Loyat
Loyat [lɔja] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.
Loyat | |
La mairie. | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Ploërmel Communauté |
Maire Mandat |
Denis Tréhorel 2020-2026 |
Code postal | 56800 |
Code commune | 56122 |
Démographie | |
Gentilé | Loyatais, Loyataise |
Population municipale |
1 667 hab. (2020 ) |
Densité | 40 hab./km2 |
Population agglomération |
14 900 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 59′ 27″ nord, 2° 22′ 56″ ouest |
Altitude | 42 m Min. 32 m Max. 130 m |
Superficie | 41,52 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Ploërmel (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Ploërmel |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.loyat.fr/ |
Géographie
Localisation
La commune de Loyat est situé dans le nord-est du Morbihan. Le bourg est situé à vol d'oiseau à 6,5 km au nord de Ploërmel.
Géographie physique
L'altitude varie entre 32 mètres et 130 mètres. La commune est arrosée par l'Yvel, un affluent de l'Oust et un sous-affluent de la Vilaine. Son cours est barré en aval donnant ainsi naissance au Lac au Duc qui s'étend partiellement sur la commune de Loyat. La commune, bien que située en Pays gallo, compte de nombreux hameaux dont le nom est d'origine bretonne : Kerboclion, Kerbois, Kerpiton, Kersamson, Le Closio, Lézonnet, Penhouët etc...
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploërmel », sur la commune de Ploërmel, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 749,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 49 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] à 12,4 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Loyat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), forêts (11,4 %), prairies (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), zones urbanisées (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), eaux continentales[Note 7] (0,7 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Toponymie
Le nom de la commune est attesté sous les formes Loiat en 1066, Loueat en 1408 et 1412, et Loyal en 1630[20].
La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Louad[20].
Histoire
Loyat est mentionnée dans un acte de donation fait, vers 1055, par Josselin, vicomte de Porhoët, en faveur de l'abbaye de Redon ou du prieuré de Sainte-Croix de Josselin. La principale seigneurie de l'endroit a son siège au château et appartient, en 1631, à Pierre Botherel, vicomte d'Apigné et de Loyat. Elle passe ensuite aux Coëtlogon, qui la conservent jusqu'à la Révolution. En 1790, Loyat perd sa trève de Gourhel et se voit érigée en commune et même en chef-lieu de canton. En 1791, son recteur, M. Texier, refuse le serment à la constitution civile du clergé et doit s'exiler. En 1801, Loyat perd son titre de canton pour faire partie de celui de Ploërmel.
Première Guerre mondiale
119 Loyatais sont morts sur les champs de bataille dans le Nord et l'Est de la France, sur une population de 2 000 habitants. L'un d'eux, peut-être le plus jeune, s'appelait Joseph Poirier, garçon de ferme à Kerbois. En avril 1915, il prit le train pour la première fois de sa vie, à la gare de Loyat pour être incorporé à la caserne de Saint-Brieuc, un autre monde (il découvrit la lumière artificielle appelée électricité, l'usage de téléphone, et le vacarme de la circulation automobile, inconnus à la campagne). Ce nouveau soldat fut ensuite envoyé à Verdun puis dans la Somme à Maurepas, où il mourut dans un bois bombardé, en septembre 1916, son corps n'a pas été retrouvé sur le terrain bouleversé après les combats[22], il avait 19 ans. Trois des quatre frères Olivot furent tués, le dernier fut exempté du service militaire. Deux vitraux de l'église rappellent ce terrible conflit, les deux frères François et Jean-Marie Lagnel de Trégadoret sont en photo sur un vitrail et l'abbé Eugène Simon sur l'autre vitrail.
Seconde Guerre mondiale
1940 : une armée polonaise (22 000 hommes) s'installe autour du camp de Coëtquidan, des soldats polonais sont en cantonnement à Loyat et se déplacent à cheval. Ils assistent nombreux à la messe le dimanche et chantent des cantiques polonais[23].
1942-1943 : Dans la nuit du 21 au , deux agents secrets de la France libre, le lieutenant Guy Lenfant et le sergent radio André Rapin furent parachutés au sud de Loyat sur l'étang au duc afin d'armer les premiers réseaux de la Résistance et d'obtenir des renseignements sur l'occupation allemande dans le Morbihan. Ils prirent contact avec la Résistance à Ploërmel et organisèrent la réception de nuit, de deux parachutages d'armes et d'explosifs (deux fois six conteneurs) près du village de Tréguier à Loyat en avril et en mai 1943 malgré la présence d'une compagnie allemande dans le bourg à trois kilomètres. Les douze conteneurs furent placés sous la responsabilité du résistant Louis Echelard, ancien combattant de 1914-1918, bourrelier à Loyat. Missions remplies dans le département, les deux agents secrets retournèrent en Angleterre en [24].
1944 : à la suite de l'assassinat d'un soldat allemand à Guilliers, 150 personnes furent raflées et rassemblées le matin du devant l'église, les plus jeunes furent conduits à pied à Guilliers, certains étaient en sabots. 12 jeunes Loyatais furent déportés, 7 sont morts en déportation au camp de concentration de Mauthausen (Autriche) : Léon Bougué, Fernand Harel, Roger Garaud, Pierre Gouello, Auguste Marot, Adolphe Lequitte et Gabriel Querbouët. 5 sont revenus à Loyat affaiblis à vie, ils pesaient moins de 40 kg à leur retour[25] : François Chérel, Roger Fontaine, Eugène Nagat, Henri Perrier et Gabriel Ruelland[26]. Après la guerre, le nom du meurtrier fut découvert. Il s'agissait d'un garçon de 18 ans, originaire de Merdrignac, de passage à Guilliers. Il avait assassiné le soldat allemand Hammes pour lui voler son pistolet et pour le remettre à la Résistance. La justice ne donna pas suite aux plaintes des déportés revenus, des familles des déportés morts et de la municipalité de Guilliers[27].
Les 9 et , les Résistants de Ploërmel font sauter les aiguillages à la gare puis reviennent la nuit suivante, faire exploser la voie ferrée au sud de la gare. Le trafic est interrompu pendant 24 heures[28].
Loyat fut un objectif du débarquement en Normandie le . Trois parachutistes de la France libre (le Vendéen Henry Corta, le Parisien André Bernard et le Landais Francis Folin) furent parachutés près de Loyat avec missions d'effectuer des sabotages dans le secteur. Ils devaient notamment constamment neutraliser la ligne unique de chemin de fer dans le village de Trégadoret, à l'endroit où la rivière (l'Yvel) se trouvait à 30 m en contrebas de la ligne, un lieu idéal pour un sabotage, afin de retarder l'envoi de renforts allemands, de Bretagne vers le front de Normandie.
Bien accueillis par les Loyatais des villages de Kersamson et de Kerbois, ils se fixèrent dans ce secteur, furent rejoints par d'autres parachutistes (Michel Lakermance, Fernand Bègue, Jack Quillet[29]...)[30] et organisèrent un maquis près de Kerbois. L'arrivée de ces Français d'Angleterre suscita l'espoir. Ils furent présentés au maire Henri Patier et à quelques Résistants. Ils reçurent même la visite du commandant du 12e bataillon F.F.I. du Morbihan, le général Armand Desprez de la Morlais. Ils demandèrent par radio en Angleterre, un parachutage d'armes qui eut lieu dans la nuit du 8 au , sur un terrain appelé la mare aux Oies. Deux avions de la Royal Air Force leur parachutèrent huit tonnes d'armes et de matériel militaire à destination des maquis de la région. Ce fut le cinquième parachutage. Le lieutenant Corta et le commandant des parachutistes, Pierre Bourgoin (1907-1970), échappèrent de peu à la capture près de l'écluse de Guillac le .
62 Loyatais s'engagèrent dans les F.F.I., certains reçurent l'ordre de se rendre au maquis de Saint-Marcel. Ils participèrent avec les parachutistes, à la bataille du . Il y avait deux officiers de la Résistance à Loyat, le capitaine F.F.I. Joseph Jigorel (1913-2003) et le lieutenant F.F.I. Joseph Perraud (1919-1996) qui avaient tous les deux participé à la guerre en 1940. Ils furent faits prisonniers : Joseph Jigorel fut libéré mais Joseph Perraud parvint à s'évader d'Allemagne et revint à Loyat, un exploit. Il était séminariste et devint prêtre. Les lieutenants F.F.I. Perraud et F.F.L. Corta devinrent copains et complices.
Début , au moment de la Libération, les parachutistes basés à Loyat et les maquisards attaquèrent un groupe de soldats allemands près de Lézonnet. Le bilan fut de cinq morts : deux Français (Alain Adelis, 19 ans de Taupont et Ange Mounier, 39 ans de Ploërmel) et trois Allemands, probablement tués par la grenade que leur lança le lieutenant Corta. Un autre maquisard Jean Cherel de Loyat, fut tué près de la gare. Les corps de quatre soldats allemands dont un tué entre les villages de Kersamson et de Létéhan, furent transférés dans un cimetière militaire allemand en Normandie[31].
Parmi la centaine d'Allemands qui occupait Loyat, il y avait un Alsacien enrôlé de force dans l'armée allemande, Georges Fritz, originaire de Lembach dans le Bas-Rhin. Contacté par les maquisards, il accepta de les renseigner. Ce Français, en uniforme allemand, fut présenté aux parachutistes français en uniforme britannique. Pendant l'été 1944, il voulut déserter : il laissa une lettre aux Allemands leur annonçant son intention de se suicider, il abandonna ses vêtements près de la rivière et rejoignit le maquis. Il participa ensuite aux combats contre les Allemands sur le front de la Vilaine pendant l'hiver 1944-1945 face à la poche de Saint-Nazaire.
Près de 50 ans après la guerre, le Vendéen Henry Corta (1921-1998) et l'Alsacien Georges Fritz (1916-1999) revinrent l'un et l'autre à quelques mois d'intervalle, en visite de souvenir à Loyat. Ils furent reçus à la mairie par les anciens combattants dont le maire Lucien Harel (1921-1997).
Lucien Harel et son frère, Alphonse (séminariste tout comme Joseph Perraud), furent les principaux acteurs de l'aide apportée à Georges Fritz et tous les trois prirent le maquis. Ces événements scellèrent une amitié qui dura jusqu'au décès du dernier des trois en 1999.
Henry Corta, qui devint religieux et artisan d'icônes, écrivit deux livres sur l'histoire des parachutistes : Les Bérets rouges (1952) et Qui ose gagne (1997)[32] dans lesquels il évoqua son arrivée en France, à Loyat et l'accueil bienveillant reçu des Loyatais. Des milliers de lecteurs ont dû chercher Loyat sur la carte de Bretagne.
Blasonnement
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Les armoiries de Loyat se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2020, la commune comptait 1 667 habitants[Note 8], en augmentation de 1,15 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
On peut citer[38] :
- Château de Loyat, XVIIIe siècle, visitable, populetum expérimental. Le château est construit sur les plans de l'architecte vannetais Olivier Delourme, pour René Charles Élisabeth de Coëtlogon, vicomte de Loyat, neveu du maréchal de Coëtlogon.
- L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul : construite au XVIIIe siècle.
- La chapelle Saint-Colomban à Crétudel : située route de Josselin, date de 1714.
- La fontaine de Saint-Colomban est à proximité de la chapelle.
- La chapelle Saint-Clair-Saint Mathurin-et-Sainte-Anne à Trégadoret reconstruite au XIXe siècle, la chapelle Saint-Eloi à Trégadoret date de 1872.
- La chapelle Saint-Malo (XVIIIe siècle).
- Le Vieux Pont sur l'Yvel : date de 1682 et a été rénové en 2003.
- Le manoir (privé) de Lézonnet près de l'étang, l'ancien moulin à eau de Trégadoret.
- Le monument des deux guerres mondiales, de l'Indochine et de l'Algérie (128 Loyatais morts pour la France de 1914 à 1959), la commune organisa un concert et un concours de gymnastique lors de son inauguration [39] ; le monument aux Déportés (7 Loyatais morts pour la France en 1944 et 1945 en Autriche), la plaque avec les noms des 12 déportés loyatais, la plaque sur le mur de l'église en souvenir de la rafle du , le monument de Lézonnet, le monument sur la voie verte en souvenir de Jean Cherel et le monument du maquis à Kerbois.
- Le calvaire au centre du cimetière est classée monument historique.
- L'aérodrome de Ploërmel - Loyat.
Personnalités liées à la commune
- Napoléon Marie de Nompère, comte de Champagny ( - Paris † - château de La Balluère, Broons-sur-Vilaine), est un homme politique français du XIXe siècle, maire de Loyat (1844-1872) (Second Empire) où il est inhumé.
- Olivier Delourme (1660-1729) né au village de Kerpiton à Loyat, fut un architecte renommé à Loyat (château et ancienne église) mais aussi à Vannes (architecture de la ville, travaux publics, église Saint-Patern, perron et escalier de l'ancien hôtel de ville actuellement hôtel de Limur, réaménagement du canal vers le port, clocher de Saint-Avé, églises de Saint-Gildas-de-Rhuys, de l'abbaye de Prières à Billiers...) et à Bignan, le château de Kerguéhennec[40].
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ploërmel - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Loyat et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ploërmel - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Loyat et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office public de la langue bretonne, « Kerofis ». .
- Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 108
- Il n'y a pas de tombe au nom du soldat Joseph Poirier dans le cimetière militaire de Maurepas, Somme.
- Ouest-France du mardi 10 juillet 2018 : la présence à Loyat du soldat polonais Jan Switalski en 1940.
- Le Morbihan en guerre 1939-1945 de Roger Leroux, imprimerie de la manutention Mayenne, 1990, pages 381, 382.
- Témoignages de 2 rescapés, 50 ans après, dans le journal Ouest-France du 20 janvier 1994.
- La plaque des noms des 12 déportés face à l'église.
- Note du commissaire du gouvernement de Rennes à la cour de justice du Morbihan en date du 3 décembre 1945.
- Le Morbihan en guerre 1939-1945 de Roger Leroux, imprimerie de la manutention Mayenne, 1990, page 404.
- Jack Quillet, Du maquis aux parachutistes S.A.S., Saint-Cloud, Atlante Editions, , 203 p. (ISBN 978-2-912671-26-4 et 2-912671-26-4), pages 154, 158.
- les infos du pays de Ploërmel du 20 août 2014
- Saint-Marcel 18 juin 1944, enquête sur un désastre d'Yves Mervin, 2021. (ISBN 978-2-9553973-1-2), page 428.
- Henry Corta, Marie Chamming's, Joseph Jégo, Noël Créau et Philippe Reinhart, Qui ose gagne (France-Belgique 1943-1945, les parachutistes du 2e RCP / 4th SAS), Service historique de l'armée de terre, , 296 p. (ISBN 978-2-86323-103-6).
- « Municipales à Loyat. Un troisième mandat de maire pour Denis Tréhorel », sur Ouest-France, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Loyat: Histoire, Patrimoine, Noblesse
- Livret : des larmes de granit, conseil départemental du Morbihan 2018, page 17.
- Le Plöermelais du 17 octobre 2014
Voir aussi
Bibliographie et archives
- Histoire de Loyat, manuscrit de l'abbé Pierre Martin (1870-1950), natif de Loyat, dactylographié par Armelle Querbouët, native de Loyat, médiathèque de Loyat, 152 pages.
- Vicomté de Loyat à Loyat, XIVe - XVIIe, cotes 23 J 396 à 23 J 420 > Fonds de La Bourdonnaye-Montluc (23 J), Archives I&V.
- Comptes de la fabrique de 1527 à 1603, cote 23 J 399.
- Mandement de l'évêque de Saint-Malo pour l'inhumation des morts de la peste à Loyat, 1626, cote 23 J 950.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie de Loyat
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :