Cherval
Cherval est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Cherval | |||||
L'Ă©glise de Cherval. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Dordogne | ||||
Arrondissement | PĂ©rigueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Prunier 2020-2026 |
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Code postal | 24320 | ||||
Code commune | 24119 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
237 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 23âČ 44âł nord, 0° 22âČ 31âł est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 183 ou 187 m |
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Superficie | 18,71 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.chervalenperigord.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Située en bordure de la plaine céréaliÚre du Périgord blanc, Cherval est une petite commune située à 5 km au nord de Verteillac et 35 km au nord-ouest de Périgueux.
Le bourg est aussi Ă 17 km au nord de RibĂ©rac, 27 km au sud-ouest de Nontron et 33 km au sud-est d'AngoulĂȘme[1].
La commune est traversĂ©e par la route de RibĂ©rac Ă AngoulĂȘme et Nontron, la D.708, nord-sud, ainsi que par d'autres routes dĂ©partementales de moindre importance, la D.102 qui passe dans le bourg et la D.100, est-ouest[2].
Communes limitrophes
Cherval est limitrophe de six autres communes.
GĂ©ologie
SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Cherval est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[3].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque, de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(2), date du Coniacien indifférencié, composée de calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à hußtres au sommet. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 733 - Montmoreau » et « no 734 - Nontron » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4] - [5] et leurs notices associées[6] - [7].
Ăre | PĂ©riode | Ăpoque | Formations gĂ©ologiques | |||||||||||||||
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CĂ©nozoĂŻque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
HolocĂšne |
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PléistocÚne | non présent | |||||||||||||||||
NĂ©ogĂšne (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||
PaléogÚne (23.03 - 66.0) |
non présent | |||||||||||||||||
MĂ©sozoĂŻque (66.0 - 252.17) |
CrĂ©tacĂ© (66.0 - â145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | |||||||||||||||||
Jurassique (â145.0 - 201.3) |
non présent | |||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m Ă Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă elle entre 93 mĂštres[8] au nord-ouest, Ă l'ouest du chĂąteau du Bourbet, lĂ oĂč le bras septentrional de la Pude quitte la commune et entre sur celle de La Chapelle-GrĂ©signac et 183[8] ou 187 mĂštres[9] au sud-est prĂšs des Mouyaux, en limite de la commune de La Tour-Blanche-Cercles[10]. Le bourg est au pied d'une butte-tĂ©moin et d'une cuesta qui fait face Ă l'est, en haut de laquelle se trouvent GrĂ©signac, et les hameaux du Breuil et de Vicrose. Construit en bord de plaine, il est Ă 118 m d'altitude[11].
Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise dâouvrage de lâĂtat et publiĂ© en [12]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [13]. La commune est dans le RibĂ©racois, une rĂ©gion naturelle possĂšdant un relief vallonnĂ© avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculptĂ© par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulĂ©s de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnĂ©s de la Dordogne[14] - [15].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,71 km2[8] - [16] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,9 km2[5].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[19]. Elle est drainée par la Pude, plusieurs bras de la Pude, la Sauvanie et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de plus de 17 km de longueur totale[20] - [Carte 1].
La Pude, d'une longueur totale de 19,75 km, prend sa source dans la commune voisine de Gout-Rossignol et se jette en rive gauche de la Lizonne, en limite de Bouteilles-Saint-SĂ©bastien et de Nanteuil-Auriac-de-Bourzac, face Ă Palluaud[21] - [22]. Elle arrose le nord de la commune par de nombreux bras dont certains servent de limite naturelle face Ă Gout-Rossignol et Champagne-et-Fontaine.
La Sauvanie, d'une longueur totale de 14,58 km, prend sa source dans le sud-ouest de la commune, prĂšs du hameau du mĂȘme nom, et se jette dans la Lizonne en rive gauche, en limite d'Allemans et Saint-Paul-Lizonne, face Ă la commune de Saint-SĂ©verin[23] - [24].
- La Pude prĂšs du chĂąteau du Bourbet.
- Le bief (asséché), en limite de Champagne-et-Fontaine et Cherval, qui alimentait en eau le moulin de Clauzuroux depuis la Pude.
- RĂ©seaux hydrographique et routier de Cherval.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[25]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [26].
La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours dâeau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de lâeau et lâAgence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[27]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[28].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[31] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[32] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martial Viveyrols », sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol, mise en service en 1988[33] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[34] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 859,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[35]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă 61 km[36], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[37], Ă 13,1 °C pour 1981-2010[38], puis Ă 13,3 °C pour 1991-2020[39].
Milieux naturels et biodiversité
La commune prĂ©sente sur la presque totalitĂ© de son territoire, hormis au nord, une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, le plateau de Cherval, remarquable pour sa variĂ©tĂ© d'oiseaux dont plusieurs font l'objet d'une protection par la directive europĂ©enne : Bruant ortolan (Emberiza hortulana), Busard cendrĂ© (Circus pygargus), Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), Grande Outarde (Otis tarda), Pie-griĂšche Ă©corcheur (Lanius collurio), Pipit rousseline (Anthus campestris)[40] - [41].
La vallée de la Pude est protégée dans sa traversée de la commune au titre d'une autre ZNIEFF de type II « Vallée de la Nizonne »[42] - [43].
Sa faune est constituée d'environ 250 espÚces dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifÚres, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espÚces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le MinioptÚre de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laßches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également riche de plus de deux cents espÚces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'HélianthÚme blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lùches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
Sur le territoire communal, deux zones rĂ©duites formant un total d'une dizaine d'hectares (prĂšs des lieux-dits les Ăcuyers et Soulet) font partie de la ZNIEFF de type I « VallĂ©e de la Pude » composĂ©e « d'anciennes tourbiĂšres et les petits vallons dominĂ©s par les milieux humides "naturels" (prairies, roseliĂšres, sources, boisements de saules »[44] - [45] dans laquelle ont Ă©tĂ© recensĂ©s deux espĂšces dĂ©terminantes d'odonates, le Gomphe semblable (Gomphus simillimus) et le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus)[44]. Trente-sept autres espĂšces animales y ont Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es (seize odonates et 21 oiseaux) ainsi qu'une trentaine d'espĂšces vĂ©gĂ©tales[44].
Urbanisme
Typologie
Cherval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [46] - [47] - [48]. La commune est en outre hors attraction des villes[49] - [50].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,3 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (96,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (93,8 %), forĂȘts (3,7 %), prairies (1,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1 %)[51].
L'Ă©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Hameaux et lieux-dits
La commune comporte de nombreux hameaux, comme Vicrose, GĂ©nilblanc, le Breuil, la Sauvanie, Beuil, la Sauvanie, les Maines, Chanceau, chez Itou, la Guide, le Recours, etc.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Cherval est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[52]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[53].
Cherval est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. LâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts dâincendie. Ă ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[54]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[55] - [56].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[57]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[58]. 1,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [59].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988 et 1999, par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[52].
Toponymie
Pour l'abbĂ© BrugiĂšre, historien du PĂ©rigord, le nom de la commune serait dâorigine celte et signifierait « belle, claire et chĂšre vallĂ©e »[60]. Pour dâautres, il viendrait du nom dâun Germain « Hairoward », le « H » se prononçant « ch ». Toujours est-il que des archives de 1382 mentionnent Charavart, puis Charvart en 1489, Charvard en 1560 (toujours nommĂ© ainsi en occitan[61]), Charval en 1760[62], et finalement Cherval aujourdâhui.
Histoire
En 1827, la commune de La Chapelle-Grésignac a été intégrée à celle de Cherval lors d'une fusion. Cette fusion a été annulée en 1841 et La Chapelle-Grésignac a été rétablie[8].
Politique et administration
Rattachements administratifs
DÚs 1790, la commune de Cherval a été rattachée au canton de Champaigne qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviÎse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Verteillac dépendant de l'arrondissement de Ribérac. Ce dernier étant supprimé en 1926, ses communes sont alors rattachées à l'arrondissement de Périgueux[8].
Intercommunalité
Fin 2001, Cherval rejoint la communauté de communes du Verteillacois créée cinq ans plus tÎt. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par un intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[63] - [64].
Liste des maires
Jumelages
L'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac, dont faisait partie Cherval, est jumelé avec la commune italienne de Fontanetto Po depuis 1988[67].
Ăquipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Cherval relĂšve[68] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de PĂ©rigueux ;
- du pÎle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[70].
En 2020, la commune comptait 237 habitants[Note 9], en diminution de 14,75 % par rapport Ă 2014 (Dordogne : â0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Remarque
Les recensements de 1831 à 1841 inclus font ressortir un nombre d'habitants plus important, dû à la population de la commune de La Chapelle-Grésignac, qui avait alors fusionné avec Cherval.
Ăconomie
Emploi
En 2015[72], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 120 personnes, soit 43,8 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (vingt) a augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 16,7 %.
Ătablissements
Au , la commune compte quarante-quatre Ă©tablissements[73], dont dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, dix-neuf au niveau des commerces, transports ou services, trois dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, Ă l'enseignement, Ă la santĂ© ou Ă l'action sociale, et un dans l'industrie[74].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Ă©glise romane fortifiĂ©e Saint-Martin. Construction romane du XIIe siĂšcle, l'Ă©glise suit un plan rectangulaire. Quatre coupoles surplombent la nef et le chĆur, celui-ci Ă©tant ornĂ© d'une couronne de pointes de diamants. L'Ă©tage prĂ©sente une chambre de dĂ©fense bĂątie au XIIIe siĂšcle par les moines guerriers de Saint-Jean de JĂ©rusalem, accessible par un escalier Ă vis. ClassĂ©e monument historique en 1913[75] - [76]. Elle a fait l'objet d'une rĂ©novation concernant l'assainissement, le clocher, les toitures et ses façades Nord et Est en 2019, qui se poursuit en 2020-2021 avec ses deux autres façades[77].
- Le chùteau du Bourbet, XVIIe et XIXe siÚcles. Les seigneurs de Bourbet étaient à l'origine de ce chùteau, composé alors d'un corps de logis ceint de deux tours fortifiées, ainsi que de deux pavillons en retour d'équerre. Ce chùteau était protégé par un fossé, nivelé durant la Révolution française, période qui a également emporté les derniers vestiges du pont-levis, ainsi que l'ancienne prison qui jouxtait les caves. Le pavillon nord a vraisemblablement été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que les tours carrées qui cantonnaient le corps de logis, déjà en partie rasées pendant la Révolution. En effet, le chùteau a servi de kommandantur, car la ligne de démarcation passait entre Cherval et Gout qui était en zone libre[78].
- Le chùteau de Clauzuroux (ou du Clauzurou) est situé sur la commune de Champagne-et-Fontaine, mais une partie du domaine, à l'est du chùteau et du bief (aujourd'hui asséché) du moulin, est située sur Cherval[79].
- Le moulin du Potager, sur la Pude.
L'intérieur de l'église. Le chùteau du Bourbet. Les jardins du Clauzuroux, principalement situés sur Cherval.
HĂ©raldique
Blason | D'azur à un lion d'or, armé et lampassé de gueules, accompagné en chef senestre d'un croissant d'argent[80]. |
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Détails | Armes de la famille de Lageard de Cherval. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
- La superficie publiĂ©e par lâInsee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă la surface gĂ©ographique[17] - [18]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[29].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[30].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
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