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Rivesaltes

Rivesaltes [ʁivzalt] est une commune française, situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existĂ© de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Rivesaltes
Rivesaltes
Vue générale
Blason de Rivesaltes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
André Bascou
2020-2026
Code postal 66600
Code commune 66164
DĂ©mographie
Gentilé Rivesaltais
Population
municipale
9 020 hab. (2020 en augmentation de 5,5 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 314 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 46â€Č 11″ nord, 2° 52â€Č 29″ est
Altitude Min. 11 m
Max. 70 m
Superficie 28,76 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Perpignan
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Agly
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Rivesaltes
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Rivesaltes
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Rivesaltes
Liens
Site web rivesaltes.fr

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'Agly, la Llavanera, le ruisseau de Claira et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Ses habitants sont appelés les Rivesaltais. La ville a donné son nom à deux vins doux naturels d'appellation contrÎlée : le rivesaltes et le muscat de Rivesaltes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Rivesaltes se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département [2], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1] La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Peyrestortes (2,4 km), Espira-de-l'Agly (3,3 km), Pia (4,7 km), Baixas (5,7 km), Bompas (6,4 km), Saint-EstĂšve (6,7 km), Claira (6,7 km), Cases-de-PĂšne (7,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Rivesaltes fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].

    Situation de la commune.

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie entre 11 et 70 mĂštres[7].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Hydrographie

    Rivesaltes est traversée d'ouest en est par l'Agly.

    Divers affluents de l'Agly achĂšvent leur parcours sur le territoire de la commune :

    • El RĂČbol sur la rive gauche ;
    • Le CĂČrrec de la Llobera sur la rive droite.

    Le Rec de Claira traverse le secteur nord-est de la commune et Le Rec de Ribesaltes traverse le sud-ouest de la commune.

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensĂ©es sur la commune[9] : les « Camp militaire du MarĂ©chal Joffre » (609 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[10] et la « vallĂ©e de l'Agly » (164 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[11].

    Toponymie

    Le nom catalan de la commune, Ribesaltes[12], signifie "rives hautes", et vient du latin Ripis Altis.

    La premiĂšre mention de Rivesaltes date de 923 (Ribas Altas)[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Rivesaltes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 3] - [14] - [I 2] - [15]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Perpignan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 15 communes[I 3] et 201 061 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (74,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (51,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (15,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (15,4 %), zones urbanisĂ©es (9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (8,8 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    Rivesaltes comprend en 2012 4 185 logements, parmi lesquels 85,7 % sont des rĂ©sidences principales, 2,6 % sont des rĂ©sidences secondaires et 11,7 % sont vacants. 60,4 % des mĂ©nages sont propriĂ©taires de leur logement[I 8].

    Faute d'avoir respectĂ© l'objectif triennal 2011-2013 de construction de logements sociaux, avec 28 rĂ©alisĂ©s sur les 48 requis (soit un taux de rĂ©alisation de 58 %), la commune se voit sanctionnĂ©e par la prĂ©fecture en 2015 d'une pĂ©nalitĂ© de 82 000 euros[17].

    Voies de communication et transports

    Rivesaltes se situe à quelques kilomÚtres de l'A9 mais elle bénéficie aussi de plusieurs voies rapides, l'une allant vers l'Aéroport de Perpignan-Rivesaltes, l'autre allant vers Perpignan. c'est le départ de la route du FenouillÚdes, la RN117 déclassée en RD117.

    La ville est desservie par la Gare de Rivesaltes, escale du TER Occitanie. C'est aussi le départ du train du pays Cathare et du FenouillÚdes.

    Les lignes 9 (Vingrau - Perpignan Languedoc - Gare de Perpignan), 16 (Cap Roussillon - Rivesaltes - Perpignan Languedoc) et 19 (Opoul-Périllos - Rivesaltes - Gare de Perpignan) du réseau urbain Sankéo assurent la desserte de la commune.

    Le Babau

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rivesaltes est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matiÚres dangereuses et la rupture d'un barrage[18] - [19].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly. La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant 43 communes du bassin de vie de l'agglomĂ©ration perpignanaise, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s le sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[20] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[22]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomÚne[23].

    Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations[24].

    • Carte des zones inondables.
      Carte des zones inondables.
    • Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des argiles.
      Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres et ferroviaires importantes et la prĂ©sence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[25].

    Sur le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, on dĂ©nombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dĂ©gĂąts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d’un de ces barrages, le barrage de Caramany sur l'Agly, un ouvrage de 57 m de hauteur construit en 1994[26].

    Histoire

    On ne connaĂźt pas la date exacte de la fondation de Rivesaltes, toutefois on pense que la ville existait en 729 lors de l'invasion des Sarrazins.

    En 923, un certain Landric fait don en alleu à l'abbaye de Lagrasse de deux églises : Sainte-Marie et Saint-André. L'ensemble du territoire restera la possession de l'abbaye jusqu'à la révolution française[13].

    Rivesaltes est fortifiée dÚs 1172. L'ensemble comprenait vraisemblablement sept ou huit tours ainsi que des fossés, comblés depuis[13].

    L'église Saint-André est abandonnée à la suite de la fortification et Sainte-Marie deviendra la paroisse de la ville, mais en changeant de nom pour celui de Saint-André[13].

    La ville est occupée par les armées de Louis XI en 1463 et de Louis XIII en 1639. Elle est pillée en 1793 par l'armée espagnole. La colÚre des habitants qui s'ensuivit contribua à la victoire des troupes de Joseph Cassanyes à la bataille de Peyrestortes[13].

    En 1872 le service militaire devient obligatoire et la durĂ©e, un ou cinq ans, en est fixĂ©e par tirage au sort. C'est Ă  l'occasion de cette opĂ©ration qu'Ă©clate une Ă©meute de 2 000 personnes Ă  Rivesaltes le , lors de laquelle les forces de l'ordre sont directement visĂ©es et deux manifestants sont tuĂ©s. Le maire dĂ©missionne quelques jours plus tard et les troubles continuent. La ville est alors occupĂ©e durant plusieurs semaines par l'armĂ©e et trois autres maires se succĂšdent dans les mois qui suivent cette pĂ©riode agitĂ©e[27].

    Le musée mémorial de Rivesaltes

    Le camp militaire Joffre dit « camp de Rivesaltes Â» a internĂ© des populations civiles ou militaires durant sept dĂ©cennies (1939-2007). Aujourd'hui, le camp de Rivesaltes est toujours en partie occupĂ© par l'armĂ©e française. En 2007, le centre de rĂ©tention administrative dĂ©mĂ©nage et, en 2008, on construit les premiers amĂ©nagements pour la mise en place du MusĂ©e-mĂ©morial du camp de Rivesaltes par le Conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, nouveau propriĂ©taire des 42 hectares du site, inscrit Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques.

    Le , dépÎt du permis de construire par l'architecte Rudy Ricciotti. Les travaux devraient débuter en 2010 et durer deux ans[28].

    Le , Manuel Valls inaugure le musĂ©e-mĂ©morial de Rivesaltes, sur l'emplacement de l'ancien camp d'internement. PrĂšs de 21 millions d’euros d’investissement et neuf mois de recherche ont Ă©tĂ© nĂ©cessaires pour mener Ă  bien le projet[29].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Rivesaltes était jusqu'en la commune principale de la communauté de communes Rivesaltais-Agly, elle fait maintenant partie de la communauté d'agglomération Perpignan Méditerranée. La commune adhÚre également au Pays de la Vallée de l'Agly.

    La commune est le chef-lieu du canton éponyme, qui dépend de la deuxiÚme circonscription des Pyrénées-Orientales dont le député est Fernand Siré (UMP, ancien maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[30]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 1971 Jean Jacquet SFIO puis PS NĂ©gociant en vins
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Rivesaltes (1945 → 1973)
    PrĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (1956 → 1973)
    mars 1971 mars 1983 Émile ParĂšs DVD puis UDF Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Rivesaltes (1973 → 1998)
    mars 1983 En cours André Bascou[31] - [32] RPR puis UMP-LR Ingénieur
    DĂ©putĂ© de la 2e circonscription des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (1993 → 1997)
    Président de la CC du Rivesaltais-Agly-Manadeil
    5e vice-président de Perpignan Méditerranée Métropole

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1424 1470 1515 1553 1709 1720
    142 f136 f96 f69 f70 f67 f40 f201 f254 f
    1730 1755 1765 1767 1774 1789 1790 - -
    290 f317 f1 000 H1 420 H290 f386 f1 747 H--
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1358 : dont 56 f pour l'ermitage de Saint-Martin-de-Tura ;
    • 1365 : dont 55 f pour l'ermitage de Saint-Martin-de-Tura ;
    • 1378 : dont 33 f pour l'ermitage de Saint-Martin-de-Tura ;
    • 1424 : dont 6 f pour l'ermitage de Saint-Martin-de-Tura.

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 9 020 habitants[Note 5], en augmentation de 5,5 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8182 0112 5302 8733 2083 4003 4463 7373 839
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 2764 8215 2185 5176 3296 9806 2356 0166 010
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5 7885 6075 7145 2145 1035 0685 0095 4695 860
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5 9106 4426 5896 7817 1107 9408 4968 6108 169
    2015 2020 - - - - - - -
    8 6789 020-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[36] 1975[36] 1982[36] 1990[36] 1999[36] 2006[37] 2009[38] 2013[39]
    Rang de la commune dans le département 2 3 5 8 7 6 8 9
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte patronale et communale : [40] ;
    • Foire : [40] ;
    • MarchĂ©s : lundi, mercredi et vendredi[40] ;
    • Vendanges littĂ©raires : cĂ©lĂ©bration autour du vin et des livres, Ă  l'automne ;
    • FĂȘte mĂ©diĂ©vale du Babau : dragon qui selon la lĂ©gende mĂ©diĂ©vale serait venu dĂ©vorer des enfants du village, en Ă©tĂ© ;
    • FĂȘte de l'abricot : juillet ;
    • Festival Semaine Flamenco de Rivesaltes : en aoĂ»t[41].

    Santé

    Rivesaltes bénéficie de la présence de plusieurs médecins généralistes[42]. L'hÎpital le plus proche est à Perpignan.

    Sports

    Rivesaltes possĂšde une piscine municipale[43].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 3 830 mĂ©nages fiscaux[Note 6], regroupant 8 376 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 820 â‚Ź[I 9] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 10]). 39 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 7] (42,1 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 11]11,5 %15,4 %12,1 %
    DĂ©partement[I 12]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  5 248 personnes, parmi lesquelles on compte 70,9 % d'actifs (58,8 % ayant un emploi et 12,1 % de chĂŽmeurs) et 29,1 % d'inactifs[Note 8] - [I 11]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 2] - [I 14]. Elle compte 4 302 emplois en 2018, contre 4 150 en 2013 et 4 015 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 3 127, soit un indicateur de concentration d'emploi de 137,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 52 %[I 15].

    Sur ces 3 127 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 117 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 82,5 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 11,5 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Activités

    Caves de Rivesaltes.

    Revenus de la population et fiscalité

    Revenus de la population

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 23 357 €[I 18].

    En 2012, le revenu fiscal mĂ©dian des mĂ©nages par unitĂ© de consommation est de 17 173 € et 53,9 % des foyers fiscaux sont imposables. Le taux de pauvretĂ© est de 20,5%[I 8].

    Fiscalité

    Entreprises et commerces

    Gaby Cruanas
    Enseigne de la Zone d'activités économiques Las Solades

    Le terroir de Rivesaltes, produisant ses vins doux naturels, occupe la plus grande partie des sols de la commune et contribue largement à sa prospérité.

    L’autre richesse territoriale est issue de la diversitĂ© de son bassin Ă©conomique rĂ©parti en plusieurs zones d’activitĂ©s. Ces principales zones d'activitĂ©s sont[44] :

    Le centre-ville

    Une soixantaine de commerçants sont installés au centre-ville de Rivesaltes.

    La zone d'activités économiques Las Solades

    Cette zone crĂ©Ă©e en 1985[45] accueille plus de 120 entreprises[46], Ɠuvrant dans des domaines aussi variĂ©s que le numĂ©rique, l’électronique automobile et industrielle, les contraintes Ă©nergĂ©tiques du bĂątiment, la maçonnerie traditionnelle, la ferronnerie d’art et industrielle, ainsi que les mĂ©tiers de production et de transformation[47]. Une entreprise de pointe dans le diagnostic Ă©lectronique automobile y est implantĂ©e depuis trente ans, ainsi que le vice champion du monde de forge.

    L'espace Entreprises Méditerranée

    La superficie est de 120 hectares. Un vaste parc de voitures neuves est prĂ©sent, ainsi qu'un CAT, un centre de formation AFPA et aussi une fabrique de matĂ©riels de cave. Une ferme de huit Ă©oliennes fournissant 7 600 kW y est Ă©galement prĂ©sente.

    L'espace Entreprise MĂ©diterranĂ©e accueille aussi depuis le nouvel HĂŽtel d'entreprises de Rivesaltes. InaugurĂ© le par la PrĂ©sidente du Conseil dĂ©partemental des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, Hermeline Malherbe, cet ensemble immobilier, d'un coĂ»t de 7,6 M€[48], inclut dix ateliers de production et un bĂątiment tertiaire de 1 000 m2 rĂ©partis sur trois Ă©tages dans lequel sont ouverts 20 bureaux. Le rez-de-chaussĂ©e est occupĂ© par la PĂ©piniĂšre d'Entreprises de Rivesaltes[49]. L'hĂŽtel d'entreprises est un bĂątiment Ă  Ă©nergie positive et utilise trois sources d’énergie renouvelable[50] : solaire (panneaux photovoltaĂŻques) : 48 kWc, vent (Ă©olienne Ă  axe vertical) : kW et bois Ă©nergie (chaudiĂšre bois) : 75 kW

    Les zones du Mas de la Garrigue (nord et sud)

    Le plus grand cadran solaire d'Europe marque l'entrée de cette zone qui est principalement tournée vers le transport,la logistique et les produits alimentaires. Y sont également présent cinq hÎtels ainsi que Institut de formation des métiers de l artisanat.

    La zone commerciale Cap Roussillon

    Orientés vers des activités commerciales ludiques autour d'un complexe de cinémas.

    La zone Circuit Roussillon

    Un circuit privé pensé pour la vitesse, utilisé pour de manifestations de karting ou de motos.

    Le Parc Régional François Arago

    Destiné à accueillir la future gare départementale pour le TGV.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    • Camp de Rivesaltes en 2007
    • Ancien hĂŽtel de ville sur la place Charles-de-Gaulle
      Ancien hĂŽtel de ville sur la place Charles-de-Gaulle
    • Le parc des Ă©oliennes
      Le parc des Ă©oliennes
    • Beffroi de 1755
      Beffroi de 1755
    • Église Saint-AndrĂ© de Rivesaltes
      Église Saint-AndrĂ© de Rivesaltes
    • L'entrĂ©e de l'Ă©glise
      L'entrée de l'église

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Rivesaltes Blason
    D’or Ă  Saint AndrĂ© de carnation, nimbĂ© de gueules, habillĂ© d’azur et d’argent, brochant sur sa croix alĂ©sĂ©e de sinople.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    7. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
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    52. Association des cadres catalans de Paris, le plus grand cadran solaire artistique d'Europe créé par MA2F s'élÚve à Rivesalte
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