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Saint-Gildas-de-Rhuys

Saint-Gildas-de-Rhuys [sɛ̃ ʒilda də ʁɄis] est une commune française, situĂ©e sur la presqu'Ăźle de Rhuys dans le dĂ©partement du Morbihan (56) sous la prĂ©fecture de Vannes en rĂ©gion Bretagne.

Saint-Gildas-de-Rhuys
Saint-Gildas-de-Rhuys
Abbaye Saint-Gildas de Rhuys
Blason de Saint-Gildas-de-Rhuys
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération
Maire
Mandat
Alain Layec
2020-2026
Code postal 56730
Code commune 56214
DĂ©mographie
Gentilé Gildasiens
Population
municipale
1 552 hab. (2020 en diminution de 8,17 % par rapport Ă  2014en diminution de 8,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 102 hab./km2
Population
agglomération
12 712 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 30â€Č 03″ nord, 2° 50â€Č 12″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 42 m
Superficie 15,28 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Séné
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Saint-Gildas-de-Rhuys
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Saint-Gildas-de-Rhuys

    Ses habitants sont appelés les Gildasiens[1].

    Toponymie

    Le nom breton de la commune est Lokentaz[2].

    Le nom de Saint-Gildas-de-Rhuys provient de saint Gildas et du pagus Reuuisii un pagus, c'est-à-dire une subdivision administrative du Vannetais, correspondant à la presqu'üle de Rhuys au haut Moyen Âge[3].

    GĂ©ographie

    Situation

    Saint-Gildas-de-Rhuys fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.

    Communes limitrophes de Saint-Gildas-de-Rhuys
    Arzon Golfe du Morbihan Golfe du Morbihan
    Saint-Gildas-de-Rhuys Sarzeau
    Baie de Quiberon Baie de Quiberon

    Saint-Gildas-de-Rhuys est située dans la presqu'ßle de Rhuys. Ses cÎtes s'ouvrent sur une partie de l'Océan Atlantique dénommée Mor Braz, mais aussi sur le Golfe du Morbihan.

    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      Carte topographique de la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 852 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sarzeau Sa », sur la commune de Sarzeau, mise en service en 1995[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 708,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998 et Ă  15 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[14] Ă  12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Habitat

    Saint-Gildas-de-Rhuys est en 2020, selon l'INSEE, aprÚs Arzon, la deuxiÚme commune de Bretagne pour sa proportion de résidences secondaires [16].

    En 2019 on recensait 3 685 logements Ă  Saint-Gildas-de-Rhuys. 812 logements Ă©taient des rĂ©sidences principales (20,0 %), 2 839 logements des rĂ©sidences secondaires (77,0 %) et 34 des logements vacants (0,9 %). Sur ces 3 685 logements 3 275 logements Ă©taient des maisons (88,9 %) contre 247 logements des appartements (6,7 %). Le tableau ci-dessous prĂ©sente la rĂ©partition en catĂ©gories et types de logements Ă  Saint-Gildas-de-Rhuys en 2019 en comparaison avec celles du Morbihan et de la France entiĂšre.

    Le logement Ă  Saint-Gildas-de-Rhuys (56) en 2019.
    Saint-Gildas-de-Rhuys[17] Morbihan[18] France entiĂšre[19]
    RĂ©sidences principales (en %) 22,0 74,9 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 77,0 17,9 9,8
    Logements vacants (en %) 0,9 16,2 8,1

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gildas-de-Rhuys est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [20] - [21] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23] - [24].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (54,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (57,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (29,4 %), prairies (28,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,8 %), terres arables (7,4 %), forĂȘts (5,1 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (4,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,3 %), eaux continentales[Note 6] (1,9 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,5 %)[28].

    Centre-ville avec Abbaye de Saint-Gildas de Rhuys en arriĂšre plan.

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[29].

    Histoire

    Préhistoire

    A Saint-Gildas de Rhuys, les premiÚres occupations humaines apparaissent dÚs le néolithique. En France, cette période s'étale de 6000 à 2200[30] avant notre Úre. De nombreux monuments mégalithiques sont construits[31].

    Moyen-Âge

    Statue de Gildas à cÎté du Grand-Mont

    C'est au dĂ©but du VIe siĂšcle, qu'un moine nommĂ© Gweltas (Gildas) fuit la Grande-Bretagne et fonde l'abbaye celtique en presqu'Ăźle. Tout commence Ă  prendre vie : les forĂȘts impĂ©nĂ©trables sont entamĂ©es, les salines creusĂ©es, les premiers moulins Ă  marĂ©e commencent Ă  moudre le grain des moissons. Ni Sarzeau, ni Arzon, ni Suscinio, ni le port du Crouesty n'existent encore, mais l'abbaye Saint-Gildas de Rhuys porte son rayonnement bien au-delĂ  des frontiĂšres de la presqu'Ăźle[32].

    Époque moderne

    Vers 1736, la cĂŽte bretonne est triangulĂ©e par les Ă©quipes des Cassini. Le sommet de la tour de l'abbatiale devient un point gĂ©odĂ©sique important pour l'Ă©tablissement de la nouvelle Carte de Cassini. La feuille 159 de Belle-Île[33], oĂč se trouve Saint-Gildas-de-Rhuys, sera levĂ©e dans le dĂ©tail en 1787 et publiĂ©e aprĂšs la RĂ©volution.

    Révolution française

    Sous la Révolution française, la commune, alors nommée simplement Saint-Gildas, porta provisoirement le nom d'Abélard[34]. C'est en 1961 que la commune singularisa son nom en y ajoutant de-Rhuys[34].

    Le XXe siĂšcle

    De 1910 Ă  1947, la commune (gare de Saint-Gildas) est desservie par le trafic ferroviaire de la ligne de Surzur Ă  Port-Navalo des chemins de fer du Morbihan[35].

    Politique et administration

    Mairie de la ville
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2008 André Mocquard DVD Capitaine Marine marchande - Assureur
    2008 2014 Dominique Vanard UDI Professeur
    2014
    RĂ©Ă©lu en 2020[36]
    En cours Alain Layec DVG
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[38].

    En 2020, la commune comptait 1 552 habitants[Note 7], en diminution de 8,17 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0231 0091 1211 0381 1821 2621 2651 2221 281
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2321 2201 3571 3951 1821 3271 2901 2871 284
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2631 2781 2521 1801 2451 2301 1811 1771 003
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9719119801 0351 1411 4361 6011 6491 685
    2018 2020 - - - - - - -
    1 5171 552-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2018, selon l'Insee, 73,0 % des logements Ă©taient des rĂ©sidences secondaires Ă  Saint-Gildas-de-Rhuys. La commune est en 2017, aprĂšs Larmor-Baden et Arzon, la commune de Bretagne oĂč les retraitĂ©s ont le niveau de vie le plus Ă©levĂ© (revenu imposable de 33 515 euros par mĂ©nage)[41].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les modillons de l'Ă©glise abbatiale.

    Petit patrimoine

    Il existe un certain nombre de mégalithes, menhirs et dolmens, non répertoriés ici, repérables sur la carte IGN du lieu.

    On trouve plus d'une quarantaine de fontaines, plus ou moins bien cachĂ©es, sur le territoire. Certaines sont datĂ©es (la plus ancienne semble ĂȘtre celle dite « de l'abbaye », vers la mer), tandis que d'autres sont fausses et uniquement dĂ©coratives.

    D'anciens cadrans solaires en ardoise ornent les façades de quelques maisons. D'autres, modernes et décoratifs se découvrent aussi au gré des promenades. Plusieurs croix ou calvaires bordent également les chemins du village.

    Le port

    Photo du Port Aux Moines

    La ville de Saint Gildas possĂšde un port entre les plages de "Kerfago" et de "Port Maria" appelĂ© Port Aux Moines. Jadis abri naturel dans une faille de rochers utilisĂ© par les moines de l’abbaye, Port aux Moines existe toujours au sein du port actuel. Celui-ci a Ă©tĂ© inaugurĂ© le 15 aoĂ»t 1965, en prĂ©sence de MM. Pierre Messmer et Raymond Marcellin. Sa capacitĂ© est de 117 bateaux. Les emplacements sont louĂ©s au mois ou Ă  l’annĂ©e. La majoritĂ© de ses utilisateurs sont des pĂȘcheurs plaisanciers. Les dĂ©lais d’attente sont variables en fonction des places libĂ©rĂ©es, de la longueur et du type de bateau. Le nombre de voiliers tend Ă  diminuer chaque annĂ©e au profit des bateaux Ă  moteur. Le port est aussi Ă©quipĂ© d'une capitainerie.

    Le port possĂšde d'ailleurs une Webcam visionnable 24h/24 sur internet, le lien est Ă  retrouver en bas de la page.

    Tradition

    • Les paysans de Saint-Gildas-de-Rhuys, pour obtenir la fĂ©rtilitĂ© de leur terre, enduisaient de beurre le mĂ©galithe de Krugel en Amonenn ("la Butte du Beurre")[42].

    HĂ©raldique

    D'azur Ă  la bande d'argent chargĂ©e de trois mouchetures d'hermine de sable posĂ©es Ă  plomb, accompagnĂ©e en chef d'une fleur de lys de mer (var: florencĂ©e) aussi d'argent et en pointe d'une tĂȘte de crosse abbatiale d'or.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Nom des habitants des communes françaises : Saint-Gildas-de-Rhuys », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos.
    2. Office public de la langue bretonne, « Kerofis ». .
    3. Philippe Jouët et Kilian Delorme, Atlas historique des pays et terroirs de Bretagne : histoire, ethnographie et linguistique, Morlaix, Skol Vreizh, , 159 p. (ISBN 978-2-915623-28-4).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Sarzeau Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Gildas-de-Rhuys et Sarzeau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Sarzeau Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Gildas-de-Rhuys et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. Martin Vaugoude, « Limiter les résidences secondaires : le sujet qui divise la Bretagne. », sur https://www.letelegramme.fr, (consulté le ).
    17. « Chiffres clés - Logement en 2019 à Saint-Gildas-de-Rhuys » (consulté le ).
    18. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Morbihan » (consulté le ).
    19. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    25. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    30. « Dossier néolithique - INRAP », sur inrap.fr (consulté le ).
    31. « Monuments mégalithiques sur la commune de Saint Gildas de Rhuys - Données Service Régional de l'archéologie - Carte Archéologique », sur https://geobretagne.fr/geonetwork/srv/fre/catalog.search (consulté le ).
    32. Carte Cassini, feuille 159, accĂšs en ligne
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Gildas-de-Rhuys », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    34. Yannic Rome, Grandes et petites histoires des tramways et petits trains du Morbihan, Le FaouĂ«t, Liv'Éditions, coll. « MĂ©moire du Morbihan », , 246 p. (ISBN 2-84497-070-2), « Trois lignes complĂ©mentaires : Vannes-Port-Navalo », p. 124-130.
    35. « Muncipales à Saint-Gildas-de-Rhuys. Alain Layec réélu pour un deuxiÚme mandat », sur Maville.com, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, n° du 15 mars 2018.
    41. Yann Brékilien, "La vie quotidienne des paysans bretons au XIXe siÚcle", Librairie Hachette, 1966.
    42. Philippe Landru, « Tombe de Pierre Messmer », sur landrucimetieres.fr, .

    Voir aussi

    Saint-Gildas-de-Rhuys

    Bibliographie

    • Auzas (Pierre-Marie). Le trĂ©sor de Saint-Gildas-de-Rhuys, prĂ©sentĂ© pendant le CongrĂšs archĂ©ologique de France, 141e session, 1983.
    • Galzain (Michel de). Saint-Gildas-de-Rhuys, Ed. Jos Le DoarĂ©, ChĂąteaulin, 1973, 24 p.
    • Mauny (Michel de). L'abbatiale de Saint-Gildas-de-Rhuys, Association bretonne, 1997.
    • LĂ©o Kerlo, Jacqueline Duroc. Peintres des cĂŽtes de Bretagne, tome V, « de la rade de Lorient Ă  Nantes », Ă©ditions Chasse-MarĂ©e, 2007, (page 126)
      Port Maria Saint-Gildas-de-Rhuys Peinture de Camille GODET, 1935, collection privée Rennes.

    Articles connexes

    Liens externes

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