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Bourréac

BourrĂ©ac est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comtĂ© de Bigorre, comtĂ© historique des PyrĂ©nĂ©es françaises et de Gascogne.

Bourréac
Bourréac
Bourréac avec vue sur la ville de Lourdes.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement ArgelĂšs-Gazost
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Charles Lacrampe
2020-2026
Code postal 65100
Code commune 65107
DĂ©mographie
Gentilé Bourréacais
Population
municipale
112 hab. (2020 en augmentation de 12 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 89 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 06â€Č 14″ nord, 0° 00â€Č 09″ est
Altitude 520 m
Min. 429 m
Max. 582 m
Superficie 1,26 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lourdes
(banlieue)
Aire d'attraction Lourdes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Lourdes-2
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Bourréac
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Bourréac
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Bourréac
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Bourréac

    ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, aucun cours d'eau permanent n'est rĂ©pertoriĂ© sur la communedivers petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    BourrĂ©ac est une commune rurale qui compte 112 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomĂ©ration de Lourdes et fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes. Ses habitants sont appelĂ©s les BourrĂ©acais ou BourrĂ©acaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Panorama sur la chaĂźne depuis RĂ©cahorts.

    BourrĂ©ac est une commune de l'aire urbaine de Lourdes situĂ©e Ă  quatre kilomĂštres de Lourdes. Dominant en balcon la plaine de LĂ©zignan qui s'ouvre sur la ville de Lourdes Ă  l'ouest, le village se situe au centre d'une ligne de collines, de 500 m Ă  600 m d'altitude, face Ă  la chaĂźne pyrĂ©nĂ©enne, avec, en particulier, le pic du Jer au premier plan, le Cabaliros, le Hautacam, le pic du Montaigu et le pic du Midi de Bigorre en arriĂšre-plan.

    Un chemin de crĂȘte (chemin dĂ©partemental) part du centre du village vers son hameau, RĂ©cahorts, et, au-delĂ , vers Pouts, hameau du village Escoubes-Pouts, avant la descente vers ce village dans la vallĂ©e.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Arcizac-ez-Angles, EscoubÚs-Pouts, Julos, Lézignan et Paréac.

    Communes limitrophes de Bourréac[1]
    Julos Paréac
    Bourréac EscoubÚs-Pouts
    LĂ©zignan Arcizac-ez-Angles
    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Intercommunalité

    Bourréac est une des dix communes considérées par l'Insee comme faisant partie de l'unité urbaine de Lourdes[2].

    Bourréac, comme ses communes limitrophes, fait partie de la communauté de communes du Pays de Lourdes. Lézignan est la commune la plus proche que l'on traverse pour se rendre à Bourréac, aprÚs avoir quitté la route départementale en venant de Lourdes (calvaire à l'intersection)[3].

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 126 hectares ; son altitude varie de 429 Ă  582 mĂštres[4].

    Le territoire offre les marques de dĂ©pĂŽts morainiques (sĂ©diments, pierres et rochers) provenant de l'ancien glacier qui, il y a 30 000 ans, empruntait la vallĂ©e du gave de Pau et recouvrait l'emplacement de la ville de Lourdes. Le village offre la particularitĂ© d'avoir plusieurs sources sur le versant nord du territoire communal, en particulier la source de Bidole qui alimentait autrefois le village et celle de Coulat qui alimente le rĂ©seau AEP du syndicat intercommunal des CĂŽtes de BourrĂ©ac et du Miramont.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 113 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lourdes », sur la commune de Lourdes, mise en service en 1881[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 426,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    BourrĂ©ac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Lourdes, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 13 communes[20] et 16 872 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[23] - [24].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (87,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (83,1 %), forĂȘts (12,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,2 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Hameau

    Plan de Bourréac au début de 2013, le bourg au centre et le hameau de Récahorts à droite.

    Outre le chef-lieu, le territoire de la commune comprend le hameau de RĂ©cahorts.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 47, alors qu'il Ă©tait de 38 en 1999[I 1].

    Parmi ces logements, 71,5 % étaient des résidences principales, 13,1 % des résidences secondaires et 15,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,9 % des appartements[I 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 78,8 %, en augmentation par rapport à 2007 (74,3 %)[I 3].

    Projets d'aménagement

    Fin 2014, le maire annonce « Le prochain renforcement du rĂ©seau Ă©lectrique en moyenne tension sur la ligne de crĂȘte, allant au hameau de RĂ©cahorts, se traduira par l'enfouissement des lignes et participera encore Ă  l'amĂ©lioration de la qualitĂ© paysagĂšre de la commune. BourrĂ©ac est devenu, de ce fait, une escale privilĂ©giĂ©e par les randonneurs et les cyclotouristes »[26].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de BourrĂ©ac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[27]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[28].

    BourrĂ©ac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[29]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bourréac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 13,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 41 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 0 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 0 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[27].

    Toponymie

    Le nom de la commune a évolué au fil des siÚcles[33] : Dénominations historiques :

    • in Burriacho, latin (fin XIe – dĂ©but XIIe siĂšcle, cartulaire de Saint PĂ©, arch. des H.P.) ;
    • Buriac, Burriac (1429, censier de Bigorre) ;
    • Burriac aus Angles (1609, Livre de la RĂ©forme de Sainct-PĂ©, arch. des H.P.)[34] ;
    • Bouriac, Bourriac (1738, arpentement de la Baronnie des Angles[35], puis 1760, pouillĂ© du diocĂšse de Tarbes par Larcher; puis 1789, cahier des dolĂ©ances) ;
    • BourrĂ©ac (v 1809, plan cadastral napolĂ©onien, 1810, carte de Cassini).

    Localement, le nom de la commune est prononcé [bourri'yak].

    Comme tous les toponymes dont le suffixe est ac, le nom de Bourréac vient d'un nom de domaine antique. Ce nom est formé sur le nom patronymique Burrius ou Burrinus et du suffixe -acum, soit « le domaine de Burrius ».

    La dénomination du hameau, Récahorts, a évolué aussi avec le temps : on lit Requehor sur la carte de Cassini ci-jointe et Roquehort dans l'arpentement de la Baronnie des Angles de 1738[35]. L'étymologie en est roc ou roque hort/e c'est-à-dire roche forte par référence vraisemblablement à une terre lourde et argileuse (avec des affleurements schisteux) alors que Bourréac a des terres morainiques trÚs filtrantes.

    Histoire

    Extrait de la carte de Cassini mentionnant les noms de communes, paroisses ou succursales de paroisse comme Bourréac, et leurs hameaux, vers 1810.

    Antiquité

    L'inventaire archéologique départemental fait état de la découverte en 1846 d'une statue en marbre au lieu-dit Sendac qui permet d'envisager l'existence d'un site funéraire antique trÚs important. Cette statue est visible dans le musée du jardin Massey à Tarbes.

    Ancien régime

    La commune est sous l'Ancien Régime incluse dans le Pays et dans la sénéchaussée de Bigorre, ainsi que dans le Quarteron de Lourdes. Elle fait alors partie intégrante de la baronnie des Angles[40].

    Révolution française et Empire

    Le plan cadastral napolĂ©onien de BourrĂ©ac est consultable sur le site des archives dĂ©partementales des Hautes-PyrĂ©nĂ©es[42] de mĂȘme que le « cahier des dolĂ©ances de Bourriac, annexe des Angles » de 1789[43]. Lors de la RĂ©volution, la commune est incorporĂ©e en 1790 au canton de Lourdes du nouveau dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es.

    Époque contemporaine

    Depuis 1973, la commune fait partie du canton de Lourdes-Est et, depuis 2015, du canton de Lourdes-2.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Aux élections présidentielles de 2012, la liste électorale comptait 73 électeurs, 71 se sont déplacés au second tour et 69 se sont exprimés : 40 voix pour François Hollande et 29 voix pour Nicolas Sarkozy[44].

    Aux Ă©lections municipales et communautaires de mars 2014, la liste Ă©lectorale comptait 74 Ă©lecteurs, 65 se sont dĂ©placĂ©s et 63 se sont exprimĂ©s. Les sept candidats ont Ă©tĂ© Ă©lus dĂšs le premier tour avec des scores allant de 100 % Ă  95,23 %[44]. À l'issue de ces Ă©lections, lors de la premiĂšre rĂ©union du conseil municipal, le maire sortant Roland DarrĂ© a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu maire.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant inférieur à 100, le nombre de membres du conseil municipal est de 7[45].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[46]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1912 mai 1935 Amédée LadebÚze Agriculteur
    mai 1935 mai 1953 Jean Darré Agriculteur
    mai 1953 mars 1959 Victor Azens Agriculteur
    mars 1959 mars 1977 Jean Nadau Agriculteur
    mars 1977 mars 1989 Roland DarrĂ© Professeur Ă  l’École nationale vĂ©tĂ©rinaire de Toulouse
    mars 1989 avril 2008 Charles Lacrampe Cadre de banque
    avril 2008 mai 2020 Roland Darré Retraité
    mai 2020 En cours
    (au 23 juin 2020[47])
    Charles Lacrampe Retraité

    Finances locales

    Depuis les années 2000, la capacité d'autofinancement[Note 6] reste largement supérieure à la moyenne de la strate (communes de moins de 250 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (4 taxes))[49], ce qui montre une bonne gestion des finances locales :

    Capacité d'autofinancement par habitant (en euros)

    20132012201120102009200820072006200520042003
    Bourréac370275258215256321270239230271228
    Moyenne de la strate239252240203209215224209180171163

    Politique environnementale

    Bourréac s'est vu attribuer, en 2014, par le conseil régional de Midi-Pyrénées, le niveau « 1 fleur » du label Villes et Villages fleuris[50].

    Jumelages

    Au 19 août 2015, Bourréac n'est jumelée avec aucune commune[51].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution de la population montre un accroissement de la population du fait de l'arrivée de nouveaux ménages en résidence principale, surtout à partir des années 1990.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[53]. En 2020, la commune comptait 112 habitants[Note 7], en augmentation de 12 % par rapport Ă  2014 (Hautes-PyrĂ©nĂ©es : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7276220140116115110113121
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    108110112103112122100106103
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    949095767659615847
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    464145494670919484
    2015 2020 - - - - - - -
    107112-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee Ă  partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Debien[56] souligne la chute importante et inexpliquĂ©e de la population de BourrĂ©ac entre 1806 et 1821 dans un contexte d'accroissement global de la population des communes rurales du canton de Lourdes-Est. Or cette valeur de 220 pour BourrĂ©ac, en 1806, que l'on retrouve dans d'autres publications qui ont repris la mĂȘme source paraĂźt peu vraisemblable. En fait, la confrontation avec une autre source d'information, celle du cadastre de 1809[41] qui fait Ă©tat d'un effectif « d'environ 140 personnes », montre qu'elle est trĂšs probablement inexacte et que l'effectif recensĂ© en 1806 a dĂ» ĂȘtre plus vraisemblablement de 120 personnes.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2015[57].

    Manifestations culturelles et festivités

    Au XXIe siĂšcle, BourrĂ©ac partage avec la commune voisine de LĂ©zignan la mĂȘme fĂȘte communale organisĂ©e autour du premier dimanche de novembre, aprĂšs la Toussaint[26].

    L'ASSO’S LĂ©zignan - BourrĂ©ac dont le siĂšge est Ă  la mairie de LĂ©zignan remplit les fonctions d'un comitĂ© des fĂȘtes et d'animation et rĂ©alise depuis 2009[58] des actions conviviales pour les deux communes, LĂ©zignan et BourrĂ©ac, en particulier : la fĂȘte locale Ă  Toussaint, le repas de Carnaval, l’intervillage dĂ©but juin, ainsi que d'autres manifestations et soirĂ©es tout au long de l’annĂ©e, telles que des projections de films, une fĂȘte du gĂąteau Ă  la broche[59].

    MĂ©dias

    Les actualitĂ©s de la commune sont suivies par le quotidien rĂ©gional La DĂ©pĂȘche du Midi[60].

    Le maire Roland Darré, enseignant retraité, féru de partage de connaissances, est à l'initiative du site consacré à la commune, et assure des initiations à la rédaction dans l'encyclopédie wikipédia[26] - [61].

    Cultes et activités paroissiales

    Le territoire de la commune dĂ©pend de l'ensemble paroissial de la Baronnie des Angles qui regroupe douze communes[62]. Cet ensemble paroissial est lui-mĂȘme l'un des sept ensembles du « secteur Lourdes » au sein du diocĂšse de Tarbes et Lourdes[63]. L'Ă©glise paroissiale est toujours utilisĂ©e[64], notamment pour des concerts[65], mais le culte catholique n'y est plus cĂ©lĂ©brĂ© rĂ©guliĂšrement[66].

    AprÚs avoir été paroisse puis succursale de la paroisse du village des Angles sous l'Ancien Régime, le territoire de la commune a été rattaché à la paroisse de Lézignan, commune la plus proche.

    A Nouste, bulletin mensuel interparoissial du « secteur Lourdes », relate les principaux événements de la vie paroissiale du Pays rural lourdais qui constitue une entité culturelle recouvrant les actuelles communautés de communes de la Baronnie des Angles, de BatsurguÚre, du Castelloubon, de la Croix Blanche et du Pays de Lourdes.

    Économie

    Emploi

    En 2012, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  55 personnes, parmi lesquelles on comptait 83,3 % d'actifs dont 70,4 % ayant un emploi et 13 % de chĂŽmeurs[I 4].

    On comptait 14 emplois dans la zone d'emploi, contre 22 en 2007. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la zone d'emploi Ă©tant de 39, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 8] est de 35,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement un emploi pour trois habitants actifs[I 5].

    Entreprises et commerces

    Au 31 dĂ©cembre 2012, BourrĂ©ac comptait 14 Ă©tablissements : 9 dans l’agriculture-sylviculture-pĂȘche, 2 dans l'industrie, aucun dans la construction, 1 dans le commerce-transports-services divers et 2 Ă©taient relatifs au secteur administratif[I 6]. Parmi ces 14 Ă©tablissements, six portent le nom de Sanguinet[67], dont un dans le domaine des services d'amĂ©nagement paysager qui emploie plus de dix salariĂ©s et un chiffre d'affaires en 2013 de 2 430 600 €[68].

    En 2013, 2 entreprises ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es Ă  BourrĂ©ac[I 7], les deux par des autoentrepreneurs[I 8].

    Agriculture

    L'importance de l'agriculture, Ă  BourrĂ©ac comme ailleurs, va bien au-delĂ  d'un bilan technique et Ă©conomique des productions en volume et en valeur. L'agriculture et en l'occurrence l'Ă©levage sont les outils principaux de gestion et d'amĂ©nagement des espaces contribuant Ă  la perception positive de l'environnement. Ils gĂ©nĂšrent des satisfactions environnementales appelĂ©es amĂ©nitĂ©s qui participent au charme et Ă  l'attrait des lieux en sus de l'atout majeur que peut ĂȘtre le panorama sur la chaĂźne pyrĂ©nĂ©enne : des paysages ouverts, des espaces entretenus, des prĂ©s, des animaux dans ces espaces, etc.

    L'agriculture paysanne originelle
    Vache lourdaise tenue par François Sarthe, dit François de Passet, à Bourréac, vers 1966.

    Jusqu'Ă  la PremiĂšre Guerre mondiale, l'Ă©levage ovin occupait une place prĂ©pondĂ©rante dans la plupart des communes de la montagne de Bigorre et dans le piĂ©mont pyrĂ©nĂ©en. Cet Ă©levage s'appuyait sur l'exploitation souvent intensive, avec irrigation quand c'Ă©tait possible, des prĂ©s en bien propre avec leurs granges foraines traditionnelles aux toits d'ardoise, sur la conduite en parcours dans les vastes territoires communaux appelĂ©es landes ou serres, et sur les estives de transhumance, en montagne, l'Ă©tĂ©. La race ovine lourdaise Ă©tait la race locale de rĂ©fĂ©rence particuliĂšrement adaptĂ©e Ă  ce mode dominant d'Ă©levage extensif. Par ailleurs les vaches de race lourdaise (variante locale et rustique du groupe bovin Blond du Sud-Ouest reprĂ©sentĂ© aujourd'hui par la blonde d'Aquitaine) Ă©taient exploitĂ©es en tant que race mixte : lait, viande et travail, encore que les bƓufs Gascons des PyrĂ©nĂ©es lui soient Ă©videmment prĂ©fĂ©rĂ©s pour le travail.

    Ancien poulailler-porcherie, En ço de Borie, à Bourréac.

    Un élevage porcin et de volailles presque exclusivement destiné aux besoins de la maison existait jadis dans chaque exploitation. Jusque vers 1945, la race porcine locale de référence était le porc bagnérais, porc de type ibérique noir et blanc trÚs réputé pour la qualité de sa viande, dont l'essentiel de la population a servi à reconstituer le porc pie noir du Pays basque. Cet élevage porcin, comme d'ailleurs celui qui l'a remplacé à base de porcs blancs, pour la vente sur les marchés locaux (Tarbes, Trie-sur-Baïse) de porcelets à engraisser, a disparu. De beaux ensembles typiques de poulaillers-porcheries édifiés dans la deuxiÚme moitié du XIXe siÚcle sont visibles dans nombre de fermes du pays rural lourdais dont un à Bourréac. Conçus manifestement pour l'embellissement des cours de ferme, ils témoignent d'une relative prospérité de la maison à l'époque considérée.

    Aujourd'hui une agriculture d'entreprise et d'Ă©change en prise avec la gestion de l'environnement paysager

    La quasi-disparition de l'Ă©levage ovin et de la race bovine lourdaise ont remis en question l'exploitation traditionnelle des communaux revenus progressivement Ă  l'Ă©tat de fougeraies soumises Ă  l'Ă©cobuage annuel telles qu'on peut les voir encore sur les zones d'Ă©tage collinĂ©en les plus pentues, comme celles qui dominent Lourdes (Serre de Sarsan). En 1977, les communes de LĂ©zignan, BourrĂ©ac et Julos sont parvenues Ă  un accord de partage de leurs communaux dont l'exploitation Ă©tait jusqu'alors indivise et seulement consacrĂ©e au mode pastoral. AprĂšs retournement et amendements, ces landes ont Ă©tĂ© affermĂ©es aux agriculteurs locaux pour ĂȘtre converties avec succĂšs en terres de culture (maĂŻs grain et maĂŻs ensilage) ou en prairies. Cette transformation s'est traduite par un accroissement significatif du cheptel bovin, dans les races prim'Holstein ou montbĂ©liarde en systĂšme laitier, blonde d'Aquitaine ou limousine, principalement, parfois charolaise ou bazadaise, en systĂšme allaitant. Elle a permis aussi la crĂ©ation de nouveaux bĂątiments d'Ă©levage fonctionnels hors des villages et proches des lieux de pĂąturage, dont l'Ă©levage laitier dit de Peyrehicade sur les landes de BourrĂ©ac.

    L'agriculture de Bourréac d'aujourd'hui repose essentiellement sur l'élevage bovin dans quatre exploitations dont une en élevage bovin laitier avec production de veaux de lait, une en élevage allaitant avec production de veaux de boucherie sous la mÚre et deux en élevage allaitant avec production de veaux broutards. La transhumance estivale des vaches limousines et blondes d'Aquitaine se fait en camion qui permet d'accéder aux estives du cirque d'Estaubé (prÚs de Gavarnie).

    • RentrĂ©e des vaches, le soir, pour la traite Ă  Peyrehicade. Photo prise au Courtaou.
      Rentrée des vaches, le soir, pour la traite à Peyrehicade. Photo prise au Courtaou.
    • Fauchaison et fanage au CourĂšs.
      Fauchaison et fanage au CourĂšs.
    • Retour d'estive (vallĂ©e et cirque d'EstaubĂ©) Ă  BourrĂ©ac, Ă  la fin septembre.
      Retour d'estive (vallée et cirque d'Estaubé) à Bourréac, à la fin septembre.
    • La rentrĂ©e du foin dans une exploitation de BourrĂ©ac.
      La rentrée du foin dans une exploitation de Bourréac.
    • Stabulation libre de Peyrehicade et grange foraine de La Grabe depuis le Courtaou.
      Stabulation libre de Peyrehicade et grange foraine de La Grabe depuis le Courtaou.

    Les terres labourables ont une bonne valeur agronomique. Certaines bien exposées et proches du village étaient autrefois réputées localement pour la production de pommes de terre primeur.

    Nouvelles ruralités

    Talus fleuri le long de la voie départementale.

    À l'origine exclusivement agricole, la population compte aujourd'hui une majoritĂ© d'actifs dont l'emploi se situe en milieu urbain. Cette situation est la mĂȘme dans toutes les communes du pays rural lourdais.

    Tourisme

    La proximité de Lourdes et des hauts lieux touristiques pyrénéens ainsi que la qualité de l'environnement local ont amené les habitants à la création de gßtes ruraux[69], la commune ne disposant au d'aucune place d'accueil saisonnier (hÎtel[I 9], camping[I 10], autre hébergement collectif[I 11]).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de la Toussaint.
    Place de la Fontaine ou place de Candaouan.

    La commune ne compte ni monument, ni objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[70] - [71] et aucun lieu, monument ou objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[72] - [73].

    On peut toutefois mentionner l'Ă©glise, la place de la fontaine et des sites panoramiques.

    L'Ă©glise de la Toussaint (dĂ©diĂ©e Ă  tous les saints, comme celle de LĂ©zignan) domine le village et offre un beau panorama sur la chaĂźne des PyrĂ©nĂ©es et les alentours. Elle abrite une cloche datĂ©e de 1660 qui est rĂ©fĂ©rencĂ©e comme une des plus anciennes du patrimoine national pour avoir Ă©chappĂ© aux confiscations et Ă  la fonte sous la RĂ©volution, pour cela, selon Thibaut de Rouvray, conservateur des antiquitĂ©s et objets d’art des Hautes-PyrĂ©nĂ©es, elle est inscriptible Ă  l'inventaire des monuments historiques[74]. Elle a fait l'objet d'une rĂ©novation importante Ă  la fin des annĂ©es 2000[64].

    La place de la Fontaine (ou place de Candaouan) a été créée en 2005 : c'est un lieu de convivialité lors des manifestations communales, elle accueille les promeneurs de passage et les joueurs de boules à la belle saison.

    Les chemins de crĂȘte (chemin de Sendac, chemin de Recahorts-Pouts, chemin du Courtaou), offrent un vaste panorama sur la chaĂźne, de Lestelle-BĂ©tharram Ă  l'ouest, au pic du Midi de Bigorre et au Casque de LhĂ©ris, au-dessus de BagnĂšres-de-Bigorre, Ă  l'est. Un parcours flĂ©chĂ© de cyclotourisme part du haut de la cĂŽte, en venant de LĂ©zignan, vers la gauche sur le chemin de Sendac, et rejoint le village de Julos.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. La « capacitĂ© d'autofinancement » (CAF) est l’excĂ©dent dĂ©gagĂ© en fonctionnement. Cet excĂ©dent permet de payer les remboursements de dettes. Le surplus (CAF - remboursements de dettes) s’ajoute aux recettes d’investissement (dotations, subventions, plus-values de cession) pour financer les dĂ©penses d’équipement. Ce montant reprĂ©sente le financement disponible de la commune[48].
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catĂ©gorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
    4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    5. EMP T5 - Emploi et activité.
    6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© au 31 dĂ©cembre 2010.
    7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
    9. TOU T1 - Nombre et capacité des hÎtels au 1er janvier 2015.
    10. TOU T2 - Nombre et capacité des campings au 1er janvier 2015.
    11. TOU T3 - Nombre d'autres hébergements collectifs au 1er janvier 2015.

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. INSEE : l'unité urbaine de Lourdes
    3. Voir plan de Lourdes
    4. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Lourdes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Bourréac et Lourdes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Lourdes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Bourréac et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    74. Thibaut de Rouvray, Conservateur des antiquitĂ©s et objets d’art des Hautes-PyrĂ©nĂ©es : rapport de visite rĂ©alisĂ©e le 16 avril 2016 transmis au maire de BourrĂ©ac
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