou Ă©tang de MartignĂ©. Il s'Ă©tend sur 80 ha et ses chutes Ă©taient autrefois utilisĂ©es pour actionner les forges de la ville.
- Monument en hommage au réseau Buckmaster[44].
Activité culturelle et manifestations
Personnalités liées à la commune
L'abbé René Marie Guillou ( à Chùteaugiron - à Rennes), curé de Martigné-Ferchaud (1774-1789 et 1803-1820), est député du clergé du au [49] - [50].
L'abbé démocrate Louis Bridel (1890-1933) est inhumé dans la commune.
Charles Rabot, nĂ© Ă Nevers en 1856, dans une famille dâorigine bretonne, est Ă la fois un gĂ©ographe, un glaciologue, un explorateur, en mĂȘme temps quâun grand voyageur, un journaliste et un confĂ©rencier. Quelques semaines avant que la Seconde Guerre mondiale nâĂ©clate, Charles Rabot se retire dans sa propriĂ©tĂ© de La HaliniĂšre Ă MartignĂ©-Ferchaud en Ille-et-Vilaine, oĂč il dĂ©cĂšde le . Dans lâhommage que lui rend LâIllustration (12/), Jacques Sorbets Ă©crit : « AnimĂ© du seul dĂ©sir dâĂ©largir lâhorizon du grand public, il sâeffaçait complĂštement dans ses articles ou confĂ©rences derriĂšre ce quâil avait Ă Ă©crire ou Ă dire. Son extrĂȘme modestie lâa maintenu en France dans une sorte dâincognito qui le laissait indiffĂ©rent ».Charles Rabot fut inhumĂ© dans le cimetiĂšre du PĂšre-Lachaise Ă Paris.
Ămile Bridel, industriel fondateur des laiteries Bridel (beurre, fromageâŠ), est nĂ© en 1918 Ă MartignĂ©-Ferchaud. Il meurt le Ă Missillac (Loire-Atlantique).
Le , Frédéric Boulay, militant raciste habitant la commune, tue deux ouvriers turcs et en blesse cinq autres, à Chùteaubriant en Loire-Atlantique.
Voir aussi
Bibliographie
- Céline Blanchard, Retiers et Martigné-Ferchaud : deux chefs-lieux de canton pendant la Révolution, 1788-1800, Rennes, 2002, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 824).
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p. 170.
- « Qualit'eau 35 no 30 p.5 - bulletin du réseau de suivi de la qualité des eaux superficielles en Ille-et-Vilaine » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Martigné-Ferchaud et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Martigné-Ferchaud et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Statistique des routes royales de France, 1824, Imprimerie royale, p. 425
- Documents statistiques sur les routes et ponts, 1873, Imprimerie nationale, p. 42-43
- Erwan Vallerie : Traité de toponymie historique de la Bretagne. (3 volumes). Editions An Here. 1995.
- Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux de Haute Bretagne, Coop Breizh. 1990..
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