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NĂ©ant-sur-Yvel

NĂ©ant-sur-Yvel [neɑ̃ syʁ ivɛl] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne. Ses habitants sont appelĂ©s les NĂ©antais.

NĂ©ant-sur-Yvel
NĂ©ant-sur-Yvel
La mairie.
Blason de NĂ©ant-sur-Yvel
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Ploërmel Communauté
Maire
Mandat
Philippe Louapre
2020-2026
Code postal 56430
Code commune 56145
DĂ©mographie
Gentilé Néantais, Néantaise
Population
municipale
1 119 hab. (2020 en augmentation de 11,79 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 35 hab./km2
Population
agglomération
5 592 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 00â€Č 51″ nord, 2° 19â€Č 40″ ouest
Altitude 65 m
Min. 37 m
Max. 150 m
Superficie 32,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploërmel
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes de NĂ©ant-sur-Yvel
    Guilliers Mauron
    NĂ©ant-sur-Yvel Paimpont
    (Ille-et-Vilaine)
    Loyat Tréhorenteuc

    Situation

    NĂ©ant-sur-Yvel se trouve dans la rĂ©gion de la forĂȘt de Paimpont, Ă  l'ouest de Rennes. La commune est traversĂ©e par l'Yvel et comporte deux Ă©tangs: celui du Boissy et celui de Tlohan.

    Cadre géologique

    Carte géologique du Massif armoricain.

    La rĂ©gion de NĂ©ant-sur-Yvel est localisĂ©e dans le domaine centre armoricain[1], dans la partie mĂ©diane du Massif armoricain qui est un socle ouest-europĂ©en de faible altitude (maximum 400 m), caractĂ©risĂ© par des surfaces d'aplanissement et qui rĂ©sulte d'une histoire complexe composĂ©e de trois orogenĂšses : icartienne (PalĂ©oprotĂ©rozoĂŻque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Édiacarien 750-540 Ma)[2] et surtout varisque (ou hercynienne, au DĂ©vonien-CarbonifĂšre, 420-300 Ma)[3]. La structure du Massif armoricain rĂ©sulte de la superposition de l'hĂ©ritage[4] de ces deux derniers orogĂšnes[5].

    NĂ©ant est situĂ© dans un vaste bassin sĂ©dimentaire constituĂ© de sĂ©diments dĂ©tritiques essentiellement silto-grĂ©seux issus de l'Ă©rosion de la chaĂźne cadomienne et accumulĂ©s sur plus de 15 000 m d'Ă©paisseur, sur lesquels repose en discordance des formations palĂ©ozoĂŻques sĂ©dimentaires[6]. La commune a donnĂ© son nom d'une formation gĂ©ologique, les roches briovĂ©riennes Ă  faciĂšs « Dalles de NĂ©ant » qui se prĂ©sentent sous forme d'alternances de bancs millimĂ©triques d'argilites grises homogĂšnes prĂ©sentant un dĂ©bit caractĂ©ristique en « baĂŻonnette » ou « prismatique » dĂ» au plan de schistositĂ©, avec des bancs de siltites fines rubanĂ©es et des bancs de grĂšs moyens Ă  grossiers, souvent chenalisants et plurimĂ©triques[7]. Les lamines visibles « Ă©voquent des dĂ©pĂŽts sĂ©dimentaires « rythmiques » analogues aux dĂ©pĂŽts de turbidite, tels qu’on les voit aujourd’hui, en milieu marin, gĂ©nĂ©ralement au-delĂ  du plateau continental, en aval de dĂ©bouchĂ©s de fleuves Ă  fort dĂ©bit[8], remaniant des alluvions[9] ».

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 808 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mauron », sur la commune de Mauron, mise en service en 1969[16] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[17] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 761,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et Ă  46 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[21], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Néant-sur-Yvel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [23] - [24] - [25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PloĂ«rmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (69,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (44,6 %), forĂȘts (21,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (7,5 %), prairies (4,8 %), zones urbanisĂ©es (1,3 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[29].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté sous la forme Neant (sans accent) en 1330 puis en 1426[30].

    À l'origine, la commune ne portait que le nom de NĂ©ant. Sans considĂ©ration des formes mĂ©diĂ©vales, on y a vu (phonĂ©tiquement) le breton Neñv signifiant « Les Cieux » ou « Le Paradis »[31]. En fait, on peut poser un anthroponyme vieux-breton *Neizan, dont l'Ă©volution normale est /nĂ©an/, identique au Neizan vannetais (par ailleurs ancien dieu associĂ© aux riviĂšres).

    C'est Ă  force de voir le courrier dĂ©truit par une mauvaise interprĂ©tation du nom, que, pendant la Seconde Guerre mondiale, un arrĂȘtĂ© officiel ajouta le dĂ©terminant « sur-Yvel »[32].

    Le nom de la localité en gallo est Nyan[33].

    Histoire

    Le 19 juillet 2011 vers 5 h 20 du matin, une météorite (non retrouvée) termine sa course à Néant-sur-Yvel selon les estimations données du Planétarium de l'Espace des Sciences de Rennes[34].

    Le documentaire Les Enfants de Néant de Michel Brault raconte l'histoire d'un paysan obligé d'abandonner sa terre pour aller travailler à l'usine Citroën prÚs de Rennes en 1968.

    Blasonnement

    Les armoiries de NĂ©ant-sur-Yvel se blasonnent ainsi :
    D’argent au rocher de sable sommĂ© d’une croix latine d’argent et soutenu de deux feuilles de chĂȘne ployĂ©es de sinople et passĂ©es en sautoir, au chef parti de gueules Ă  sept mĂącles d’or, trois, trois et une, et au lambel Ă  quatre pendants d’argent, et d’azur aux lettres capitales M surmontĂ©e d’un V imbriquĂ©es et sommĂ©es d’une Ă©pĂ©e versĂ©e, le tout d’or.
    Devise « Caritas super eminat ».
    Conc. J.C. Renaud et Y. Garaud.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001
    RĂ©Ă©lu en 2008, 2014 et 2020[35]
    En cours Philippe Louapre
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 1 119 habitants[Note 7], en augmentation de 11,79 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4801 5531 3831 4621 6921 6641 6471 6761 715
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6501 6961 6441 6161 6141 8451 6301 6151 624
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5451 5661 5441 3561 3631 3581 2551 1401 082
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 076939870835882851950964994
    2017 2020 - - - - - - -
    1 0871 119-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau de Koad Ar Roc'h (chĂąteau du Bois de la Roche) est un centre de vacances naturiste. Le domaine de 110 hectares comprend des bois, des prairies et deux lacs (un pour la pĂȘche, oĂč l'on vient avec sa gaule, et un pour la baignade).
    • L'Ă©glise Saint-Pierre, la croix qui la jouxte et la croix de cimetiĂšre.
    • Le jardin aux Moines : tumulus mĂ©galithique.
    • Le bois du tombeau : ces incontournables landes oĂč est Ă©rigĂ© le tombeau de Alphonse GuĂ©rin : inventeur du pansement ouatĂ©,
    • La Ville aux Feuves : Village en dessous des landes de BrocĂ©liande (TrĂ©horenteuc).
    • La Ville Zine : Village typique composĂ© de maisons bretonnes bĂąties en pierre rouge du pays.
    • Le Bois Bily : Village oĂč se situe une petite chapelle, conservĂ©e grĂące aux habitants du village. Celle-ci a Ă©tĂ© remise en Ă©tat dans les annĂ©es 1990.
    • L'ancienne Ă©glise Sainte-Anne du Bois de la Roche.
    • La fontaine d'Anne-Toussainte-de-Volvire (1653-1694) : alors que son convoi mortuaire, traĂźnĂ© par des bƓufs, menait le corps de cette pieuse jeune femme, qui avait renoncĂ© Ă  se marier pour se consacrer Ă  Dieu, Ă  l'Ă©glise paroissiale, une source jaillit Ă  l'endroit oĂč le convoi funĂšbre s'Ă©tait arrĂȘtĂ© ; l'eau de la fontaine qui a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e Ă  cet endroit est rĂ©putĂ©e combattre toutes les maladies et est encore frĂ©quentĂ©e par des pĂšlerins[40].
    • Le jardin aux Moines.
      Le jardin aux Moines.
    • Le cĂŽtĂ© sud de l’église Saint-Pierre.
      Le cĂŽtĂ© sud de l’église Saint-Pierre.
    • La façade de l'Ă©glise et la croix.
      La façade de l'église et la croix.
    • La tour de l'Ă©glise
      La tour de l'Ă©glise

    Personnalités liées à la commune

    Le compositeur et poĂšte Jacques Rebotier prĂ©tend y ĂȘtre nĂ© en 1950.

    Curiosités

    Dans la forĂȘt de Paimpont, on peut trouver un panneau routier indiquant simplement NĂ©ant.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[13].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte des différentes unités litho-structurales de l'ouest du Bassin de Paris et du Massif armoricain, tiré de Michel BallÚvre, « Structure et évolution du Massif armoricain », Géochronique, 105, mars 2008, p. 29-31
    2. (en) [vidéo] Visionner : Plate Tectonics 600Ma to Today by CR Scotese sur YouTube.
    3. (en) [vidéo] Visionner : Plate Tectonics, 540Ma - Modern World - Scotese Animation sur YouTube.
    4. L'orogenĂšse cadomienne est marquĂ©e au nord du massif par des directions N70 (groupes de direction N 60° Ă  N 85° et quelques autres issus de failles associĂ©es). L'orogenĂšse varisque est la principale responsable de l'architecture de la majeure partie du massif, notamment au travers du Cisaillement Nord-Armoricain et des deux branches du Cisaillement Sud Armoricain de direction N110 (sĂ©parant les quatre grands domaines armoricains (Nord-armoricain, Centre-armoricain, Sud-armoricain et le LĂ©on), des groupes de failles N 20° Ă  N 40 °, et des directions N140 Ă  N160, hĂ©ritĂ©es du prĂ©-rifting atlantique avortĂ© du Permo-Trias. Ces groupes de failles façonnent les directions du tracĂ© de nombreux plateaux et cĂŽtes. Cf Paul Bessin, « Évolution gĂ©omorphologique du Massif armoricain depuis 200 MA : approche Terre-Mer », thĂšse Sciences de la Terre. UniversitĂ© Rennes 1, 2014, p. 98 ; Jacques Garreau, « Remarques sur la tectonique post-hercynienne en Bretagne occidentale », Norois, no 94,‎ , p. 179-192 (lire en ligne).
    5. Michel Ballevre, ValĂ©rie Bosse, Marie-Pierre Dabard, CĂ©line Ducassou, Serge Fourcade, et al, « Histoire GĂ©ologique du massif Armoricain : ActualitĂ© de la recherche », Bulletin de la SociĂ©tĂ© GĂ©ologique et MinĂ©ralogique de Bretagne, nos 10-11,‎ , p. 5-96.
    6. Yann BouĂ«ssel Du Bourg, La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 23.
    7. [PDF] E. Thomas, N. Brault, A. Carn [et al.], Notice explicative de la feuille Ploërmel à 1/50 000, BRGM, 2004, p. 25
    8. SĂ©dimentation briovĂ©rienne, tirĂ© de Éric Thomas, Jean-Marie Outin, Jean-Marie RiviĂšre et al., « Notice explicative de la feuille 316 - Montfort-sur-Meu », BRGM, 1999
    9. « Paysages et Géologie en Brocéliande », sur broceliande.brecilien.org (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Mauron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Néant-sur-Yvel et Mauron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Mauron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Néant-sur-Yvel et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    30. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804, lire en ligne), p. 375
    31. Association des romanistes de l'Université de LiÚge, 1980, Marche romane, Volume 30, page 187.
    32. Olivier ClĂ©ro, OĂč est tombĂ©e la mĂ©tĂ©orite ? A NĂ©ant, Ouest-France, Ă©ditions d'Ille-et-Vilaine, 17-18 septembre 2011
    33. (br) Erwan Vallerie, DiazezoĂč studi istorel an anvioĂč-parrez = TraitĂ© de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 126
    34. https://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Ou-est-tombee-la-meteorite-a-Neant..._39382-1989735_actu.Htm
    35. « Municipales à Néant-sur-Yvel. Philippe Louapre repart pour un quatriÚme mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. http://fontaines.bretagne.free.fr/presentation2.php?id=84

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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