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Urrugne

Urrugne [yʁyÉČ] est une commune française du Pays basque français, dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Urrugne
Urrugne
La mairie d'Urrugne.
Blason de Urrugne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Philippe Aramendi (EH Bai)
2020-2026
Code postal 64122, 64700
Code commune 64545
DĂ©mographie
Gentilé Urrugnard [1]
Population
municipale
10 495 hab. (2020 en augmentation de 12,8 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 208 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 21â€Č 47″ nord, 1° 41â€Č 56″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 880 m
Superficie 50,57 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Bayonne (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Hendaye (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Hendaye-CĂŽte Basque-Sud
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web urrugne.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte montrant le territoire de la commune et les localités limitrophes.
    FrontiĂšres d’Urrugne avec les communes limitrophes. Le trait rouge avec pointillĂ©s noirs indique la position de la frontiĂšre entre l'Espagne et la France. Le trait rouge qui part du coin supĂ©rieur droit indique l’autoroute A63.

    Située sur la cÎte basque, la commune qui fait partie de la province basque du Labourd est bordée au nord-nord-ouest par le golfe de Gascogne (ou de Biscaye) et au sud par la frontiÚre franco-espagnole à la proximité de laquelle elle inclut les premiers contreforts de l'ouest des Pyrénées.

    Située sur le littoral aquitain au sud de Bayonne entre Saint-Jean-de-Luz et Hendaye, elle fait partie de la CÎte d'Argent et de l'aire urbaine de Bayonne. Elle jouxte l'aire urbaine d'Irun-Hendaye, Cependant c'est encore un territoire fortement rural malgré la proximité de la plage de Socoa.

    Son territoire de taille importante contraste entre le littoral atlantique déchiqueté au nord avec des falaises verticales sur l'océan, et les contreforts de la chaßne des Pyrénées le long de la frontiÚre franco-espagnole au sud.

    Vera de Bidassoa est dans le pays de Navarre en pays basque espagnol ; on y accÚde par le col d'Ibardin en limite de commune. Irun est dans la communauté autonome basque, également en Pays basque espagnol.

    Le territoire d'Urrugne jouxte celui de Sare uniquement par une pointe (sans linĂ©aire effectif partagĂ©), et celui d'Irun sur seulement 90 m environ.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 5 057 hectares (au 1er janvier 2015), alors que la superficie moyenne d'une commune de France mĂ©tropolitaine s'Ă©tablit Ă  1 510,2 hectares[4] - [5] ; son altitude varie entre zĂ©ro et 880 mĂštres[6]. La localitĂ©, dans son territoire actuel — l’emprise de la paroisse d’avant le XVIIe siĂšcle couvrait toute la surface cĂŽtiĂšre entre la Nivelle et la Bidassoa[7] — forme un demi-cirque, enserrĂ© du sud-est au sud-ouest par des montagnes dont l’altitude la plus Ă©levĂ©e est relevĂ©e au sommet de la Rhune Ă  905 mĂštres. La borne frontiĂšre 24, proche du sommet de la Rhune est le point le plus Ă©levĂ© de la commune, qu’elle partage avec — outre Vera de Bidasoa qui appartient Ă  la comarque navarraise de Cinco Villas — les communes françaises d’Ascain et de Sare. C’est d’ailleurs le seul point de contact qui unit Sare Ă  Urrugne. Le niveau le plus bas se situe presque Ă  l'embouchure de l'Untxin, Ă  l'endroit oĂč le fleuve quitte la commune pour se jeter dans la baie de Saint-Jean-de-Luz[8].

    Les contreforts des PyrĂ©nĂ©es bordent la commune au sud, avec d'est en ouest la Rhune (Larrun, 900 m), la Petite Rhune (699 m), le Subizia, le Ziburu mendi (ou montagne de Cibourne, 411 m), le plateau d'Aire Leku (300 m), le Mokoa (354 m), le Batzarleku (395 m), l'Oneaga (382 m), le Munoa (353 m), le Bizkartu (499 m), un contrefort du Manddale Ă  570 m, le Xoldoko GaĂŻna (480 m) et le mont du Calvaire (275 m).

    Le relief de la localitĂ© est le rĂ©sultat de l’orogenĂšse qui a donnĂ© naissance aux PyrĂ©nĂ©es actuelles, dĂ©butant il y a 80 millions d’annĂ©es (MA) et s’étendant sur prĂšs de 50 MA ; le phĂ©nomĂšne de plissement a atteint un paroxysme entre - 40 et - 30 MA[9].

    Crétacé

    PĂ©riode SĂ©ries Étage Âge (Ma)
    PaléogÚne PaléocÚne Danien Plus jeune
    Crétacé Supérieur Maastrichtien 72.1 - 66.0
    Campanien 83.6 - 72.1
    Santonien 86.3 - 83.6
    Coniacien 89.8 - 86.3
    Turonien 93.9 - 89.8
    CĂ©nomanien 100.5 - 93.9
    InfĂ©rieur Albien ≃113.0 - 100.5
    Aptien ≃125.0 - ≃113.0
    BarrĂ©mien ≃129.4 - ≃125.0
    Hauterivien ≃132.9 - ≃129.4
    Valanginien ≃139.8 - ≃132.9
    Berriasien ≃145.0 - ≃139.8
    Jurassique Malm Tithonien Plus ùgé
    Subdivision de la période Crétacé selon l'UISG, août 2018.

    Durant le dĂ©but du CrĂ©tacĂ© infĂ©rieur, la zone observĂ©e reste Ă©mergĂ©e, alors que la mer subsiste Ă  l’est, couvrant les actuels Arberoue et Arbaille, et que le massif de Biscaye auquel appartiennent alors les Cinco Villas occupe le golfe de Gascogne[10]. Le mouvement d’étirement qui se produit Ă  la fin du CrĂ©tacĂ© infĂ©rieur morcelle l’écorce terrestre, et ouvre de larges sillons que la mer occupe. Durant l’Albien en effet, un large fossĂ© marin forme d’est en ouest un domaine qui s’étend de MaulĂ©on Ă  Saint-Jean-de-Luz, se rĂ©trĂ©cissant Ă  l’approche du massif de Biscaye[11]. C’est Ă  cette Ă©poque que commence Ă  se former le sillon de Saint-Jean-de-Luz, sous l’action des forces de distension. Le CĂ©nomanien voit le niveau moyen des ocĂ©ans s’élever.


    Hydrographie

    Le fleuve cîtier l’Untxin prend naissance dans l'ouest de la commune et la traverse en direction nord-est, arrosant sur son passage le chñteau d'Urtubie avant de se jeter dans la baie de Saint-Jean-de-Luz[12].

    Arrolako erreka, affluent de l'Untxin, prend lui aussi naissance sur Urrugne, sur les flancs du Manddale en limite sud de commune. Il reçoit ce dernier recevant sur la commune son propre tributaire Anduretako erreka. La commune est Ă©galement longĂ©e par la Bidassoa (sur moins de 100 mĂštres linĂ©aires de cours d'eau), par l'Ibardinko erreka affluent de la Nivelle, et par Insolako erreka tributaire de Ibardinko erreka. Larrungo erreka, tributaire d'Insolako erreka, arrose Ă©galement la commune. Un barrage a Ă©tĂ© construit sur Arrolako erreka, formant un lac d'environ 12,5 hectares entre les monts Xoldoko GaĂŻna au nord-ouest, Munoa au nord-est et Oneaga au sud.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 647 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[16] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[17] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Socoa », sur la commune de Ciboure, mise en service en 1921[18] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[19] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă  14,7 °C pour 1981-2010[21], puis Ă  15 °C pour 1991-2020[22].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[23] - [24]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : « Abbadia - Corniche Basque », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 97,2 ha[25].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Trois sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[27] - [Carte 1] :

    • « la Nivelle (estuaire, barthes et cours d'eau) », d'une superficie de 1 450 ha, un rĂ©seau hydrographique complet des sources de montagne Ă  son estuaire[28] ;
    • le « massif de la Rhune et de Choldocogagna », d'une superficie de 5 385 ha, prĂ©sentant une variĂ©tĂ© des pentes et des expositions permettant la prĂ©sence d'habitats secs Ă  trĂšs humides. Par ailleurs il y a une importante dĂ©pression tourbeuse abritant de nombreuses plantes rares[29] ;
    • le « domaine d'Abbadia et corniche basque », d'une superficie de 641 ha, Ă©lĂ©ment de la CĂŽte Basque rocheuse, le dernier site français oĂč la lande littorale est bien reprĂ©sentĂ©e[30] et une au titre de la « directive Oiseaux »[27] - [Carte 2] :
    • l'« estuaire de la Bidassoa et baie de Fontarabie », d'une superficie de 9 457 ha, un estuaire enclavĂ© dans l'urbanisation, prĂ©sentant des surfaces dĂ©couvertes aux marĂ©es basses favorables aux oiseaux migrateurs[31].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[32] - [Carte 3] :

    • les « falaises et landes littorales de la corniche basque et du domaine d'Abbadia » (79,53 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[33] ;
    • le « lande d'Etxan » (6,51 ha)[34],
    • les « zones tourbeuses, landes et pelouses, du mont Xoldokocana au col d'Ibardin » (1 091,05 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[35] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 6] - [32] - [Carte 4] :

    • le « littoral basque entre Socoa et Hendaye » (367,35 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[36] ;
    • les « mont choldokogagna, Larrun et fond du bassin de Sare » (5 993,96 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[37] ;
    • le « rĂ©seau hydrographique et basse vallĂ©e de la Nivelle » (763,72 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[38].

    Urbanisme

    Typologie

    Urrugne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [39] - [40] - [41]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bayonne (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 30 communes[42] et 251 520 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[43] - [44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hendaye (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[45] - [46].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[47]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[48] - [49].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (49,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (55,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24 %), prairies (23,8 %), forĂȘts (22,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (15,4 %), zones urbanisĂ©es (11,6 %), terres arables (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,6 %)[50].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 5].

    Morphologie urbaine

    Col d'Ibardin.
    ErlaĂŻtza, la corniche basque.

    Le col d'Ibardin, une partie du quartier de Socoa (Zokoa) (43° 23â€Č 28″ N, 1° 41â€Č 16″ O) et le hameau frontalier de BĂ©hobie (43° 20â€Č 46″ N, 1° 45â€Č 45″ O) dĂ©pendent administrativement d'Urrugne.

    La Bidassoa depuis le pont de BĂ©hobie - vue sur Biriatou Ă  gauche et Irun (Esp.) Ă  droite.

    La mairie d'Urrugne découpe la commune en sept quartiers :

    • Socoa / Corniche ;
    • Bourg ;
    • Kechiloa / Choucoutoun ;
    • Croix des Bouquets / Route d'Espagne ;
    • BĂ©hobie ;
    • Mendichoko ;
    • Olhette / Helboure.

    Logement

    Le nombre de logements d'Urrugne a été estimé à 4 145 en 2007. Ces logements d'Urrugne se composent de 3 044 résidences principales, 884 résidences secondaires ou occasionnels ainsi que 217 logements vacants..

    Projets d'aménagement

    Le plan local d'urbanisme (PLU) en vigueur en est celui de 2007, la rĂ©vision votĂ©e le 25 juin 2013 ayant Ă©tĂ© annulĂ©e par le tribunal administratif de Pau[51]. Il est Ă©tabli en conformitĂ© avec le schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCOT) approuvĂ© par l’agglomĂ©ration Sud Pays basque le 5 novembre 2005[PLU 1]. D'autre part, un programme local de l'habitat (PLH), rĂ©digĂ© au sein de l’agglomĂ©ration de communes, est en vigueur depuis le 8 octobre 2009 ; selon ce document, Urrugne est situĂ©e dans un secteur en dĂ©veloppement, ce qui induit localement des contraintes en termes de logements sociaux, de politique fonciĂšre et de dĂ©veloppement durable en matiĂšre d’habitat[PLU 1].

    Risques naturels

    D'aprÚs le Dossier Départemental sur les Risques Majeurs (5) des Pyrénées-Atlantiques, ont été recensés sur la commune de Urrugne les risques naturels suivants :

    • Inondations avec risque de submersion marine
    • Feux de forĂȘt
    • Effondrement de carriĂšres souterraines (2 cavitĂ©(s) prĂ©sente(s))
    • Glissements de terrain
    • TempĂȘtes
    • Risques sismiques (sĂ©vĂ©ritĂ© 3 - ModĂ©rĂ©e)

    La commune de « Urrugne » est comprise dans un Territoire à Risque important d'Inondation (6).

    Zonages sismiques

    Urrugne est classé en zone sismique de niveau 3 - Modérée (7)

    SĂ©ismes depuis 1980

    D'aprÚs le Réseau National de Surveillance Sismique, le plus fort séisme survenu à Urrugne entre 1980 et 2015 était de magnitude « 1.2 » le mercredi 07/04/2010.

    Les sĂ©ismes dont l'Ă©picentre ne se situait pas sur la commune n'ont pas Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©s mĂȘme s'ils ont Ă©tĂ© ressentis.(8)

    Voies de communication

    Urrugne est desservie par la D 810 (anciennement route nationale 10) parallùle à la cîte atlantique et qui traverse la commune du nord-est au sud-ouest de Saint-Jean-de-Luz à Hendaye. Aussi la D404 qui l’a relie au Col d’Ibardin.

    Elle est Ă©galement traversĂ©e sur le mĂȘme axe par l'autoroute A63, l'autoroute de la cĂŽte basque, qui relie Pessac (Bordeaux) Ă  Hendaye (Ă©changeur de Biriatou) et au-delĂ  Ă  Bilbao, Burgos, Saragosse et autres villes d'Espagne. Urrugne dispose d'une sortie (la numĂ©ro 2, entrĂ©e et sortie dans les deux directions) sur le territoire de la commune qui dessert Ă©galement Saint-Jean-de-Luz, Ciboure et Hendaye-Plage. L'aire de repos d'Urrugue se trouve Ă©galement sur la commune.

    Le sentier de grande randonnée GR10 passe dans la pointe sud de la commune, traversant toute la chaßne des Pyrénées de l'Atlantique à la Méditerranée.

    La voie de Soulac, un des chemins de Compostelle parfois appelĂ© le sentier des Bretons (y compris les Bretons venant de l'Angleterre d'alors), passe par Urrugne oĂč l'on trouve un gĂźte pĂšlerin, le « Xaharrenia ».

    Le col d'Ibardin est accessible Ă  partir d'Urrugne.

    Transports

    Urrugne est traversĂ©e par la ligne de chemin de fer de Bordeaux Ă  Irun reliant Paris Ă  l'Espagne et au Portugal, et est situĂ©e entre les gares de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure (4,4 km ou 6 min par le bus n° 816) et d'Hendaye (8,6 km ou 10 min par le mĂȘme bus).

    La commune est desservie par les lignes 3, 39 et 43 du réseau de bus Txik Txak.

    Toponymie

    Déjà mentionné en 1083[52], le toponyme Urrugne apparaßt ensuite sous les formes Sanctus-Vincentius de Urruina, villa Urrungia et Orroina (respectivement vers 1140, XIIe siÚcle et 1235, cartulaire de Bayonne[53]), Orroigna (1249), Urruyne (1342, rÎles gascons), Urrunhe (1511, collection Duchesne volume CV, feuillet 287[54]), Urruinhe (1519, archives de l'Empire, J 867, no 10), Urruigne (1552, titres du Labourd[55]), Ourogne (1650, carte du Gouvernement Général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins) et Orogne (Carte des Pays Basques de France et d'Espagne)[56].

    Son nom basque actuel est Urruña, et le gentilé est Urruñar[57].

    Histoire

    Moyen Âge et Ă©poque moderne

    Urrugne Ă©tait la seule paroisse entre Nivelle et Bidassoa, et le seigneur d'Urtubie en avait la jurisdiction spirituelle et temporelle[58]. Ciboure obtint son autonomie religieuse en 1555 et se dĂ©tacha de l'Ă©glise matrice. Hendaye fit de mĂȘme en 1598.

    La maison d'Urtubie devint une vicomté en 1654. Ses possessions s'étendaient sur une partie des terres, moulins, métairies, maisons, vignes et bois des communes d'Urrugne, Saint-Jean-de-Luz (Fagosse), Olhette, Béhobie, Socoa et Ciboure[59].

    Révolution française et Empire

    Paul Raymond[56] note qu'Urrugne fut en 1790 le chef-lieu d'un canton comprenant Biriatou, Hendaye et Urrugne, et dépendant du district d'Ustaritz.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires d'Urrugne aux 20e et 21e siĂšcles[60]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1856 1911
    (décÚs)
    Thomas-Henri de Larralde-DiustĂ©guy Droite Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Jean-de-Luz (1871 → 1911)
    1912 1928 Charles Petit
    1929 1944 Bernard de Coral FR DĂ©putĂ© des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques (1935 → 1940)
    Frédéric Sorçabal
    Bernard de Coral DVD Ancien dĂ©putĂ© des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques (1935 → 1940)
    Louis Semper
    Bernard de Coral DVD Ancien dĂ©putĂ© des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques (1935 → 1940)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Jean-de-Luz (1951 → 1964)
    René Soubelet

    (démission)
    Daniel Poulou DR[61]
    RPR
    Directeur de société
    DĂ©putĂ© de la 6e circonscription des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques (1993 → 1995)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton d'Hendaye (1981 → 1988 puis 2001 → 2008)
    LĂ©on Marin DVD[62]
    Odile de Coral DVD[63]
    UMP-LR
    Administratrice de sociétés
    Membre du Conseil permanent de la Communauté du Pays Basque
    [64] En cours Philippe Aramendi EHBAI[65]

    Intercommunalité

    Carte du sud-ouest de la France, montrant en vert le territoire de 12 communes sur fond jaune.
    Les douze communes de l’agglomĂ©ration Sud Pays basque.

    Urrugne fait partie de huit structures intercommunales[66]. L'agglomĂ©ration Sud Pays basque, dont le siĂšge est situĂ© dans la commune et Ă  laquelle le conseil municipal a dĂ©cidĂ© d’adhĂ©rer le 21 novembre 2005[M 1], est compĂ©tente en matiĂšre d’assainissement collectif et non collectif. Elle s’occupe Ă©galement du schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCOT), de la crĂ©ation et de la gestion de zones d’activitĂ©s, ainsi que de rĂ©serves fonciĂšres et de zones d’amĂ©nagement diffĂ©rĂ© (ZAD) et concertĂ© (ZAC) et de lotissements. Sa compĂ©tence s’étend au dĂ©veloppement Ă©conomique et au tourisme, au logement et au cadre de vie. Enfin, la lutte contre les inondations et la gestion de la voirie intercommunale font Ă©galement partie de ses attributions[PLU 2].

    Le traitement des déchets est assuré par le syndicat mixte Bil Ta Garbi[PLU 2].

    Le syndicat intercommunal d'amĂ©nagement de la basse vallĂ©e de l'Untxin et de voirie de Ciboure et Urrugne, syndicat intercommunal Ă  vocations multiples (SIVOM), siĂšge dans cette derniĂšre localitĂ©. Outre ses compĂ©tences en matiĂšre de voirie, il s’occupe plus particuliĂšrement des travaux d'amĂ©nagement de la ZAC de l'Untxin[M 2].

    Le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques (SDEPA) est un syndicat Ă  compĂ©tence dĂ©partementale de distribution d’énergies, crĂ©Ă© en 1949 avec pour mission initiale le traitement de toutes les questions relatives Ă  l’électrification rurale[67]. À Urrugne, il assure en particulier la gestion de l’éclairage public, ainsi que le dĂ©veloppement, le renforcement et la l’extension des rĂ©seaux Ă©lectriques souterrains[M 3].

    Le syndicat intercommunal Ă  vocation unique (SIVU) des Ă©coles maternelles et primaires de Ciboure et d'Urrugne prend en charge la gestion du regroupement pĂ©dagogique des Ă©coles maternelles et primaires des deux communes en matiĂšre d’activitĂ©s scolaires et pĂ©riscolaires ainsi que d’aide matĂ©rielle[PLU 2] ; il s’occupe en particulier du groupe scolaire de Socoa[M 4]. De mĂȘme, le syndicat intercommunal des Ă©coles de Joncaux et de BĂ©hobie prend en charge les problĂšmes scolaires de mĂȘme nature de ces deux quartiers de la localitĂ©[M 5]. Le SIVU Errebi, dont la compĂ©tence couvre de maniĂšre gĂ©nĂ©rale les activitĂ©s sociales et de crĂ©ation et de gestion de maisons de retraites, s’intĂ©resse plus particuliĂšrement Ă  la gestion de la maison de retraite Etxetoa[M 6].

    Les compĂ©tences du syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque, auquel adhĂšre la localitĂ©, ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es Ă  la communautĂ© de communes[M 7]. Ce syndicat est un Ă©tablissement public administratif fondĂ© en 1991, siĂ©geant Ă  Bayonne[68], et dont les compĂ©tences se dĂ©clinent en matiĂšre d’activitĂ©s culturelles et socioculturelles[PLU 2].

    La commune, Ă  l’instar de 24 autres communes françaises et 17 municipalitĂ©s espagnoles, fait partie de l'EurocitĂ© basque Bayonne - San Sebastian. L’objectif de cette structure est la crĂ©ation d’une mĂ©tropole europĂ©enne — qui, en l’état actuel, regroupe prĂšs de 600 000 habitants —, par la mise en commun de moyens techniques et politiques concernant « les infrastructures, les services urbains et les instruments de gouvernement »[69].

    Jumelages

    Urrugne est jumelée avec :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[71] - [Note 9].

    En 2020, la commune comptait 10 495 habitants[Note 10], en augmentation de 12,8 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1342 0902 4441 8923 0673 4783 6303 6333 685
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 5783 5663 8103 3903 6293 7103 8313 8193 666
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 0033 0483 3483 3603 7393 7863 5773 5143 879
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 9224 2454 5714 8946 0987 0437 6688 9469 995
    2020 - - - - - - - -
    10 495--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[72] puis Insee Ă  partir de 2006[73].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune fait partie de l'aire urbaine de Bayonne.

    Enseignement

    La commune dispose de trois écoles primaires publiques (écoles du bourg, d'Olhette et de Socoa), de deux écoles primaires privées (écoles de l'Immaculée-Conception et Saint-François-Xavier) et d'une ikastola (école basque).

    Manifestations culturelles et festivités

    Les fĂȘtes d’Urrugne, appelĂ©es « Bixintxo » du nom de St Vincent de Xaintes, patron de la paroisse, se dĂ©roulent traditionnellement sur 5 jours, Ă  partir du 1er week-end de Septembre.

    Sports

    L'association sportive Urruñarrak évolue en championnat de France rugby à XV de 3e division fédérale. Cette association a une division de handball qui a une équipe senior féminine qui évolue aujourd'hui en nationale 3.

    Santé

    La ville d’Urrugne dispose de 3 pharmacies dont une au E.Leclerc et 2 dans le centre. Il n’y a pas d’hĂŽpital Ă  Urrugne, les hĂŽpitaux les plus proches sont l’HĂŽpital Marin d’Hendaye ou l’HĂŽpital de la CĂŽte Basque a Saint-Jean-de-Luz. Urrugne dispose aussi de cabinets de mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste et de cabinets de dentiste.

    Économie

    Entreprises et commerces

    La proximitĂ© de la frontiĂšre espagnole, de l'Ă©changeur autoroutier sur l'axe Paris-Bordeaux-Espagne et de grands pĂŽles urbains (EurocitĂ© basque Bayonne - San Sebastian, aire urbaine de Bayonne), font d'Urrugne un lieu privilĂ©giĂ© pour l'implantation d'entreprises. La commune en hĂ©berge plus de 1 000[A 1], parmi lesquelles les plus gros employeurs sont rĂ©partis principalement sur les quatre zones artisanales / industrielles de son territoire[M 8] : Berroueta (45 entreprises, 650 emplois sur 17,2 hectares)[A 2], Bittola (10 entreprises dont les transports Etcheto et fils, 50 emplois sur 11 hectares)[A 3], Martin Zaharenia (16 entreprises dont les artisans Amado, BeautĂ© club International, Cobra watercraft et d'autres, 35 emplois sur 1,7 hectare)[A 4] et Putillenea (20 entreprises, 100 emplois sur 1,9 hectare)[A 5]. Le centre commercial E.Leclerc propose en plus de son hypermarchĂ© une galerie marchande oĂč se trouvent des enseignes telles que Krys, Bonobo, Beauty Success, Mim, etc. Ce centre commercial est accessible depuis la sortie d’autoroute Saint-Jean-de-Luz Sud.

    Neuf des 17,2 hectares de la zone artisanale de Berrouetta sont occupés depuis 1997 par l'usine Signature-Neuhaus[74], leader national dans la fabrication de signalisation routiÚre et principal employeur sur la commune avec plus de 300 salariés[75]. L'entreprise Traimeca-Pyro[A 2], un des leaders mondiaux dans le domaine trÚs spécialisé de l'usinage de gaines pyrométriques, y fabrique des piÚces uniques de haute précision servant à mesurer la température aux différents stades du traitement des produits pétrolifÚres et des gaz ; ses produits sont demandés essentiellement par les grands groupes internationaux (Total, British Petroleum, Shell)[76].

    La zone artisanale de Berrouetta héberge également un grand nombre d'artisans et de commerces et est équipée d'un centre d'affaires proposant la location de bureaux pour les activités de services[A 2].

    Celle de Putillenea est plus orientĂ©e vers le commerce (Lidl, Les Briconautes) avec de nombreux mĂ©tiers de bouche (« Maison PariĂšs », restaurant « Milsesker », boulangerie « Aux dĂ©lices d’Amatxi »)[A 5].

    Outre les multiples entreprises installées sur son territoire, la commune partage aujourd'hui son activité entre l'agriculture et le tourisme. Elle fait partie de la zone d'appellation (AOC) de l'ossau-iraty, un fromage au lait de brebis à pùte pressée non cuite.

    Des carriĂšres de gypse ont permis la production de plĂątre[77].

    Tourisme

    Urrugne offre une grande diversitĂ© de paysages allant de la montagne aux falaises de la fameuse Corniche Basque surplombĂ©e par le sentier du littoral. De plus, Urrugne possĂšde une frontiĂšre avec l'Espagne ce qui lui met dans une position avantageuse pour le tourisme. Urrugne possĂšde de nombreux campings soit prĂšs de la corniche, d’Ibardin ou d’Hendaye et de l’Espagne. Cet diversitĂ© de paysage lui favorise du plan touristique avec l’implantation d’installation comme l’Office de Tourisme face Ă  l’église. Ou d’attraction comme « Le Parc Aventure Oihana », ou bien le « Centre de Tourisme Équestre ».

    Culture locale et patrimoine

    Urrugne compte 7 monuments rĂ©pertoriĂ©s Ă  l'inventaire des monuments historiques[78] et 317 lieux et monuments rĂ©pertoriĂ©s Ă  l'inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[79]. Par ailleurs, elle compte 9 objets rĂ©pertoriĂ©s Ă  l'inventaire des monuments historiques[80].

    Patrimoine civil et militaire

    Linteau sculpté.

    La redoute dite Louis XIV fut utilisée pendant la guerre franco-espagnole de 1793-1795[81].

    La redoute de Bortuste[82], fut utilisĂ©e par le marĂ©chal Soult en 1813, face Ă  l'armĂ©e britannique, tout comme la redoute dite de la Bayonnette[83] et la redoute dite des ÉmigrĂ©s[84].

    Le chĂąteau d'Urtubie date des XIVe, XVIe et XVIIe siĂšcles[85]. Il recĂšle des tentures[86] - [87] inscrites Ă  l'inventaire du ministĂšre de la Culture. La villa Mendichka[88], au lieu-dit Goyeix, est inscrite aux monuments historiques ;

    • EntrĂ©e de la mairie.
      Entrée de la mairie.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • ChĂąteau d'Urtubie.
      ChĂąteau d'Urtubie.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise Saint-Vincent.
    • Église Saint-Vincent-de-Xaintes[89] XIe siĂšcle. Elle recĂšle un bĂ©nitier[90] et une chaire Ă  prĂȘcher[91] inscrits Ă  l'inventaire du ministĂšre de la Culture ;
    • Ensemble formĂ© par la chapelle de Notre-Dame de Sokorri, le chemin de foi de Marie et le cimetiĂšre pĂ©riode Ă©pidĂ©mie de peste (nord). La chapelle fait partie des sanctuaires mariaux de France ;
    • Chapelle du Mont Calvaire, ancien ermitage (sud) ;
    • Chapelle saint Michel GaricoĂŻts au quartier Olhette (est) ;
    • Chapelle Saint-François-Xavier (quartier Socoa) contre Ciboure ;
    • Église Saint-Jacques-le-Majeur[92] (quartier BĂ©hobie). On y trouve un lustre[93] en cuivre inscrit Ă  l'inventaire du ministĂšre de la Culture ;
    • Oratoires et croix dissĂ©minĂ©s dans la montagne et le piĂ©mont.

    Patrimoine culturel

    D'aprÚs la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Urrugne est le labourdin.

    NĂ©es au XVIIIe siĂšcle

    NĂ©es au XIXe siĂšcle

    • La famille DongaĂŻtz - de leur vrai nom Sorzabal, Joseph, Jean-Baptiste, LĂ©on et Isidore sont nĂ©s Ă  Urrugne (ferme Dongaitzenea) Ă  la fin du XIXe siĂšcle et ont marquĂ© l'histoire de la pelote basque.
    • Fiodor Alexandrovitch, prince de Russie, nĂ© le Ă  Saint-PĂ©tersbourg (Russie), mort le Ă  Ascain, est inhumĂ© dans le cimetiĂšre d'Urrugne.
    • Nandor Vagh Weinmann, est un peintre hongrois nĂ© le Ă  Budapest (Hongrie). Il dĂ©cĂšde en 1979 Ă  Urrugne. Une rue d'Urrugne porte son nom.

    NĂ©es au XXe siĂšcle

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'or au lion de gueules tenant dans sa patte dextre, un dard pĂ©ri en barre la pointe en haut et du mĂȘme, parti d'azur Ă  une fleur de lys d'or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

    • Jacques Bauer, Sare : le cadre gĂ©ologique de la rĂ©gion de Sare et des grottes prĂ©historiques, vol. 1, EkaĂŻna, , 466 p. (ISBN 2-9507270-1-8, BNF 35578039) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Hubert Lamant-Duhart, directeur de production, Urrugne, Bidart, EkaĂŻna, , 459 p. (BNF 35453587) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
      • Jean-NoĂ«l Darrobers, Urrugne : Le site, Bidart, EkaĂŻna, , 459 p. (BNF 35453587)
    • Alfred Lassus, Corsaires et capitaines de navire du Pays basque natifs d’Urrugne, Bayonne, Ekaina,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[15].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[26].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Urrugne », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
    2. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Urrugne », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Urrugne », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.

    Références

    • Site de l'Insee. Dossier 2013 relatif Ă  la commune, [lire en ligne (page consultĂ©e le 25 mai 2015)].
      • Site de la mairie. La rĂ©fĂ©rence est notĂ©e « M » dans le texte.
      • Rapport de prĂ©sentation du PLU, dans le cadre de la rĂ©vision de 2012, [lire en ligne (page consultĂ©e le 26 mai 2015)]. La rĂ©fĂ©rence est notĂ©e « PLU » dans le texte.
      1. p. 9.
      2. p. 8.
      • Autres sources
      1. https://www.gentilix.com/nom/habitants/3512/comment-s-appellent-les-habitants-d-urrugne/
      2. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
      3. (es) MinistĂšre espagnol de l'agriculture, pĂȘche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consultĂ© le ).
      4. Code officiel géographique - présentation [lire en ligne] consulté le 30 mai 2015.
      5. Population, superficie et densité des principaux pays du Monde en 2013 [lire en ligne] consulté le 30 mai 2015.
      6. Institut national de l'information géographique et forestiÚre, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
      7. Darrobers 1989, p. 33.
      8. « Topographie d’Urrugne » sur GĂ©oportail (consultĂ© le 30 mai 2015)..
      9. Bauer 1993, p. 48.
      10. Bauer 1993, p. 51.
      11. Bauer 1993, p. 53.
      12. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fleuve Untxin (S5300500) » (consulté le ).
      13. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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