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Banca

Banca (en basque : Banka) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Banca
Banca
Le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Michel Oçafrain
2020-2026
Code postal 64430
Code commune 64092
DĂ©mographie
Gentilé Bankar
Population
municipale
348 hab. (2020 en augmentation de 5,14 % par rapport Ă  2014)
Densité hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 07â€Č 39″ nord, 1° 22â€Č 23″ ouest
Altitude Min. 231 m
Max. 1 275 m
Superficie 49,60 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Montagne Basque
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Banca
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Banca
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Banca
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Banca

    Le gentilé est Bankar[1] - [2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Banca se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontaliÚre avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[3].

    Elle se situe Ă  141 km par la route[Note 1] de Pau[4], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  62 km de Bayonne[5], sous-prĂ©fecture, et Ă  65 km de MaulĂ©on-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Aldudes (5,4 km), Saint-Étienne-de-BaĂŻgorry (5,9 km), Urepel (7,2 km), ArnĂ©guy (7,8 km), Anhaux (8,2 km), IroulĂ©guy (8,3 km), Lasse (9,9 km), Ascarat (10,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Banca fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10] - [11]. La commune est dans le pays de Baïgorry-OssÚs (Baigorri-Ortzaize), au sud-ouest de ce territoire.

    Paysages et relief

    Le mont Harrigorry culmine Ă  806 m[12], le Munhogain Ă  853 m[12], l’Otsamunho Ă  901 m[12], l’Errola Ă  908 m[12], l’Abraku Ă  1 003 m, l’Ichtauz Ă  1 024 m[12], l’Antchola Ă  1 119 m, le MehatzĂ© Ă  1 209 m[12], le Lindus Ă  1 220 m[12], le Mendimotcha Ă  1 224 m[12] et l’Aurigna Ă  1 278 m[12].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Banca.

    La commune est drainĂ©e par la Nive des Aldudes, hairako erreka, Bihuntzeguiko erreka, Antchignoko erreka, Belechiko erreka, HĂ©rraukiko erreka, Latcharrako erreka, legartzuko erreka, Tihistako erreka, zaminarteko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 63 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    La Nive des Aldudes, d'une longueur totale de 35,5 km, naĂźt en Navarre au pied du Mendi Haundia (1 232 m), dans la commune d'Erro (Espagne), puis s'Ă©coule au nord dans la vallĂ©e de BaĂŻgorry pour confluer dans la Nive Ă  Saint-Martin-d'Arrossa, Ă  110 m d'altitude Ă  Saint-Martin-d'Arrossa, aprĂšs avoir traversĂ© 6 communes[15].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[16]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[17].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[18]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 12 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 733 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[19] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[20] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1949 Ă  2012 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[21]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records BANCA (64) - alt : 256 m 43° 07â€Č 36″ N, 1° 22â€Č 24″ O
    Records établis sur la période du 01-01-1949 au 31-12-2012
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,8 3 4,7 6,1 9,3 12,3 14,3 14,5 11,8 9,5 5,7 3,8 8,2
    Température moyenne (°C) 6,9 7,6 10 11,5 15,1 18,1 20,1 20,3 17,7 14,5 9,9 7,6 13,3
    Température maximale moyenne (°C) 11 12,3 15,3 16,9 20,8 23,9 25,9 26,1 23,7 19,4 14,1 11,5 18,4
    Record de froid (°C)
    date du record
    −12,6
    09.01.1985
    −13
    11.02.1956
    −8,5
    01.03.05
    −2,5
    22.04.1991
    1
    01.05.1976
    3
    11.06.1957
    6,2
    19.07.1961
    3,5
    25.08.1961
    1
    21.09.1952
    −1,5
    23.10.1991
    −7,7
    17.11.07
    −9,7
    11.12.1967
    −13
    1956
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    22,3
    28.01.1966
    29
    14.02.1958
    33
    03.03.1952
    35
    19.04.1949
    36,5
    27.05.05
    41,4
    21.06.03
    40,9
    21.07.09
    42,6
    04.08.03
    37,5
    05.09.1949
    35
    12.10.1951
    28
    06.11.1951
    24
    24.12.12
    42,6
    2003
    PrĂ©cipitations (mm) 187,6 159,5 158,6 181,2 131,5 84,4 74,9 84,4 115,3 152,9 212,5 201,6 1 744,4
    Source : « Fiche 64092002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[22] - [23]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : la « Galerie de Petechaenea », un terrain acquis (ou assimilĂ©) par le conservatoire rĂ©gional des espaces naturels des PyrĂ©nĂ©es, d'une superficie de 0,1 ha[24].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26] - [Carte 2] :

    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants Ă  accueillir l'ensemble des espĂšces de poissons migrateurs du territoire français, exceptĂ© l'Esturgeon europĂ©en[27] ;
    • les « montagnes des Aldudes », d'une superficie de 18 474 ha, ayant une vocation essentiellement pastorale, et dans une moindre mesure forestiĂšre, ce qui a engendrĂ© une mosaĂŻque complexe de milieux, qui accueillent une grande diversitĂ© d’espĂšces de flore et de faune[28] ;

    et une au titre de la « directive Oiseaux »[26] - [Carte 3] :

    • la « vallĂ©e de la Nive des Aldudes, Col de Lindux », d'une superficie de 14 767 ha, un massif montagneux schisteux Ă  nombreux faciĂšs rupestres, et pelouses montagnardes[29].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[30] - [Carte 4] :

    • la « forĂȘt d'Hayra » (2 055,02 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[31] ;
    • les « milieux tourbeux d'Elhorrieta et d'Elhorriko Kaskoa » (12,59 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[32],
    • le « site de Petexaenea et ses alentours » (8 601,95 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[33] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 7] - [30] - [Carte 5] :

    • les « montagnes et vallĂ©es des Aldudes, massifs du Mondarrain et de l'Artzamendi » (23 074,84 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[34] ;
    • le « rĂ©seau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du dĂ©partement[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Banca est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [36] - [37] - [38]. La commune est en outre hors attraction des villes[39] - [40].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (90,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (90,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (54,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (34,7 %), prairies (8,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,7 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    Banca est desservie par la route départementale D 948.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Banca est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[47]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[48].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment la Nive des Aldudes et l'Hairako erreka. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014, 2019 et 2021[49] - [47].

    Banca est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[50]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[51] - [52].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[53]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[54].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Banca.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[55]. 6,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [56].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2014 et 2019[47].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Banca est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[57].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    En 1790[58] et 1793[59], la commune était nommée La fonderie et La Fonderie sur la carte de Cassini[60]. Il y a des mariages à 1859 avec ce nom, écrit comme Lafonderie.

    Le toponyme Banca est mentionné en 1832[58], et sa résurgence est contemporaine avec le déclin puis la disparition de la mine, possiblement depuis les traités de Bayonne de 1862 et 1868. Il y a des naissances en 1868 avec le nom Banca.

    Le , un dĂ©cret du PrĂ©sident de la RĂ©publique[61] porte « que la commune de Lafonderie, canton de Saint-Étienne-de-BaĂŻgorry, arrondissement de MaulĂ©on, dĂ©partement des Basses-PyrĂ©nĂ©es, prendra Ă  l'avenir, le nom de Banca ».

    Étymologie

    Pour Jean-Baptiste Orpustan[58], l’origine du toponyme Banca peut prĂ©senter deux interprĂ©tations, soit un emprunt Ă  l’espagnol banco, dĂ©signant le banc sur lequel la monnaie Ă©tait Ă©changĂ©e (qui a donnĂ© en français le mot « banque ») soit la dĂ©signation de « bancs de pierre ».

    Autres toponymes

    L’hydronyme Bihuntzeguiko erreka est mentionnĂ© sous la forme BihuncĂ©guy par le dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque de 1863[43].

    Le col de Churitcha est un col situĂ© sur la frontiĂšre avec l’Espagne. Il est mentionnĂ© par le dictionnaire de 1863[43], tout comme les cols d'Ehuntzaroy (col d’Éhunsaroy en 1863[43]) et d’Elhorietta (ElhoriĂ©ta en 1863[43]).

    Gathuly est le nom d’un mont qui s’étend[43] sur les territoires des communes de Banca et de Saint-Étienne-de-BaĂŻgorry.

    La forĂȘt d’Hayra s’étendait sur les communes de Banca et d’Urepel[43]. Le ruisseau Ă©ponyme se jette dans la nive des Aldudes.

    Le mont Lindus (1 220 mĂštres) est notĂ© sous la graphie Lindux dans le dictionnaire de 1863[43].

    Le col Meharroztegui qui relie Banca Ă  Aldudes est notĂ© MĂ©haroztĂ©guy en 1863[43], et celui de MehatzĂ©, vers l’Espagne, MĂ©hatcĂ©[43].

    Les cols de Mizpira et de Mizpirachar sont tous deux mentionnés dans le dictionnaire topographique de 1863[43].

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Banka[2].

    Histoire

    Banca doit son origine Ă  la remise en activitĂ© au XVIIIe siĂšcle de mines de cuivre dĂ©jĂ  exploitĂ©es dans l'AntiquitĂ©. Connu sous le nom de « La Fonderie », ce n'Ă©tait sous l'Ancien RĂ©gime qu'un hameau ou quartier dĂ©pendant de la paroisse de Saint-Étienne-de-BaĂŻgorry. Il ne fut Ă©rigĂ© en commune qu'en 1793, sous le mĂȘme nom, et ne reçut qu'en 1874 celui de « Banca ». Les vestiges d'une grande forge, une usine sidĂ©rurgique mise Ă  feu en 1828 Ă  l'emplacement de l'ancienne fonderie de cuivre, se dressent Ă  l'entrĂ©e du village, au bord de la nive des Aldudes. L'Ă©lĂ©ment le plus visible, un haut fourneau en bon Ă©tat de conservation, constitue un patrimoine remarquable.

    Le eut lieu à Banca la premiÚre action armée d'Iparretarrak.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Gratien Arambel
    2001 2008 Dominique Etcheverry DVD[62]
    2008 En cours Michel Oçafrain

    Intercommunalité

    La commune de Banca participe Ă  trois structures intercommunales :

    • la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays Basque depuis le ;
    • le syndicat intercommunal pour l'amĂ©nagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[64].

    En 2020, la commune comptait 348 habitants[Note 10], en augmentation de 5,14 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8035909991 0681 4191 2801 4291 3091 327
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0641 0691 0201 0201 027952944872828
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    829833815800770780748735799
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    672634524450426373351348332
    2017 2020 - - - - - - -
    346348-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee Ă  partir de 2006[65].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école, l'école élémentaire publique Bourg[66]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[67].

    Économie

    La mine de cuivre et de cuivre argentifÚre et la fonderie associée connurent leur apogée au milieu du XVIIIe siÚcle, tandis que la forge, avec son haut-fourneau, fut en activité de 1828 à 1861[68].

    L'activité est aujourd'hui principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    • Maison traditionnelle dans la vallĂ©e des Aldudes.
      Maison traditionnelle dans la vallée des Aldudes.
    • Le fronton place libre, percĂ© pour laisser passer la route.
      Le fronton place libre, percé pour laisser passer la route.
    • L'Ă©glise paroissiale.
      L'Ă©glise paroissiale.

    Patrimoine civil

    À l'entrĂ©e nord du village subsistent les vestiges d'une exploitation mĂ©tallurgique[69] avec son haut fourneau. Le canal d'amenĂ©e qui le surplombe, alimentĂ© par les eaux de la Nive captĂ©es en amont, entraĂźnait une roue et une machine soufflante injectant l'air Ă  la base du haut fourneau au moyen de deux tuyĂšres. Le bĂątiment adjacent, toujours surplombĂ© par le canal, abritait des feux de forge et des marteaux pour transformer la fonte en fer, et une fenderie pour fendre les barres de fer.

    La commune présente un ensemble de fermes et maisons[70] datant du XIXe siÚcle et inscrites à Inventaire général du patrimoine culturel. La ferme Guixonaenea[45] date de 1808. La ferme Gorria[44] date du XVIIIe siÚcle, tout comme la ferme Xangala[42].

    La redoute dite redoute de Lindus[46], du XIXe siÚcle, fut utilisée pendant la guerre franco-espagnole de 1813-1814.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise Saint-Pierre[71] date du XIXe siĂšcle.

    Équipements

    enseignement

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire.

    Ă©quipements sportifs

    Le fronton du village est traversé par une voie routiÚre.

    Personnalités liées à la commune

    • Marijane Minaberri (1926-2017) est une auteure de littĂ©rature pour enfants en langue basque.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Mines et Ă©tablissements mĂ©tallurgiques de Banca, dir. P. Machot, J&D, Biarritz, Ă©d. Izpegi, Saint-Étienne-de-BaĂŻgorry, 1995, 306 p.
    • Pierre Machot et Gilles Parent, « Mines et mĂ©tallurgie en vallĂ©e de BaĂŻgorry », in La vallĂ©e de BaĂŻgorry, Éditions Izpegi, rĂ©Ă©dition de 2002.
    • Gilles Parent, « La main-d'Ɠuvre de la fonderie de cuivre de Banca au XVIIIe siĂšcle » in Revue d'Histoire Industrielle des PyrĂ©nĂ©es Occidentales, no 2, 2007, p. 143–222, Éditions Izpegi.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[25].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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