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Smarves

Smarves est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Smarves
Smarves
Carrefour giratoire autour d’un chĂȘne pluri-centenaire Ă  Smarves.
Blason de Smarves
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Michel Godet
2022-2026
Code postal 86240
Code commune 86263
DĂ©mographie
Population
municipale
2 910 hab. (2020 en augmentation de 8,1 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 145 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 30â€Č 40″ nord, 0° 21â€Č 01″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 141 m
Superficie 20,09 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ligugé
(banlieue)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vivonne
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Smarves
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Smarves
GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
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Smarves
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Smarves
Liens
Site web smarves.com

    GĂ©ographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Smarvois et les Smarvoises.

    Localisation

    Smarves est une commune pĂ©riurbaine de l’agglomĂ©ration de Poitiers. Sa situation, Ă  km de Poitiers, lui a permis de connaĂźtre un fort dĂ©veloppement dĂ©mographique au cours des derniĂšres dĂ©cennies. Ce mouvement s’est accompagnĂ© du dĂ©veloppement du secteur urbain.

    La commune est dĂ©limitĂ©e par les vallĂ©es du Clain Ă  l’ouest, du Miosson Ă  l’est et du ChĂ©zeau au sud. Les paysages de vallĂ©e, caractĂ©ristique du Sud de Poitiers, contribuent Ă  la qualitĂ© du cadre de vie et expliquent en partie le fort dĂ©veloppement rĂ©sidentiel.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La commune se situe sur le point géographique du seuil du Poitou - défini par un horst, veine granitique trÚs locale reliant les massifs Armoricain et Central. Cette caractéristique géologique est visible et accessible en bordure de la riviÚre, prÚs de Port Seguin et elle se prolonge sur la commune voisine de Ligugé.

    Les différents types de sols de la commune sont composés :

    • pour 54 % des groies (les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en gĂ©nĂ©ral de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices Ă  la polyculture cĂ©rĂ©aliĂšre mais elles s’assĂšchent vite) dans les plaines ;
    • pour 32 % du Bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, Ă  tendance siliceuse) sur les plateaux du seuil du Poitou ;
    • pour 15 % de calcaire dans les vallĂ©es et les terrasses alluviales[1].

    Hydrographie

    La commune est traversée par km de cours d'eau : km pour le Clain et km pour le Miosson.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 725 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[12].

    Voies de communication et transports

    La commune est reliĂ©e Ă  l’agglomĂ©ration de Poitiers par la RD 741 en axe nord-sud (Poitiers - Confolens), voie classĂ©e Ă  grande circulation. Elle constitue l’axe majeur de liaison avec les pĂŽles d’emploi de l’agglomĂ©ration et le pĂŽle commercial du Grand Large situĂ© prĂšs du contournement Sud. Les liaisons est-ouest doivent emprunter les vallĂ©es. Les tracĂ©s sont plus contraints, les voies Ă©troites et adaptĂ©es Ă  un trafic local.

    Les gares et les haltes ferroviaires proches de Smarves son t:

    Les aéroports proches de Smarves sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Smarves est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de LigugĂ©, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[16] et 6 159 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (59,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), forĂȘts (33 %), zones urbanisĂ©es (9,3 %), prairies (6,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Smarves est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de ChĂątellerault, regroupant 17 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement de la Vienne et du Clain. Les Ă©vĂ©nements antĂ©rieurs Ă  2014 les plus significatifs pour la Vienne sont les crues de fĂ©vrier 1698 (1 670 m3/s Ă  ChĂątellerault), de juillet 1792 (1 520 m3/s), de mars 1913 (1 500 m3/s), de dĂ©cembre 1944 (1 510 m3/s) et de janvier 1962 (1 500 m3/s). Les crues historiques du Clain sont celles de 1873 (330 m3/s Ă  Poitiers) et de dĂ©cembre 1982 (330 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[24] - [25]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[26] - [22]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques (PPR) inondation (PPRI) de la « vallĂ©e du Clain », approuvĂ© le , puis par le nouveau PPRI « VallĂ©e du Clain », prescrit le [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Smarves.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[28]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[29]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[30]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 7] - [31].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1996, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Smarves est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[32].

    Toponymie

    Smarves apparaĂźt sous le nom de Samarva en 962. Les origines de Smarves restent obscures. Il n'est pas anormal qu'une toute petite commune ne laisse que peu de traces dans les documents d'archives. Toutefois, si l'on se rĂ©fĂšre au Dictionnaire toponymique de Louis-François-Xavier RĂ©det, publiĂ© en 1881, le nom de Smarves est citĂ© pour la premiĂšre fois en 962 sous la forme Samarva. Ce mĂȘme dictionnaire rĂ©pertorie ensuite les formes suivantes : Sanmavvia (1183), Salmarvia, Sainte Marve (1324), Sancta Marvia (1348), Saint Felix de Samarve (1466), Samargne (1479), Semarve (1576, 1720).

    À cela on peut ajouter deux autres rĂ©fĂ©rences cartographiques, l'une au XVIIIe siĂšcle Samarve sur la carte de Cassini, l'autre au XIXe siĂšcle Semarve sur une carte de 1843, Ă©ditĂ©e par H. Langlois. Cette liste appelle deux remarques :

    • le nom est systĂ©matiquement estropiĂ© par les copistes, parce qu'ils n'arrivent pas Ă  admettre le groupe de consonnes SM. Ils les adaptent le plus souvent en introduisant une voyelle, voire en interprĂ©tant SM comme S.M = Saint(e) Marve.

    -le groupe phonĂ©tique SM est excessivement rare dans la langue française et d'ailleurs, l'Ă©volution de la langue, selon les lois connues de la phonĂ©tique, fait disparaĂźtre le groupe SM lorsqu'il existait au dĂ©but d'un mot : par exemple le mot latin Smaragda se transforme en « Emeraude » en français. D'oĂč peut donc venir le groupe SM de SMarves ? Cette question appelle, elle aussi, deux remarques : -en France de nombreux noms de lieux, de riviĂšres, de monts ont gardĂ© la trace de leur origine celte (gauloise) alors que le vocabulaire ordinaire gaulois s'est effacĂ© sous l'influence dominante du latin.

    • ces noms celtes de lieux, monts ou riviĂšres faisaient souvent rĂ©fĂ©rence au nom d'une divinitĂ©. Loudun et Lyon (Lugdunum) sont des noms de ville dont la racine est forgĂ©e sur le nom du dieu LUG, dieu suprĂȘme de la mythologie celtique.

    Et Smarves ? Il existe des divinités celtes dont le nom comporte le groupe de consonnes SMER : Il s'agit de Smertrios et de Rosmerta.

    Selon monsieur Joseph Vendryes, linguiste et celtologue, la racine celtique SMER signifie prĂ©voyance, approvisionnement. Les divinitĂ©s correspondant Ă  cette racine Ă©taient supposĂ©es apporter l'abondance, la profusion. D'oĂč cette hypothĂšse que l'on peut formuler : Smarves, avec le groupe de consonnes trĂšs rare SMER, pourrait ĂȘtre un nom marquant la survivance d'une dĂ©dicace au dieu SMERTRIOS, dieu de l'abondance. Les sources (que les celtes vĂ©nĂ©raient) pourraient expliquer cette idĂ©e ; il y avait trois sources rĂ©pertoriĂ©es Ă  Smarves : « au bas du bourg, au Port Seguin et au Moulin des Dames. » (M. A. de Longuemar en 1869).

    Histoire

    Smarves accueille favorablement les avancĂ©es de la RĂ©volution française. Elle plante ainsi son arbre de la libertĂ©, symbole de la RĂ©volution. Mais lors de l’annonce de la levĂ©e en masse en 1793, il est la cible des menaces des jeunes qui y sont hostiles[33].

    L’arbre de la libertĂ© : l’érable rouge de la place de la Mairie est plantĂ© le , en remplacement de l’orme plantĂ© en 1848, peu aprĂšs la rĂ©volution de fĂ©vrier, pour fĂȘter l’avĂšnement de la DeuxiĂšme RĂ©publique. Tout le village est mobilisĂ© : enfants des Ă©coles travaillent sur un projet plusieurs semaines, confĂ©rence, exposition, soutien aux otages français du Liban[34].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Depuis 2015, Smarves est dans le canton de Vivonne (no 18) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Smarves était dans le canton no 28 de La Villedieu-du-Clain dans la 2e circonscription.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    ? ? Jean Moreau
    1945 1957 Étienne Brunet-LapĂ©relle
    (1889-1966)
    Maire en 1960 ? Marcel Bernard RI puis DVD Conseiller gĂ©nĂ©ral de La Villedieu-du-Clain (1964 → 1994)
    mars 1983 mars 2008 Pierre Joulain
    (1942- )
    Directeur de recherche au CNRS et enseignant, maire honoraire
    Chevalier de l'Ordre national du MĂ©rite
    mars 2008 1er janvier 2022 Philippe Barrault[35]
    (1946-2022)
    DVD Retraité de la fonction publique
    RĂ©Ă©lu en 2014 et 2020[36]
    Décédé en fonction[37]
    17 janvier 2022[38] En cours
    (au 18 Juin 2022)
    Michel Godet
    (1949- )
    Ancien capitaine des sapeurs-pompiers, ancien 1er adjoint
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien avec des horaires toutefois restreints

    Traitement des déchets et économie circulaire

    La commune a aménagé une déchÚterie[39].

    Jumelage

    Smarves est jumelée avec la ville italienne de Bernareggio et avec Wachtberg en Allemagne.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[41].

    En 2020, la commune comptait 2 910 habitants[Note 8], en augmentation de 8,1 % par rapport Ă  2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    500421414444431436582599572
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    539532603628687713821865847
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    846896888756769722767763813
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8691 1261 4902 0692 0892 1562 3452 5802 775
    2020 - - - - - - - -
    2 910--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee Ă  partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 128 hab./km2, contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Les derniĂšres statistiques dĂ©mographiques pour la commune ont Ă©tĂ© fixĂ©es en 2009 et publiĂ©es en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 2 529 personnes. À cela il faut soustraire les rĂ©sidences secondaires (40 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 2 489 habitants.

    Smarves a connu une nette hausse de 23,6 % de sa population entre 1999 et 2006.

    La répartition de la population par sexe est la suivante :

    • En 1999 : 49,3 % d'hommes et 50,7 % de femmes.
    • En 2006 : 49,6 % d'hommes et 50,4 % de femmes.
    • En 2010 : 48,2 % d'hommes pour 51,8 % de femmes.

    En 2006 :

    • Le nombre de cĂ©libataires Ă©tait de 29,3 % dans la population,
    • Les couples mariĂ©s reprĂ©sentaient 60,5 % de la population,
    • Les divorcĂ©s reprĂ©sentaient 4,8 %,
    • Le nombre de veuves et veufs Ă©tait de 5,4 %.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et les écoles primaires de la commune dépendent de l'inspection académique de la Vienne. Son école maternelle publique Roger-Pain accueillent 79 élÚves et son école primaire publique accueillent 167 élÚves.

    Économie

    Avec ses 2 000 hectares, le territoire de la commune offre l'Ă©quilibre idĂ©al d'un cadre vie de qualitĂ©, entre ville et campagne. EntourĂ©e de riviĂšres, de bois et de terres cultivĂ©es, Smarves poursuit un dĂ©veloppement maĂźtrisĂ© de son habitat et de ses activitĂ©s Ă©conomiques. Exclusivement rurale naguĂšre, elle est aujourd'hui centrĂ©e sur les services aux particuliers et aux entreprises. Sa situation aux portes de Poitiers, Ă  dix minutes des principaux pĂŽles d'activitĂ© de l'agglomĂ©ration, permet Ă  Smarves de s’intĂ©grer Ă  la dynamique du Sud de l’agglomĂ©ration (BiopĂŽle, PĂŽle Sud, Grand Large). Son accessibilitĂ© par la RD 741 et son cadre de vie lui donnent un vrai potentiel de dĂ©veloppement Ă©conomique et social.

    Pour autant elle garde une activitĂ© agricole notable cĂ©rĂ©ales et Ă©levage sur environ 900 hectares ; quatre entreprises d'exploitation agricole y ont leur siĂšge.

    À l'est de la commune, le domaine des Bois de Saint-Pierre constitue une base de loisirs d’environ 250 hectares appartenant Ă  la ville de Poitiers. Une partie de 75 hectares est amĂ©nagĂ©e et consacrĂ©e Ă  de nombreuses activitĂ©s pour tous les publics : parcours d’orientation, parc zoologique, poney-club, piscine de plein air, Ă©tang pour la pĂȘche, la promenade avec km de sentiers pĂ©destres. La forĂȘt est essentiellement constituĂ©e de chĂȘnes et de chĂątaigniers. Aux portes des Bois de Saint-Pierre, un mini-golf et le parc d'attractions Chouette Land, crĂ©Ă© en 2008, complĂštent les installations de loisirs.

    Agriculture

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[44], il n'y a plus que six exploitations agricoles en 2010 contre 18 en 2000.

    52 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement et maïs), 25 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 11 % pour le fourrage et 1 % reste en herbe. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne[44].

    Les Ă©levages de bovins, d'ovins et de volailles ont disparu au cours de cette dĂ©cennie[44]. La disparition des Ă©levages de moutons est conforme Ă  la tendance globale du dĂ©partement de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destinĂ© Ă  la production de viande, a diminuĂ© de 43,7 % de 1990 Ă  2007[45]

    Commerce

    En 2023, dix-sept commerces se trouvent sur le territoire de la commune : un artisan serrurier-métallier-ferronnier, un paysagiste, un maçon, deux plombiers, deux garagistes, une boucherie, une boulangerie, un restaurant, un bar, une pizzeria, trois coiffeurs, un fleuriste et une supérette.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil et religieux

    Patrimoine naturel

    La commune abrite quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[46] qui reprĂ©sentent 1 % de la surface de la commune :

    • le bois de Saint-Pierre ;
    • le marais du ruisseau des Dames ;
    • le Granit ;
    • Rochers de Passelourdin.

    La marais du ruisseau des Dames et la vallée du Clain Médian sont protégés au titre des espaces naturels sensibles (ENS) et couvrent 3 % de la surface communale.

    Le bois de Saint-Pierre

    Le bois de Saint-Pierre est situĂ© Ă  une dizaine de kilomĂštres au sud de Poitiers. Il s’étend sur le territoire des communes de NouaillĂ©-Maupertuis et de Smarves. C’est un vaste ensemble boisĂ© qui occupe un plateau faiblement ondulĂ©. Le site comprend, aussi, sur sa lisiĂšre nord, un versant raide qui plonge vers le Miosson, un affluent du Clain, ainsi que la vallĂ©e de FontfrĂšre, un petit vallon latĂ©ral.

    Les sols limoneux profonds (dĂ©nommĂ©s bornais), Ă  tendance acide et hydromorphe situĂ©s sur les plateaux accueillent une unique chĂȘnaie calcifuge Ă  chĂȘne sessile. En revanche, les sols argilo-calcaires profonds et sains situĂ©s sur les pentes ont permis une diversification de la vĂ©gĂ©tation forestiĂšre : une chĂȘnaie pubescente s’est installĂ©e sur le rebord du plateau ; une chĂȘnaie-charmaie composĂ©e de chĂȘnes pĂ©donculĂ©s et de charmes a trouvĂ© refuge sur les pentes modĂ©rĂ©es ; un boisement mixte Ă  Scolopendre occupe les pentes fortes ; enfin, une aulnaie a poussĂ© en bas du versant, dans la zone humide voire inondable de la nappe alluviale du Miosson.

    Cette variĂ©tĂ© d’habitats forestiers a permis le dĂ©veloppement d’une riche flore de sous-bois, Ă  l’origine du classement et de la protection du bois. La plante la plus rare est le Lis martagon, une espĂšce protĂ©gĂ©e en France. C’est une plante surtout montagnarde qu’on ne trouve que trĂšs rarement dans le plaines atlantiques oĂč elle ne peut subsister que dans des sites au microclimat particulier. Sa prĂ©sence est, en fait, le tĂ©moin d’un climat aujourd’hui rĂ©volu. Le lis martagon, ainsi, trouve sur les pentes du Miosson qui sont exposĂ©es au nord, un climat frais et humide nĂ©cessaire Ă  la rĂ©alisation de son cycle vĂ©gĂ©tatif. Toutefois, comme dans d’autres sites situĂ©s dans le dĂ©partement, de nombreux pieds restent stĂ©riles et tĂ©moignent de conditions Ă©cologiques limites pour cette plante trĂšs Ă©loignĂ©e ici des forĂȘts montagnardes qui reprĂ©sentent son biotope normal. En bas de pente, le lis est accompagnĂ© par plusieurs autres espĂšces peu communes ou rares des bois poitevins: c’est le cas de l’Isopyre faux-pigamon, de la Raiponce en Ă©pi, du Laser Ă  feuilles larges et, surtout, de la LathrĂ©e Ă©cailleuse, une curieuse plante de couleur ivoire, dĂ©pourvue de chlorophylle, qui trouve ses substances nutritives en parasitant les racines d’arbres divers tels que les ormes, les noisetiers, les Ă©rables ou les frĂȘnes.

    Le bois de Saint-Pierre abrite non seulement une avifaune commune aux sites forestiers poitevins (fauvettes, pouillots et grives) mais aussi quelques espĂšces plus rares et plus localisĂ©es comme le Bouvreuil pivoine (une espĂšce plutĂŽt nordique et "montagnarde", trĂšs dissĂ©minĂ©e en rĂ©gion Poitou-Charentes), la MĂ©sange huppĂ©e ou le Pouillot siffleur qui est un passereau insectivore infĂ©odĂ© aux forĂȘts ĂągĂ©es Ă  canopĂ©e Ă©levĂ©e. La plus remarquable est le Pic mar, un oiseau Ă©troitement liĂ© aux vieilles forĂȘts feuillues - chĂȘnaies, hĂȘtraies, chĂȘnaies-charmaies - oĂč il se nourrit essentiellement des invertĂ©brĂ©s vivant dans les fissures de l’écorce des arbres centenaires. Cette espĂšce, protĂ©gĂ©e en France, est en nette rĂ©gression sur tout le territoire national comme dans toute l’Europe occidentale. Elle n’est plus reprĂ©sentĂ©e en Poitou-Charentes, au dĂ©but du XXIe siĂšcle que par une population de 150 Ă  250 couples, d’oĂč l’importance de ce site.

    Parmi les mammifÚres, la présence du Cerf élaphe et de la Martre (Martes), un petit carnivore trÚs disséminé dans la région, est également à signaler.

    Arbres remarquables

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[47], il y a trois arbres remarquables sur la commune qui sont:

    Équipement culturel

    • Salle polyvalente François-Rabelais, au-dessus de l'Ă©glise.
    • Une bibliothĂšque.
    • Le bois de Saint-Pierre est un ancien domaine forestier. Il s'Ă©tend sur plus de 245 hectares, autour de l'ancien chĂąteau de Saint-Pierre. Il domine un mĂ©andre du Miosson. 75 hectares sont consacrĂ©s Ă  des zones d'attraction dont un parc zoologique. Le parc zoologique occupe cinq hectares des bois de Saint-Pierre et il compte environ 250 animaux (dont loups, lynx et singes). Il est la propriĂ©tĂ© de la mairie de Poitiers depuis 1968 et fait partie de l'Association nationale des parcs et jardins zoologiques. Sur l'allĂ©e du chĂąteau, trois zĂšbres en bĂ©ton armĂ© peint datent de 1983 et sont de l'artiste Gilbert Della Noce.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Smarves Blason
    De sinople à deux burelles ondées d'argent en pointe[48].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Poitiers-Biard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Smarves et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    25. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires Ă  Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consultĂ© le )
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    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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