Saint-Benoît (Vienne)
Saint-Benoît est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la banlieue sud de Poitiers, dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Benoît | |||||
Porche d'entrée de l'église. | |||||
Blason |
Logo |
||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine du Grand Poitiers | ||||
Maire Mandat |
Bernard Peterlongo 2020-2026 |
||||
Code postal | 86280 | ||||
Code commune | 86214 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sancto-Bénédictins, Sancto-Bénédictines | ||||
Population municipale |
7 308 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 538 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 33′ 02″ nord, 0° 20′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 136 m |
||||
Superficie | 13,58 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Poitiers (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Poitiers-5 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | ville-saint-benoit.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Sancto-Bénédictins.
Géographie
Localisation
Saint-Benoît est située au sud de Poitiers nichée dans un vallon ou serpente le Clain et le Miosson. La ville s'est agrandie en occupant les coteaux situés de part et d'autre de cette vallée protégée et en s'urbanisant autour du sud de Poitiers.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921[7] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[9] à 11,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Saint-Benoît est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Poitiers, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[15] et 131 499 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (28,2 %), forêts (23,9 %), terres arables (20 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Benoît est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Châtellerault, regroupant 17 communes concernées par un risque de débordement de la Vienne et du Clain. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs pour la Vienne sont les crues de février 1698 (1 670 m3/s à Châtellerault), de juillet 1792 (1 520 m3/s), de mars 1913 (1 500 m3/s), de décembre 1944 (1 510 m3/s) et de janvier 1962 (1 500 m3/s). Les crues historiques du Clain sont celles de 1873 (330 m3/s à Poitiers) et de décembre 1982 (330 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23] - [24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999, 2010 et 2015[25] - [21]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation (PPRI) de la « vallée du Clain », approuvé le , puis par le nouveau PPRI « Vallée du Clain », prescrit le [26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 98,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].
Histoire
Avant la Révolution française, la commune s’appelait Saint-Benoît-de-Quincay. Pendant la Révolution, pour suivre un décret de la Convention (an II), la commune change de nom pour Quinçay-les-Plaisirs[31].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué quatre fleurs à la commune[34].
Population et société
Démographie
En 2020, la commune de Saint-Benoit comptait 7308 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.
La densité de population de la commune est de 515 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (Insee - 2008).
La ville est la 5e commune la plus peuplée du département de la Vienne[37].
La commune appartient à la communauté d’agglomération de poitiers qui connaît un certain dynamisme démographique puisque le taux annuel moyen d’accroissement de sa population de 1,32 % de 1999-2006 (contre 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de 16,5 % et celle de Châtellerault de 5,0 %[38]. La population de la commune devrait donc continuer à croître.
Cependant, la population du Grand Poitiers[39] n'a quasiment pas augmenté entre 2007 et 2012 (141 986 habitants en 2007 pour 142 751 habitants en 2012). Le dynamisme démographique concerne surtout les communes limitrophes de la capitale poitevine. Ainsi, c’est le cas de Saint-Benoît. Après avoir connu une très légère baisse de population, la commune voit sa démographie gagner une centaine d'habitants de 2007 à 2012. Sans doute le redémarrage de programmes immobiliers en attente. Et l'aménagement d'espaces encore non construits dans les quartiers proches de Poitiers.
Manifestations culturelles et festivité
Économie
Agriculture
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[42], il n'y a plus que quatre exploitations agricoles en 2010 contre 6 en 2000.
Tourisme
Le territoire communal abrite une base de loisirs Ticky Parc qui s’étend sur 5 000 m2.
Industrie
La commune comprend un site de l'entreprise Safran[43] qui s'est vu confier en 2017 le polissage du miroir principal du futur télescope géant européen ELT qui sera installé au Chili[44].
Activités de service
La zone commerciale du Grand Large située au nord génère un nombre important d’emplois.La ville de Saint-Benoît participe à l'attractivité du Grand Poitiers en accueillant de nombreuses entreprises (Sagem, Quadripack...) sur ses zones d’activités.
Un marché forain a lieu une fois par semaine, le samedi matin, sur la place du 8-Mai-1945.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil et religieux
- Arcs de Parigny, à l'Ermitage, vestiges de l'ancien aqueduc romain qui alimentait Poitiers au Ier siècle. Ils sont inscrits comme monument historique depuis 1927.
- Ancienne abbaye Saint-Benoît de Quinçay, romane du XIIe siècle construite par des moines de l'abbaye de Noirmoutier
- Château (XIXe siècle, propriété privée)
- Manoir du Fief-Clairet, beau logis du XVIIe siècle construit par Charles Irland. Le manoir est classé comme monument historique depuis 1959 pour sa cour, sa toiture, le bâtiment et le sol.
- Viaduc en pierre de taille avec deux travées métalliques. Une sur les voies SNCF Poitiers/Bordeaux et Poitiers/La Rochelle et une autre sur le Clain, permettant la traversée piétonne de la vallée. (ancienne ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique entre Poitiers et Saint-Martin-l'Ars, exploitée par les Tramways de la Vienne)
Patrimoine naturel
Le bois de Ligugé est situé au cœur du seuil du Poitou en plein centre du département. Il chevauche le territoire de deux communes situées en périphérie de Poitiers, caractérisées par une forte pression urbaine Ligugé et Saint-Benoît. Le bois de Ligugé se compose d’un ensemble de coteaux boisés qui surplombent les vallées de deux cours d’eau : la Feuillante et la Menuse. Ces deux ruisseaux rejoignent un méandre du Clain aux portes sud de l’agglomération poitevine.
Les sols du bois de Ligugé, sur la partie située sur les plateaux, se composent d’une argile à silex peu profonde auxquels succèdent, sur les pentes dont la dénivellation peut atteindre une cinquantaine de mètres, des sols calcaires dont l’épaisseur est variable selon la raideur des pentes, riches en cailloux et ponctués localement d’affleurements rocheux ou de falaises. Le fond du vallon est composé d’alluvions calcaires plus ou moins profonds. Cette diversité du sol est à l’origine de celle du boisement: une chênaie calcifuge sur les plateaux, une chênaie-charmaie sur les versants qui laisse la place dans les secteurs très pentus ou encaissés à la forêt de ravin à scolopendre, une chênaie pubescente sur les zones de sols superficiels ou d’affleurements rocheux et, en fond de vallons, une aulnaie-frênaie sèche ou marécageuse, selon les fluctuations saisonnières de la nappe. Cette richesse forestière a justifié la protection du bois de Ligugé ((ZNIEFF)[45]), d’autant plus qu’il abrite 15 espèces végétales rares ou menacées.
Une des originalités de la flore du bois de Ligugé consiste plus particulièrement dans la juxtaposition, dans un même lieu, d’espèces végétales appartenant normalement à des zones géographiques différentes. Ainsi l’Aconit tue-loup, espèce typiquement montagnarde qui ne compte que quelques très rares stations en Poitou-Charentes ou le Hêtre ou l’Orme de montagne sont voisins de plantes propres aux milieux marécageux ou alluviaux telles que la Primevère élevée ou l’Orchis incarnat. Dans le bois, ont été recensées en outre les plantes suivantes : l’Alaterne, l’Aspérule odorante, la Corydale à bulbe plein, la Crupine commune, l’épipactis des marais, la Fritillaire pintade, la Grenouillette, la Laser à larges feuilles, la Lathrée écailleuse, la Leersie faux-riz et l’Orchis incarnat.
Un inventaire précis ornithologique a permis de mettre en évidence la présence des oiseaux familiers des milieux forestiers poitevins parmi lesquels se trouvent quelques espèces rares ou devenant de plus en plus rares telles que le Bouscarle de Cetti, la Mésange huppée ou le Bouvreuil pivoine. Mais, c’est plus particulièrement le cas pour le Gros-bec casse-noyaux et le Pouillot siffleur, deux passereaux forestiers affectionnant les boisements à voûte haute et continue, peu répandus en région Poitou-Charentes.
Personnalités liées à la commune
- Patrick Roy (1952 - 1993), le ont lieu les funérailles de l'animateur à l'église et au cimetière de Saint-Benoît où ses parents habitaient.
- Lionel Le Falher (1957 - 2008), peintre.
- Noël Léon Bernard (1874 - 1911), botaniste.
- Cora Millet-Robinet (1778-1890), innovatrice (inventeuse), productrice de soie, agronome, femme de lettres, première femme à être nommé chevalier de l'ordre du Mérite agricole, décédée à Saint-Benoît.
Héraldique
Blasonnement :
Divisé en chevron renversé : au 1) d’or à la crosse contournée accostée de deux pigeons affrontés, le tout d’argent mouvant de la partition, au 2) d’azur aux trois châteaux donjonnés de trois tourelles d’or, celle du milieu plus haute, ouverts et ajourés du champ, maçonnés de sable ; le tout enfermé dans une filière de gueules[46]. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Poitiers-Biard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Benoît et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Poitiers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Benoît », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Châtellerault », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
- « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Les plans de prévention des risques naturels (PPRN) dans la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Benoît », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008
- « Décès d'un personnage : André Coquema », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Plaquette : Les chiffres clés de l’économie de la Vienne – 2011
- Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic, novembre 2009
- INSEE 2014 : les chiffres sont ceux des populations totales. C'est-à -dire celles retenues pour établir les subventions que l'État verse aux communes. Pour obtenir la population totale, l'Insee ajoute la population « comptée à part » à la population municipale. Cette population comprend les personnes qui ont conservé une résidence dans une autre commune que celle où ils sont recensés. Ce sont les lycéens ou étudiants qui habitent Poitiers en période scolaire et rentrent chez leurs parents le week-end et/ou pendant les vacances. Ce sont aussi les personnes hospitalisées ou en établissement de convalescence, les militaires, les religieux et les personnes sans domicile fixe
- Saint-Benoît Swing
- Mairie de Saint-Benoit : La Hune
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- « Futur télescope géant européen ELT : Safran Reosc remporte le polissage du miroir primaire », Safran Electronics & Defense,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « L’œil le plus puissant de la planète se construit en Nouvelle-Aquitaine », sur Région Nouvelle-Aquitaine | Aquitaine Limousin Poitou-Charentes (consulté le ).
- Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
- Gaso.fr