NĂ©ant-sur-Yvel
NĂ©ant-sur-Yvel [neÉÌ syÊ ivÉl] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne. Ses habitants sont appelĂ©s les NĂ©antais.
NĂ©ant-sur-Yvel | |
La mairie. | |
HĂ©raldique |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Bretagne |
DĂ©partement | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Ploërmel Communauté |
Maire Mandat |
Philippe Louapre 2020-2026 |
Code postal | 56430 |
Code commune | 56145 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Néantais, Néantaise |
Population municipale |
1 119 hab. (2020 ) |
Densité | 35 hab./km2 |
Population agglomération |
5 592 hab. |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 00âČ 51âł nord, 2° 19âČ 40âł ouest |
Altitude | 65 m Min. 37 m Max. 150 m |
Superficie | 32,3 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Ploërmel (commune de la couronne) |
Ălections | |
Départementales | Canton de Ploërmel |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | |
GĂ©ographie
Situation
NĂ©ant-sur-Yvel se trouve dans la rĂ©gion de la forĂȘt de Paimpont, Ă l'ouest de Rennes. La commune est traversĂ©e par l'Yvel et comporte deux Ă©tangs: celui du Boissy et celui de Tlohan.
Cadre géologique
La rĂ©gion de NĂ©ant-sur-Yvel est localisĂ©e dans le domaine centre armoricain[1], dans la partie mĂ©diane du Massif armoricain qui est un socle ouest-europĂ©en de faible altitude (maximum 400 m), caractĂ©risĂ© par des surfaces d'aplanissement et qui rĂ©sulte d'une histoire complexe composĂ©e de trois orogenĂšses : icartienne (PalĂ©oprotĂ©rozoĂŻque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Ădiacarien 750-540 Ma)[2] et surtout varisque (ou hercynienne, au DĂ©vonien-CarbonifĂšre, 420-300 Ma)[3]. La structure du Massif armoricain rĂ©sulte de la superposition de l'hĂ©ritage[4] de ces deux derniers orogĂšnes[5].
NĂ©ant est situĂ© dans un vaste bassin sĂ©dimentaire constituĂ© de sĂ©diments dĂ©tritiques essentiellement silto-grĂ©seux issus de l'Ă©rosion de la chaĂźne cadomienne et accumulĂ©s sur plus de 15 000 m d'Ă©paisseur, sur lesquels repose en discordance des formations palĂ©ozoĂŻques sĂ©dimentaires[6]. La commune a donnĂ© son nom d'une formation gĂ©ologique, les roches briovĂ©riennes Ă faciĂšs « Dalles de NĂ©ant » qui se prĂ©sentent sous forme d'alternances de bancs millimĂ©triques d'argilites grises homogĂšnes prĂ©sentant un dĂ©bit caractĂ©ristique en « baĂŻonnette » ou « prismatique » dĂ» au plan de schistositĂ©, avec des bancs de siltites fines rubanĂ©es et des bancs de grĂšs moyens Ă grossiers, souvent chenalisants et plurimĂ©triques[7]. Les lamines visibles « Ă©voquent des dĂ©pĂŽts sĂ©dimentaires « rythmiques » analogues aux dĂ©pĂŽts de turbidite, tels quâon les voit aujourdâhui, en milieu marin, gĂ©nĂ©ralement au-delĂ du plateau continental, en aval de dĂ©bouchĂ©s de fleuves Ă fort dĂ©bit[8], remaniant des alluvions[9] ».
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mauron », sur la commune de Mauron, mise en service en 1969[16] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[17] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 761,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et Ă 46 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă 12,1 °C pour 1981-2010[21], puis Ă 12,4 °C pour 1991-2020[22].
Urbanisme
Typologie
Néant-sur-Yvel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [23] - [24] - [25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26] - [27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (69,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (44,6 %), forĂȘts (21,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,6 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (7,5 %), prairies (4,8 %), zones urbanisĂ©es (1,3 %)[28].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[29].
Toponymie
Le nom de la commune est attesté sous la forme Neant (sans accent) en 1330 puis en 1426[30].
à l'origine, la commune ne portait que le nom de Néant. Sans considération des formes médiévales, on y a vu (phonétiquement) le breton Neñv signifiant « Les Cieux » ou « Le Paradis »[31]. En fait, on peut poser un anthroponyme vieux-breton *Neizan, dont l'évolution normale est /néan/, identique au Neizan vannetais (par ailleurs ancien dieu associé aux riviÚres).
C'est Ă force de voir le courrier dĂ©truit par une mauvaise interprĂ©tation du nom, que, pendant la Seconde Guerre mondiale, un arrĂȘtĂ© officiel ajouta le dĂ©terminant « sur-Yvel »[32].
Histoire
Le 19 juillet 2011 vers 5 h 20 du matin, une météorite (non retrouvée) termine sa course à Néant-sur-Yvel selon les estimations données du Planétarium de l'Espace des Sciences de Rennes[34].
Le documentaire Les Enfants de Néant de Michel Brault raconte l'histoire d'un paysan obligé d'abandonner sa terre pour aller travailler à l'usine Citroën prÚs de Rennes en 1968.
Blasonnement
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Les armoiries de NĂ©ant-sur-Yvel se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 1 119 habitants[Note 7], en augmentation de 11,79 % par rapport Ă 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Le chĂąteau de Koad Ar Roc'h (chĂąteau du Bois de la Roche) est un centre de vacances naturiste. Le domaine de 110 hectares comprend des bois, des prairies et deux lacs (un pour la pĂȘche, oĂč l'on vient avec sa gaule, et un pour la baignade).
- L'Ă©glise Saint-Pierre, la croix qui la jouxte et la croix de cimetiĂšre.
- Le jardin aux Moines : tumulus mégalithique.
- Le bois du tombeau : ces incontournables landes oĂč est Ă©rigĂ© le tombeau de Alphonse GuĂ©rin : inventeur du pansement ouatĂ©,
- La Ville aux Feuves : Village en dessous des landes de Brocéliande (Tréhorenteuc).
- La Ville Zine : Village typique composé de maisons bretonnes bùties en pierre rouge du pays.
- Le Bois Bily : Village oĂč se situe une petite chapelle, conservĂ©e grĂące aux habitants du village. Celle-ci a Ă©tĂ© remise en Ă©tat dans les annĂ©es 1990.
- L'ancienne Ă©glise Sainte-Anne du Bois de la Roche.
- La fontaine d'Anne-Toussainte-de-Volvire (1653-1694) : alors que son convoi mortuaire, traĂźnĂ© par des bĆufs, menait le corps de cette pieuse jeune femme, qui avait renoncĂ© Ă se marier pour se consacrer Ă Dieu, Ă l'Ă©glise paroissiale, une source jaillit Ă l'endroit oĂč le convoi funĂšbre s'Ă©tait arrĂȘtĂ© ; l'eau de la fontaine qui a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e Ă cet endroit est rĂ©putĂ©e combattre toutes les maladies et est encore frĂ©quentĂ©e par des pĂšlerins[40].
- Le jardin aux Moines.
- Le cĂŽtĂ© sud de lâĂ©glise Saint-Pierre.
- La façade de l'église et la croix.
- La tour de l'Ă©glise
Personnalités liées à la commune
Le compositeur et poĂšte Jacques Rebotier prĂ©tend y ĂȘtre nĂ© en 1950.
Curiosités
Dans la forĂȘt de Paimpont, on peut trouver un panneau routier indiquant simplement NĂ©ant.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[13].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Carte des différentes unités litho-structurales de l'ouest du Bassin de Paris et du Massif armoricain, tiré de Michel BallÚvre, « Structure et évolution du Massif armoricain », Géochronique, 105, mars 2008, p. 29-31
- (en) [vidéo] Visionner : Plate Tectonics 600Ma to Today by CR Scotese sur YouTube.
- (en) [vidéo] Visionner : Plate Tectonics, 540Ma - Modern World - Scotese Animation sur YouTube.
- L'orogenĂšse cadomienne est marquĂ©e au nord du massif par des directions N70 (groupes de direction N 60° Ă N 85° et quelques autres issus de failles associĂ©es). L'orogenĂšse varisque est la principale responsable de l'architecture de la majeure partie du massif, notamment au travers du Cisaillement Nord-Armoricain et des deux branches du Cisaillement Sud Armoricain de direction N110 (sĂ©parant les quatre grands domaines armoricains (Nord-armoricain, Centre-armoricain, Sud-armoricain et le LĂ©on), des groupes de failles N 20° Ă N 40 °, et des directions N140 Ă N160, hĂ©ritĂ©es du prĂ©-rifting atlantique avortĂ© du Permo-Trias. Ces groupes de failles façonnent les directions du tracĂ© de nombreux plateaux et cĂŽtes. Cf Paul Bessin, « Ăvolution gĂ©omorphologique du Massif armoricain depuis 200 MA : approche Terre-Mer », thĂšse Sciences de la Terre. UniversitĂ© Rennes 1, 2014, p. 98 ; Jacques Garreau, « Remarques sur la tectonique post-hercynienne en Bretagne occidentale », Norois, no 94,â , p. 179-192 (lire en ligne).
- Michel Ballevre, ValĂ©rie Bosse, Marie-Pierre Dabard, CĂ©line Ducassou, Serge Fourcade, et al, « Histoire GĂ©ologique du massif Armoricain : ActualitĂ© de la recherche », Bulletin de la SociĂ©tĂ© GĂ©ologique et MinĂ©ralogique de Bretagne, nos 10-11,â , p. 5-96.
- Yann BouĂ«ssel Du Bourg, La Bretagne, Ăditions d'Organisation, , p. 23.
- [PDF] E. Thomas, N. Brault, A. Carn [et al.], Notice explicative de la feuille Ploërmel à 1/50 000, BRGM, 2004, p. 25
- SĂ©dimentation briovĂ©rienne, tirĂ© de Ăric Thomas, Jean-Marie Outin, Jean-Marie RiviĂšre et al., « Notice explicative de la feuille 316 - Montfort-sur-Meu », BRGM, 1999
- « Paysages et Géologie en Brocéliande », sur broceliande.brecilien.org (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- Association des romanistes de l'Université de LiÚge, 1980, Marche romane, Volume 30, page 187.
- Olivier ClĂ©ro, OĂč est tombĂ©e la mĂ©tĂ©orite ? A NĂ©ant, Ouest-France, Ă©ditions d'Ille-et-Vilaine, 17-18 septembre 2011
- (br) Erwan Vallerie, DiazezoĂč studi istorel an anvioĂč-parrez = TraitĂ© de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 126
- https://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Ou-est-tombee-la-meteorite-a-Neant..._39382-1989735_actu.Htm
- « Municipales à Néant-sur-Yvel. Philippe Louapre repart pour un quatriÚme mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- http://fontaines.bretagne.free.fr/presentation2.php?id=84
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes du Morbihan
- Les Enfants de NĂ©ant
- Gare de Néant - Bois-de-la-Roche (ancienne gare fermée)
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Néant-sur-Yvel sur le site de l'Institut géographique national
- Centre naturiste de Koad-Ar-Roc'h