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Courcôme

Courcôme est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Courcôme
Courcôme
La mairie de Courcôme.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Val de Charente
Maire
Mandat
Fabrice Geoffroy
2020-2026
Code postal 16240 et 16700
Code commune 16110
Démographie
Gentilé Courcômois
Population
municipale
776 hab. (2020 en augmentation de 87,44 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 11″ nord, 0° 07′ 57″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 153 m
Superficie 29,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ruffec
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Courcôme
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Courcôme
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Courcôme
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Courcôme

    Ses habitants sont les Courcômois et les Courcômoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    La commune de Courcôme est la troisième du canton de Villefagnan de par sa superficie.

    Le bourg de Courcôme est à km au sud-est de Villefagnan et km au sud-ouest de Charente. Il est aussi à 14 km au nord-est d'Aigre et à 38 km au nord d'Angoulême[2].

    La principale voie de communication est la D 736 de Ruffec à Aigre qui parcourt toute la commune et qui dessert le bourg. La D 27 de Villefagnan à Aunac croise la précédente au bourg et dessert aussi Tuzie[3].

    La ligne de chemin de fer de Paris à Bordeaux traverse toute la commune du nord au sud et passe à proximité du bourg de Courcôme. La gare la plus proche est celle de Ruffec qui est desservie par des navettes TER entre Poitiers et Angoulême. La LGV Sud Europe Atlantique traverse le territoire de la commune depuis 2017.

    Le bourg de Villegats est situé 5 km à l'est de celui de Courcôme, et celui de Tuzie 2 km au sud-est[3].

    Villegats est desservi par la D.192 qui traverse le bourg et la N.10 située juste à l'est.

    Hameaux et lieux-dits

    Courcôme est un gros bourg entouré d'un certain nombre de hameaux, qui peuvent être considérés comme faisant partie de son agglomération. Ce sont : le Lac, la rue du Puits, la Chaussée, la Croix Geoffroy, et le Petit Village.

    Outre ces hameaux, on trouve également: les Houillères et les Martres, sur la route de La Faye à Tuzie ; Magné (ou Magnez) et les Combeaux, dans le sud-ouest de la commune ; les Marchis, dans l'est ; la Touche, où l'on peut voir des carrières de pierre de taille.

    Les deux hameaux de la Croix et des Porcherons entourent le bourg de Villegats[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Plus particulièrement, le Callovien occupe une grande partie est de la commune et l'Oxfordien le tiers ouest. Le sol est un calcaire marno-argileux. Des grèzes ou groies du Quaternaire couvrent les vallons, au nord du bourg de Courcôme, et au sud des bourgs de Villegats et Tuzie[4] - [5] - [6].

    Le relief de la commune est celui de bas plateaux assez vallonnés dans une grande partie nord-est et d'une plaine au sud-ouest, le tout d'une altitude moyenne de 130 m. Le point culminant de la commune est à une altitude de 161 m, situé dans le bois des Gardes au nord du bourg de Villegats. Le point le plus bas est à 76 m, situé le long du Bief sur la limite sud. Le bourg de Courcôme est à 112 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par plusieurs petits ruisseaux, dont le principal prend sa source près du hameau de Magné; ce petit cours d'eau prend le nom de ruisseau du Bief[7], et va rejoindre la Charente près de Luxé, dans le canton d'Aigre.

    Ce ruisseau souvent à sec l'été reçoit d'autres ruisseaux intermittents drainant la plaine au sud de Villefagnan[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Courcôme est une commune rurale[Note 1] - [8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11] - [12].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Courcôme est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Courcôme.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 45,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 473 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 200 sont en en aléa moyen ou fort, soit 42 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15] - [16].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2013. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Corcolmo en 910, Corcosma au XIVe siècle, Curia Comitis[19].

    L'origine du nom de Courcôme remonterait à un personnage germanique Colman et serait Corte Colmano signifiant « domaine de Colman »[20]. Dauzat suggère aussi le latin cortem et un nom d'homme obscur Cosma[21].

    La limite des noms en -ac (dans le Sud de la France) et des noms en , -ay ou -y (dans le Nord), qui traverse la France d'ouest en est, traverse le nord-ouest du département de la Charente entre Rouillac/Montigné, Ambérac/Luxé et Bernac/Londigny. Courcôme est à km au nord de cette limite (Bessé, Charmé, Magné, etc.)[3].

    Histoire

    L'habitat très ancien est attesté par la présence des dolmens de Magné situés au lieu-dit la Vieille Garenne et datés du Néolithique[22].

    D'après une charte des environs de l'an 970, citée par l'abbé Michon[23], l'église et la terre de Courcôme auraient été données par Guillaume Fier-à-bras, duc d'Aquitaine, à l'église Saint-Hilaire le Grand de Poitiers. Cette donation comprenait également les villas, les vignes, les prés et le moulin qui dominent le ruisseau appelé le Contest (aujourd'hui le Bief)[24]. Vraisemblablement, il ne reste rien de l'église primitive, sauf peut-être des substructions; rien ne permet de faire remonter l'église actuelle avant la fin du XIe siècle[25].

    Le hameau de Magné possédait un logis noble dont il subsiste quelques restes de la fin de la Renaissance. Au milieu du XVe siècle, la terre de Magné appartient à Alain Merlet, écuyer, seigneur du Montet. Vers 1460, sa fille Catherine, épouse Aubert Corgnol, écuyer, fils de Louis Corgnol, seigneur de Tessé, à qui elle porte les fiefs du Montet et de Magné.

    Le petit-fils d'Aubert Corgnol, Louis, n'a qu'une fille, Catherine, qui épouse son cousin, Philippe Corgnol. Ce dernier devient ainsi la tige d'une nouvelle branche de Magné, qui se perpétuera jusqu'au début du XVIIIe siècle. Devenue veuve, Catherine Corgnol épouse en secondes noces François de Beauchamp, dont elle aura une fille et un fils. En 1585, François de Beauchamp se dit seigneur de Magné. Il est probable que des partages de famille attribuent définitivement Magné aux Corgnol, qui le possèdent encore à la fin du XVIIe siècle[24].

    L'état des paroisses de 1686 nous informe que les chanoines de Poitiers sont les seigneurs de la paroisse de Courcousme qui comporte 129 feux et produit du vin, du grain des noix et du safran[26]..

    Le , Tuzie et Villegats sont intégrées à Courcôme qui devient une commune nouvelle. Ceci est acté par un arrêté préfectoral du [27].

    Administration

    Créée 'Courcome' en 1793 elle est devenue 'Courcosme' en 1801 puis 'Courcôme'.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 2014 Michel Duchiron DVG
    (MDC)
    Retraité de l'enseignement
    2014 En cours Fabrice Geoffroy
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [28]
    DVD Notaire, conseiller départemental depuis 2021
    Les données manquantes sont à compléter.

    En 2008 les élus de Courcôme se sont fédérés à l'initiative des élus du Pays Ruffécois avec 17 communes du Nord Charente et 5 des Deux-Sèvres en une fédération qui demande des compensations aux nuisances que va leur apporter la LGV Sud Europe Atlantique. Celle-ci, concédée à une entreprise privée va former une saignée dans le territoire et les élus demande une compensation semblable à celle fournie aux communes par les sociétés privées d'autoroutes[29].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2020, la commune comptait 776 habitants[Note 3], en augmentation de 87,44 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    9508448599681 0041 0281 0691 054983
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    930941897874905861748682681
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    655627592573554560510514485
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    445395394391421427429415778
    2020 - - - - - - - -
    776--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 370 hommes pour 408 femmes, soit un taux de 52,44 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    2,0
    9,5
    75-89 ans
    11,0
    21,8
    60-74 ans
    22,1
    21,3
    45-59 ans
    20,3
    14,4
    30-44 ans
    13,8
    14,7
    15-29 ans
    14,1
    17,7
    0-14 ans
    16,7
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Remarques

    Courcôme après avoir eu une population de plus de 1000 habitants pendant 30 ans au milieu du XIXe siècle a vu sa population décliner et se stabiliser aux alentours de 400 habitants depuis 40 ans.

    En 2008 Courcôme compte 186 résidences principales, 36 résidences secondaires et 13 logements vacants[36].

    Économie

    Agriculture

    Commune agricole spécialisée dans les élevages bovins, ovins et porcins, elle est pourvue de vignes qui se trouvent dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du Cognac, dans le cru des Bons Bois[37].

    Commerces

    Courcôme possède des commerces, une boulangerie-pâtisserie, un restaurant et des artisans, un garagiste, trois maçons, deux menuisiers, un entrepreneur en travaux agricoles.

    Ouverte en 2007, la Maison du Tilleul Argenté propose des chambres d'hôtes.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Courcôme, La Faye et Charmé.

    Le RPI les P'tits Loups comporte deux classes maternelles à Courcôme. Deux classes de primaire sont à La Faye puis les élèves poursuivent leur scolarité à Charmé[38].

    Autres services

    Courcôme possède une agence postale, tous les autres services sont à Villefagnan et à Ruffec.

    Vie associative

    Il existe à Courcôme un comité des fêtes, une amicale laïque, une association de parents d'élèves et Entente et amitié.

    Les associations sportives sont la société de chasse et le Moto club des Orchidées. Les autres sports se pratiquent à Villefagnan.

    L'association ACCES (Association Courcômoise Culturelle Evénementielle et Sportive) créée en 2008 a pour objet l'accès à la pluriactivités pour tous. Le regroupe des activités sportives : (marche, VTT), des loisirs culturels (œnologie, etc.), et des manifestations diverses.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Notre-Dame de Courcôme, de l'ancien diocèse de Poitiers, a dû être entièrement construite en lieu et place de l'église primitive au XIe siècle; cet édifice a lui-même fait place, au début du XIIe siècle, à une nouvelle église, qui a été restaurée notamment de 1885 à 1895; elle comprend une nef à berceau, à un seul bas-côté, un transept sur lequel ouvrent deux absidioles, et un chœur profond terminé par une abside. La croisée est voûtée d'une coupole octogonale à la base, surmontée d'un beau clocher carré, d'un seul étage. La façade, percée d'une porte à quadruple voussure, flanquée de deux arcades aveugles et surmontée d'une corniche et d'une fenêtre à deux voussures, est très remarquable par l'exécution de ses chapiteaux et de ses modillons. Dans l'absidiole sud, on conserve une Vierge à l'Enfant du XIIIe siècle de grande dimension[24].

    L'église de Courcôme est dédiée à la Vierge Marie, en son Assomption. Elle est ouverte tous les jours. Les visiteurs peuvent y découvrir 40 chapiteaux romans du XIe et XIIe siècles qui tous ont une valeur symbolique. Le clocher est remarquable par son harmonie. Elle est classée monument historique depuis 1881[39].

    L'église et le cimetière sont communs avec l'ancienne commune de Tuzie, qui n'en possède pas.

    • Église de Courcôme
    • Façade.
      Façade.
    • Porte gothique murée.
      Porte gothique murée.
    • Clocher.
      Clocher.
    • Entrée latérale.
      Entrée latérale.

    La chapelle du cimetière de Courcôme, du XVIIe siècle, a été inscrite monument historique le [40].

    L'église paroissiale Saint-Benoît de Villegats du XIIe siècle est à chevet plat. Elle a été construite par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, et fut confiée en vicairie perpétuelle à l'abbaye Notre-Dame de Nanteuil[41].

    La commanderie de Villegats a été une maison forte entourée d'une double enceinte de murailles et de fossés. C'était une commanderie de Templiers attestée dès 1194; elle sera ensuite donnée aux Hospitaliers[42]. Elle abrite une ancienne chapelle Saint-Fiacre.

    • L'église Saint-Benoît de Villegats
      L'église Saint-Benoît de Villegats
    • La commanderie de Villegats
      La commanderie de Villegats

    Patrimoine civil

    Le dolmen de Magné.

    Les dolmens de Magnez, au lieu-dit la Vieille Garenne, datant de la période néolithique, ont été classés monument historique le [43].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le )
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Bief (R2010500) » (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « Les risques près de chez moi - commune de Courcôme », sur Géorisques (consulté le )
    14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    16. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Courcôme », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    19. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 223
    20. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 219.
    22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 213
    23. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 256
    24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 147
    25. Albert Mayeux, in Congrès Archéologique de France 1912 à Angoulême, Tome II, 1913, imp Delesques, Caen
    26. Histoire passion
    27. Marie Lajus, « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Courcôme par fusion des communes de Courcôme, Tuzie et Villegâts », Recueil des actes administratifs spécial n°16-2018-060, , p. 115-117 (lire en ligne)
    28. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
    29. Journal Sud Ouest du 26 juillet 2008
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Courcôme (16110) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    36. Site de l'Insee
    37. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    38. Site de l'inspection d'académie de la Charente
    39. « Église Notre-Dame », notice no PA00104345, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « Chapelle du cimetière », notice no PA00104343, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 376
    42. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 399
    43. « Dolmens de Magnez », notice no PA00104344, base Mérimée, ministère français de la Culture
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