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IXe millénaire av. J.-C.

Le IXe millĂ©naire av. J.-C. couvre la pĂ©riode allant de l’an 9000 av. J.-C. Ă  l’an 8001 av. J.-C. compris.

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Liste des millénaires | Chiffres romains


Le IXe millénaire av. J.-C. voit l'émergence de l'agriculture au Proche-Orient, qui marque le début du Néolithique dans la région.

Évùnements mondiaux

  • La population mondiale passe de 4 millions Ă  100 millions d'individus entre 9000 et 3000 av. J.-C.[1].
  • 8600-7500 av. J.-C. : BorĂ©al. Climat plus sec et plus chaud en Europe. La vĂ©gĂ©tation est dominĂ©e par les noisetiers, les Ă©rables, les pins et les bouleaux ; la faune par les Ă©lans, les castors, les aurochs, les sangliers, les cerfs et les chevreuils[2].

Afrique

La dame aux yeux bandĂ©es, peinture rupestre de Sefar, dans le Tassili n'Ajjer, AlgĂ©rie (pĂ©riode des tĂȘtes rondes).
  • 8850-7850 av. J.-C. : nĂ©olithique ancien 1 (phase El Adam) en Haute-Égypte. AriditĂ© moyenne. Poterie, millet sauvage, gazelle. La prĂ©sence d'os et de dents de grands bovins laisse prĂ©sager une hypothĂ©tique domestication. De 8850 Ă  4250 av. J.-C., les nombreuses installations prĂ©historiques dans les oasis Ă  l’Ouest du Nil, notamment les sites de Nabta Playa (Égypte) et du Wadi Howar (Soudan) correspondent Ă  des pĂ©riodes humides et arides alernĂ©es. Des chasseurs nomades parcourent des zones boisĂ©es aujourd’hui dĂ©sertiques. La vallĂ©e du Nil, immense marĂ©cage, n’offre aucune possibilitĂ© de rĂ©sidence fixe[3].
  • 8800-5100 av. J.-C. : maximum humide en Afrique occidentale (subpluvial nĂ©olithique) qui bĂ©nĂ©ficie d'un climat de mousson, rĂ©vĂ©lĂ© par un important apport de sĂ©diments fluviaux dans le golfe de GuinĂ©e avec un maximum de 8400 Ă  7600 av. J.-C. Le Sahara est verdoyant et parsemĂ© de cours d’eau et de lacs, le lac Tchad atteint 340 000 km2 contre 24 000 au dĂ©but du IIIe millĂ©naire[4].
  • Vers 8500 av. J.-C. : premiĂšre utilisation d’outils microlithiques au Sahara[5]. MontĂ©s sur un manche d’os ou de bois, ils fournissent des faucilles pour rĂ©colter les graminĂ©es sauvages. D’autres sont fixĂ©s comme pointes et barbelures sur des flĂšches et des harpons, parfois assujettis Ă  l’aide du mastic produit par les lentisques. DĂ©buts de l’art rupestre du Sahara. Dans l’Akakus et la Tassili n'Ajjer, les peintures du style des « tĂȘtes rondes » sont postĂ©rieures Ă  la date de 8000 ± 900 av. J.-C.[6]. La chronologie classique Ă©tablie selon les styles, distingue les pĂ©riodes archaĂŻques, dites « bubaline » (reprĂ©sentation du grand buffle, Bubalus antiquus) et « tĂȘte ronde », et la pĂ©riode pastorale (domestication des bovidĂ©s, entre 4500 et 4000 av. J.-C.), puis Ă  la proto-histoire, une pĂ©riode caballine (introduction du cheval) et une autre camĂ©line (introduction du dromadaire). Les dĂ©nominations « bubaline » et « pastorale » tendent Ă  ĂȘtre abandonnĂ©es au profit des styles dits « du Mesāk » et « de Tazina » pour les gravures et des « TĂȘtes Rondes » et d’Eheren pour les peintures[7].
  • Vers 8550-8240 av. J.-C. : industrie microlithique (pointes de Bir Ounan) associĂ©e Ă  des meules et des tessons de cĂ©ramique dans l'Adrar Bous dans le TĂ©nĂ©rĂ© au Niger, laissĂ© par des chasseurs-pĂȘcheurs-cueilleurs appartenant Ă  la culture kiffienne[8].

Amérique

Pointe de PaijĂĄn.
  • Vers 8800-6500 av. J.-C. : culture de PaijĂĄn (en) sur la cĂŽte nord du PĂ©rou entre 10 800 et 8 500 ans avant le prĂ©sent[12]. PĂšche au harpon Ă  pointe de pierre effilĂ©e, cueillette des escargots, chasse de petits animaux (viscache) et utilisation de meules. Les restes humains les plus anciens sont datĂ©s de 10 200 Â± 180 ans avant le prĂ©sent[13].
  • 8700-6700 av. J.-C. : occupation de la grotte de GuilĂĄ Naquitz dans la vallĂ©e d’Oaxaca au Mexique par des chasseurs-cueilleurs[14]. On voit apparaitre une sĂ©paration des activitĂ©s entre les sexes.
  • Vers 8600-5500 av. J.-C. : le site de Cueva del Guitarrero, dans le CallejĂłn de Huaylas, au PĂ©rou, livre des restes de piment apparemment cultivĂ© datĂ©s entre 8600 et 8000 av. J.-C. Le haricot de Lima et le haricot commun apparaissent vers 7000 Ă  6000, le maĂŻs vers 5500, les amarantes et les courges vers 5000 av. J.-C.[15]. Cinquante-cinq piĂšces de cordages et treize fragments de textiles, datant probablement des IXe au VIe millĂ©naires avant notre Ăšre, ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s sur le site[16].
  • Vers 8500-8160 av. J.-C. : le cobaye (cuy), apparait associĂ© Ă  des ossements humains dans l'abri sous roche de Jayhuamachay (es), situĂ© dans une forĂȘt humide Ă  3 350 mĂštres, dans la rĂ©gion d'Ayacucho au PĂ©rou, dans les Andes centrales, occupĂ© entre 8500 et 8160 av. J.-C.[17].
  • Vers 8200-7200 av. J.-C. : des sandales en Ă©corce d'armoise, trouvĂ©es dans la grotte de Fort Rock en Oregon, sont les plus anciennes chaussures jamais dĂ©couvertes, datant de 10 200 Ă  9 200 ans avant le prĂ©sent[18].

Asie et Pacifique

Idole de Shigir, dessin de Vladimir Tolmachev, 1916.
  • Vers 9000 av. J.-C. : idole de Shigir, la plus ancienne sculpture en bois conservĂ©e, taillĂ©e dans un tronc de mĂ©lĂšze, dĂ©couverte dans l’Oural au XIXe siĂšcle[19].
  • Vers 9000-4000 av. J.-C. : haches-herminettes de Nouvelle-GuinĂ©e produites entre 1 000 et 6 000 ans avant le prĂ©sent[20] - [21], interprĂ©tĂ©es comme des outils de dĂ©frichage et de dĂ©broussaillage, pour favoriser la pousse des formes sauvages de sagou, de taro, d’igname et de bananes, qui poussent Ă  l’orĂ©e des forĂȘts.
  • Vers 8500 av. J.-C. : homme de Wajak, dĂ©couvert dans l'est de l'Ăźle de Java par EugĂšne Dubois en 1888, datĂ© d'environ de 10 500 ans avant le prĂ©sent Ă  partir d'Ă©chantillons de faune qui lui sont associĂ©s[22].
  • En Inde, de nombreux sites mĂ©solithiques ont Ă©tĂ© dĂ©couverts dans le Rajasthan (Bagor (en), Tilwara), le Gujerat (Langhnaj (en)) et en Inde centrale (Adamgarh (en)). L’augmentation du nombre de sites par rapport Ă  ceux du palĂ©olithique semble indiquer des modifications climatiques. On observe la miniaturisation des outils qui correspond Ă  une amĂ©lioration des techniques de chasse, de pĂȘche et de cueillette. Des microlithes gĂ©omĂ©triques apparaissent, permettant la fabrication de pointes de flĂšches et de harpons. Ces piĂšces proviennent de zones Ă  Ă©conomie mixte, oĂč l’élevage des chĂšvres et des moutons joue un rĂŽle important Ă  cĂŽtĂ© des activitĂ©s de chasse. Ces microlithes se rattachent par leur type Ă  des traditions d’Asie centrale remontant aux VIIe-VIe millĂ©naires mais ils sont dans plusieurs sites associĂ©s Ă  des productions plus tardives, jusqu’à l’ñge du fer (Langhnaj)[23].

Proche-Orient

Réplique du masque en pierre peinte de Nahal Hemar, dans le désert de Judée, vers 8000 av. J.-C.
PremiĂšre tentative d’agriculture : dans le nord de la Syrie, un groupe d’agriculteurs nomades aurait sĂ©lectionnĂ© avec l’aide de la faucille et pendant au moins vingt ans des Ă©pis mutants d’engrain sauvage (les grains adhĂ©rant aux Ă©pis), dans des champs chaque fois diffĂ©rents pour ne pas mĂ©langer les grains, crĂ©ant ainsi (par hasard ?), le blĂ© domestique[24].
  • 8800-7600 av. J.-C. : nĂ©olithique prĂ©cĂ©ramique B ancien ou PPNB, Prepottery Neolithic B (pĂ©riode III). Site de JĂ©richo) et moyen (site de Beidha) dans le Levant. PrĂ©cĂ©ramique en Anatolie (Hacilar (en), ÇayönĂŒ. Une protoagriculture est vraisemblable Ă  Mureybet, attestĂ©e par l’augmentation considĂ©rable de la part des cĂ©rĂ©ales dans les analyses polliniques. Du blĂ© amidonnier domestique est prĂ©sent Ă  JĂ©richo, dans la vallĂ©e du Jourdain. DĂ©but de l’économie agricole dans les rĂ©gions de Damas et du Moyen-Euphrate dans le nord de la Syrie. Les villageois plantent des cĂ©rĂ©ales sauvages (engrain des collines du Taurus) sur des terrains prĂ©parĂ©s en dehors de leur biotope naturel. PrĂ©sence de blĂ© amidonnier, de lentilles et de pois dans les plus anciens niveaux de Tell Assouad, dans la rĂ©gion de Damas. Entre 8500 et 8000 av. J.-C., les nouvelles sociĂ©tĂ©s villageoises d’agriculteurs immigrent hors de la zone nuclĂ©aire avec leurs techniques, s’installent sur la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne (Ras Shamra), le long de l’Euphrate (Bouqras) et en milieu aride Ă  El-Kowm ou Palmyre. Dans les deux cas, l’environnement n’était pas favorable Ă  une naissance spontanĂ©e de l’agriculture, mais le milieu mĂ©diterranĂ©en plus humide pouvait facilement accueillir des plantes domestiquĂ©es, alors que le milieu aride n’offrait pas les mĂȘmes possibilitĂ©s. L’agriculture y perd de l’importance au profit de la chasse[25].
  • Amorce de sĂ©dentarisation sur le site de Zawi Chemi Shanidar en Irak au dĂ©but du IXe millĂ©naire av. J.-C. : constructions circulaires, matĂ©riel de broyage et technique du polissage. Signe de protoagriculture et de protoĂ©levage du mouton. La culture de cĂ©rĂ©ales s’étend rapidement vers les riches plaines de l’Euphrate avec de l’engrain rĂ©coltĂ© sur les monts Zagros (sites de Ganj Dareh, Ali Kosh (en) et Jarmo). L’élevage ovin et surtout caprin parait avoir un rĂŽle dominant dans le Zagros. On pense qu’il existait des migrations saisonniĂšres pour accompagner les troupeaux dans les vallĂ©es en hiver et en altitude en Ă©tĂ©, Ă  partir d’installations fixes qui Ă©taient Ă  ces moments partiellement dĂ©sertĂ©es. L’agriculture est pratiquĂ©e conjointement[25]. L’orge et le blĂ© apparaissent dans le Zagros iranien sur les sites de Chogha Golan et Chia Sabz Est Ă  la fin du millĂ©naire[26].
  • 8800-6400 av. J.-C. : expansion de la technique de la chaux et du plĂątre, venue du Levant, vers l’Anatolie en passant par l’Euphrate (Mureybet et Abu Hureya), de 8800 Ă  6400 av. J.-C.[25].
  • Vers 8600-8100 av. J.-C. : village de maisons rondes de Mureybet II[27]. L’incendie d’une des maisons a permis d’étudier avec prĂ©cision sa structure : installĂ©e dans une pente et partiellement enterrĂ©e, son toit plat lui donne la forme d’un cylindre. Elle est construite de matĂ©riaux divers, bois, pierre, boue mis en Ɠuvre ensemble en jouant sur leurs qualitĂ©s intrinsĂšques : massivitĂ©, rigiditĂ©, plasticitĂ©. Apparition de la technique du chaĂźnage. L’amorce de divisions intĂ©rieures en piĂšces spĂ©cialisĂ©es introduit le mur rectiligne dans l’architecture.
  • Vers 8400 av. J.-C. : prĂ©sence de bƓufs et de chĂšvres domestiques Ă  Chypre, emmenĂ©s en bateau par les occupants de l’üle. Des moutons et des cochons sont introduits aprĂšs 8000 av. J.-C.[28].
  • Vers 8300-7800 av. J.-C. : premiĂšres traces d'habitation retrouvĂ©es prĂšs de la source de Tell es-Sultan sur le site ancien de JĂ©richo. Elles se composent de murs dĂ©fensifs et d'une tour de 8,2 m datĂ©e de 8300 Ă  7800 av. J.-C.[29]. Le site est occupĂ© depuis le mĂ©solithique (15 000 - 8 300 av. J.-C.) par des chasseurs-cueilleurs qui ont laissĂ© un petit sanctuaire[30] de 3,5 m sur 6,5 m probablement natoufien. L'agglomĂ©ration, considĂ©rĂ©e comme une des plus anciennes villes du monde, devait alors compter de 375 Ă  1 000 habitants[31].
  • Vers 8100-7300 av. J.-C. : village de maisons rectangulaires, en blocs calcaires liĂ©s de mortier d’argile de Mureybet III dans la vallĂ©e de l’Euphrate. L’espace domestique peut ĂȘtre progressivement agrandi. Certains murs sont dĂ©corĂ©s Ă  l’intĂ©rieur de motifs gĂ©omĂ©triques peints[27].
  • PrĂ©mices de la mĂ©tallurgie : des perles de cuivre natif et une Ă©pingle ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es Ă  ÇayönĂŒ, sur l’Euphrate, une perle de plomb Ă  Çatal HöyĂŒk. À partir de ce moment et durant tout le VIIIe millĂ©naire av. J.-C. et le VIIe millĂ©naire av. J.-C., en Anatolie, Syrie (Tell Ramad (en)), MĂ©sopotamie ou Iran, des sites ont fourni quelques petits objets, gĂ©nĂ©ralement de parure, perles ou Ă©pingles, Ă  l’occasion un bracelet en plomb (Yarim Tepe), et mĂȘme des perles en or (TĂ©pĂ© Gawra), mais trĂšs rarement de petits outils[25].
  • Diversification des pratiques architecturales. Abandon du plan circulaire, remplacĂ© par le plan rectangulaire, susceptible d’extension (Mureybet, Cheikh Hassan, dans la vallĂ©e de l’Euphrate en Syrie). L’usage des sols de chaux, apparu Ă  Beidha, se rĂ©pand trĂšs vite. À Beidha et Ă  Basta (Palestine), Ă  ÇayönĂŒ (Taurus) se dĂ©veloppent des maisons rectangulaires Ă  Ă©tage : en soubassement des murs de pierre amĂ©nage des espaces (alvĂ©oles, petites piĂšces, couloirs Ă©troits) servant sans doute au stockage des denrĂ©es ; au niveau supĂ©rieur, trĂšs nettement au-dessus du sol, se trouve un niveau d’habitation, peut ĂȘtre construit en matĂ©riaux plus lĂ©gers[25].
  • BĂątiments communautaires circulaires de Jerf el Ahmar et Mureybet. À la fin du NĂ©olithique prĂ©cĂ©ramique A et au dĂ©but du NĂ©olithique prĂ©cĂ©ramique B, les villages du Haut-Euphrate se dotent de bĂątiments circulaires, souvent amĂ©nagĂ©s en fosse et ornĂ©s d'une iconographie gĂ©omĂ©trique ou naturaliste comme Ă  Jerf el-Ahmar[25].

Notes et références

  1. Olivier David, La population mondiale : Répartition, dynamique et mobilité, Armand Colin, , 224 p. (ISBN 978-2-200-60337-3, présentation en ligne).
  2. Marcel Otte, La protohistoire, Bruxelles/Paris, De Boeck Supérieur, , 382 p. (ISBN 978-2-8041-5923-8, présentation en ligne).
  3. Alain Gallay, « SociĂ©tĂ©s et rites funĂ©raires : le Nil moyen (Soudan) du NĂ©olithique Ă  l’Islamisation », Varia, no 12,‎ , p. 43-80 (prĂ©sentation en ligne).
  4. Sylvain Ozainne, Un néolithique ouest-africain : cadre chrono-culturel, économique et environnemental de l'HolocÚne récent en pays dogon (Mali), Francfort-sur-le-Main, Africa Magna Verlag, , 259 p. (ISBN 978-3-937248-33-2, présentation en ligne).
  5. Axel Van Albada et Anne-Michelle Van Albada, La montagne des hommes-chiens : art rupestre du Messak libyen, vol. 35, Seuil, (présentation en ligne).
  6. Jean-Loïc Le Quellec, Périodisation et chronologie des images rupestres du Sahara central, Préhistoires Méditerranéennes, 2013 (4).
  7. Marc Azéma et Laurent Brasier, Le beau livre de la préhistoire : De Toumaï à Lascaux 4, Dunod, , 420 p. (ISBN 978-2-10-075789-3, présentation en ligne).
  8. Annabelle Gallin, « Clark, Desmond J. et Gifford-Gonzalez, Diane (eds), 2008, Adrar Bous: (en) Archaeology of a Central Saharan Granitic Ring Complex in Niger » (recension), Journal des africanistes, vol. 79, no 2,‎ , p. 408-410 (lire en ligne).
  9. Dictionnaire de la Préhistoire : Les Dictionnaires d'Universalis, Encyclopaedia Universalis, (ISBN 978-2-341-00223-3, présentation en ligne).
  10. Giacomo Giacobini, Hominidae : Actes du 2e CongrÚs International de Paléontologie Humaine, Turin, 28 septembre - 3 octobre 1987, Editoriale Jaca Book, (présentation en ligne).
  11. (en) Stuart J. Fiedel, Prehistory of the Americas, Cambridge University Press, , 400 p. (ISBN 978-0-521-42544-5, présentation en ligne).
  12. (en) Nuno F. Bicho et Jonathan A. Haws auteur3=Loren G. Davis, Trekking the Shore : Changing Coastlines and the Antiquity of Coastal Settlement, New York, NY, Springer Science & Business Media, (ISBN 978-1-4419-8219-3, présentation en ligne).
  13. (en) Jeffrey Quilter, The Ancient Central Andes, Routledge, , 340 p. (ISBN 978-1-317-93524-7, présentation en ligne).
  14. (en) Richard E. Blanton, Ancient Mesoamerica : A Comparison of Change in Three Regions, CUP Archive, , 300 p. (ISBN 978-0-521-29682-3, présentation en ligne).
  15. Jean Guillaume, Ils ont domestiquĂ© plantes et animaux : PrĂ©lude Ă  la civilisation, Versailles, Éditions QuĂŠ, , 480 p. (ISBN 978-2-7592-0892-0 et 2-7592-0892-3, prĂ©sentation en ligne).
  16. (en) James M. Adovasio et Thomas F. Lynch, « Preceramic Textiles and Cordage From Guitarrero Cave, Peru », American Antiquity, vol. 38, no 1,‎ (prĂ©sentation en ligne).
  17. (en) Helaine Silverman et William Isbell, Handbook of South American Archaeology, Springer Science & Business Media, , 1192 p. (ISBN 978-0-387-75228-0, présentation en ligne).
  18. (en) Marcel Kornfeld et Bruce Huckell, Stones, Bones, and Profiles: Exploring Archaeological Context, Early American Hunter-Gatherers, and Bison, University Press of Colorado, , 440 p. (ISBN 978-1-60732-453-9, présentation en ligne).
  19. Bernadette Arnaud, « L'Idole de Shigir : une Ă©nigme de 11 000 ans », sur Sciences et Avenir, .
  20. (en) David L. Clarke, Models in Archaeology, Routledge, , 1086 p. (ISBN 978-1-317-60617-8, présentation en ligne).
  21. (en) Michael H. Crawford et James H. Mielke, Current Developments in Anthropological Genetics : Ecology and Population Structure, vol. 2, Springer Science & Business Media, (ISBN 978-1-4615-6769-1, présentation en ligne).
  22. Archipel, vol. 73, SECMI, (présentation en ligne).
  23. (en) Dr. Sanjeevkumar Tandle, Indian History, Laxmi Book Publication, (ISBN 978-1-312-37211-5, présentation en ligne).
  24. Alain Bonjean, « Histoire de la culture des cĂ©rĂ©ales et en particulier de celle du blĂ© tendre (Triticum aestivum L.) », Dossier de l’environnement de l’INRA, no 21,‎ , p. 29 (prĂ©sentation en ligne).
  25. Jean-Claude Margueron, Le Proche-Orient et l'Égypte antiques, Hachette Éducation Technique, , 416 p. (ISBN 978-2-01-140096-3, prĂ©sentation en ligne).
  26. (en) Roger Matthews et Hassan Fazeli Nashli, The Neolithisation of Iran : the formation of new societies, Oxford (GB)/London, Oxbow Books, , 296 p. (ISBN 978-1-78297-190-0, présentation en ligne).
  27. Georges Roux, La Mésopotamie, Seuil, , 473 p. (ISBN 978-2-02-008632-5, présentation en ligne).
  28. Jean-Denis Vigne, Les débuts de l'élevage, Humensis, , 192 p. (ISBN 978-2-7465-1222-1, présentation en ligne).
  29. (en) Ofer Bar-Yosef, « The Walls of Jericho: An Alternative Interpretation », Current Anthropology, vol. 27, no 2,‎ , p. 157-162 (prĂ©sentation en ligne).
  30. (en) The Holy Land : an Oxford archaeological guide from earliest times to 1700, Oxford, OUP, , 551 p. (ISBN 978-0-19-923666-4, présentation en ligne).
  31. (en) Amnon Ben-Tor, The Archaeology of Ancient Israel, Yale University Press, , 398 p. (ISBN 978-0-300-05919-9, présentation en ligne).
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