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Campénéac

Campénéac [kɑ̃peneak] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Campénéac
Campénéac
Blason de Campénéac
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Ploërmel Communauté
Maire
Mandat
Hania Renaudie
2020-2026
Code postal 56800
Code commune 56032
Démographie
Gentilé Campénéacois, Campénéacoise
Population
municipale
1 898 hab. (2020 en diminution de 1,86 % par rapport à 2014)
Densité 31 hab./km2
Population
agglomération
14 900 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 30″ nord, 2° 17′ 36″ ouest
Altitude 80 m
Min. 46 m
Max. 216 m
Superficie 60,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploërmel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Campénéac
Liens
Site web Site officiel de la commune de Campénéac

    Géographie

    • voir la légende ci-après
      Carte topographique de la commune de Campénéac.

    Situation

    Au cœur du Massif armoricain, Campénéac se situe à km au nord-est de Ploërmel, approximativement entre Vannes et Rennes, dans le nord-est du Morbihan, non loin de la forêt de Paimpont, parfois identifiée comme la mythique forêt de Brocéliande.

    Cadre géologique

    Carte géologique du Massif armoricain.
    Dalles de Néant.

    La région de Campénéac est localisée dans le domaine centre armoricain[1], dans la partie médiane du Massif armoricain qui est un socle ouest-européen de faible altitude (maximum 400 m), caractérisé par des surfaces d'aplanissement et qui résulte d'une histoire complexe composée de trois orogenèses : icartienne (Paléoprotérozoïque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Édiacarien 750-540 Ma)[2] et surtout varisque (ou hercynienne, au Dévonien-Carbonifère, 420-300 Ma)[3]. La structure du Massif armoricain résulte de la superposition de l'héritage[4] de ces deux derniers orogènes[5].

    Campénéac est situé dans un vaste bassin sédimentaire constitué de sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion de la chaîne cadomienne et accumulés sur plus de 15 000 m d'épaisseur, sur lesquels repose en discordance des formations paléozoïques sédimentaires[6]. On peut observer à Campénéac, au départ de la route d’Augan, au pied d’un mur, un affleurement de roches briovériennes à faciès « Dalles de Néant » qui se présente sous forme d'alternances de bancs millimétriques d'argilites grises homogènes présentant un débit caractéristique en « baïonnette » ou « prismatique » dû au plan de schistosité, avec des bancs de siltites fines rubanées et des bancs de grès moyens à grossiers, souvent chenalisants et plurimétriques[7]. Les lamines visibles « évoquent des dépôts sédimentaires « rythmiques » analogues aux dépôts de turbidite, tels qu’on les voit aujourd’hui, en milieu marin, généralement au-delà du plateau continental, en aval de débouchés de fleuves à fort débit[8], remaniant des alluvions[9] ».

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 789 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploërmel », sur la commune de Ploërmel, mise en service en 1951[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 749,7 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 44 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,1 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Campénéac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [23] - [24] - [25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 1,3 % 79
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,1 % 4
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 29,7 % 1807
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 13,2 % 805
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 10,1 % 618
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,1 % 130
    Forêts de feuillus 14,3 % 871
    Forêts de conifères 1,3 % 77
    Forêts mélangées 7,7 % 471
    Pelouses et pâturages naturels 5,1 % 313
    Landes et broussailles 13,1 % 800
    Forêt et végétation arbustive en mutation 1,8 % 114
    Source : Corine Land Cover[28]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Kenpeniac en l'an 840[29], Kempeniac en 844, Campaniacum au XIe siècle, Quampeneac en 1398, Quempeneac en 1420, Campeneac en 1467, Guinpeneac en 1630[30].

    Campénéac est issu d'une *Campaniacum, type toponymique formé avec le suffixe d'origine gauloise -acum.

    Campenya en gallo[30].

    Histoire

    Campénéac est un fundus gallo-romain et peut à ce titre être considérée comme une paroisse primitive. Elle est citée comme paroisse dès le IXe siècle [31]. À signaler aussi que le lieu-dit Bernéan ou Brenéen est connu sous les noms de Lis-Broniwin dès l'an 844, date à laquelle il fait l'objet d'une donation du machtiern Riwalt[32]. La paroisse de Campénéac dépendait autrefois du diocèse de Saint-Malo. Campénéac est connue à la cour de Louis XIV, grâce à la chanson des Gars de Campénéac composée en 1585.

    Campénéac est le lieu de naissance d'Armelle Nicolas (1606-1671), dite la bonne Armelle, servante dont la piété, la charité et les extases mystiques suscitèrent un culte qui perdura en Bretagne jusqu'au début du XXe siècle au moins.

    Campénéac est érigée en commune en 1790 et en chef-lieu de canton. En 1802, Campénéac passe dans l'évêché de Vannes.

    On y parlait le gallo, une langue romane (à la différence du breton qui est une langue celtique), parlée en Haute-Bretagne.

    En août 2022, un incendie se déclare à Campénéac, dans la forêt de Brocéliande[33]. Cet incendie d'origine criminelle[34] détruit 400ha de végétation, notamment au niveau du site mégalithique du tombeau du géant[35] - [36].

    Blasonnement

    Les armoiries de Campénéac se blasonnent ainsi :

    De gueules à trois chevrons d’hermines. (Armes de la famille de Trécesson).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1969 1995 Joseph Picard DVD
    1995 2008 Jean Pelard
    2008 2014 Christian Adelys
    2014 23 mai 2020 Louis-Marie Martin
    23 mai 2020 En cours Hania Renaudie[37] LR Professeure d'université
    Conseillère départementale de Ploërmel (2021 → )
    Vice-présidente de Ploërmel Communauté (2020 → )

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2020, la commune comptait 1 898 habitants[Note 7], en diminution de 1,86 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1502 1662 0542 2072 1892 1572 0642 1072 225
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3142 3032 2792 0302 0702 1092 1772 2402 249
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1342 1162 0711 6461 6381 6491 6431 4581 496
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 4461 3991 3561 3051 4061 4641 6591 7141 917
    2018 2020 - - - - - - -
    1 8811 898-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Armelle Nicolas (1606-1671), dite la bonne Armelle. Le crâne de la bonne Armelle est conservé à titre de relique à la sacristie de l'église de Campénéac. (Le reste du corps est conservé à l'évêché de Vannes.)

    Broceliande Campénéac

    La Brocéliande Campénéac est le club de foot de la commune fondé en 1949. Il se compose de deux équipes senior, une évoluant en District 2 et l'autre en District 4. Avec plus de 100 licenciés, la Brocéliande dispose d'un stade doté de deux terrains et des vestiaires récents. L'école de football est en entente avec les volontaires d'Augan et se développe d'année en année. Cette école possède des équipes de différents niveaux d'âge. Le club dispose d'un site internet[42].

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte des différentes unités litho-structurales de l'ouest du Bassin de Paris et du Massif armoricain, tiré de Michel Ballèvre, « Structure et évolution du Massif armoricain », Géochronique, 105, mars 2008, p. 29-31
    2. (en) [vidéo] Visionner : Plate Tectonics 600Ma to Today by CR Scotese sur YouTube.
    3. (en) [vidéo] Visionner : Plate Tectonics, 540Ma - Modern World - Scotese Animation sur YouTube.
    4. L'orogenèse cadomienne est marquée au nord du massif par des directions N70 (groupes de direction N 60° à N 85° et quelques autres issus de failles associées). L'orogenèse varisque est la principale responsable de l'architecture de la majeure partie du massif, notamment au travers du Cisaillement Nord-Armoricain et des deux branches du Cisaillement Sud Armoricain de direction N110 (séparant les quatre grands domaines armoricains (Nord-armoricain, Centre-armoricain, Sud-armoricain et le Léon), des groupes de failles N 20° à N 40 °, et des directions N140 à N160, héritées du pré-rifting atlantique avorté du Permo-Trias. Ces groupes de failles façonnent les directions du tracé de nombreux plateaux et côtes. Cf Paul Bessin, « Évolution géomorphologique du Massif armoricain depuis 200 MA : approche Terre-Mer », thèse Sciences de la Terre. Université Rennes 1, 2014, p. 98 ; Jacques Garreau, « Remarques sur la tectonique post-hercynienne en Bretagne occidentale », Norois, no 94, , p. 179-192 (lire en ligne).
    5. Michel Ballevre, Valérie Bosse, Marie-Pierre Dabard, Céline Ducassou, Serge Fourcade, et al, « Histoire Géologique du massif Armoricain : Actualité de la recherche », Bulletin de la Société Géologique et Minéralogique de Bretagne, nos 10-11, , p. 5-96.
    6. Yann Bouëssel Du Bourg, La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 23.
    7. [PDF] E. Thomas, N. Brault, A. Carn [et al.], Notice explicative de la feuille Ploërmel à 1/50 000, BRGM, 2004, p. 25
    8. Sédimentation briovérienne, tiré de Éric Thomas, Jean-Marie Outin, Jean-Marie Rivière et al., « Notice explicative de la feuille 316 - Montfort-sur-Meu », BRGM, 1999
    9. « Paysages et Géologie en Brocéliande », sur broceliande.brecilien.org (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Ploërmel - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Campénéac et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Ploërmel - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Campénéac et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    29. Ernest Nègre, no 7535.
    30. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 37
    31. Cartulaire de l'abbaye de Redon, Charte CVII
    32. Chédeville André et Guillotel Hubert, La Bretagne des saints et des rois : Ve – Xe siècle, Rennes, "Ouest-France, , 423 p. (ISBN 2-85882-613-7 et 978-2-85882-613-1, OCLC 417649656), p. 232
    33. « Incendie en forêt de Brocéliande : ce que l’on sait », sur Le Telegramme, (consulté le )
    34. « Un adolescent de 12 ans reconnaît avoir allumé des feux près de la forêt de Brocéliande », Le HuffPost, (lire en ligne, consulté le )
    35. Marie-Eve Lacasse, « Brocéliande: l’incendie fixé, le mythique site du Tombeau du Géant détruit », sur Libération (consulté le )
    36. « Incendie en forêt de Brocéliande : la mairie de Campénéac réfléchit à l'après », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
    37. « Campénéac. Hania Renaudie élue maire », sur Les Infos du pays gallo, (consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. Site du club de football de Campénéac

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Histoire de Campénéac, Egv-Éditions, juillet 2006, (ISBN 2-84766-268-5)
    • Dictionnaire généalogiques des habitants de Campénéac, Ed. généalogiques de la Voûte,2007, 800 p. (ISBN 2-84766-374-6)
    • Fanny Cheval, La Mariée de Trécesson - Une Légende de Campénéac, Beluga (coll. Pays de Légendes), 2016, 40 p.

    Articles connexes

    Liens externes

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