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Saint-Méard-de-Drône

Saint-Méard-de-Drône est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Méard-de-Drône
Saint-Méard-de-Drône
L'église Saint-Médard de Saint-Méard-de-Drône.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Gérard Caignard
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24460
Démographie
Gentilé Saint Méardais
Population
municipale
498 hab. (2020 en augmentation de 2,89 % par rapport à 2014)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 57″ nord, 0° 25′ 19″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 145 m
Superficie 8,95 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribérac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Méard-de-Drône
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Saint-Méard-de-Drône

    Géographie

    Généralités

    À l'ouest du département de la Dordogne, la commune de Saint-Méard-de-Drône, essentiellement située en rive gauche de la Dronne, a cependant une partie en rive droite vers les lieux-dits le Port et le Breuil.

    Le village de Saint-Méard-de-Drône est établi en rive gauche de la Dronne. Il est situé, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'est de Ribérac et autant à l'ouest de Tocane-Saint-Apre, à l'intersection des routes départementales 104 (axe nord-sud) et 710 (axe est-ouest).

    La commune est également desservie au nord-est par la route départementale 104E, en rive droite de la Dronne.

    Jadis, la ligne ferroviaire Périgueux - Ribérac, aujourd'hui démantelée, traversait la commune.

    Communes limitrophes

    Saint-Méard-de-Drône est limitrophe de sept autres communes dont Saint-Martin-de-Ribérac au sud-ouest sur environ 480 mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Méard-de-Drône est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5b, date du Campanien 2, des calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Saint-Méard-de-Drône.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 60 mètres[5] à l'extrême nord-ouest de la commune, là où la Dronne quitte le territoire communal et sert de limite entre Villetoureix et Ribérac, et 145 mètres[5] au sud, près du lieu-dit les Places, en limite de la commune de Saint-Pardoux-de-Drône[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [8]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 8,95 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,97 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dronne, la Peychay, le Jalley, le Goût et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle dont elle est le principal affluent à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[16] - [17]. Elle arrose le nord de la commune sur six kilomètres et demi dont cinq et demi lui servent de limite naturelle en deux tronçons, face à Saint-Victor, Celles et Villetoureix.

    La Peychay, d'une longueur totale de 10,55 km, prend sa source dans la commune de Segonzac et rejoint la Dronne en rive gauche à 60 mètres d'altitude, au sud-est du bourg de Villetoureix, en limite de Ribérac et Saint-Méard-de-Drône[18]. Elle borde la commune à l'ouest sur plus de trois kilomètres et demi, face à Saint-Martin-de-Ribérac puis Ribérac.

    Autre affluent de rive gauche de la Dronne, le Goût prend sa source au nord-ouest du bourg et arrose le territoire communal sur plus d'un kilomètre.

    Le Jalley, autre affluent de la Dronne mais en rive droite, sert de limite territoriale au nord-est sur deux kilomètres et demi, face à Saint-Victor.

    • La Dronne en limite de Saint-Méard-de-Drône (à gauche) et de Celles (en rive opposée).
      La Dronne en limite de Saint-Méard-de-Drône (à gauche) et de Celles (en rive opposée).
    • La vallée de la Peychay au lieu-dit les Peyronnets, entre Saint-Méard-de-Drône (au premier plan) et Ribérac (au-delà des peupliers).
      La vallée de la Peychay au lieu-dit les Peyronnets, entre Saint-Méard-de-Drône (au premier plan) et Ribérac (au-delà des peupliers).
    • La Peychay près des Bigoussies.
      La Peychay près des Bigoussies.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Saint-Méard-de-Drône.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 855 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[27] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[28] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 44 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Méard-de-Drône est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [34] - [35] - [36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37] - [38].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39 %), terres arables (29,5 %), prairies (22,4 %), forêts (6 %), zones urbanisées (3,1 %)[39].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    • Borie Porte
    • Fompie
    • Fontenille
    • Grande Métairie
    • la Peychay
    • la Pichardie
    • la Tour
    • le Breuil
    • le Goût
    • le Gros Bost
    • le Moulin des Bigoussies
    • le Moulin Neuf
    • le Port
    • le Puy
    • le Syndic
    • le Toillard
    • les Barthoumeries
    • les Bigoussies
    • les Boursiers
    • les Chabroulies
    • les Fontenilloux
    • Mareuil
    • Moulin de la Pause
    • Nouveau

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Méard-de-Drône est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[40]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[41].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dronne et la Peychay. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1993 et 1999[42] - [40]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvé le , pour les crues de la Dronne[43] - [44].

    Saint-Méard-de-Drône est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[45]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[46] - [47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Méard-de-Drône.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 85,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [50].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1997, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[40].

    Toponymie

    Le nom de la commune fait référence à saint Médard, évêque de Noyon au VIe siècle, et à la Dronne, rivière qui arrose le territoire communal[51].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Meard de Drona[52].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu figure dans un pouillé du XIIIe siècle[53], sous la forme Sanctus Medardus[51].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de « Saint Médard de Dronne »[54].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[55] - [56].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 mars 2008 Jean-Claude Fallacher
    mars 2008 mars 2014 Marie-Thérèse Segonzac SE[57] Cadre retraitée
    mars 2014[58]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Gérard Caignard

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Méard-de-Drône relève[59] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Saint-Méard-de-Drône se nomment les Saint Méardais[60].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[62].

    En 2020, la commune comptait 498 habitants[Note 10], en augmentation de 2,89 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    590480436656616654593671620
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    630628598587587603634600583
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    565599551516531536503455434
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    379327364403451433461465485
    2017 2020 - - - - - - -
    497498-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[63].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sport

    En juillet concours hippique de saut d'obstacles (40e édition en 2019)[64].

    Économie

    Emploi

    En 2015[65], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 206 personnes, soit 42,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a légèrement diminué par rapport à 2010 (vingt-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-sept établissements[66], dont vingt-quatre au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans l'industrie, six dans la construction, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[67].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Fontenilles, XVIIe siècle.
    • Église Saint-Médard[53], romane du XIIe siècle, le clocher datant du XIXe siècle. Elle est inscrite au titre des monuments historiques en l'an 2000[68] - [69]. De nombreuses fresques du XIVe siècle y ont été mises au jour[70].
    • La nef de l'église.
      La nef de l'église.
    • Une des fresques mises au jour.
      Une des fresques mises au jour.
    • Pigeonnier dans le village.
      Pigeonnier dans le village.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Méard-de-Drône » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Saint-Méard-de-Drône » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Méard-de-Drône », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Méard-de-Drône », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Saint-Méard-de-Drône », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 2 octobre 2022)..
    17. Sandre, « la Dronne »
    18. Sandre, « la Peychay »
    19. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    22. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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