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Baixas

Baixas [baʃas] est une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existĂ© de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Baixas
BaixĂ s
Baixas
Ruelle du village.
Blason de BaixasBaixĂ s
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Gilles Foxonet
2020-2026
Code postal 66390
Code commune 66014
DĂ©mographie
Gentilé Baixanencs
Population
municipale
2 669 hab. (2020 en augmentation de 3,93 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 141 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 45â€Č 03″ nord, 2° 48â€Č 36″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 312 m
Superficie 18,91 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Baixas
(ville isolée)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Ribéral
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Baixas
BaixĂ s
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Liens
Site web Site de la mairie de Baixas

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le ruisseau de la Boule, Coume Clare et par un autre cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « basses CorbiĂšres ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Baixas est une commune rurale qui compte 2 669 habitants en 2020. Elle est dans l'unitĂ© urbaine de Baixas et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelĂ©s les Baixanencs ou Baixanencques.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Baixas se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à km de Saint-EstÚve[2], bureau centralisateur du canton du Ribéral dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Peyrestortes (3,5 km), Espira-de-l'Agly (3,7 km), Cases-de-PĂšne (3,7 km), Calce (4,6 km), Saint-EstĂšve (4,9 km), Baho (5,6 km), Rivesaltes (5,7 km), Villeneuve-la-RiviĂšre (6,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Baixas fait partie du pays de Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].

    Carte de la commune.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 891 hectares. L'altitude varie entre 51 et 312 mĂštres[7]. Le centre du village est Ă  une altitude de 80 m[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Il y avait des carriĂšres de marbre gris, ainsi que de chaux grasse et de chaux hydraulique[10].

    Hydrographie

    • Le ruisseau de la Boule, long de 13,7 km[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[12].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 13,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 605 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 5,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[15] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[16] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924[17] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[18] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă  15,7 °C pour 1981-2010[20], puis Ă  16,1 °C pour 1991-2020[21].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive oiseaux : 0[23], d'une superficie de 29 495 ha, sont un site important pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l’'Aigle royal, le 'Grand-duc d’Europe, le 'CircaĂšte Jean-le-Blanc, le 'Faucon pĂšlerin, le 'Busard cendrĂ©, l’'Aigle bottĂ©[24].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[25] :

    • les « corniches de Notre-Dame de PĂšne et d'Estagel » (1 112 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[26] ;
    • les « garrigues de Calce » (1 557 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[27],
    • la « plaine viticole de Baixas » (1 939 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[28] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Baixas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [29] - [I 2] - [30]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Baixas, une unitĂ© urbaine monocommunale[I 3] de 2 573 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (77 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (72,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (16,8 %), mines, dĂ©charges et chantiers (4,2 %), zones urbanisĂ©es (3,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,2 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 1 362.

    Parmi ces logements, 83,1 % étaient des résidences principales, 4,9 % des résidences secondaires et 12 % des logements vacants.

    La part des mĂ©nages propriĂ©taires de leur rĂ©sidence principale s’élevait Ă  70,9 %[I 8].

    Voies de communication et transports

    Les lignes 6 et 14 du réseau urbain Sankéo relient la commune au centre de Perpignan, et la ligne 18 relie la commune à Calce.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Baixas est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier, le risque radon[32] - [33].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau des bassins de l'Agly et de la TĂȘt[34].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[35]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomÚne[36]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[37].

    • Carte des zones inondables.
      Carte des zones inondables.
    • Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des argiles.
      Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Baixas est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[38].

    Toponymie

    Formes du nom

    Baixas est citée dÚs 843 sous les noms de Baxianum et Baxianos[8]. On trouve ensuite au Xe siÚcle les formes Beixanum, Bexas et Bexans, et aux XVIe et XVIIe siÚcles Baxas, Bexas et Baixas[39].

    La graphie en catalan moderne est Baixàs, dont le nom en français est un calque et qui se prononce « Bachass »[39].

    Étymologie

    Le nom de Baixas a pour origine un nom domanial latin (gentilice), Bassius ou Baccius, suivi du suffixe possessif -anum[39].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    L'aven de la Cova de l'Amaga la Dona[Note 9], situĂ© au nord-ouest de la commune et dĂ©couvert en 1976, rĂ©vĂšle des vestiges de l'Âge du cuivre, datĂ©s de 1 800 ans av. J.-C., et incluant notamment les restes d'au moins 52 individus ainsi que des silex, des parures diverses et des fragments de vases campaniformes[40].

    Moyen Âge

    Le lieu de Baixas est citĂ© en 901 parmi les possessions que Leudovinus, ex-vicomte de Narbonne destituĂ© en 878, et son Ă©pouse Arsinde cĂšdent Ă  leurs enfants. AprĂšs la mort de Leudovinus, Arsinde et ses enfants vendent Baixas et son Ă©glise en 925 Ă  l'Ă©vĂȘque d'Elne. Le chapitre d'Elne en reste propriĂ©taire jusqu'Ă  la RĂ©volution française[8].

    Au Xe siĂšcle, on cite une villa gallo-romaine (ferme fortifiĂ©e accolĂ©e Ă  une Ă©glise) appelĂ©e Baissare (le lieu bas). En 925 le village est entourĂ© d'une petite fortification et l’église romane consacrĂ©e Ă  saint Étienne.

    Au XIIe siĂšcle, l'Ă©glise initiale est remplacĂ©e par une autre, de type Romane placĂ©e sous le patronage de Sainte Marie, reconstruite au XIVe siĂšcle puis agrandie au fil des siĂšcles. En 1672, elle est dotĂ©e d’un retable maĂźtre-autel de 17 mĂštres de haut entiĂšrement dorĂ© Ă  l’or fin en 1698 et considĂ©rĂ© actuellement comme une Ɠuvre majeure de l’art baroque. Baixas Ă©tait le siĂšge de l’un des 5 dignitaires du chapitre d'Elne, qui possĂ©dait des Palau e casa, (chĂąteau et maison). Les quatre autres habitaient Ă  Bages, Elne, Saleilles et Trouillas.

    Lieu de passage des armĂ©es empruntant le col de la Dona, sous l’impulsion de Jacques Ier d'Aragon, vers 1245-1246, Baixas dĂ©sormais entourĂ© d’un second rempart avec des tours et des portes Ă  pont-levis, solidement protĂ©gĂ© se dĂ©veloppe.

    En 1376 eut lieu un conflit entre les responsables du Chapitre et le viguier du Roussillon. Ce dernier fit détruire le carcan et les fourches patibulaires du village.

    En 1438, les baixanenchs, se soulevÚrent contre le Batlle et les consuls qu'ils menaçaient de mettre à mort. Une fois l'émeute terminée, la justice se chargea des représailles. Mais elle s'enraya à cause de la lutte entre le lieutenant du gouverneur du Roussillon, et le procureur du chapitre d'Elne, sauvant ainsi les meneurs de la pendaison.

    PĂ©riode contemporaine

    Par la suite l’histoire du village est liĂ©e Ă  la pierre et de la vigne :

    À Perpignan, le 19 mai 1907, regroupement des manifestants aux Platanes, au premier plan la dĂ©lĂ©gation de Baixas.

    Les vendanges 1906 avaient Ă©tĂ© dĂ©sastreuses dans tout le Roussillon. Ce qui n'empĂȘchaient pas la chute des cours du vin. Des familles vigneronnes se heurtaient Ă  des difficultĂ©s financiĂšres telles qu'elles ne pouvaient plus payer l'impĂŽt. InformĂ©, le gouvernement donna ordre de faire intervenir les huissiers. Le village de Baixas fut le premier Ă  se rĂ©volter au dĂ©but de l'annĂ©e 1907[41].

    Le 18 février, il reçut le soutien de Marcelin Albert, qui envoya un télégramme à Georges Clemenceau. Quant à Joseph Tarrius, viticulteur et pharmacien à Baixas, il fait parvenir au gouvernement une pétition signée des habitants du village. Il y est précisé que le seul impÎt que les contribuables puissent encore payer est celui du sang. Alors que les défilés de protestations s'étaient multipliés dans les villes et villages, préfectures et sous-préfectures accueillirent les manifestations viticoles. Le 19 mai, à Perpignan 170 à 200 000 personnes défilent dans la ville. La manifestation se déroule sans incidents graves[42] - [41].

    Dans les dĂ©partements du Gard, de l'HĂ©rault, de l'Aude et des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, les conseils municipaux dĂ©missionnent collectivement - il y en aura jusqu'Ă  600 - certains appellent Ă  la grĂšve de l'impĂŽt. La situation devient de plus en plus tendues, les viticulteurs furieux attaquent perceptions, prĂ©fectures et sous-prĂ©fectures[43]. Le 20 juin, la tension monte encore. À Perpignan, la prĂ©fecture est pillĂ©e et incendiĂ©e. Le prĂ©fet David Dautresme doit se rĂ©fugier sur le toit[42].

    Depuis 1956, les vignes classĂ©es en appellation d’origine contrĂŽlĂ©e, produisent en particulier du muscat de Rivesaltes, du cĂŽtes du Roussillon et du cĂŽtes-du-Roussillon villages.

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Baixas est incluse dans le canton de Pézilla puis, dÚs 1801, dans le canton de Rivesaltes[44]. Elle est ensuite rattachée en 1985 au canton de Saint-EstÚve, qu'elle ne quitte plus par la suite[7].

    À compter des Ă©lections dĂ©partementales de 2015, la commune de Baixas rejoint le nouveau canton du RibĂ©ral.

    Liste des maires

    Signature du maire Vaquer en 1815.
    Liste des maires successifs[45]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    ? juin 1815 Vaquer[46]
    juin 1815 ? Honoré Tarrieux[46]
    1896 1904 Désiré Bobo
    1904 1919 Henri Thomas
    1919 1925 Jules Bonzoms
    1925 1944 Jacques Frigola
    1944 1947 Robert Cantier
    1947 1959 Georges Bobo
    1959 1971 Servais Bobo
    Robert Frigola
    Roger Torreilles UDF-DL Viticulteur et enseignant
    Conseiller rĂ©gional de Languedoc-Roussillon (1998 → 2004)
    En cours Gilles Foxonet RPR puis
    UMP-LR
    puis LDP
    Viticulteur
    10e vice-président de Perpignan Méditerranée Métropole
    Conseiller départemental suppléant
    Suppléant de la Députée RN Sandrine Dogor-Such

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1424 1470 1515 1553 1643 1709
    190 f198 f164 f83 f82 f79 f46 f92 f156 f
    1720 1730 1755 1765 1767 1774 1789 1790 -
    189 f187 f231 f400 H927 H187 f266 f1 120 H-
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[48].

    En 2020, la commune comptait 2 669 habitants[Note 10], en augmentation de 3,93 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1731 3371 5341 7611 8401 9591 9782 0522 132
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2012 3442 6212 7352 9323 2332 8992 6632 510
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6002 5562 5242 2361 9181 8761 8471 7661 753
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 9952 0571 9692 1042 0272 2172 3962 5672 546
    2020 - - - - - - - -
    2 669--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[51] 1975[51] 1982[51] 1990[51] 1999[51] 2006[52] 2009[53] 2013[54]
    Rang de la commune dans le département 28 32 29 45 44 46 46 47
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte patronale : 8 septembre ;
    • FĂȘte communale : 25 novembre[55].

    Sports

    Baixas possĂšde des associations sportives de tennis, football, rugby Ă  XIII et rugby Ă  XV.

    Rugby Ă  XV

    Le Baixas athletic club fondĂ© en 1920, fusionne avec le Espira sporting club en 1968 devenant l’ESC BAC. À partir de 1985, l’ESC BAC accueille l'Association sportive de Peyrestortes et devient ESC-BAC-ASP.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 151 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 2 566 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 330 â‚Ź[I 9] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 10]). 40 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 12] (42,1 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 11]10 %10,4 %13,4 %
    DĂ©partement[I 12]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 669 personnes, parmi lesquelles on compte 76,1 % d'actifs (62,7 % ayant un emploi et 13,4 % de chĂŽmeurs) et 23,9 % d'inactifs[Note 13] - [I 11]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 2] - [I 14]. Elle compte 385 emplois en 2018, contre 411 en 2013 et 453 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 053, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 59,3 %[I 15].

    Sur ces 1 053 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 254 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 7,7 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de mĂ©nages fiscaux en 2013 Ă©tait de 1 099 et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 17 544 €.

    Emploi

    En 2013, le nombre total d'emplois au lieu de travail Ă©tait de 411. Le taux d’emploi annuel moyen (Ăąges et sexes confondus) a Ă©tĂ© de 64,4 %. Pour cette pĂ©riode, le taux d’activitĂ© de la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  74,8 % contre un taux de chĂŽmage de 19,9 %[I 8].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d’établissements actifs Ă©tait de 228 dont 79 dans l’agriculture-sylviculture-pĂȘche, 14 dans l'industrie, 29 dans la construction, 82 dans le commerce-transports-services divers et 24 Ă©taient relatifs au secteur administratif.

    Cette mĂȘme annĂ©e, 18 entreprises ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es, dont 17 par des Auto-entrepreneurs[I 8].

    La production de vin de qualitĂ© existe de longue date Ă  Baixas, et son muscat est cĂ©lĂšbre dĂšs le Moyen Âge[8].

    Infrastructures

    Sur le territoire de la commune de Baixas se trouve l'une des extrémités d'une interconnexion électrique à trÚs haute tension (320 kV) en courant continu, reliant la France et l'Espagne, mise en service en 2015 ; l'autre extrémité se situant à Santa Llogaia, prÚs de Figueras, en Catalogne[59].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes de Baixas

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    Parti de gueules au sautoir d'or et d'argent plain.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Robert Frigola, Baixas : 1900-2001, Baixas, Mairie de Baixas, , 152 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le lieu tient son nom de l'Amaga la Dona, petit cours d'eau qui descend depuis le versant sud du Roc Rodon Ă  Cases-de-PĂšne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Baixas » (consulté le ).
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    3. « Unité urbaine 2020 de Baixas » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan » (consulté le ).
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    8. Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Baixas » (consulté le ).
    10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Baixas » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Baixas » (consulté le ).
    16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

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    2. Stephan Georg, « Distance entre Baixas et Saint-EstÚve », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Baixas », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 222-225.
    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
    7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Baixas », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    8. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Guide du Roussillon et de l'Andorre : touristique, historique, social, Ă©conomique, Perpignan, Sud Roussillon, , 286 p..
    11. Sandre - fiche Y0470520
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    58. Honneur : Phases finales 2014/2015
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