AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Cherval

Cherval est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Cherval
Cherval
L'Ă©glise de Cherval.
Blason de Cherval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Jean-Pierre Prunier
2020-2026
Code postal 24320
Code commune 24119
DĂ©mographie
Population
municipale
237 hab. (2020 en diminution de 14,75 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 13 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 23â€Č 44″ nord, 0° 22â€Č 31″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 183 ou 187 m
Superficie 18,71 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ribérac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cherval
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cherval
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Cherval
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Cherval
Liens
Site web www.chervalenperigord.fr

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    SituĂ©e en bordure de la plaine cĂ©rĂ©aliĂšre du PĂ©rigord blanc, Cherval est une petite commune situĂ©e Ă  km au nord de Verteillac et 35 km au nord-ouest de PĂ©rigueux.

    Le bourg est aussi Ă  17 km au nord de RibĂ©rac, 27 km au sud-ouest de Nontron et 33 km au sud-est d'AngoulĂȘme[1].

    La commune est traversĂ©e par la route de RibĂ©rac Ă  AngoulĂȘme et Nontron, la D.708, nord-sud, ainsi que par d'autres routes dĂ©partementales de moindre importance, la D.102 qui passe dans le bourg et la D.100, est-ouest[2].

    Communes limitrophes

    Cherval est limitrophe de six autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Cherval est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[3].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque, de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c3(2), date du Coniacien indiffĂ©renciĂ©, composĂ©e de calcaires grĂ©seux, sables et marnes Ă  la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires Ă  huĂźtres au sommet. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 733 - Montmoreau » et « no 734 - Nontron » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[4] - [5] et leurs notices associĂ©es[6] - [7].

    Carte géologique de Cherval.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 93 mĂštres[8] au nord-ouest, Ă  l'ouest du chĂąteau du Bourbet, lĂ  oĂč le bras septentrional de la Pude quitte la commune et entre sur celle de La Chapelle-GrĂ©signac et 183[8] ou 187 mĂštres[9] au sud-est prĂšs des Mouyaux, en limite de la commune de La Tour-Blanche-Cercles[10]. Le bourg est au pied d'une butte-tĂ©moin et d'une cuesta qui fait face Ă  l'est, en haut de laquelle se trouvent GrĂ©signac, et les hameaux du Breuil et de Vicrose. Construit en bord de plaine, il est Ă  118 m d'altitude[11].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [12]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [13]. La commune est dans le RibĂ©racois, une rĂ©gion naturelle possĂšdant un relief vallonnĂ© avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculptĂ© par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulĂ©s de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnĂ©s de la Dordogne[14] - [15].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 18,71 km2[8] - [16] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 18,9 km2[5].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[19]. Elle est drainĂ©e par la Pude, plusieurs bras de la Pude, la Sauvanie et par deux petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de plus de 17 km de longueur totale[20] - [Carte 1].

    La Pude, d'une longueur totale de 19,75 km, prend sa source dans la commune voisine de Gout-Rossignol et se jette en rive gauche de la Lizonne, en limite de Bouteilles-Saint-SĂ©bastien et de Nanteuil-Auriac-de-Bourzac, face Ă  Palluaud[21] - [22]. Elle arrose le nord de la commune par de nombreux bras dont certains servent de limite naturelle face Ă  Gout-Rossignol et Champagne-et-Fontaine.

    La Sauvanie, d'une longueur totale de 14,58 km, prend sa source dans le sud-ouest de la commune, prĂšs du hameau du mĂȘme nom, et se jette dans la Lizonne en rive gauche, en limite d'Allemans et Saint-Paul-Lizonne, face Ă  la commune de Saint-SĂ©verin[23] - [24].

    • La Pude prĂšs du chĂąteau du Bourbet.
      La Pude prĂšs du chĂąteau du Bourbet.
    • Le bief (assĂ©chĂ©), en limite de Champagne-et-Fontaine et Cherval, qui alimentait en eau le moulin de Clauzuroux depuis la Pude.
      Le bief (asséché), en limite de Champagne-et-Fontaine et Cherval, qui alimentait en eau le moulin de Clauzuroux depuis la Pude.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Cherval.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[25]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [26].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[27]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[28].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[27]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 904 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[31] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[32] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martial Viveyrols », sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol, mise en service en 1988[33] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[34] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 859,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[35]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  61 km[36], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[37], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[38], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[39].

    Milieux naturels et biodiversité

    La commune prĂ©sente sur la presque totalitĂ© de son territoire, hormis au nord, une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, le plateau de Cherval, remarquable pour sa variĂ©tĂ© d'oiseaux dont plusieurs font l'objet d'une protection par la directive europĂ©enne : Bruant ortolan (Emberiza hortulana), Busard cendrĂ© (Circus pygargus), Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), Grande Outarde (Otis tarda), Pie-griĂšche Ă©corcheur (Lanius collurio), Pipit rousseline (Anthus campestris)[40] - [41].

    La vallée de la Pude est protégée dans sa traversée de la commune au titre d'une autre ZNIEFF de type II « Vallée de la Nizonne »[42] - [43].

    Sa faune est constituĂ©e d'environ 250 espĂšces dont trente sont considĂ©rĂ©es comme dĂ©terminantes :

    Sa flore est également riche de plus de deux cents espÚces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'HélianthÚme blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lùches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).

    Sur le territoire communal, deux zones rĂ©duites formant un total d'une dizaine d'hectares (prĂšs des lieux-dits les Écuyers et Soulet) font partie de la ZNIEFF de type I « VallĂ©e de la Pude » composĂ©e « d'anciennes tourbiĂšres et les petits vallons dominĂ©s par les milieux humides "naturels" (prairies, roseliĂšres, sources, boisements de saules »[44] - [45] dans laquelle ont Ă©tĂ© recensĂ©s deux espĂšces dĂ©terminantes d'odonates, le Gomphe semblable (Gomphus simillimus) et le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus)[44]. Trente-sept autres espĂšces animales y ont Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es (seize odonates et 21 oiseaux) ainsi qu'une trentaine d'espĂšces vĂ©gĂ©tales[44].

    Urbanisme

    Typologie

    Cherval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [46] - [47] - [48]. La commune est en outre hors attraction des villes[49] - [50].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (96,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (93,8 %), forĂȘts (3,7 %), prairies (1,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1 %)[51].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune comporte de nombreux hameaux, comme Vicrose, GĂ©nilblanc, le Breuil, la Sauvanie, Beuil, la Sauvanie, les Maines, Chanceau, chez Itou, la Guide, le Recours, etc.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Cherval est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[52]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[53].

    Cherval est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[54]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[55] - [56].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cherval.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[57]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[58]. 1,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [59].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988 et 1999, par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[52].

    Toponymie

    Pour l'abbĂ© BrugiĂšre, historien du PĂ©rigord, le nom de la commune serait d’origine celte et signifierait « belle, claire et chĂšre vallĂ©e »[60]. Pour d’autres, il viendrait du nom d’un Germain « Hairoward », le « H » se prononçant « ch ». Toujours est-il que des archives de 1382 mentionnent Charavart, puis Charvart en 1489, Charvard en 1560 (toujours nommĂ© ainsi en occitan[61]), Charval en 1760[62], et finalement Cherval aujourd’hui.

    Histoire

    En 1827, la commune de La Chapelle-Grésignac a été intégrée à celle de Cherval lors d'une fusion. Cette fusion a été annulée en 1841 et La Chapelle-Grésignac a été rétablie[8].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    DÚs 1790, la commune de Cherval a été rattachée au canton de Champaigne qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviÎse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Verteillac dépendant de l'arrondissement de Ribérac. Ce dernier étant supprimé en 1926, ses communes sont alors rattachées à l'arrondissement de Périgueux[8].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Cherval rejoint la communauté de communes du Verteillacois créée cinq ans plus tÎt. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par un intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[63] - [64].

    Liste des maires

    La mairie de Cherval.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Gabriel Rambert
    mars 2001[65]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jean-Pierre Prunier SE[66] Agriculteur

    Jumelages

    Panneau de jumelage du canton avec Fontanetto Po.

    L'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac, dont faisait partie Cherval, est jumelé avec la commune italienne de Fontanetto Po depuis 1988[67].

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Cherval relĂšve[68] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[70].

    En 2020, la commune comptait 237 habitants[Note 9], en diminution de 14,75 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9211 2098409561 4331 4121 334956989
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 010959894907913885851828781
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    770730712611657625574507457
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    406362342295310308309308284
    2015 2020 - - - - - - -
    274237-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee Ă  partir de 2006[71].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Les recensements de 1831 à 1841 inclus font ressortir un nombre d'habitants plus important, dû à la population de la commune de La Chapelle-Grésignac, qui avait alors fusionné avec Cherval.

    Économie

    Emploi

    En 2015[72], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 120 personnes, soit 43,8 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (vingt) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (douze) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  16,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-quatre Ă©tablissements[73], dont dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, dix-neuf au niveau des commerces, transports ou services, trois dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et un dans l'industrie[74].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise romane fortifiĂ©e Saint-Martin. Construction romane du XIIe siĂšcle, l'Ă©glise suit un plan rectangulaire. Quatre coupoles surplombent la nef et le chƓur, celui-ci Ă©tant ornĂ© d'une couronne de pointes de diamants. L'Ă©tage prĂ©sente une chambre de dĂ©fense bĂątie au XIIIe siĂšcle par les moines guerriers de Saint-Jean de JĂ©rusalem, accessible par un escalier Ă  vis. ClassĂ©e monument historique en 1913[75] - [76]. Elle a fait l'objet d'une rĂ©novation concernant l'assainissement, le clocher, les toitures et ses façades Nord et Est en 2019, qui se poursuit en 2020-2021 avec ses deux autres façades[77].
    • Le chĂąteau du Bourbet, XVIIe et XIXe siĂšcles. Les seigneurs de Bourbet Ă©taient Ă  l'origine de ce chĂąteau, composĂ© alors d'un corps de logis ceint de deux tours fortifiĂ©es, ainsi que de deux pavillons en retour d'Ă©querre. Ce chĂąteau Ă©tait protĂ©gĂ© par un fossĂ©, nivelĂ© durant la RĂ©volution française, pĂ©riode qui a Ă©galement emportĂ© les derniers vestiges du pont-levis, ainsi que l'ancienne prison qui jouxtait les caves. Le pavillon nord a vraisemblablement Ă©tĂ© dĂ©truit pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que les tours carrĂ©es qui cantonnaient le corps de logis, dĂ©jĂ  en partie rasĂ©es pendant la RĂ©volution. En effet, le chĂąteau a servi de kommandantur, car la ligne de dĂ©marcation passait entre Cherval et Gout qui Ă©tait en zone libre[78].
    • Le chĂąteau de Clauzuroux (ou du Clauzurou) est situĂ© sur la commune de Champagne-et-Fontaine, mais une partie du domaine, Ă  l'est du chĂąteau et du bief (aujourd'hui assĂ©chĂ©) du moulin, est situĂ©e sur Cherval[79].
    • Le moulin du Potager, sur la Pude.
    • L'intĂ©rieur de l'Ă©glise.
      L'intérieur de l'église.
    • Le chĂąteau du Bourbet.
      Le chĂąteau du Bourbet.
    • Les jardins du Clauzuroux, principalement situĂ©s sur Cherval.
      Les jardins du Clauzuroux, principalement situés sur Cherval.

    HĂ©raldique

    Blason de Cherval Blason
    D'azur à un lion d'or, armé et lampassé de gueules, accompagné en chef senestre d'un croissant d'argent[80].
    DĂ©tails
    Armes de la famille de Lageard de Cherval.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[17] - [18]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[29].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[30].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Cherval » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    4. « Carte géologique de Cherval » sur Géoportail (consulté le 11 juillet 2022).
    5. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Cherval », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    6. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 733 - Montmoreau de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    7. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 734 - Nontron de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    9. « 187 » sur Géoportail (consulté le 12 juillet 2022)..
    10. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    11. « 118 » sur Géoportail (consulté le 12 juillet 2022)..
    12. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    13. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    14. « RepÚres géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    15. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    16. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Cherval », sur le site de l'Insee (consulté le )
    17. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    18. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    19. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    20. « Fiche communale de Cherval », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    21. « Confluence Pude-Lizonne au nord-est du bourg de Palluaud » sur Géoportail (consulté le 27 juillet 2022)..
    22. Sandre, « la Pude »
    23. « Confluence Sauvanie-Lizonne au nord du Porboutou la Gabarre » sur Géoportail (consulté le 27 juillet 2022)..
    24. Sandre, « la Sauvanie »
    25. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    26. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    27. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    28. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    29. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    30. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    31. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    32. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    33. « Station Météo-France Saint-Martial Viveyrols - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    34. « Orthodromie entre Cherval et Saint-Martial-Viveyrol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    35. « Station Météo-France Saint-Martial Viveyrols - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    36. « Orthodromie entre Cherval et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    37. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    38. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    39. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    40. [PDF] Plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 27 novembre 2014.
    41. Carte du plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 27 novembre 2014.
    42. [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 19 octobre 2019.
    43. Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complÚtement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    44. [PDF] 720008182 - Vallée de la Pude, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    45. Carte de la ZNIEFF 720008182, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    46. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    47. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    48. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    49. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    50. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    51. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    52. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Cherval », sur Géorisques (consulté le )
    53. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    54. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    55. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
    56. « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
    57. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    58. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    59. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    60. « Site officiel de la ville de Cherval », sur Site officiel de la ville de Cherval
    61. Le nom occitan des communes du Périgord - Charvard sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    62. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 186.
    63. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
    64. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
    65. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 16 août 2014.
    66. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 30.
    67. Jean-Louis Savignac, « Les 30 bougies du jumelage franco-italien », Sud Ouest édition Périgueux, 27 avril 2018, p. 21.
    68. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
    69. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    70. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    71. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    72. Dossier complet - Commune de Cherval (24119) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 septembre 2018.
    73. « Établissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
    74. Dossier complet - Commune de Cherval (24119) - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 20 septembre 2018.
    75. « Eglise de Cherval », notice no PA00082488, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    76. Guide du tourisme VadĂ©lis, « Église fortifiĂ©e Saint-Martin », (consultĂ© le ).
    77. Jean-Louis Savignac, « La grande toilette de l'église Saint-Martin », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 24.
    78. « Chùteau du Bourbet », notice no IA24000868, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    79. « Domaine du chùteau du Clauzurou », notice no PA00082463, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    80. « 24119 Cherval (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.